Paris PUF 1967 In-4 de 134 pp., br., non coupé.
Fondation Eugène Piot.tome 55 contient:Charbonneaux: Charles Picard (1883-1965) Vandier -Ouadjet et l'Horus léonlocéphale de Boulo….
Clamart l'auteur 1968 In-8 de 156 pp., br., couv. ill.Nombr. illustrations.
[Urbain Canel, Ebrard Libraire, Editeur, ] - DESCHAMPS, Emile ; DESCHAMPS, Antony
Reference : 65586
(1828)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-percaline marron, Etudes françaises et étrangères, par M. Emile Deschamps, Urbain Canel, Paris, 1828, LXI pp., 1 f., 317 pp. et 1 f. n. ch. [ Suivi de : ] Dernières Paroles. Poésies. Ebrard Libraire, Editeur, Paris, 1835, 2 ff., 358-IV pp.
Remarquable exemplaire, réunissant les éditions originales dédicacées des "Etudes françaises et étrangères" d'Emile Deschamps et des "Dernières Paroles", recueil de poésie de son frère Antoni. "L'un des chefs du romantisme", Emile Deschamps (1791-1871) faisait avec son frère Antony (1800-1869) les honneurs des réunions pleines d'ardeur du salon dans lequel leur père accueillait vers 1820 les poètes nouveaux Lamartine, Victor Hugo, Alfred de Vigny et Charles Nodier. Chacun des deux titres est dédicacé par son auteur à un M. Stephen. A propos du premier titre Escoffier précise : "Edition originale (premier tirage) des poèmes d'Emile Deschamps. La préface sur le romantisme n'a pas été réimprimée dans l'édition des Poésies, de 1841. Le manifeste d'Emile Deschamps est remarquable de bon sens et de mesure et il est pour la poésie le pendant de ce qu'était au même moment celui de Victor Hugo dans sa préface de Cromwell" (Escoffier, 679). Cette préface reste un texte essentiel pour l'histoire de la littérature romantique française. Bon état (sans le feuillet d'errata signalé par Vicaire dans le premier titre, bon exemplaire par ailleurs). Vicaire, III, 202 et III, 200
Paris : Delloye (impr. de Worms), 1841. In-12, 170 x 104 : frontispice, (2 ff. blancs), viii, 258, (1 f.) ; frontispice, 232 pp., (1 f.). Basane aubergine, encadrement d’un triple filet doré avec fleurons aux angles, dos lisse orné de motifs rocaille, tranches dorées (reliure de l’époque).
Édition en partie originale précédée d’une nouvelle préface.Ensemble de deux recueils de poésies parus la même année chez Delloye, écrits respectivement par les poètes Émile et Antoni Deschamps.- DESCHAMPS, Émile. Poésies de Émile Deschamps. Nouvelle édition, Revue et considérablement augmentée par l’auteur. Paris : Delloye (impr. de Worms), 1841.Elle est ornée d’un frontispice gravé par Delanoy d’après une composition de Jacquand. Émile Deschamps (1791-1871) fut l’un des premiers représentants du mouvement romantique, grand ami de Victor Hugo il fonda avec lui La muse Française en juillet 1823.- DESCHAMPS, Antoni. Poésies de Antoni Deschamps. Nouvelle édition, Revue et considérablement augmentée par l’auteur. Paris : Delloye (impr. de Worms), 1841.Elle est ornée d’un frontispice gravé par Delanoy d’après une composition de Boulanger. Antoni (1800-1869) marcha dans les pas de son frère, se faisant une place en qualité de poète et de traducteur.Rare exemplaire portant un envoi autographe d’Émile Deschamps à la Comtesse Duchâtel sur une des gardes blanches :Respectueux hommage à Madame la comtesse Duchâtel. Émile Deschamps.Il s’agit de la Comtesse Marie-Antoinette Adèle Duchâtel (1782-1860), connue pour avoir été la maîtresse de Napoléon 1er.Reliure frottée portant de fortes traces d’insolation. Infime accident à la coiffe, sans manque. Rousseurs éparses.Provenance : Comtesse Duchâtel avec envoi autographe signé.Bibliographie : Champfleury, page 398. - Escoffier, n°1452.
