Librairie de la revue française, "Collection le Paon blanc", sans date. In-8 broché (20,3 x 15,7 cm), couverture rempliée et imprimée, 336 pages, illustré de huit lithographies hors-texte de Paulette Humbert. Tirage limité à 1100 exemplaires numérotés, celui-ci le n° 535 sur vélin d'Arches.- 610g.- Couverture un peu jaunie, intérieur bien frais. Bon exemplaire.
Paris, Bibliothèque Nationale, 1978. In-8 broché (24 x 17,8 cm), XVI-233 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc. Catalogue de 716 notices + documents.- 660g.- Très bon état.
Albin Michel ("Collection d'auteurs contemporains"), 1939. In-8 broché 20,5 x 14,3 cm), 349 pages, rousseurs sur les tranches, intérieur frais.- 700g.- Bon exemplaire.
Paris à la Revue française, Alexis Redier éditeur, collection "Le paon blanc"1930. In-8 broché, 322 pages, illustré de 8 eaux-fortes de JACQUES SIMON, sous serpentes. Tirage limité à 1090 exemplaires, celui-ci le n° 330 sur Vélin.-600g.C. - Excellent état, exemplaire frais.
Monte-Carlo, Editions du Livre, 1947 ; petit in-8, broché. 321 pp. Lithographies hors-texte en couleurs et dessins in-texte en noir par Mathurin Méheut. Chemise et étui d'éditeur. Parfait état.
P., Marcelle Lesage, 1928 ; petit in-8, broché. 86pp.-3ff. Aquarelle couleur en frontispice et dessins in-texte en noir par ZIMMERMANN. Bon état, en partie non coupé.
Edition tirée à 2000 exemplaires, un des 1950 sur Ingres blanc.
Paris, Albin Michel, 1922. In-12 broché, 154pp, un des 50 ex. de tête sur Japon (N°20).
Bords des plats et dos un peu passés, bonne condition par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Laboratoires Martinet, 1930. In-12 broché, 110 pp. E.O. non justifiée.
Dos passé, poussière sur la couv. mais bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Albin Michel, 1944. In-12 broché, 283 pp. E.O., ex. sur alfa mousse Navarre, non justifié.
Non coupé, très bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Brux., Club International du Livre, [vers 1950]. In-8 reliure éditeur simili-lézard gris, titre et filet dorés au dos, 313 pp., 5 ill. en coul., ex. numéroté.
Très bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Cité des livres, 1929 In-12, br., couv. bleutée rempl., 62 pp., un des ex. num. sur papier vergé d'Arches.
Édition originale. Très bon ex. -
Paris, Albin Michel, 1928 In-12, br., 301 pp., un des 800 ex. num. sur papier vergé pur fil Vincent Montgolfier.
Édition originale. Très bon ex. -
Paris, Albin Michel, 1921 In-12, br., 381 pp., non coupé.
Édition originale sur papier courant. Très bon ex. -
Albin Michel, Paris 1947, 13,5x19cm, relié.
