BOURASSE & JANVIER - DORE (Gustave, ill. de) - GIACOMELLI (Hector, ornements de).
Reference : 29269
(1866)
Tours, Alfred Mame et Fils, 1866. 2 vol. au format in-folio (423 x 308 mm) de 1 f. bl., 3 ff. n.fol., 1 frontispice n.fol., 1 planche n.fol., 909 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 1 f. n.fol., 1 frontispice n.fol., 948 pp., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. Reliures uniformes de l'époque de plein maroquin vieux-rouge, large décor d'encadrement au filet doré comportant des motifs dans le style égyptien et doubles serpents aux ailes largement déployées, dos à nerfs ornés de gras en noir, quadruples caissons d'encadrement dorés, filets dorés formant des figures géométriques, titre doré, tomaison dorée, tranches dorées, filet sinusoïdal et semis de pointillés dorés sur les coupes, dentelle intérieure dorée.
Edition en partie originale ; complète des deux volumes la constituant. Ouvrages revêtus de superbes reliures de plein maroquin de ''style égyptien''. Les deux exemplaires ayant appartenu à Gustave Doré étaient également reliés de la sorte. L'ensemble recèle 230 planches gravées sur bois hors-texte par Gustave Doré. Si 13 de ces grandes compositions ont été supprimées dans ce second tirage, cette édition contient, comparativement à la première parue la même année, ''15 sujets nouveaux, 22 refaits et 11 retouchés''. ''Ouvrage capital et remarquable par son illustration : Doré était dans toute la maîtrise de son art". (in Carteret). ''L’iconographie est complétée par de magnifiques ornements gravés d’après les compositions du peintre Hector Giacomelli, formés d’entrecolonnes, de culs-de-lampe et de fleurons d’une grande finesse et d’une grande netteté, tranchant avec les dessins puissants et contrastés de Doré''. ''Cet ouvrage reste une véritable référence dans les éditions de la Bible.'' « L’Ancien Testament convenait parfaitement à l’imaginaire de Doré ; paysages exotiques, éléments déchaînés, architectures somptueuses, tout un décor où il a mis en scène les personnages bibliques de façon magistrale… De tous ses ouvrages, la Bible fut le plus universellement répandu. Les illustrations de l’Ancien Testament furent même agrandies et présentées en diaporama. » (Catalogue de l’exposition Gustave Doré, Strasbourg, 1983, p. 253). C'est l'une des grandes entreprises de l'artiste, qui convenait parfaitement à son imaginaire. Zola, dans Mes Haines a consacré quelques paragraphes à l'oeuvre : ''Je me demande quelle a été la grande vision intérieure de l'artiste, lorsque, ayant arrête qu'il entreprendrait le rude labeur, il a férmé les yeux pour voir se dérouler le poème en spectacles imaginaires... Il est abîmé dans cette immense vision, il a eu une suprême joie en sentant qu'il quittait la terre...et que son imagination allait pouvoir vagabonder à l'aise dans les cauchemars et les apothéoses." Carteret III, Le Trésor du bibliophile, p. 89 - Dézé, Gustave Doré, p. 68 - Leblanc, Gustave Doré, p. 47 - Catalogue Reeds & Forgeot, n°37 - Béraldi VI, 44. Angles et coiffes élimés. Quelques frottements épars affectant les reliures. Petite marque brune en queue du dos d'un des volumes. Premier cahier du premier volume légèrement déréglé et, de fait, très légèrement effrangé. Quelques rousseurs dans le texte.
Premier tirage de cette suite de 24 lithographies réalisées d’après les dessins de Gustave Doré. Paris, Au Bureau du Journal pour Rire, s.d. [1854].Grand in-4 oblong de (1) f. de titre et 24 lithographies numérotées. Relié en demi-percaline ocre, dos lisse, pièce de titre en maroquin vert. Reliure du XIXe siècle.258 x 330 mm.
