1795 1795 London: Printed by T. Rickaby, for S. and E. Harding 1795 - 1 vol., small octavo, illustrated with 49 engraved vignetts by Harding in text, first edition of this work with these illustrations. Bound in a fine full contemporary vellum,mouillures sur la reliure surtout au 2e plat,texte frais.Octavo. 24, 120pp. a6-b6, B6-L6. With 49 engravings by Gardiner after Harding. Morison, Four Centuries of Fine Printing, p. 197; Graesse II, 416.
inside good copy. The first part, "A Letter from an English Gentlemen Now Residing in China" has been attributed to Lord Chesterfield in the past but is now thought to be a treatise entirely composed by Robert Dodsley. First published in 1751, this edition is the first with Harding's fine engravings
Edimbourg, 1752 ; in-16. Frontispice-titre gravé-XXXII-160pp. Cuir de Russie rouge, dos lisse orné, dentelle d'encadrement dorée soulignée par une chaînette de même ; coupes soulignées par la même chaînette dorée, et roulette dorée sur les chasses ; tranches dorées. Inscription manuscrite ancienne en tête du titre, et ex-libris manuscrit "Martinet de la Croze" en tête de la page 1. Bel exemplaire.
Relié à la suite : [SALMON (Abbé)]. Les préceptes de la vie civile, mis en distiques Latins attribues à CATON, & traduits en vers Francois, avec quelques poésies sacrées. Dédiées à Mesdames de France, Madame Victoire, Madame Sophie & Madame Louise. Par l'Abbe S***. P., Nyon & Guillyn, 1752 ; titre-54pp.-1f. Notes manuscrites à la fin de la préface. L'inscription manuscrite ancienne en tête du volume attribue la paternité de l'ouvrage à Philip Dormer Stanhope, comte de Chesterfield, mais cette attribution a vite été remise en cause et Barbier a donné son véritable auteur, Robert Dodsley. L'ouvrage a paru en 1750 en Angleterre, il est traduit ici pour la première fois en français par Marius-Jean-Baptiste-Nicolas Daine. Dodsley, présente son ouvrage comme une traduction d'un très ancien texte qu'il aurait trouvé lors d'un voyage en Chine, il s'agit en fait d'un traité de morale et de conduite civique habillé d'exotisme oriental. (Barbier II, 62 ; Quérard II, 568). Dans le même esprit, le second texte propose des maximes pour bien conduire sa vie ; c'est une refonte de deux opuscules déjà publiés par l'abbé Salmon en 1751, chez la Veuve Cailleau (Poésies morales et Poésies sacrées), dédiée à Mesdames, filles de Louis XV et de Marie Leszczynska.
Chesterfield, Philip Dormer Stanhope (1694-1773 ; comte de). Auteur présumé du texte; Hill, John (1716?-1775). Auteur présumé du texte; Brissot de Warville, Félicité (1759-1818).Traducteur; Dodsley, Robert (1704-1764)
Reference : 23811
(1782)
1782 A Londres et se trouve à Paris, chez Belin, Libraire, rue S. Jacques.1782, XXIV-200 p. ; in-8,plein veau granité,plats ornés d'une frise dorée,dos lisse muet orné,charniéres fendues et recollées sommairement,restaurable,texte frais,édition originale trés rare,dans aucune bibliothéque ?
ouvrage de morale et d'éducation traduit en français par Félicité Dupont (1759-1818), aide-préceptrice des enfants de Louis-Philippe d'Orléans dit Philippe Egalité (1747-1793). Félicité Dupont fut attachée en 1782, sous les ordres de Madame de Genlis (1746-1830), à l'éducation des enfants du duc de Chartres, et habita avec eux et la comtesse-gouverneur le pavillon de Bellechasse qui dépendait du couvent du même nom. Elle dut démissionner de ses fonctions l'année suivante pour suivre à Londres Jacques Pierre Brissot de Warville (1754-1793) qu'elle venait d'épouser.