| «C'est la guerre ! avons-nous assez crié, cette nuit-là, le mot terrible. Cela nous a porté malheur... Nous étions en 1913: l'année suivante, il fallait remettre sac au dos. Cette fois, pour de bon. Et tous les invités ne sont pas revenus.» | Edition originale, un des 6 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête, celui-ci le numéro 1. Reliure en demi maroquin bleu marine à coins, dos très légèrement éclairci à cinq nerfs, date dorée en queue, plats, gardes de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée sur témoins, infimes frottements sur les coupes. couvertures et dos conservés, reliure signée Lavaux. Exemplaire à toutes marges agréablement établi. Ex-libris encollés sur une garde. Exemplaire personnel de l'auteur, abondamment truffé, de cette magnifique chronique montmartroise. On y a monté sur ongletun portrait original de Roland Dorgelès à l'encre noire par Gus Bofahumoristiquement légendé : "Monsieur Roland Dorgelès dans son uniforme de rédacteur à la petite semaine" ainsi quedeux photographies originales, représentant le célèbremontmartrois Francisque Poulbot dans son théâtre de Guignols (Agence Rol, 1910) et une très rarephotographie de la mémorable «Fête des Dernières Cartouches» organisée par Poulbot le 23 mai 1913.Nous n'avons trouvé qu'une seule autre photographie de cette soirée. On y voit la joyeuse bande des participants,chez Poulbot rue de l'Orient, déguisés en soldats de la guerre de 1870. Cette fête qui eut un retentissement considérable, est immortalisée par Dorgelès dans ce livre: «Un jour pourtant -ou plutôt une nuit -le charivari dépassa toute mesure : lorsque Poulbot donna sa fameuse fête des Dernières Cartouches. L'idée lui était venue à la suite d'un différend avec son propriétaire de la rue de l'Orient. Celui-ci refusait de lui renouveler son bail. Or, emménagé depuis trois ans à peine, le dessinateur avait fait construire à ses frais un atelier dans le jardin. -Il ne croit pas que je vais lui en faire cadeau ? s'indignait-il. Il peut crever la gueule ouverte ! Je me barricade dedans et j'attends qu'on m'expulse. A la minute, nous jurâmes tous de nous joindre à lui pour tenir tête à la police, comme cela s'était passé au Fort Chabrol. Mais déjà notre grand diable améliorait le projet : - mieux que cela! Nous nous costumerons en soldats de 70 et nous nous défendrons comme la Maison des Dernières Cartouches!» p. 333 Cette maison était une auberge de Bazeilles où s'étaient retranchés des soldats français pendant la défaite de Sedan. Leur sacrifice héroïque avait inspiré une très célèbre peinture d'histoire d'Alfred de Neuville. « - En tirant par las fenêtres! -En faisant tout sauter! Le plan des opérations fut dressé sur-le-champ. On lança des ordres de route timbrés de l'aigle impérial et les mobilisés se composèrent vite un équipement. Sans louer chez le costumier : c'eût été trop facile. On exhuma des reliques, on pilla les fripiers, on rafla sur le Marché aux puces tout ce qu'on put trouver de culottes rouges: en moins de quinze jours, le bataillon était sur pied. étaient d'époque rien que des chassepots, comme à Gravelotte. Les armes même étaient d'époque. Et cette fois encore il ne manquerait pas un bouton de guêtre [...] Comme la soirée commençait, des coups de crosse ébranlèrentles portes. La police? Non : du renfort. Les mobiles de Montparnasse arrivaient, trempés de pluie, ayant traversé tout Paris par quatre, baïonnette au canon, salués au passage par les agents ahuris. On but, on chanta, onhurla. Puis nous partîmes en patrouille, gonflés à bloc et les braves gensqui revenaient du cinéma virent surgir aux coins de rue des soldats menaçants qui les mettaient en joue : - Halte là! Qui vive! Quelques-uns comprenaient mais d'autres bégayaient de peur : -Qu'est-ce qui se passe ? -Comment ? Vous ne savez pas ? La guerre est déclarée... Il y a pourtant des sujets avec lesquels on ne devrait pas blaguer... Quand nous fûmes las de ces exploits guerriers, nous nous engouffrâmes au Lapin Agile, où l'on se remit à