Hachette 1973 in8. 1973. Reliure inconnue. 265 pages. Bon Etat intérieur propre
Hachette Relié 1969 In-8 (16,8 x 22,6 cm), reliure demi-peau, dos à 5 nerfs, pièce de titre, couverture conservée, 321 pages, envoi de l'auteur ; quelques traces sur le cuir et à l'intérieur, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Hachette 1974 13x20. 1974. Broché. 265 pages. Bon Etat intérieur propre
Hachette Littératures 1984 13x20x2cm. 1984. Broché. 308 pages.
Editions du Rocher, 1996, gr. in-8°, 213 pp, repères chronologiques, aperçu bibliographique, broché, couv. illustrée, bon état
Le Grand Siècle ne se limite pas à la majesté de Versailles, aux nobles vers de Corneille ou de Racine, aux oraisons funèbres de Bossuet, au jansénisme, au classicisme. Claude Dulong nous invite à découvrir un monde bien plus varié, parfois inattendu, naturel, humain, patrie de l'amour et des grandes amoureuses. A travers huit portraits, le présent ouvrage raconte les aventures de huit femmes au destin d'exception. Ainsi le lecteur retrouvera-t-il, au fil des chapitres, les deux pôles de l'amour humain : Eros, avec la Du Parc, la duchesse Mazarin. Ninon de Lenclos, Athénaïs de Montespan ; et Agapé, avec Anne d'Autriche, Madame de La Fayette. En ce siècle de foi, les grandes amoureuses pouvaient aussi devenir les plus ferventes chrétiennes. Claude Dulong a choisi de placer en fin de volume les "folles de Dieu", Jeanne Mance et Marguerite Bourgeoys, deux figures admirables, qui, armées de leur seule charité, s'en allèrent fonder dans les neiges du Canada des hôpitaux et des écoles.
Paris, Plon, 1956.In-8 carré, broché, 261 pages, une carte. Exemplaire non coupé.// 8vo square, soft-cover, 261 pages, a chart. Specimen not cut.
Paris, Flammarion, "L'Aventure vécue", 1958. In-8, broché, couverture illustrée en couleurs, 201 pp.
Planches hors-texte. Envoi autographe de l'auteur à Pierre Ichac. Photos sur demande.
Paris Grasset 1951 1 vol. broché in-12, broché, 278 pp. Edition originale. Un des 23 exemplaires de tête numérotés sur vélin pur fil, celui-ci porte le n° 1. En parfaite condition.
Paris, Hachette, 1969. In-8, broché, couverture illustrée, 321 pp.
Photos sur demande.
Hachette, 1984, in-8°, 306 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Peut-on, pour le Grand Siècle, parler des femmes en général ? Et qu'y a-t-il de commun entre la belle Ninon et une sorcière de village ? Une injustice initiale : la condition faite à leur sexe. Dans toutes les classes sociales, au temps de Louis XIV, la tyrannie parentale et maritale est une réalité, la mort en couches une fatalité. D'où ce livre, dans lequel Claude Dulong se garde pourtant de céder à un féminisme agressif. Sa thèse ? Ce Grand siècle de la France ne fut pas le grand siècle des Françaises. Son projet ? Partir de la vie quotidienne pour apprécier les progrès accomplis entre la mort d'Henri IV et celle du Roi-Soleil ; car, s'il est vrai que la loi perpétua l'inégalité jusqu'au XIXe siècle, l'opinion, la société, l'Eglise elle-même évoluèrent, par degrés, dans un sens favorable aux femmes. Mais comment oublier que c'est d'abord à leurs propres efforts que celles-ci durent d'obtenir, lentement, péniblement, le droit à la considération, à l'instruction, au travail, sinon à l'amour, cette tardive invention. De ce combat divers et inégal, l'auteur nous conte les péripéties à travers des destins et des portraits, de la reine à la courtisane, de la comédienne à la sainte." (4e de couverture)
Hachette/GLM, 1984, in-8°, 306 pp, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Peut-on, pour le Grand Siècle, parler des femmes en général ? Et qu'y a-t-il de commun entre la belle Ninon et une sorcière de village ? Une injustice initiale : la condition faite à leur sexe. Dans toutes les classes sociales, au temps de Louis XIV, la tyrannie parentale et maritale est une réalité, la mort en couches une fatalité. D'où ce livre, dans lequel Claude Dulong se garde pourtant de céder à un féminisme agressif. Sa thèse ? Ce Grand siècle de la France ne fut pas le grand siècle des Françaises. Son projet ? Partir de la vie quotidienne pour apprécier les progrès accomplis entre la mort d'Henri IV et celle du Roi-Soleil ; car, s'il est vrai que la loi perpétua l'inégalité jusqu'au XIXe siècle, l'opinion, la société, l'Eglise elle-même évoluèrent, par degrés, dans un sens favorable aux femmes. Mais comment oublier que c'est d'abord à leurs propres efforts que celles-ci durent d'obtenir, lentement, péniblement, le droit à la considération, à l'instruction, au travail, sinon à l'amour, cette tardive invention. De ce combat divers et inégal, l'auteur nous conte les péripéties à travers des destins et des portraits, de la reine à la courtisane, de la comédienne à la sainte." (4e de couverture)
Hachette, 1980, gr. in-8°, 427 pp, 8 pl. de gravures hors texte, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Anne d'Autriche, c'est bien le personnage des Trois Mousquetaires, indissociable des deux cardinaux ministres : le premier Richelieu, qui la persécuta ; l'autre, Mazarin, qu'elle aima et dont elle fit la prodigieuse ascension. La reine de France était née, dona Ana, le 21 septembre 1601 : deux fois Habsbourg, par l'Espagne et l'Autriche. A dix ans, elle est mariée à Louis XIII, sur l'idée d'une autre femme de caractère, Marie de Médicis, qui voit en Anne une catholique intransigeante, une enfant à modeler et surtout, grâce à ce mariage, la fin de la querelle franco-espagnole. Ces pronostics seront démentis par la personnalité de la reine : écartée du pouvoir parle roi et Richelieu, elle se laissa entraîner dans les complots menés contre le cardinal. Mais elle résista à la Fronde. A la mort de son mari, elle se fit accorder la régence, qu'elle exerça dix-huit ans, aidée de Mazarin - qu'elle aima peut-être secrètement. Comme dans les romans de cape et d'épée, la vie de la reine illustra à la perfection le vers de son contemporain, Corneille : "Le trône met une âme au-dessus des tendresses."