Paris, Bossange, Impr. de Firmin Didot, Paris, Bossange, Impr. de Firmin Didot1821 ; 2 parties en 1 volume petit in-8, demi-veau fauve, fil. dor. et à froid. (Reliure de l’époque) XXII pp., 236 pp.Cet ouvrage a été attribué à Lord Chesterfield, puis au philosophe Hutchinson. En réalité, et bien que son nom ne figure sur aucune des traductions publiées entre 1751 et 1821, il est du libraire et écrivain anglais Robert Dodsley (Mansfield 1704 - Durham 1764). L’édition originale a paru en 1751 sous le titre The Economy of human Life et fut traduite la même année sous le titre Oeconomie ou la règle de la vie humaine par Michel Despréfays, un lieutenant au présidial de Saint-Pierre-le-Moutier. De nombreuses autres versions, sous divers titres ont été données entre 1751 et 1800 par le comédien Desormes, Nicolas Daine, l’abbé de Guasco, Melle Du Pont, L. G. Taillefer, Louis Vastel et autres.La veuve d’Antoine Rivarol, née Louise-Mather FLINT, fille d’un professeur d’anglais en a donné une première traduction en 1803 sous le titre Encyclopédie morale, contenant les Devoirs de l’Homme en société, ou Économie de la vie civile. Cette deuxième édition a paru peu avant la mort de la traductrice qui s’est éteinte à Paris le 21 août 1821. Elle s’ouvre sur un avertissement sur cette seconde édition (pp. V à XIII) “L’Europe, l’univers entier, offrent au monde un spectacle à la fois odieux et admirable dans cette lutte perpétuelle des bons et des mauvais principes, sur lesquels on est peu d’accord. Serons-nous esclaves ? serons-nous des gens de bien ? c’est-à-dire hommes ? Que deviendront les Grecs ? Je divague, il le faut bien. La politique a-t-elle rien de commun avec la morale ?...”Pour la petite histoire, Rivarol “avait rencontré dans le monde une jeune femme romanesque et quelque peu aventurière, plus âgée que lui, qui n’avait guère d’autre mérite que sa beauté. Elle lui plut. Il l’épousa. C’est vers 1783 qu’il enchaîna ainsi sa liberté. Il ne tarda pas à se séparer de sa femme et sa vie compte plus d’une compensation illégitime cherchée aux déceptions conjugales.” Hoefer. Nouv. Biogr. générale tome 42 p. 330. Épousée et vite abandonnée ! Un pamphlet anonyme de l’époque révèle que Rivarol, ainsi que son compère le chevalier de Champcenetz étaient homosexuels et qu’ils fréquentaient les jardins du Palais-Royal la nuit. Dans son Recueil de lettres secrètes (1783) Imbert de Boudeaux affirme que Rivarol se prostituait dans ces mêmes jardins à ses débuts à Paris. Les frasques de son mari ont été pardonnées par l’épouse répudiée qui en 1802, un an après sa mort, publie une Notice sur Rivarol et publie ses traductions sous le nom de comtesse de Rivarol.
Chez Etienne de Bourdeaux, Berlin 1751, in-12 (11x18cm), (14) 80pp., broché.
Edition parue la même année que la première traduction française, sans nom d'éditeur. Broché. Sous papier à fleurs roses XVIIIe. Dos manquant. Traduit en vérité par le comédien Desormes du livre de Robert Dodsley : "The economy of human life". Suite de maximes et de sagesses. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Chez Prault, à Paris 1756, in-12 (9,5x16,2cm), (8) 218pp. ; (2) xiij, 235pp., 2 tomes en un volume relié.
