Couverture souple P, Editions historiques ,1923 , in4° broché . Reproduction de qualité du manuscrit original . Tiré , sur beau papier , à 500 exemplaires numérotés. Langue: Français
Chantés en sa présence au grand Théâtre de Marseille En feuille Bon Marseille Dubie
Anntoine-Louis-François d'Avaray - Louis-Stanislas-Xavier de France, comte de Provence (Louis XVIII) - Marie-Thérèse-Charlotte, duchesse d'Angoulême
Reference : 27975
(1823)
1823 PARIS, Baudouin, 1823, in-8 - Reliure 1/2 veau - Dos à nerfs - titre doré - Edition originale de cet ouvrage qui fut édité 10 fois cette même année 1823 (M. & W., 21953. Quérard, V, 368) - Lettre-Préface de Louis de France à Anntoine-Louis-François d'Avaray, son libérateur - 2 ff. n.c.-120 pages - PARIS,Audot - 1817 - Edition Originale - 2 gravures en frontispices représentant un plan du quartier du Temple et représentation de la Tour du Temple - Extrait du journal de M. de Malesherbes en fin douvrage - IV+77 pages - REUNION de 2 Ouvrages rares sur la Révolution - Envoi rapide et soigné. - Réf. 27975
I) Témoignage rédigé avant 1793, Barbier (t. 4, p. 201) attribue cet ouvrage, qui est ici lédition originale, à Louis XVIII. Publié en 1823, il connut un grand succès et dix éditions de cet ouvrage ont paru la même année. Louis XVIII, connu sous le nom de Monsieur, roi de France et de Navarre, naquit à Versailles en 1755 et décéda à Paris en 1824. Ce récit décrit le départ pour lexil du comte de Provence, Louis-Stanislas-Xavier de France, futur Louis XVIII (Fierro, 925). Cette relation est très agréable, et permet de dépeindre la France de lépoque. « Louis na de chaleur que pour décrire les bons repas quil a faits, et peindre avec causticité et amertume ceux que les localités ne permirent pas délever au niveau de ses désirs. Ce livre serait un excellent guide pour le voyageur friand qui voudrait parcourir les mêmes contrées ; il y trouverait une indication très exacte des bonnes et des mauvaises hôtelleries, etc. » (Quérard, t. 5, p. 369). Lauteur sadresse en début douvrage, à Antoine-Louis-François dAvaray, quil tient pour son libérateur et comme un ami très cher. « Ce nétait pas , comme on peut bien limaginer, la première fois que je songeais à mon compagnon de voyage, et ma première pensée avait été pour dAvaray dont jétais aussi sûr que de moi-même » (p. 3). En effet, après les journées des 5 et 6 octobre 1789 (la cour quitte Versailles pour Paris), le comte de Provence (futur Louis XVIII), sinstalle au Petit Luxembourg, où il va préparer un plan dévasion. Le 20 juin 1791, le jour du départ de la famille royale des Tuileries, le comte de Provence quitte sa « résidence surveillée ». Déguisé et muni dun passeport anglais, il rejoint les Pays-Bas autrichiens et se réfugie à Bruxelles puis à Coblentz. François dAvaray, le fils aîné du duc dAvaray, suivit dans son exil le comte de Provence et fut son plus fidèle serviteur et lun des favoris. Bel exemplaire de cette relation célèbre du départ du comte de Provence qui retrace bien la mentalité de lEmigration de lépoque : cette impression de ne partir que pour quelques temps. II) En 1817 paraît un livre intitulé Mémoires particuliers formant avec l'ouvrage de M. Hue et le Journal de Cléry l'histoire complète de la captivité de la famille royale à la tour du Temple. Bien que le texte soit anonyme et que l'auteur s'y exprime à la troisième personne, ces Mémoires sont aussitôt attribués à Marie-Thérèse-Charlotte, duchesse d'Angoulême, fille de Louis XVI. Une nouvelle édition est publiée en 1823. Le texte, beaucoup plus correct que celui de 1817 est rédigé cette fois à la première personne. Madame Royale ne l'a d'ailIeurs jamais désavoué.En 1862, une copie exacte du manuscrit original, toujours à la première personne, est éditée sous le titre Relation de la captivité de la famille royale à la tour du Temple. L'auteur y est clairement identifié par les dernières lignes de l'ouvrage : "J'atteste que ce mémoire contient la vérité, Marie-Thérèse-Charlotte, fait à la Tour du Temple." Le récit très émouvant de ce témoin direct des événements commence à l'arrivée de la famille royale au Temple le 13 août 1792, et s'achève par la mort de Louis XVII le 9 juin 1795. - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, Firmin-Didot et Cie, n.d. (ca. 1900). Bound with orig. printed wrappers in contemp. hcalf, raised bands, gilt lettering. Frontispiece portrait. XXIV,167 pp. and plates. Internally clean and fine.