Premier tirage de cette suite de 24 lithographies réalisées d’après les dessins de Gustave Doré.Rahir, Bibliothèque, p. 404 ; Exposition rétrospective Gustave Doré, p. 9.L’ensemble des planches, gravées par Vayron, comporte une légende pleine d’humour et d’ironie rapportant les personnages représentés à des animaux. On y trouve: les Lions, les Petits Lions, Lions adultes (alias Lions sots), les Lionnes, les Rats (d’opéra), les Rats (d’égout), les Rats peintres (alias les rapins), etc. Ces personnages caricaturés composent la Ménagerie parisienne selon Gustave Doré.« Le potache journaliste ouvrait tout grands ses jeunes yeux provinciaux sur le Paris d’alors : bientôt libéré du collège, il musarde dans les rues du Quartier Latin (jadis si gai et bon enfant !), s’attarde boulevard des Italiens, s’installe chez Tortoni et au café Anglais, fréquente l’Opéra aussi bien que les bals publics. Il en rapporte de charmants et verveux albums : ‘les Différents Publics de Paris’ et ‘la Ménagerie parisienne’, auxquels nous consacrons plusieurs vitrines révélatrices des mœurs aimables et parfois cocasses qui précédèrent le Second Empire. Tour à tour amusé et impitoyable, Doré nous montre le bourgeois solennel à la vaste redingote et aux lourdes breloques d’or, la mère de famille empesée sous ses falbalas, la jeune fille aux yeux demi-baissés, le gandin ridicule et faraud, la lorette avenante, les beaux équipages, les figures stupides ou gourmées des loges, les vanités épanouies dans les salons, les drôleries d’une partie de campagne à Robinson. Quelle verve comique, quelle bonne humeur dans la satire, et comme il devait rire au milieu de ses modèles ! Son ‘public’ riait aussi, et sans se fâcher, puisque les éditeurs se disputaient la collaboration du jeune mémorialiste.Dans ces albums, on sent encore l’influence de Cham, de Grandville, de Gavarni, et comment en serait-il autrement ? » (Londres – 174 illustrations de Gustave Doré).« Gustave Doré (1832-1883) est sans doute l'un des plus prodigieux artistes du XIXe siècle. À quinze ans à peine, il entame une carrière de caricaturiste puis d'illustrateur professionnel - qui lui vaudra une célébrité internationale - avant d'embrasser tous les domaines de la création : dessin, peinture, aquarelle, gravure, sculpture.L'immense talent de Doré s'investit aussi dans les différents genres, de la satire à l'histoire, livrant tour à tour des tableaux gigantesques et des toiles plus intimes, des aquarelles flamboyantes, des lavis virtuoses, des plumes incisives, des gravures, des illustrations fantasques, ou encore des sculptures baroques, cocasses, monumentales, énigmatiques... »Musée d’Orsay, Exposition « Gustave Doré, L’Imaginaire au pouvoir. »Plaisant exemplaire dénué de rousseurs.De la bibliothèque Maurice Gras avec ex libris sur le contreplat.
CERVANTES SAAVEDRA (Miguel de) - DORE (Gustave, ill. de) - VIARDOT (Louis, trad. de).
Reference : 23243
(1869)
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, 1869. 2 forts vol. au format gd in-4 (383 x 285 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., xxiv - 586 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 636 pp. et 2 ff. bl. Reliures uniformes de l'époque de demi-chagrin maroquiné marine, dos lisses ornés de filets gras à froid, roulettes dorées, titre doré, tomaison dorée, tranches mouchetées.
