Suite de lithographies relatives à la mort du fils aîné de Louis-Philippe, Ferdinand-Philippe d’Orléans (Palerme 1810 - Neuilly 1842) causée par un accident de la route. La dernière estampe montre la cathédrale Notre-Dame tapissée de noir, par manque de tissu l’architecte Visconti eut recours à du papier noir pour exécuter cet impressionnant catafalque.- MAURIN. Famille du Prince royal. Paris, Bulle et Delarue fils. 48,5 x 38,5 cm.- ADAM (Victor). Les 13 juillet à 11 heures, son A. R. Mons. le Duc d’Orléans se rendant à Neuilly... [Le Duc d’Orléans blessé transporté par deux grenadiers]. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 28 x 37 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Translation du corps de S. A. R. M. le Duc d’Orléans au Palais de Neuilly. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 40 x 31 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor) d’après VILLMIN. Chapelle ardente au Château de Neuilly. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 X 38 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Translation du corps de S. A. R. M. le Duc d’Orléans de Neuilly à l’église cathédrale de Notre-Dame passage du cortège sur la place de la Concorde. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 x 40 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Mort de son Altesse Mgr. le Duc d’Orléans. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 x 40 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor) d’après Villemin et Monthelier. Catafalque et chapelle ardente de S. A. R. le Duc d’Orléans dans l’église Notre-Dame de Paris. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 31 x 45 cm. oblong (feuille de 53 x 38,5 cm.)- GRENIER et DEROY. Arrivée du cortège funèbre de S. A. R. le Duc d’Orléans à Notre-Dame. Paris, Jeannin, lith. Formentin, lithographie sur fond bistre, feuille de 53 x 38,5 cm., timbre sec. mouillure pâle à la marge.
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013763
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.A.S., 7 janvier 1645, 1p in-4. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de « plusieurs médicamens et autres marchandises » pour les officiers domestiques du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1644 et pour un montant de 4500 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013764
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. P.A.S., 3 janvier 1647, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de médicaments pour les officiers d'écuries du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1646 et pour un montant de 700 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
1889 PARIS, Calmann Lévy - 1889 - In-12, 18,5 x 11,5 cm. - XI+337pp.- portrait par Alfred de Dreux en frontispice, correspondance du Duc d'Orléans avec le Roi, la Reine, la Reine des Belges, Alfred de Musset.PARIS, Calmann Lévy - 1890 - In-12, 18,5 x 11,5 cm. - XIV+514 pages - Le Journal de l'Expédition de Mascara, le Journal de l'Expédition des Portes de Fer et les Lettres diverses concernant l'Afrique du 3 mars 1833 au 29 octobre 1841 -Cachet "De la part des fils des Ducs d'Orléans et de Chartres" -2 grandes cartes dépliantes in fine- papier un peu jauni, sinon bel ensemble - Réf. 48191
Ferdinand-Philippe-Louis-Charles-Henri Orléans, Comte de Paris, Robert Philippe Louis Eugène Ferdinand d'Orlèans, duc de Chartres - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Jacques Duval (?-1650), médecin ordinaire du roi et du duc d'Orléans, conseiller du duc d'Orléans, protestant. Il avait soigné et sauvé son ami le pasteur Jean Daillé (1594-1670) vers 1650. Il était natif de Pontoise ou Issoudun.
Reference : 013799
Jacques Duval (?-1650), médecin ordinaire du roi et du duc d'Orléans, conseiller du duc d'Orléans, protestant. Il avait soigné et sauvé son ami le pasteur Jean Daillé (1594-1670) vers 1650. Il était natif de Pontoise ou Issoudun. P.S., [1647], 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Le recto n'a que la signature « Duval » et une note dans l'angle « Jacques ». Au verso, une note : « Pour servir de quittance. ». Il est possible qu'il ait un lien avec le médecin de Rouen, natif d'Evreux, Jacques Duval (1555-1615), auteur des Hermaphrodits en 1612. [281-2]
Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers.
