Tallandier Broché D'occasion bon état 27/08/2015 380 pages
Tallandier Broché D'occasion bon état 27/08/2015 380 pages
Perrin (10/2024)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782262104993
Perrin (11/2021)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782262072506
L'Artilleur L'Artilleur, 2021. Fort In-8 broché, 558 pages. Très bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Tallandier 2015, in-8 broché, 380 p. (très bon exemplaire) En examinant la vie et l'action de douze papes (de saint Pierre à saint Jean-Paul II, en passant par saint Grégoire le Grand, Jules II et saint Pie V), l'auteur engage une réflexion sur le pouvoir des souverains pontifes à travers l'histoire et répond à la question de savoir ce qu'est un grand pape.
Tallandier. 2015. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 379 pages.. . . . Classification Dewey : 922-Religieux
Classification Dewey : 922-Religieux
GODEFROY DE BOUILLON. 1996. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 214 pages .. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Paris, Godefroy de Bouillon, 1996, in-8 broché, 214 pages. Edition originale. Etat de neuf.
EDITION ORIGINALE
P., Godefroy de Bouillon, 1996. In-8 broché, 214 pages.
Paris, Godefroy de Bouillon, 1996. In-8, 214 pp.-(1) f. [table/dépôt légal], broché, couverture imprimée illustrée crème (bel exemplaire, qui semble bien avoir été broché sans faux-titre ni titre ; le premier cahier est bien complet en trente-deux pages… pas de traces d’arrachement…). Edition originale.
Pourfendeur de la Démocratie, Bainville affirme (p.158) : « Croire que les régimes démocratiques sont moins belliqueux que les autres fut une erreur. La guerre de 1870 le prouva largement (…) ». On apprend ici que Napoléon III et Guillaume 1er étaient démocrates, façon « Monsieur Jourdain » qui faisait de la prose, sans le savoir… Bainville « rejette tout accord franco-soviétique, ceci pour deux raisons : premièrement parce qu’il n’a pas confiance en la Russie qu’elle soit soviétique ou non [quelle pudeur !] et, deuxièmement, parce qu’une telle alliance pourrait fournir un prétexte à l’Allemagne pour déclarer une nouvelle guerre à la France, comme cela s’est passé en 1914 » (p.170) !!! La ficelle est un peu grosse : on connaît, depuis 1933 - au moins-, grâce, entre autres, à Jules Isaac, la responsabilité écrasante du gouvernement Poincaré-Viviani dans le déclenchement de la guerre : falsification de dépêches diplomatiques, retard d’envoi, pour faire croire aux Français que le Prussien avait, le premier, déclaré la guerre au Tsar ; ainsi le jeu des alliances put jouer sans rencontrer d’opposition. La France était, parait-il, une démocratie… Néanmoins, tout aussi belliqueux furent les autres belligérants, têtes couronnées qui, pour des raisons diverses pensaient pouvoir sauver ou assurer leur trône… Le salut par les rois : la Monarchie dont « la grande qualité (…) est la continuité par l’hérédité » (p.164), qui « oppose le bon sens royal à la bêtise des peuples » (id.), avec pour seul exemple cité : la monarchie roumaine, dont la dynastie germaine remonte aux temps fabuleux des années 1860-1880; Bainville, décédé trop tôt, n’aura pas vu la rapide décrépitude de ce régime, ni celle de quelques autres. Bainville était hostile au « règne des partis » (id.) ; Christophe Dyckès termine en beauté : « Il y a toujours des hommes qui tenteront de porter la Patrie. Bainville faisait parti (sic) de ceux-là » (p.172). Très bel envoi autographe signé de l’auteur (sur la première page, blanche, ce qui conforte l’idée que cet exemplaire n’a jamais eu ni faux-titre, ni titre) : « A Monsieur de Lencquesaing (1), contemporain de Jacques Bainville et des désastres qu’il a annoncé [sic] (2), cette humble contribution des idées et des relations internationales, à travers l’œuvre d’un réaliste de la politique, pourfendeur de l’idéalisme (3)». (1) peut-être Bernard-Joseph de Lencquesaing (Lille, 1886 – Versailles, 1946), dont la famille était originaire du nord de la France ; un de ses petits-fils habiterait à Pau... (2) dont celui de l’orthographe. Après l’auteur, l’éditeur : quatrième de couverture, « son premier ouvrage sur Bainville est inspirée [etc.] » ; par contre ce même éditeur est assez mal inspiré lorsqu’il écrit (toujours en quatrième de couverture) que Bainville « reste aussi la seule personne de son temps à avoir prédit vingt ans auparavant la deuxième Guerre Mondiale ». (3) comme si les attirances de Bainville pour la Monarchie ne relevaient pas « de l’idéalisme ». En conclusion, ouvrage intéressant, malgré la « thèse essentielle » de Banville : en 1919-1920, il aurait fallu démembrer l’Allemagne, celle de la République de Weimar … pour la ramener à la mosaïque de principautés du traité de Westphalie (1648). BUR(H6/21)