BOULOGNE (Abbé Etienne-Antoine de). - LOIZEROLLES (M. Le Chevalier de). - Anonyme (Duchesse d'Angoulême?) [HUE - CLERY] - BAULT (La Dame). - MONTJOYE (Félix-Louis Christophe VENTRE de LA TOULOURBE, dit GALART de). - BARBIER (Edmé-Louis). - FRAISSINOUS (Abbé).
Reference : 2177
P., Chez Mérigot Le Jeune Libraire, 1781. -- P., Chez Adrien Le Clère, 1817. -- P., Chez: Lebègue - Petit, 1814. -- P., Audot, 21 janvier 1817. -- P., C. Ballard Imprimeur du Roi, 1817. -- P., Le Normant Imprimeur Libraire, Janvier 1815. -- P., Chez: Le Normant - Le Clère - Rey et Gravier, 1818. 8 ouvrages réliés en un vol. de basane fauve racinée, dox lisse richement ornés de divers motifs dorés, p.de t., enc. de dent. dorée autour des plats, tranchefiles, signet, tr. marbrées (reliure de l'époque).
EDITIONS ORIGINALES. Exceptionnelle réunion d'ouvrages à l'esprit royaliste, assez rares séparément. Front. par FORTIE pour "Captivité de Saint-Louis...", et 2 pl. (plan et représentation de la Tour du Temple) pour "Mémoires particuliers...". Reliure quelque peu frottée, mors secs avec fente, petit manque à la coiffe sup., quelques rousseurs, sinon, bon exemplaire. R A R E !
CLERY, Jean-Baptiste (1759-1809) / EDGEWORTH DE FIRMONT, Henri Essex (1745-1807) / ANGOULÊME, Marie-Thérèse Charlotte de France (1778-1851 ; duchesse d')
Reference : 6996
(1824)
1824 Paris: Baudouin frères, 1825. In-8: 13.5 x 20.5 cm, 2 ff., 344 pp. Volume de la "Collection des Mémoires..." édités par Albin de Berville (1788-1868) et François Barrière (1786-1868). Reliure de l'époque en demi cuir de Russie brun. Dos lisse avec titre et motifs dorés. Plats recouverts de papier marbré. Coiffes légèrement frottées, quelques rousseurs. En bon état général.
S.l. [Vers 1829] petit in-8 (12 x 16 cm environ) maroquin rouge à grain long, dos lisse orné de filets dorés et à froid avec fleur de lys dorée en entre-deux, filet et roulette fleurdelysée dorés encadrant les plats, doublures et gardes de papier gaufré bleu [Rel. de l'époque]
62 pp. recto verso, note manuscrite ajoutée postérieurement sur le dernier feuillet blanc.Marie-Thérèse-Charlotte de France (1778-1851), fille aînée de Louis XVI et de Marie-Antoinette, dite Madame, puis Madame Royale, enfermée avec sa famille à la prison du Temple est la seule des enfants royaux a avoir survécu à la Révolution française. Duchesse d'Angoulême après avoir épousé son cousin germain, Louis-Antoine d'Artois, fils aîné du comte d'Artois, futur Charles X, elle était devenue dauphine à l'avènement au trône de ce dernier, le 16 septembre 1824. C'est à ce titre que sous la seconde Restauration elle parcourt la France. Chargée de représenter le roi, elle doit donner de la monarchie une image à la fois prestigieuse et bienveillante, tout en s'informant de l'administration des départements du royaume. Ainsi s'explique la rigueur toute militaire du contenu de ce carnet manuscrit, sans doute rédigé par un secrétaire et destiné à préparer le voyage de la duchesse d'Angoulême en Normandie pour août 1829. Le déplacement était appelé à durer onze journées, minutieusement détaillées.La première journée devant se passer à Rouen, le manuscrit s'ouvre sur une présentation des officiers que la dauphine aura à rencontrer sur sa route (à la lieutenance de gendarmerie de Pontoise). Comme pour les villes suivantes, Rouen fait l'objet d'un aperçu géographique, historique et économique. Sont indiqués par exemple le nombre de filatures, de coton et de laine (13), celui des imprimeries d'indiennes (25) et des teintureries (110), ainsi que la composition de l'état-major général, de l'Intendance militaire, de la Gendarmerie royale, avec les états de service détaillés des personnes concernées.La troisième journée se passe au Havre "où les établissements militaires sont insuffisants pour l'importance de la place, & même pour le service ordinaire", mais où la poudrerie de Maromme, "un peu au delà de l'embranchement de la route de Caudebec, sur celle d'Yvetot, [qui], depuis "plus d'un siècle et demi fournit la poudre nécessaire à la défense et à l'armement des côtes et des ports de la Manche" est un objet d'inquiétude. La quatrième journée, consacrée à Honfleur, annonce une ville "mal bâtie, mal fortifiée" où se trouvent des fabriques de cordages et de biscuits, de "grandes salaisons de poissons et de boeufs".La sixième journée est vouée à Dieppe où "on travaille parfaitement la corne et l'yvoire" et