Ensemble complet des deux volumes le constituant. ''Très belle publication avec d'admirables compositions gravées sur bois par Pisan d'après Gustave Doré'' (in Carteret). 120 grandes compositions à pleine-page ainsi que 277 fleurons et culs-de- lampe figuratifs ornent cette magistrale publication. ''C'est à Héliodore Pisan, [ici graveur] que revient la totalité du Don Quichotte. Il est au nombre des plus artistes sans doute parce qu'il fut peintre lui-même. Il a ainsi su rendre avec aisance et maîtrise toutes les indications de tons, de valeurs, de textures.'' (Marie-Françoise Poiret). ''De son voyage en Espagne en compagnie du baron Davilliers en 1862, Gustave Doré ramena une suite de dessins remarquables qu'il a insérés dans ce Don Quichotte. La publication devait être, à l'origine, beaucoup plus modeste mais l'illustrateur, envoûté par le personnage convainc Hachette de produire un ouvrage beaucoup plus ambitieux, d'où ces deux beaux volumes in-folio qui, en dépit d'un prix de vente élevé, connurent un succès considérable''. Il est frappant de constater combien Doré a imposé ici son imaginaire à la postérité : le chevalier à la Triste-Figure et son fidèle serviteur ont conservé, depuis lors, les traits que Doré leur a prêté en 1863.(in Sims Reed & Forgeot, Gustave Doré, n°36). ''Ray retenant dans sa liste des cent plus beaux livres illustrés français la présente publication''. ''Don Quichotte est la première des œuvres modernes puisqu’on y voit la raison cruelle des identités et des différences se jouer à l’infini des signes et des similitudes; puisque le langage y rompt sa vieille parenté avec les choses, pour entrer dans cette souveraineté solitaire d’où il ne réapparaîtra, en son être abrupt, que devenu littérature; puisque la ressemblance entre là dans un âge qui est pour elle celui de la déraison et de l’imagination. La similitude et les signes une fois dénoués, deux expériences peuvent se constituer et deux personnages apparaître face à face. Le fou, entendu non pas comme malade, mais comme déviance constituée et entretenue, comme fonction culturelle indispensable, est devenu, dans l’expérience occidentale, l’homme des ressemblances sauvages. […] À l’autre extrémité de l’espace culturel, mais tout proche par sa symétrie, le poète est celui qui, au-dessous des différences nommées et quotidiennement prévues, retrouve les parentés enfouies des choses, leurs similitudes dispersées.(Michel Foucault - Les Mots et les choses, p. 62).'' Vicaire II, Manuel de l'amateur de livres du XIXème siècle, 160 - Brivois, Bibliographie des ouvrages illustrés du XIXème, p. 92 - Carterert III, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, p. 140 - Sims Reed & Forgeot, Gustave Doré, n°36. Angles et coupes élimés. Frottements épars affectant les plats. Dos passés présentant en outre des frottements (principalement concentrés en coiffes). Rousseurs éparses dans les corps d'ouvrages ; dont quelques feuillets sont toutefois davantage pourvus. Un cahier oxydé. Du reste, bonne condition.
Se trouve à Paris, ez bureaux de la Société générale de librairie [on esté imprimez par Bénard et Ce.], 1855, in-8, XXXI-[1]-614-[1] pages, bois gravés dans le texte et à pleine page, Percaline noire de l'éditeur, titre et composition dorés sur le dos, "Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui est amateur de livres a une dévotion spéciale aux Contes drolatiques, et les estime au point de s'exclamer que, de tous les ouvrages de Doré, S'il n'en reste qu'un seul, ce sera celui-là (Béraldi)?" Cinquième édition, posthume, et première édition illustrée des Contes drolatique, "chef-d'oeuvre où chaque vignette est une trouvaille" (Béradi). Rare en reliure d'éditeur. Leblanc, bibliographe de Gustave Doré, relève que les tirages de cette cinquième édition ont été très variés ; il constate en effet que, sur 8 exemplaires collationnés, aucun n'est exactement semblable à l'autre. Voici les particularités qui caractérisent le nôtre : - Le titre annonce 425 dessins ; - On lit "sujets" en page VIII ; - La page XXI est chiffrée XX ; - La légende de la page 326 est "Le joyeulx curé de Meudon" ; - Le nom et l'adresse de Fain n'apparaissent pas à la page 425, ni la signature 36. ; - Le titre du conte Naifveté apparait bien à la table des matières de la page 426. Au demeurant, les bibliographes ne s'accordent pas tout à fait pour