Paris Mercure de France 1939 Paris, Mercure de France, 1939. 172 [4] pp.. Dos passé et petite tache sur le premier plat. ÉDITION ORIGINALE. Un des exemplaire du service de presse. Il existe un tirage en grand papier Envoi autographe signé à Pierre Drieu la Rochelle : A Pierre Drieu la Rochelle en bien amical souvenir Duhamel Duhamel et Drieu la Rochelle, vétérans de la Grande Guerre, occupent tous deux une place de choix dans le milieu littéraire de l'entre-deux guerres : Drieu, qui a déjà publié son Feu Follet, est en mai 1934 décoré du prix Renaissance de la nouvelle tandis que Duhamel, grâce notamment au succès de la Chronique des Pasquier, est reçu en 1935 à l'Académie Française. Sous l'Occupation, pourtant, leurs positions divergent : alors que Duhamel fait face à la faction pétainiste de l'Académie, Drieu soutient fermement le régime. Jean Cassou (Une vie pour la Liberté), rapporte : Georges Duhamel m'a raconté avoir rencontré ce même Drieu pendant l'Occupation et lui avoir dit : "Drieu... Vous savez, Drieu, ce que vous faites en ce moment ?" L'autre avait eu un geste vague, un peu désolé : "Oui, oui... évidemment... Mais vous comprenez, je suis à présent trop engagé... Je ne peux plus reculer..." Drieu, pour sa part, reconnaît approuver la décision d'interdire à Vichy l'oeuvre de Duhamel : "Ce n'est pas parce qu'on est un grand écrivain qu'on peut prétendre échapper aux suites des opinions politiques qu'on manifeste", explique-t-il à Léautaud (Journal Littéraire, 6 décembre 1940). Ce qualificatif même de "grand écrivain" est à nuancer, puisqu'il confiera, toujours à Léautaud, n'avoir "aucun goût pour la littérature de Duhamel." (19 juin 1941) Couverture souple
Edition originale Signé par l'auteur
Paris Mercure de France 1928 Paris, Mercure de France, 1928. 295 [3] pp.. Dos passé, plats piqués, tachés et frottés. ÉDITION ORIGINALE. Un des exemplaires pour le service de presse. Il existe des tirages en grand papier. Envoi autographe signé à Pierre Drieu la Rochelle : "à Pierre Drieu la Rochelle, sans hésitation Duhamel Octobre 28" Duhamel et Drieu la Rochelle, vétérans de la Grande Guerre, occupent tous deux une place de choix dans le milieu littéraire de l'entre-deux guerres : Drieu, qui a déjà publié son Feu Follet, est en mai 1934 décoré du prix Renaissance de la nouvelle tandis que Duhamel, grâce notamment au succès de la Chronique des Pasquier, est reçu en 1935 à l'Académie Française. Sous l'Occupation, pourtant, leurs positions divergent : alors que Duhamel fait face à la faction pétainiste de l'Académie, Drieu soutient fermement le régime. Jean Cassou (Une vie pour la Liberté), rapporte : Georges Duhamel m'a raconté avoir rencontré ce même Drieu pendant l'Occupation et lui avoir dit : "Drieu... Vous savez, Drieu, ce que vous faites en ce moment ?" L'autre avait eu un geste vague, un peu désolé : "Oui, oui... évidemment... Mais vous comprenez, je suis à présent trop engagé... Je ne peux plus reculer..." Drieu, pour sa part, reconnaît approuver la décision d'interdire à Vichy l'oeuvre de Duhamel : "Ce n'est pas parce qu'on est un grand écrivain qu'on peut prétendre échapper aux suites des opinions politiques qu'on manifeste", explique-t-il à Léautaud (Journal Littéraire, 6 décembre 1940). Ce qualificatif même de "grand écrivain" est à nuancer, puisqu'il confiera, toujours à Léautaud, n'avoir "aucun goût pour la littérature de Duhamel." (19 juin 1941) Couverture souple
Edition originale Signé par l'auteur