chanter Le Père la Victoire,tous en chur. Ce n'était pas d'époque, mais tant pis. Puis, à la fin de la nuit, comme le ciel pâlissait, nous nous massâmes rue Lepic, les officiers tirèrent leurs sabres, le clairon sonna la charge et sous primes d'assaut le Moulin de la Galette, en jetant des pétards. Une fois maîtres de la position, nous lâchâmes des pigeons voyageurs, comme pendant le Siège - un vol funèbredans le ciel pluvieux - puis une montgolfière, à défaut de ballon. Tout cela avec accompagnement de tam-tam et de clairon.Les voisins furieux, vociferaient aux fenêtres: vingt fusils se braquèrent. - Cachez-vous ! C'est la guerre ! L'avons-nous assez crié, cette nuit-là, le mot terrible. Cela nous a porté malheur... Nous étions en 1913: l'année suivante, il fallait remettre sac au dos. Cette fois, pour de bon. Et tous les invités ne sont pas revenus.» p. 334-335 suivi du dessin original et une épreuve de la vignette de couverture par Zyg Brunner encollés sur un feuillet.On joint : une photographie du peintre et illustrateur Raoul Dufy, avec la mention "Dufy à remettre p. 149 de Bouquet de B" au crayon au verso, deux lettres manuscrites de félicitations reçues par Dorgelès, ainsi qu'une belle "Ballade pour Roland Dorgelès" écrite par un membre du Dernier Carré, groupe des défenseurs du Vieux Montmartre dont l'auteur faisait partie. Exceptionnel exemplaire enrichi de l'une des seules photographies d'une mythique fête montmartroise - sonnant le glas d'une fabuleuse et exubérante ère artistique et populaire, à l'aube de la première Guerre Mondiale. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Salies-du-Salat (Haute-Garonne) s.d. [1944], 21x27cm, une page recto verso.
Amusante lettre autographe signée de Roland Dorgelès adressée à un confrère écrivain concernant le film de René Le Hénaff intitulé Coup de tête, sorti en 1944, et pour lequel le père des Croix de Bois est scénariste et dialoguiste, (41 lignes à l'encre bleue) rédigée depuis sa retraite haute-garonnaise de Salies-du-Salat. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Roland Dorgelès se montre peu indulgent pour les acteurs et actrices de cinéma : "J'ai vu votre photo dans un illustré : vous faisiez un cours de littérature aux futures vedettes de cinéma. Elles en ont foutrement besoin ! " Mécontent du montage final du film Coup de tête auquel il a beaucoup donné de sa personne en l'adaptant, puis en étant scénariste et dialoguiste, l'ancien Poilu Roland Dorgelès dénonce l'attitude de René Le Hénaff qui n'a même pas pris la précaution de le consulter pour apporter quelques derniers changements à leur collaboration :"J'étais content de mon scénario. Mais en mon absence le metteur en scène (un certain Le Hénaff, que Sacha Guitry a surnommé Le Gniaf), a tripatouillé mon texte ajoutant un dialogue et des gags de son goût, si bien que je me demande ce que vaut le film ainsi remanié." Il se désolidarise à l'avance du résultat obtenu : "J'ai d'ailleurs demandé que l'oeuvre fut présentée comme tirée d'un roman de moi et non comme scénario portant ma signature." et demande comme un service à son interlocuteur d'aller visionner ce film : "Vous avez compris ce que j'attends de votre amitié ? Allez vite voir Coup de tête pour me dire franchement ce que ça vaut." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, A la Cité des Livres, 27, rue Saint-Sulpice, 1929, 1 volume in-8 de 205x155 mm environ, 62 pages, demi- reliure à coins signée R. Aussourd, maroquin cerise, dos lisse portant titres et date dorés, couvertures et dos conservés, ex-libris sur le premier contreplat, feuillets non rognés. Exemplaire N° 53, un des 50 exemplaires sur grand papier de Hollande, numérotés de 26 à 75, d'un tirage à 1100 exemplaires. Bon état.
Roland Lecavelé, dit Roland Dorgelès, né le 15 juin 1885 à Amiens et mort le 18 mars 1973 à Paris, est un journaliste et écrivain français, membre de l'Académie Goncourt de 1929 à 1973. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris s.d. (1930), 21,5x27,5cm, une double page.