Reference : 013739
Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers. P.A.S., 18 juin 1696, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance, entièrement autographe, pour le paiement de sa rente. [278-2]
PHILIPE D’ORLÉANS (Louis Philippe Robert, duc d’Orléans) explorateur et chasseur français, prétendant orléaniste au trône de France à la mort de son père, en 1894, sous le nom de Philippe VIII jusqu’en 1926. (1869-1926)
Reference : 97C25
Portrait lithographique portant cette rare dédicace à Auguste Escoffier (1846-1935) qui fut un chef cuisinier-restaurateur et auteur culinaire français, qui dirigea en 1890 les cuisines de l’hôtel Savoy de Londres. Dans un encadrement d’origine. « À Monsieur Escoffier Philippe duc d’Orléans Londres 1893 ». (format de l’image 35 x 22 cm),
1927 Paris Plon 1927 [6] ,grand in8 broché 373 p. portrait en héliogravure en frontispie, illustré de 82 reproductions de photographies en noir grand in-8, Édition originale des souvenirs de chasse et d'exploration de Philippe, duc d'Orléans en Afrique de l'est, en Inde, en Arctique et en Espagne. Le docteur Récamier qui l'accompagna raconte tous ses voyages. Le duc d'Orléans fut un explorateur reconnu et un chasseur célèbre.
bon exempliare en bel état
P., Michel Levy, 1870, un volume grand in 8 relié en demi-maroquin marron à coins, tête dorée (reliure début XXe), 1 PORTRAIT DU DUC D'ORLEANS, 98pp., 458pp., (1), 1 CARTE DEPLIANTE REPRESENTANT L'ALGERIE DE L'EPOQUE
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE GRAND DE MARGE ET NON ROGNE ---- La Macta, Juin 1835 - Mascara, Décembre 1835 - Tlemcen, Janvier 1836 - L'Atlas, Avril 1836 - La Tafna, Avril 1836 - La Sickack, Juillet 1836 - Constantine, Novembre 1836 - Boudouaou, Mai 1837 - Constantine, Octobre 1837 - La paix, 1837/1839 - Les portes-de-fer, Octobre 1839**18410/1841/Q1
A Paris, Librairie Plon, Plon et Nourrit, 14 décembre 1927. In-4. Demi-chagrin époque, dos lisse orné, tête dorée, couvertures et dos conservés, 372 pp.
Avec un portrait et 82 illustrations hors-texte en héliogravure. Le Docteur Récamier, qui a accompagné le Duc d'Orléans dans de nombreux voyages, relate, en particulier les expéditions de chasse de 1904 au Spitzberg sur la "Maroussia", puis celles sur la "Belgica" commandée par De Gerlache en 1905 au Groënland, en 1907 en mer de Kara et en 1909 à la Terre François-Joseph. Bel exemplaire, parfaitement conservé. Photos sur demande.
Calmann Lévy Relié 1889 24*16.5), relié demi chagrin, dos à 5 nerfs, titre et année d'édition dorés, XI+337pp., couverture conservée, portrait par Alfred de Dreux en frontispice, correspondance du Duc d'Orléans avec le Roi, la Reine, la Reine des Belges, Alfred de Musset... ; rares rousseurs, dos insolé avec deux petits défauts, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Imprimerie de la Gazette de France, sans date ( 1890 ), 1 feuillet, imprimé recto-verso, format 620x468mm, supplément du journal " LA GAZETTE DE FRANCE ", pliures sinon bon exemplaire.
1 brochure d'un feuillet imprimé recto-verso, s.l.n.d., [ 1815 ] Aux Habitans des Faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau [ Avec : ] Déclaration de Monseigneur le Duc d'Orléans Premier Prince du Sang de France. "Bons Habitans des Faubourgs, peuple paisible et laborieux ! On vous trompe : des traîtres vous égarent et cherchent à vous rendre les imprudentes victimes de la perfidie. Pour qui vous exhorte-t-on à la révolte et au carnage ? Pour un homme seul, devenu l'effroi comme la haine de la France et du monde entier : pour un barbare qui, dans sa rage de destruction, pense avec délices aux nouveaux torrents de sang qu'il va faire couler encore [ ... ]
Rare pamphlet royaliste et anti-napoléonien publié pendant les Cent Jours. Bon état (légers plis et très petites usures).
Jean Boudin (1660?-1728), médecin, docteur de la faculté de médecine de Paris en 1683, médecin du roi, premier médecin de Monseigneur [le dauphin], médecin de la maison de la duchesse de Bourgogne, a soigné le roi d'Angleterre à Saint Germain, a assisté Vauban à son agonie, accusera le duc d'Orléans d'avoir empoisonné le duc et le duchesse de Bourgogne.