se trouve un "entrepôt de sel et de denrées coloniales". La fin du voyage touche les villes d'Eu, Aumale, Neufchatel et Gisors.Le dernier feuillet blanc est recouvert d'une importante note manuscrite signée par Auguste de Case qui confirme et précise la provenance de ce livret."Ce livre est celui que portait Madame la Dauphine, Duchesse d'Angoulême, dans son voyage à Rouen, en 1829. Il était dans sa bibliothèque à Villeneuve l'Etang, & m'a été donné par M. le Vicomte Alex. de Case, mon frère, acquéreur de cette propriété et du mobilier qu'elle contenant à l'époque de la révolution de juillet, 1830. On y remarque combien cette illustre princesse si grande par sa naissance, ses malheurs & son noble courage, avait à coeur d'être instruite sur les localités qu'elle devait parcourir & sur le personnel de l'armée. Outre l'intérêt local qui s'y attache, la certitude que ce petit livre lui a appartenu & a été pour elle d'un usage journalier pendant qu'elle parcourait nos contrées me rend ce manuscrit plus précieux et plus cher. Villeneuve-l'Étang & Rouen. Le 25 mai, 1832. Aug. de Case".La duchesse d'Angoulême avait racheté le château de Villeneuve L'Étang au maréchal Soult durant la Restauration, en 1821. Elle le vendit au vicomte de Case en 1830. Louis-Napoléon Bonaparte devenu prince Président sous le nom de Napoléon III en fit l'acquisition en 1852, l'agrandissant pour y recevoir (la reine Victoria, la Grande Duchesse de Bade et le roi Charles XV de Suède en seront les hôtes). Situé à Marnes-la-Coquette, il valut à la dauphine en exil le titre de courtoisie de comtesse de Marnes. Après la destruction du château, une partie du domaine sera, pour ses expériences et sa résidence, attribuée à Louis Pasteur qui y mourut en 1895.Pièce unique, parfaitement conservée dans sa jolie reliure de l'époque fleurdelysée
Paris, Plon, 1892 in-8, 167 pp., portr. et grav., demi-maroquin bleu nuit à coins, dos à nerfs orné d'un semé de fleurs de lys, tête dorée, couv. cons. (Pouvet).
Nouvelle édition augmentée de détails biographiques du Mémoire de la duchesse d'Angoulême publié en 1817.Fierro, 30.Bel exemplaire. Ex-libris Harcourt. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Audot, Libraire 1817 in 8 (20,5x13) 1 volume pleine basane fauve de l'époque, dos lisse orné, pièce de titre de cuir brique, guirlande dorée d'encadrement sur les plats, toute petite fente sur le mors supérieur du premier plat, lettres dorées sur le plat supérieur: H.... N.. (Henri Ney?). Mémoires particuliers sur la captivité de la famille royale à la Tour du Temple: 2 planches gravées en frontispice (un plan et une vue de la tour), IV et 77 pages. Marie-The?rese Charlotte duchesse d'Angoulême, 1778-1851. Relié à la suite: Mémoires, lettres et pièces authentiques touchant la vie et la mort de S.A.R. Monseigneur Charles-Ferdinand d'Artois, fils de France, Duc de Berry, III et 302 pages première et deconde parties, pagination continue). Bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
Louvain, Vanlinthout et Vandezande, 1823 in-8, VIII-72 pp., demi-chagrin brun, dos lisse orné de caissons à froid (rel. de la fin du XIXe). Dos un peu frotté, mais bon exemplaire.
Contrefaçon belge de la reprise de la première édition officielle de ces souvenirs de la duchesse d'Angoulême sur la captivité au Temple, parus chez Audot en 1817, et partagés avec Egron.Exemplaire truffé de 11 gravures, la plupart sous serpentes (portraits des membres de la famille royale, scènes de la Révolution).Fierro, 30.Reliés à la suite : I. TRENEUIL (Joseph) : Le Martyre de Louis XVI, et la captivité de Pie VI, poëmes élégiaques. Paris, Firmin Didot, 1815, 88 pp., avec une planche allégorique double ajoutée (Tombeau de Louis XVI, gravé par Mermet d'après Desrais). II. Bref du Pape Pie VI du 19 mars 1792. Rome [Paris], Imprimerie de la Chambre apostolique, 1792, 27 pp. Exemplaire truffé d'un portrait de Pie VI. III. Recueil des actes concernant le voyage de Notre Très-Saint-Père le Pape Pie VI, à Vienne. Rome, Imprimerie de la Chambre apostolique, 1782, 133 pp., avec un frontispice sous serpente. Peu commun : le recueil donne, en latin et en français, les principaux actes publics de ce voyage manqué du Pontife à Vienne, pour fléchir Joseph II dans sa volonté de réformer l'Église de ses États dans un sens fébronien. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Audot, 1823 in-8, 82 pp., dérelié. Rousseurs.