Belle lettre autographe signée de Roland Dorgelès adressée à un écrivain également amoureux de Montmartre dans laquelle il se remémore, avec nostalgie, la Butte d'antan et ses fantômes célèbres, (40 lignes à l'encre bleue) depuis son domicile parisien de la rue Jean Goujon. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "Mon cher confrère Bien cordialement, je vous remercie. Votre article de la Liberté m'a fait le plus grand plaisir. Vous aimez mon roman : pour un auteur c'est toujours agréable ; mais vous aimez aussi la Butte, et cela nous rapproche. Nos chemins ne se sont-ils jamais croisés, entre la place du Tertre et le Lapin Agile ? Savez-vous qu'un soir (oh ! il y a longtemps) j'ai rencontré boulevard de Clichy Léon Bloy (que j'admirais ! ) vêtu d'un gros complet de velours et la canne, son gourdin plutôt à la main. Et, un après-midi, j'avais 18 ans, j'ai écouté les souvenirs de Bruant attablé avec moi rue des Saules - les deux visages sont accrochés dans ma mémoire comme les photos encadrées dans un salon petit-bourgeois. Dire qu"on va combler en partiecette délicieuse rue de l'Abreuvoir. Pourquoi seigneur ? Et si l'on calculait ce qu'on a dépensé de millions pour enlaidir la Butte. Je vous tends cordialement les mains. Roland Dorgelès Montmartrois." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. ( 1939), 13,5x18cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Roland Dorgelès adressée au caporal Jean Richard, alias Carlo Rim, rédigée à l'encre bleue (23 lignes) dans laquelle il évoque le célèbre personnage de bande dessinée crée par Carlo Rim: "... Que ce M. Virgule (tel qu'en lui-même enfin...) est donc séduisant..." mais aussi sa prochaine affectation liée la guerre qui débute et qui ne permettra pas de le voir bientôt: "je rentre en Armée de l'Est (correspondant de guerre en principe) et vais repartir dans quelques jours. Dommage que votre petit hôpital ne soit pas dans le secteur..." Enfin, Roland Dorgelès, plaint son ami éloigné de sa famille et de ses plaisantes occupations civiles: "... comme vous avez été maheureux, sans Alice et sans Babou, sans le soleil de Sanary, les boules de Saint-Cloud, tout ce que nous aimions et qui manque plus encore dès qu'on l'a perdu.." Trace de pliure centrale, deux dates inscrites au verso de la lettre : "4. oct.39." et 12 février 40, certainement la date à laquelle fut écrite la lettre et celle à laquelle Carlo Rim la reçut. Belle lettre autographe d'un ancien poilu de 14-18 à un mobilisé de 39-45 - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 8 février 1943, 21x27cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Roland Dorgelès adressée à Carlo Rim, rédigée à l'encre bleue (50 lignes à l'encre bleue) prenant conseil auprès de ce dernier pour le casting de son adaptation cinématographique de "Tartarin dans les Alpes" : "Cher Carlo, vous êtes retiré, m'a-t-on dit dans les Alpes. Moi dans les Pyrénées. D'une montagne à l'autre je vous dit bonjour. J'ai besoin d'un conseil que vous seul pouvez me donner. Il s'agit de Tartarin dans les Alpes, dont j'ai fait l'adaptation (nous aurions été encore marseillais que je vous aurai demander de collaborer...) L'interprète idéal eu été Raimu. Je le lui avais demandé fin 42. Il parait que c'est impossible. Alors qui verriez-vous dans le rôle ? (phrase entièrement soulignée) Qui exigeriez-vous si vous aviez fait le film? Pourriez-vous, en même temps, me donner une liste des meilleurs artistes méridionaux ? (J'ai déjà indiqué Delmont pour Castelcade, Charpin pour Bezuquet, peut-être Maupi pour Bravida, en raison de sa taille). Je vous demande cela tout simplement comme je l'aurais fait devant un pastis, sur le port de Cassis - ce pauvre Cassis - Mon meilleur souvenir à Alice - Si la guerre dure encore longtemps, je retrouverai Babou agrégé de lettres, champion de crawl ou vedette de cinéma... Des deux mains Roland Dorgelès". Trace de pliure centrale, une année inscrite (43) au crayon de papier par Carlo Rim. - Photos sur www.Edition-originale.com -
O.V.P. éditions. 1973. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. 31 pages. Accrocs au dos. Coins frottés. Rares rousseurs. Deux colonnes de texte. Nombreuses illustrations en noir et blanc, in et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire; Les jeux et les ris par Paul Vincent- Les noces de Joséphin par Paul Vincent-Ma petite muse par André Grimeuse- Mystifications par Roland Dorgelès-Mary-Ann par Maurice Dekobra-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
1923 Paris, Mornay, 1923. Petit in-8 (152 X 206 mm) broché, couverture illustrée d'un bois ; 22 pages et 40 planches hors-texte.