Reference : 013757
Jean Boudin (1660?-1728), médecin, docteur de la faculté de médecine de Paris en 1683, médecin du roi, premier médecin de Monseigneur [le dauphin], médecin de la maison de la duchesse de Bourgogne, a soigné le roi d'Angleterre à Saint Germain, a assisté Vauban à son agonie, accusera le duc d'Orléans d'avoir empoisonné le duc et le duchesse de Bourgogne. P.S., 16 avril 1706, 1p in-8. Quittance pour un paiement sur sa rente, contresignée par un notaire. [279-2]
Jehan-[André] Esprit (ca.1615-ap.1677), docteur de la faculté de Montpellier, médecin de sa majesté, médecin de Richelieu, premier médecin du duc d'Orléans [auparavant duc d'Anjou], qui alla au chevet de Louis XIV en 1658 et d'Henriette d'Angleterre en juin 1670 (prétendant qu'elle allait guérir), époux de Catherine Paniquini, fille de Jean Paniquini, l'apothicaire de Marie de Médicis. Il est le fils du médecin du roi Esprit André (1576-1642) et le frère de Jacques Esprit (1611-1677) membre de l'Académie Française. Le personnage de Bahis, dans L'amour médecin de Molière, aurait été peint d'après Jean Esprit.
Reference : 013801
Jehan-[André] Esprit (ca.1615-ap.1677), docteur de la faculté de Montpellier, médecin de sa majesté, médecin de Richelieu, premier médecin du duc d'Orléans [auparavant duc d'Anjou], qui alla au chevet de Louis XIV en 1658 et d'Henriette d'Angleterre en juin 1670 (prétendant qu'elle allait guérir), époux de Catherine Paniquini, fille de Jean Paniquini, l'apothicaire de Marie de Médicis. Il est le fils du médecin du roi Esprit André (1576-1642) et le frère de Jacques Esprit (1611-1677) membre de l'Académie Française. Le personnage de Bahis, dans L'amour médecin de Molière, aurait été peint d'après Jean Esprit. P.S., 2 juin 1642, 1p in-folio. Sur papier. Donation entre époux signée « Esprit » et « Catherine Paniquini » devant notaires, « Chapellain » et « de Castries ». La famille s'appelait André, et non Esprit. Tous les enfants d'Esprit André ont pris le patronyme Esprit, comme pour « effacer » leur origine juive, le patronyme André étant typique de la communauté juive du diocèse d'Embrun et la famille étant convertie au catholicisme. Le frère ainé de Jean, Jacques, était prêtre oratorien. [281-2]
Michel Vaterre (XVIe), premier médecin de « Monseigneur Fils de France », i.e. le duc d'Alençon, dauphin d'alors, conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin du duc d'Orléans, signataire de l'autopsie de Charles IX. Il fut anobli en 1573.
Reference : 013884
Michel Vaterre (XVIe), premier médecin de « Monseigneur Fils de France », i.e. le duc d'Alençon, dauphin d'alors, conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin du duc d'Orléans, signataire de l'autopsie de Charles IX. Il fut anobli en 1573. P.S., 6 avril 1583, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages pour le quartier d'octobre. [331-2]
Paris, Calmann Lévy, 1889. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol., xi - 337 pp. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de demi-percaline satinée amande, dos lisse orné d'un fleuron central doré, doubles filets dorés, titre doré, tranches mouchetées.
L'exemplaire s'ouvre sur un joli frontispice gravé signé Alfred de Dreux. ''L'amour passionné de la France a inspiré toutes les pensées, toutes les paroles, tous les actes de la trop courte vie du Duc d'Orléans. Ces lettres visent à mettre en lumière les sentiments patriotiques, le caractère chevaleresque, la pénétration politique de celui qui a légué cet amour comme le plus précieux des héritages''. Angles et coupes légèrement élimés. Coiffes légèrement embouties. Déchirure en marge inférieure du faux-titre. Rares et claires rousseurs dans le texte. Du reste, belle condition.