P., Plon, 1956, in-8, br. (SB3)
Louis XIV et l'électeur de Mayence (1648-1678).
Couverture souple. Broché. 266 pages.
Livre. Editions Hachette littérature (Collection : La vie quotidienne), 1974.
Couverture rigide. Reliure de l'éditeur. 331 pages.
Livre. Editions Famot (Collection : La vie quotidienne), 1975.
P., Hachette, 1969, in-8, br., couv. ill., 321 pp., index, bibliographie. (DH18)
Édition originale.
Perrin 2002 Perrin, 2002, 418 p., "reliure souple" éditeur, un pli de lecture sur le dos qui correspond à une cassure du dos interne sans que les pages ne se détachent pour autant. Bon état pour le reste.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Bernard Grasset. 1951. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 278 pages.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Hachette 1974 in8. 1974. Broché.
couverture tachée bords frottés tranches fânées intérieur propre bonne tenue
P., Ségur, 1951 in-12, 235 pp, 6 pl. de gravures hors texte, notes, index, broché, bon état. Edition originale, un des 100 ex. numérotés sur Alfa (seul grand papier), envoi a.s. à Alfred Fabre-Luce
"Barthélémy Hervart est un de ces hommes de finance, banquier et administrateur, dont le rôle a été de grande importance au XVIe et au XVIIe siècles. Issu d'une famille d'Augsbourg, qui avait fondé une banque à Lyon, il apparaît vers 1632 dans le personnel d'hommes d'affaires et d'agents politiques qui soutiennent de leurs deniers et de leur savoir-faire diplomatique la politique de Richelieu et de Mazarin. L'intervention d'Hervart fut particulièrement heureuse pour assurer le payement des armées pendant les dernières campagnes qui précédèrent la paix de Westphalie, et il ne fit pas moins bien dans la suite, pour négocier avec Turenne, dans les dures années de la Fronde. Nous le retrouvons, pourvoyeur du Trésor royal jusqu'à la fin du ministère de Mazarin, et pourvu en même temps de l'office de contrôleur général des finances, aux côtés de Fouquet et en face de Colbert, dont la duplicité faisait un ennemi redoutable pour ses concurrents. Hervart fut emporté dans les remous qui accompagnèrent la chute de Fouquet et son office passa à Colbert, qui en disposa comme chacun sait. Cette carrière, qui, malgré la disgrâce finale, fut heureuse et prospère, puisqu'Hervart se tira sans trop de dommages des enquêtes de la Chambre de justice et conserva jusqu'à sa mort une solide fortune, est pour nous pleine d'enseignements. Elle nous montre par des exemples concrets ce qu'était la crise permanente des finances royales, l'incohérence des institutions, qui faisaient d'un même personnage un prêteur et un administrateur chargé du contrôle. La monarchie administrative en était encore aux méthodes de la comptabilité domestique, telle qu'on l'aurait tenue dans une famille désordonnée, incapable de subsister sans recourir à la faillite et aux mesures d'exception. Les à-côtés de cette histoire apportent également quelques précisions utiles : l'ascension de Colbert dans l'entourage de Mazarin, la duplicité féroce dont il usait envers ses rivaux, tout cela est à retenir, et le rôle de Fouquet, qui n'était en somme qu'un Hervart amplifié et imprudent..." (Roger Doucet, Revue d'histoire économique et sociale, 1953)
Paris, Grand Livre du Mois/Perrin, 1999. grand in-8°, 417 pp., illustrations, index, broche, couv. carton souple ill.
Bel exemplaire. [DV-17]
Paris, France Loisirs/Hachette, 1990. Hardcover petit in-8, 306 pp., cartonnage sous jaquette illustree.- ISBN 2724251199
Bel exemplaire. [NV-10]