Lettre Autographe Signée d'Émile Deschamps datée de Versailles 1869. Il qualifie son correspondant de grand poète, regrette de ne pouvoir lui "serrer les mains à Argenteuil" etc.4 pages format in-16°(13x10). Très bon état. La lecture est rendue difficile par le grand âge d'Émile Deschamps et probablement la maladie. Belle lettre de l'ancienne collection A. Baron, assureur, puis syndic-liquidateur à Bourges.Émile Deschamps de Saint Amand, dit Émile Deschamps, (1791-1871), est un des 99 poètes ayant contribué au Parnasse contemporain, avec huit poèmes dans le premier recueil (1866) et trois dans le deuxième (1871).
rennes Oberthür pour M. Deschamps à TREHIGUIER 1920 une lettre à en-tête en noir d'époque : MOULES DE BOUCHOTS - CREVETTES - M. DESCHAMPS - TRÉHIGUIER PAR PÉNESTIN (MORBIHAN), format : 21,5 x 27 cm, 1920, rennes Oberthür pour M. Deschamps à TRÉHIGUIER Editeur,
TRÉS RARE LETTRE A EN-TÊTE...................................en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Eugénie Casanova (1825-1908), femme de lettres, surnommé « La Muse du Berry » par Emile Deschamps.
Reference : 014169
Eugénie Casanova (1825-1908), femme de lettres, surnommé « La Muse du Berry » par Emile Deschamps. L.A.S. avec son premier sonnet autographe, sd [été 1870], 4p in-8. Au poète Emile Deschamps (1791-1871). « Monsieur et excellent ami, Nous espérions que mon père aurait la joie de vous voir avant son départ et nous espérions qu'ainsi il pourrait nous parler de vous d'une façon toute particulière. Hélas ! Après une heure d'attente, il a été forcé de s'éloigner sans avoir goûté les instants de bonheur qu'il se promettrait. Depuis 3 jours, il est au milieu de nous et vous dire que nous avons déjà bien parlé de vous avec lui ne sera que l'expression de la vérité. Nous avons été bien heureux de savoir que votre santé était bonne. Ici est-ce la sècheresse qui cause ce mauvais effet. Mais la santé générale de la ville et des campagnes laisse beaucoup à désirer. La petite vérole fait des ravages continuels. Paris est de son côté fort éprouvé par cette cruelle maladie. Quant à l'agriculture, elle gémir. Les céréales disparaissent sous une sécheresse sans égale. Il est fort à craindre que l'hiver de 1871 ne soit pour les malheureux une saison doublement rigoureuse. Notre poète si dévoue Mr Peladan nous adresse un nouvel appel. La forme exclusive de la poésie demandée soit celle du sonnet. Je n'en ai jamais fait. Cependant je ne veux pas rester sans répondre à l'invitation d'un aussi excellent ami. Je prends la liberté de vous envoyer ce faible essai. Veuillez me dire ce qu'il y a de bon et de mauvais et je vous dirai merci. ». Au dos se trouve le dit sonnet, donc le premier que Casanova a écrit, titré « Ave Maria », qu'elle a donc écrit à la demande d'Adrien Peladan (1815-1890), père du Sâr. A la fin de la 3e page et en marge, un mot du mari. Nous avons aussi à la vente une lettre de Deschamps à sa muse du Berry. Très beau document de la Muse à Emile Deschamps. [230]