Édition originale de cette traduction par Claude Pierre Patu. Attribution d'après Barbier. Reliure en plein veau blond glacé d'époque. Dos lisse orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Légers frottements. Bel exemplaire, très frais. Le premier volume rassemble 4 pièces de Robert Dodsley : La Boutique de bijoux, comédie satirique, 1735 ; Le Roi et le Meunier de Mansfield, 1736, farce ; L'Aveugle de Bethnal-green, et le Diable à quatre. Le second volume contient quant à lui trois pièces de John Gay, dont le fameux L'Opéra du gueux, 1728 (dont Berthold Brecht fera plus tard L'Opéra de quat'sous), Comment l'appelez-vous ? et Tragi-comi-pastorale. Les pièces de Gay sont précédées de ses introductions et préfaces. Ce projet éditorial était destiné à la connaissance de la comédie anglaise. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Berlin, Chez Estienne de Bourdeaux, 1751. In 12 de 8 ff. et 80 p. Basane marbrée de l’époque, dos à nerfs orné, pièce de titre de basane blonde, menu manque au caisson inf. ainsi qu’au second plat, 4 petits trous de vers au niveau de la charnière (sans gravité), coins émoussés, néanmoins agréable exemplaire.
“Cette traduction a été volée au comédien Désormes par son scribe Lescallier qui fit imprimer de son côté la traduction de son maître... Le titre traduit de l’anglais serait : L’Economie de la Vie humaine.” (Caillet n°3179) L’auteur en serait le libraire et polygraphe Robert Dodsley (1703-1764). Il s’agit d’un “petit traité de morale écrit dans la langue et le style des Brahmines, c’est un des plus anciens monuments de la sagesse orientale.” (Caillet) Orné d’un frontispice gravé en taile-douce et d’un titre gravé (portrait au centre et encadrement d’ornements - style Renaissance).
Bruxelles 1827
Petit in-4 décoré, titre, 4 f.n.ch.[titre et dédicace :À Monsieur le Comte de…], 2f. blancs et 68p. Signé à la fin "Écrit par G. A. Mackay, ci-devant bombardier dans l'artillerie britannique". :: Suite et fin du titre : ... avec une lettre écrite par un Gentilhomme Anglais résidant en Chine, contenant la manière dont le manuscrit de cet ouvrage a été trouvé. Le tout traduit de l'Anglais. :: Très beau manuscrit finement calligraphié en caractères italiques d'imprimerie. Exécuté sur papier vélin filigrané J. Whatman, avec bordures décoratives formées de traits de plumes, lettres ornées, ornements, soleils et demi-lunes. Belle page de titre à encadrement et rehaussée d'or. Manuscrit reprenant la traduction française de ce texte attribué, au moins en partie à Dodsley, " The Economy of Human Life ", publié en anglais d'abord en 1750. La première édition en français en France semble avoir été publiée par Ganeau en 1760. En fait il s'agit d'une grande partie du texte publiée mais pas l'intégral. Il manque l'Avertissement, une partie à la fin de la Lettre à M. le Comte de, quelques préceptes (ou citations) dans certaines sections des 1ère, 2ième et 4ième parties. :: Le texte imprimé contient 7 parties mais le manuscrit n'en contient que 5, le calligraphe ayant ignoré les parties 5 (De la Providence) et 6 (Les devoirs de la société). La dernière partie concernant la Religion est présente mais a été abrégée. Ces manques s'expliquent par le désir du copiste d'obéir à une certaines mise en page et de limiter la longueur du texte. Il ne s'agit pas de manques au texte calligraphié qui est paginé et tout à fait complet. :: Reliure de l'époque, maroquin rouge à grains longs, plats avec larges bordures dorées les recouvrant presqu'en entier, dos orné de fleurons dorés, date en queue, dentelle intérieure, doublure de soie, tranches dorées. Coins arrondis, quelques taches autrement reliure solide et peu usée. Quelques piqûres au texte. Bon état.