définir quel serait le tout premier tirage. Leblanc penche pour ceux qui, entre autres particularités, annoncent 424 dessins au titre. Gustave Doré (1832-1883) a dessiné les très beaux bois de ces Contes drolatiques à l'âge de 21 ans, de manière concomitante à ceux de l'édition des Oeuvres de Rabelais. L'idée d'illustrer ces textes lui avait été suggérée par le Bibliophile Jacob, Paul Lacroix, qui avait été chargé par la veuve de Balzac de la révision philologique du texte. Les illustrations se placent dans une veine caricaturale et "drolatique" ; elles révèlent l'immense talent de Gustave Doré, son attrait pour le paysage et son aisance dans le portrait de personnages grotesques comme dans les scènes burlesques. "Cette illustration est à nulle autre semblable par sa puissante originalité : elle est gauloise, rabelaisienne, et pétillante d'esprit. Doré a certainement, dans les Contes drolatiques, répandu le meilleur de son talent. Ils n'eurent cependant aucun succès et toute l'édition fut mise au rabais. Aujourd'hui, c'est l'un des ouvrages de Doré les plus recherchés" (Leblanc). Ex-libris manuscrit au faux-titre : "Hadriani Seguilii". Fine mouillure en tête des premiers feuillets, percaline un peu fatiguée. Leblanc, p. 39 et suiv. ; Carteret III, p. 48 et suiv. ; Béraldi, T. VI, p. 34, n° 89 ; Brivois, p. 32; Vicaire I, 190-193. Couverture rigide
Bon XXXI-[1]-614-[1] pages, bois
Hachette, Paris 1863, 31x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 31x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 31x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 31x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 31x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 43x21cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 43x21cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Une rousseur peu prononcée en marge basse droite, sans atteinte à la planche. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 43x21cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Rousseurs peu prononcées ne portant pas atteinte à la gravure. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 43x21cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 43x21cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Une pâle rousseur sans atteinte à la gravure en marge haute. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Quelques pâles piqures en marge de la planche. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Une petite rousseur en marge haute, sans atteinte à la gravure. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Quelques très discrètes piqûres. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Une longue déchirure sans manque en marge gauche de la planche. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Quelques pâles rousseurs. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1863, 21x43cm, une feuille.
Edition originale. Gravure sur bois debout signée dans la planche par l'artiste. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Don Quichotte de Cervantès de l'édition Hachette de 1863. Gustave Doré voyage en Espagne d'abord en 1855, en compagnie de Théophile Gautier et de l'éditeur Paul Dalloz. En 1861, répondant à une commande du journalLe Tour du monde, il y retourne avec le baron Jean Charles Davillier, hispanophile averti, qui fera le récit de leur périple dans sonVoyage en Espagne. Doré s'y rend surtout en vue de l'illustration deDon Quichotte: "Je me rends donc dans la patrie de cet illustre hidalgo pour étudier tous les lieux qu'il a parcourus et remplis de ses exploits et faire ainsi une chose qui aura son parfum local". Gustave Doré effectuera ainsi plusieurs séances de travail avec Louis Viardot, traducteur du texte de Cervantès. Le roman de Cervantès compte parmi les récits les plus illustrés de la littérature européenne mais Doré veut surpasser ses prédécesseurs (Tony Johannot, Grandville, Daumier...). Lors de sa parution en 1863, l'ouvrage sera l'objet d'éloges unanimes, notamment de la part d'Emile Zola : "On appelle ça illustrer un ouvrage : moi, je prétends que c'est le refaire. Au lieu d'un chef-d'oeuvre, l'esprit humain en compte deux". Voir nos autres gravures de Gustave Doré Gustave Doré, L'Imaginaire au pouvoir (Musée d'Orsay, 2014) Exposition virtuelle autour de Gustave Doré sur le site de Gallica - Photos sur www.Edition-originale.com -