Antony Deschamps (1800-1869), poète. L.A.S., sd [1854-1855], 1p in-8. A Hector Berlioz (1803-1869) : « Mon cher Berlioz, je vous ai enfin entendu hier, et je vous suis encore fort ému de votre belle oeuvre. C'est très vrai, très grand, très attendrissant et les plus grands poètes n'auraient pas eu plus de talent et plus de Caractère. Si vous les aviez chargés du Poème, il y a [?] que je savais que les plus forts sont aussi les plus gracieux. Vous avez donné un exemple [?] En fait de grâce et de naïveté, le récit du repos de la Ste Famille est un chef-d'oeuvre. JE vous aurais serré la mains avec bien du plaisir mais vous veniez de sortir. Tout à vous. Antoni Deschamps ». Antoni Deschamps écrit donc sur L'Enfance du Christ, créée le 10 décembre 1854. Rappelons que son frère, Emile Deschamps, avec écrit le livre de Roméo et Juliette. On joint un petit billet A.S. : « Je suis venu vous serrer la main et vous présenter mes compliments. Antoni Deschamps ». Belle lettre de compliments. [109-2]
Emile Deschamps (1791-1871), poète. L.A.S., mardi 15 septembre 1840, 1p in-8. Intéressante lettre au conservateur de l'Arsenal Paul Lacroix (1806-1884) dit le bibliophile Jacob. Lettre compliquée à déchiffrer comme toujours avec Deschamps : « Cher et aimable confrère, vous êtes bon de penser à moi pour Paris-Londres où je serai en d'excellente compagnie ! Certes, je quitterai tout pour cela. Envoyez-moi une gravure, comme elle se trouvera. Je n'ai aucune préférence et je ferai la chose de mon mieux. Ce qui ne veut pas dire bien. Merci pour [.]qui est pour [.] si j'ai quelque chose d'en écrire[?] à vous. Je n'ai pas reçu le Macbeth et j'en ai grande peine. J'aurai à glorifier et à remercier votre frère. Tâchez que le précieux livre m'arrive - bientôt. Amitiés et bravo toujours. Emile Deschamps. Je dépose mes respectueux hommages aux pieds de madame Lacroix ». Notons que Macbeth en question est une « traduction littérale en vers » de l'oeuvre de Shakespeare traduite par Jules Lacroix et préfacée par Paul Lacroix. Paris-Londres est le keepsake français dans lequel les grands écrivains de l'époque ont participé. Deschamps y publiera d'ailleurs des textes plusieurs années. Cette lettre concerne le 4e volume, 1840-1841, dans lequel il a publié la nouvelle Claire et Berthe. Beau courrier. [365]
DESCHAMPS le jeune; DÉYEUX, Nicolas; FOURCROY, Antoine-François; VAUQUELIN, Louis-Nicolas
Reference : 76792
À Lyon et à Paris, chez J.T. Reyman et Fuchs, an 7 [1798], in-8, [2]-VIII-224 pp, 1 tableau dépliant, Broché, couverture d'attente de l'époque, Édition originale du mémoire du pharmacien lyonnais Deschamps jeune, lu devant la Société de santé de Lyon le 25 Messidor an 6 (17 juillet 1798) : l'auteur y remet en question les conclusions apportées par Fourcroy et Vauquelin au sujet de l'extractif, substance au caractère hypothétique composée de tannin et de matière végétale ; plus exactement, il réfute le rôle de l'oxygène dans la coloration des extraits, ce le qui conduit, prudemment, à contredire les preuves de son existence. Ce faisant, le "pharmacien de province" suscite une petite polémique : la réaction des deux chimistes et de Déyeux est immédiate. Magnanime, Deschamps publie son mémoire en y ajoutant, à la suite, les critiques formulées contre lui. Ce Déchamps jeune n'est pas précisément identifié : il pourrait s'agir de Nicolas-Ambroise Deschamps (1750-1823) ou bien de son cadet Alexandre Deschamps. Il fut, dans cette affaire d'extractif, particulièrement inspiré, puisqu'il souleva des doutes qui seront confirmés par la communauté des chimistes et par Fourcroy lui-même. Exemplaire tel que paru, non rogné, non coupé et ayant conservé sa couverture d'attente d'origine. Galerie de ver intérieure sans atteinte au texte. Tomic Sacha. "L'extractif : vie et mort d'un produit singulier de l'analyse immédiate". In: Revue d'histoire de la pharmacie, 98e année, n°369 (2011), pp. 39-52. Couverture rigide
Bon [2]-VIII-224 pp., 1 tableau