ÉDITION ORIGINALE du texte de Roland Dorgelès et PREMIER TIRAGE des illustrations de Gus BOFA : couverture ornée d'un bois en vert et noir et de 42 DESSINS hors-texte dont 40 coloriés au pochoir. Édition limitée à 1 317 exemplaires, celui-ci UN des 1 100 numérotés sur Vergé blanc (n°174). «Les "Synthèses littéraires" sont un des plus rudes pamphlets que les écrivains de ce temps aient eu à subir. Dans ces compositions se trouvent caractérisés, tantôt un livre essentiel, tantôt l'oeuvre entier d'un écrivain. Bofa ne s'y montre point tendre, et il faut admirer la crânerie du préfacier qui n'a craint de présenter un ouvrage où on le voit accablé sous le poids d'une écrasante "Croix de bois". » (Georges Charensol, "Le Portique N°6", page 27). BEL EXEMPLAIRE broché, non rogné, en PARFAIT ÉTAT. (SAN MILLAN, 13). NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Paris, Editions Mornay / Coll. ''Les Beaux livres'', (1933). Un fort vol. au format pt in-8 (208 x 153 mm) de 364 pp., broché, sous couvertures à rabats rempliés.
Un des 85 exemplaires numérotés du tirage hors-commerce, celui-ci numéroté ''XXX'' et imprimé nominativement (patronyme biffé au colophon) comptant parmi les 35 sur vélin blanc (après les 8 Japon et 6 Hollande). Il s'agrémente - ici en premier tirage - de nombreuses compositions in et hors-texte de Georges Pavis. Lequel a ''exposé aux Salon des Artistes français et des Indépendants. Il collabora à de nombreux périodiques illustrés. Il a orné de ses compositions des ouvrages de Victor Hugo ou de Roland Dorgelès''. (in Bénézit). ''Les Croix de bois, chef-d’œuvre de Roland Dorgelès, engagé volontaire, est un témoignage exceptionnel sur la Grande Guerre. Avec un réalisme parfois terrible mais toujours d'une généreuse humanité, la vie des tranchées nous est décrite dans toute son horreur et aussi bouffonnerie, son quotidien et ses moments.'' Carteret V, Le Trésor du bibliophile / Illustrés modernes, p. 66 (ne mentionnant qu'une édition de 1935 chez Albin Michel) - Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 646 (citant la présente contribution de l'artiste) - Bénézit VIII, Dictionnaire des peintres, p. 173. Petit défaut en coiffe supérieure. Dos présentant quelques rousseurs. Marge gauche du premier plat brunie. Du reste, très belle condition.
1922 PARIS, A. Michel 1922 - In-8 ° Broché - 379 pages - tirage limité, l'un des 200 ex. sur papier Japon, ex. n° 83 - dos fragilisé - Envoi rapide et soigné .Envoi manuscrit de l'auteur: ""A René MILLAUD, ce saint qui au débarquement, reçut moins de fleurs que de cailloux. Bien amicalement" Roland DORGELES, catholique.
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