1892 Paris Calmann-Lévy, 1892 Grand in8,pleine percaline de l'éditeur bleue turquoise,,plats et dos ornés, ,dos lisse illustré d'un fantassin en pied,, premier plat historié d'un décor militaire, deuxième plat illustré d'un cavalier sonnant la charge au clairon, toutes tranches dorées, reliure de Paul Souze & Engel r -485 pp, 2 grandes cartes dépliantes ainsi que de 250 gravures d'après Dauzats, Horace Vernet, Ary Scheffer, Eugène Lami, Descamps, Paul Delaroche, Raffet, etc. . Quelques rousseurs
Crapelet Crapelet Gravure sur acier, coloriée et gommée à l'époque. Format 17x27cm. Bon état.
Saint-Chef, Edition pour la Maison de France, 1942, plaquette in 8° brochée, 20 pages ; couverture illustrée.
Portraits hors-texte du Duc d'Orléans et du Comte de Paris. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Imprimerie De Feissat Ainé Et Demonchy Marseille 1832 In-4 ( 295 X 215 mm ) de 43 pages, cartonnage bleu-nuit à la bradel. Agréable exemplaire imprimé sur beau papier auquel nous joignons un portrait gravé du DUC D'ORLEANS.
Paris, Imprimerie Nationale, s.d. in-8, 30 pp., dérelié. Rousseurs.
Le duc d'Orléans réclame une créance de 4,158,850 livres, montant de la dot constituée en 1721 en faveur de Louise-Elisabeth d'Orléans. La brochure revient sur les aspects historiques de ce conflit juridique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
LOUIS PHILIPPE D'ORLEANS, PREMIER PRINCE DU SANG, DUC D'ORLEANS, DE VALOIS, DE CHARTRES, DE NEMOURS ET DE MONTPENSIER, COMTE DE VERMANDOIS ET DE SOISSONS
Reference : 21946
(1779)
PARIS 1779 un document, manuscrit à l'encre brune d'une page sur velin parcheminé, format 47,5 centimètres de large par 32,5 centimètres de haut, signature de Louis Philippe d'Orléans en bas au centre avec grand sceau et contre-sceau de cire rouge quasiment complet du Prince [lEmpreinte du Grand Sceau représente le Prince à cheval armé de pied en cap avec la date 1762 et le Contre-Sceau aux Armes du Prince (fleurs de lys)], FAIT A PARIS AU PALAIS ROYAL , LE 1 JUILLET 1779,
Le Secrétaire des commandements, c'est le Premier secrétaire d'un prince de la Maison Royale..(dont l'emploi est de faire ou d'écrire des lettres, des dépêches pour le prince auquel il est attaché). ........BEL ET TRES RARE DOCUMENT.......en bon état (good condition). en trés bon état
Paris, Imprimerie Chassaignon, s.d. (1842) placard in-folio de 55 x 42 cm, texte sur 4 colonnes, surmonté d'un grand bandeau dessiné et gravé par N. de Lalu,
Placard extrait du Journal des débats. Espoir de la Monarchie de Juillet, Ferdinand-Philippe d'Orléans était mort d'un accident à Neuilly le 13 juillet 1842. Le Roi et la Reine déclinèrent la proposition du cabinet de faire ensevelir leur fils à Saint-Denis, et ils maintinrent la sépulture dans le caveau familial de Dreux. Cependant, la dépouille du prince fut transférée de Neuilly à Notre-Dame, pour y être exposée à partir du 30 juillet. Le 3 août eut lieu un service solennel en présence des grands corps de l'Etat. L'abondance de l'assistance populaire, vraiment exceptionnelle, frappa tous les contemporains : "Ces prodigieux flots de population répandus dans l’espace de deux lieues et couvrant les contre-allées de deux immenses avenues, se dressant sur les trottoirs et sur les ponts d’une longue ligne de quais, s’amoncelant dans les rues, se suspendant aux fenêtres et sur les toits des maisons" (Jules Janin) ; "Jamais la mort d’un homme n’a causé un deuil aussi général. C’est une chose remarquable qu’en France, où la Révolution n’a pas encore discontinué de fermenter, l’amour d’un prince ait pu jeter de si profondes racines et se manifester de façon aussi touchante. Non seulement la bourgeoisie qui plaçait toutes ses espérances dans le jeune prince, mais aussi les classes inférieures regrettent sa perte" (Heinrich Heine).Au CCF, exemplaires seulement à la BnF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. in-8, 4 pp., dérelié.
Défense de l'apanage du duc d'Orléans, dont l'indemnité n'est pas proportionnée au préjudice qu'elle répare, contrairement à ce qu'affirme le Comité des domaines.Martin & Walter, IV, 11051. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT