Il lui adresse volontiers une photographie signée pour sa tombola, mais il lui est impossible de lui faire un dessin ou une aquarelle ; « je n'ai pas un moment à moi, fort occupé par des travaux pressés, et mes cartons, hélas sont bien vides ou plutôt bien vidés au profit de nombreuses ventes de charité auxquelles j'ai pris part tous ces temps- ci... ».
Curieuse lettre à propos d’une intervention sur un de ses tableaux dans laquelle il demande à son correspondant de ne pas « supprimer la cantine devant le décor. […] C’était bien plus original d’avoir des gens se remuant devant le fond qui aurait paru d’autant plus mystérieux et éloigné… ».