Reprise de la première édition officielle de ces souvenirs de la duchesse d'Angoulême sur la captivité au Temple, parus chez la même maison Audot en 1817, et partagés avec Egron. Les deux planches de l'originale ne sont apparemment pas reprises.Fierro, 30. Cf. Parois 23 & 24. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Au Bureau de la mode nouvelle, 1858 in-8, XXXVI-336 pp., broché. Manque de papier au dos.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1892 ; in-8. Portrait en frontispice-2 ff.-167 pp.-1 f. - 5 planches hors-texte en héliogravure. Demi-chagrin bleu roi, dos lisse, titre orné de petits fers dorés, les deux plats de couvertures conservés, tête dorée. Le premier plat orné des armes de France en couleurs et en relief. Ancien cachet de bibliothèque (annulé) sur le titre. Très bel exemplaire, à grandes marges et sans rousseurs.
Surnommée "Madame Royale" la fille aînée de Louis XVI et Marie-Antoinette, également appelée "Mousseline" par sa mère, est la seule "rescapée" de la famille royale qui avait été emprisonnée dans la Tour du Temple. Libérée en 1795, elle a épousé Louis Antoine d'Artois, duc d'Angoulême et fils de Charles X.
Paris, Plon, 1892 ; in-4 (30 x 20 cm), broché. 2 ff.-167 pp.-1 f. - 6 planches hors-texte en héliogravure. Couverture rempliée très salie. Le premier plat orné des armes de France en couleurs et en relief. Des rousseurs sur les planches.
Exemplaire du tirage de luxe au format in-4, tiré à 125 exemplaires, un des 100 sur Hollande, avec un triple état des gravures : en noir, en rouge et sur chine. Portraits de Madame Royale, de son frère Louis-Charles, de Marie-Antoinette, Madame Elisaberth, et médaille aux profils conjugués de Louis_Charles et de Marie-Thérèse-Charlotte. Surnommée "Madame Royale" la fille aînée de Louis XVI et de Marie-Antoinette, également appelée "Mousseline" par sa mère, est la seule "rescapée" de la famille royale qui avait été emprisonnée dans la Tour du Temple. Libérée en 1795, elle a épousé Louis Antoine d'Artois, duc d'Angoulême et fils de Charles X.
1 volume in-8° relié demi-basane blonde, dos à nerfs, fleurons dorés, VIII, 72 p. Note manuscrite en page de faux-titre. Très bon état.
Phone number : 06.31.29.75.65
P., Audot, 1817. In 8 broché, couverture imprimée, 477 pp. avec deux gravures hors-texte.
Témoignage capital sur la fuite du Roi à Varennes et la captivité de la famille royale.
Paris, Audot, 1823. 1 vol. in-8°, br., couv. impr. vert pâle, un peu tâchées. Bon exemplaire. Etiquette au contreplat de la librairie Pouchon à Nîmes. 82 pp. Rousseurs.[C01]
Seconde édition, plus rare et beaucoup plus correcte que la première, parue en 1817. Cette édition reproduit le manuscrit autographe écrit à la première personne (alors qu'il était écrit à la troisième dans l'édition originale). Ce témoignage de la fille de Louis XVI donne le récit émouvant des derniers instants de la famille royale. Quérard I, 65.
Phone number : 02 47 97 01 40
ANGOULÊME Marie Thérèse Charlotte de France (1778 - 1851) , duchesse d' ( ) - :
Reference : 1222
3. Louvain ( Leuven ) , Chez Vanlinthout et Vandenzande, 1823, in-8°, broché, couverture marbré d'époque, dos renforcé avec une bande de papier brun, petits cachet de biliothèque sur le faux-titre et le titre, exemplaire non coupé, publié par ''La Société Catholique de la Belgique'', édition de la même année que l'originale (Paris, Audot, 1823).
ANGOULÊME Marie Thérèse Charlotte de France (1778 - 1851) , duchesse d' ( ) - :
Reference : 38236
Louvain ( Leuven ) , Chez Vanlinthout et Vandenzande, 1823, in-8°, broché, couverture marbré d'époque, exemplaire non coupé, publié par ''La Société Catholique de la Belgique'', édition de la même année que l'originale (Paris, Audot, 1823). Exemplaire frais.