Paris Mercure de France 1929 Paris, Mercure de France, 1929. 310 pp.. Dos plié et passé et plats frottés. ÉDITION ORIGINALE. Exemplaire du service presse. Il existe des tirages en grand papier. Envoi autographe signé à Pierre Drieu la Rochelle : "à Pierre Drieu la Rochelle cette histoire d'un homme qui devrait bien lire "Genève ou Moscou" cordialement Duhamel Octobre 29" Duhamel et Drieu la Rochelle, vétérans de la Grande Guerre, occupent tous deux une place de choix dans le milieu littéraire de l'entre-deux guerres : Drieu, qui a déjà publié son Feu Follet, est en mai 1934 décoré du prix Renaissance de la nouvelle tandis que Duhamel, grâce notamment au succès de la Chronique des Pasquier, est reçu en 1935 à l'Académie Française. Sous l'Occupation, pourtant, leurs positions divergent : alors que Duhamel fait face à la faction pétainiste de l'Académie, Drieu soutient fermement le régime. Jean Cassou (Une vie pour la Liberté), rapporte : Georges Duhamel m'a raconté avoir rencontré ce même Drieu pendant l'Occupation et lui avoir dit : "Drieu... Vous savez, Drieu, ce que vous faites en ce moment ?" L'autre avait eu un geste vague, un peu désolé : "Oui, oui... évidemment... Mais vous comprenez, je suis à présent trop engagé... Je ne peux plus reculer..." Drieu, pour sa part, reconnaît approuver la décision d'interdire à Vichy l'oeuvre de Duhamel : "Ce n'est pas parce qu'on est un grand écrivain qu'on peut prétendre échapper aux suites des opinions politiques qu'on manifeste", explique-t-il à Léautaud (Journal Littéraire, 6 décembre 1940). Ce qualificatif même de "grand écrivain" est à nuancer, puisqu'il confiera, toujours à Léautaud, n'avoir "aucun goût pour la littérature de Duhamel." (19 juin 1941) Couverture souple
Edition originale
Paris Mercure de France 1932 Paris, Mercure de France, 1932. 247 pp. [3f.] + catalogue. Dos passé, petites déchirures aux mors. Non coupé. ÉDITION ORIGINALE. Exemplaire du tirage courant après 1858 ex. au même format numérotés sur différents papiers. Envoi autographe signé à Pierre Drieu la Rochelle : "à Drieu La Rochelle message cordial G. Duhamel Octobre 1932 Duhamel et Drieu la Rochelle, vétérans de la Grande Guerre, occupent tous deux une place de choix dans le milieu littéraire de l'entre-deux guerres : Drieu, qui a déjà publié son Feu Follet, est en mai 1934 décoré du prix Renaissance de la nouvelle tandis que Duhamel, grâce notamment au succès de la Chronique des Pasquier, est reçu en 1935 à l'Académie Française. Sous l'Occupation, pourtant, leurs positions divergent : alors que Duhamel fait face à la faction pétainiste de l'Académie, Drieu soutient fermement le régime. Jean Cassou (Une vie pour la Liberté), rapporte : Georges Duhamel m'a raconté avoir rencontré ce même Drieu pendant l'Occupation et lui avoir dit : "Drieu... Vous savez, Drieu, ce que vous faites en ce moment ?" L'autre avait eu un geste vague, un peu désolé : "Oui, oui... évidemment... Mais vous comprenez, je suis à présent trop engagé... Je ne peux plus reculer..." Drieu, pour sa part, reconnaît approuver la décision d'interdire à Vichy l'oeuvre de Duhamel : "Ce n'est pas parce qu'on est un grand écrivain qu'on peut prétendre échapper aux suites des opinions politiques qu'on manifeste", explique-t-il à Léautaud (Journal Littéraire, 6 décembre 1940). Ce qualificatif même de "grand écrivain" est à nuancer, puisqu'il confiera, toujours à Léautaud, n'avoir "aucun goût pour la littérature de Duhamel." (19 juin 1941) Couverture souple
Edition originale Signé par l'auteur
[REVUE] Georges Duhamel, Pierre Neyrac, Albert Thibaudet, Pierre Drieu La Rochelle, Alain, Julien Benda, Marcel Arland, André Rolland de Renéville, Valery Larbaud, Denise de Rougemont, Marcel Caster, Jean grenier, pierre Lièvre, Raymond Schwab, Roger Breuil, Denis Marion, Charles-Albert Cingria, Raymodn Schwab...
Reference : 16774
La nouvelle revue française, n°241, 22e année, 1er octobre 1933. Un volume in-8°, broché.
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