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Paris, Faure, Paris, FaureAn XI - 1803 ; In-12, Demi basane fauve ornée, pièce de titre, tranches rouges. Reliure de l'époque - XVI pp., 6 pp. d'avertissement intercallées entre le 1 er et le 2° feuillets, puis pp. 17 à 214, 1 f. de table. - Edition originale de la traduction de Madame de Rivarol. Louise Marthe Flint, veuve du Comte Antoine Rivarol a longtemps vécu séparée de son mari. Elle est morte à Paris en 1821. Quérard VIII, 61. Le livre de Dodsley, un libraire anglais né en 1703, connut une grande célébrité et devint un best seller en France dès 1752, et cela parce qu'on le croyait sorti de la plume du Comte de Chesterfield. Il fut souvent traduit en France par divers traducteurs et sous divers titres. Voir Barbier. ""Je ne dis rien de ma traduction, dit Madame Rivarol, le Public en jugera; l'anglais est un chef d'oeuvre, ceux qui l'entendent la compareront à l'original..."".Petits trous de vers sur les mors inférieurs."
DODSLEY Robert [ ] - Louis-Guillaume-François VASTEL ( translator ) :
Reference : 45720
Caen, De L'Imprimerie de P. Chalopin, 1803, in-16°, xx pp + 212 pp, reliure pleine cuir d'époque, bel exemplaire. (bound in contemporary full leather, nice copy). Robert Dodsley ( 1703 - 1764) has been named as the author of '' The Economy of Human Life translated from an Indian Manuscript''. The translator Vastel ( Cherbourg 1746 - 1819) was a lawyer who played a role during the French Revolution in his native Cherbourg. He published several other works on law and natural history. This is a rare copy of the French translation published at Caen. OCLC list only 1 copy of this edition ( in the French National Library ).
Paris, Ganeau, 1760. 1 vol. petit in-12, veau fauve marbré, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, filet doré sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l'époque, coiffe inf. arasée, coins râpés. Bon exemplaire. Ex-libris ms. sur le titre. (2) ff., 24 pp., 142 pp., (4) ff.
Seconde édition, sous un nouveau titre de l'Economie de la Vie humaine, traduction de Le Douespe, publiée à La Haye en 1751. Il s'agit d'un manuel de morale déguisé dans un style oriental. Barbier II, 62; Quérard II, 568.
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Non précisé. 1836. In-18. Relié plein cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Rousseurs. 131 pages. Gravures en noir et blanc en frontispice et en page de titre. Illustré de quelques gravures en noir et blanc sur planches hors texte. Titre et motifs dorés sur le dos. Cadres dorés sur les plats. Motifs en cuir repoussé sur la reliure. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Quelques épidermures sur la couverture. 1re et dernière pages de garde manquantes.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
55 Fables, Du Mendiant et son chien, à l'Abeille et l'araignée. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
DODSLEY Robert et GAY John Edité par Londres et Paris Prault 1756
Reference : CCC-1305
(1756)
22. Edité par Londres et Paris Prault 1756. Les 2 tomes sont reliées, plein veau. Charnieres fatiguée, coins émoussés, interieur tres bon, tranches rouges, dos 5 nerfs avec pièces de titre. Photos possibles
Pas de frais de port pour la France métropolitaine
1752 Edimbourg, 1752.reliure plein veau filets dorés sur les plats,tranches dorées,avec un frontispice gravé,titre detaché present,reliure epoque,dos orné un peu usé,texte bon;[iv] engraved frontispiece and title, xxxii, 160; rare édition originale ;
Barbier a donné son véritable auteur, Robert Dodsley. L'ouvrage a paru en 1750 en Angleterre, il est traduit ici pour la première fois en français par Marius-Jean-Baptiste-Nicolas Daine. Dodsley, présente son ouvrage comme une traduction d'un très ancien texte qu'il aurait trouvé lors d'un voyage en Chine, il s'agit en fait d'un traité de morale et de conduite civique habillé d'exotisme oriental. (Barbier II, 62 ; Quérard II, 568).