Emile Deschamps (1791-1871), poète. Lot de manuscrits autographes signés, 1863-1867, 5p in-8 oblong & 7p in-4 & deux enveloppes avec notes autographes signées. Exceptionnel ensemble de documents formant le testament d'Emile Deschamps (avec duplicata) qui étaient destinés à monsieur Labbé et monsieur Pousset, ses exécuteurs testamentaires. Cet ensemble est donc constitué de deux enveloppes annotées par Emile Deschamps « pièces essentielles et très urgentes (ouvrir cette enveloppe à l'instant de mon décès) » destinées à ses exécuteurs testamentaires, Labbé et Pousset. Celle marquée « duplicata » porte des notes datées et signées du 12 février 1861 et du 20 août 1867. Ensuite, deux exemplaires des « note A » et « note B » précisant qu'il ne souhaite pas de discours, qu'il souhaite être enterré avec ses deux bagues d'or ainsi que le médaillon et les démailles qu'il porte à son cou, et donnant la forme de l'avis à envoyer aux journaux. Ces quatre feuillets sont datés et signés à plusieurs reprises (1855, 1863, 1867). Le dernier feuillet in-8, daté du 28 octobre 1868, signale un testament chez Me Finot, notaire à Versailles. Les feuillets in-4 donnent des renseignements pour son acte mortuaire, précise qu'il ne veut voir que « Emile » sur sa tombe même si son acte de naissance indique « Anne Louis Frédéric », donne la forme des billets d'invitation et de faire part. Un des documents a dû servir à l'impression, les blancs y ont été remplis. On joint divers documents de Léon Deschamps (écrits par un secrétaire) et un brouillon de poème autographe très corrigé titré « retour de l'armée ». Très bel ensemble. [231-2]
« Poësie pour l'inauguration de la société des crèches de Paris qui doit avoir lieu le jeudi 25 février 1847, à l'hôtel de ville par M. Emile Deschamps, un des vice-présidents de la société », poésie vraisemblablement inédite. Manuscrit autographe signé, 5p et demi in-folio (102 vers). Intéressant poème, qui semble inédit. Le seul poème sur les crèches publié est « Pour l'inauguration de la crèche de Saint-Vincent-de-Paul » (Oeuvres complètes, Paris, Lemerre, Poésie, T.II, p.135). Eugène de Mirecourt prétend qu'un recueil intitulé « Poésies des crèches » aurait été publié en 1852 ou 1854, certaines bibliographies reprennent cette information sans la vérifier. Cet ouvrage n'est répertorié nulle part mais semble toutefois exister comme nous l'apprend une lettre de Deschamps à Just Géraldy datée du 24 mai 1851, donc avant la date donnée par Mirecourt. Toutefois, on sait, par l'avant-propos, de Deschamps lui-même, des oeuvres complètes, qu'entre février 1847 et 1869, il prit la parole une trentaine de fois. Il s'agit donc ici, vraisemblablement, de sa première intervention au profit des crèches. Notons toutefois que ce long poème commence par la reprise de son poème « Un coup de filet ». Quelques corrections dans le texte. Beau témoignage de son action en faveur des crèches. [178]
L.A.S., Versailles, sd [vendredi, 1860?], 2p et demi in-8. Au docteur Amédée-Eugène Battaille (1790-1877), père du peintre Eugène Battaille (1817-1882). « Monsieur, Voici une petite ébauche poétique sur le charmant dessin de monsieur votre fils. Soyez assez bon pour la lui remettre avec son dessin même que j'y joins. J'ai bien tardé à écrire cette misère. mais je m'occupais encore de lui. Le même éditeur m'avait demandé un portrait de Méhul qu'il a dessiné admirablement et je me suis chargé des paroles de trois Romances et Ballades posthumes du grand compositeur. Je ne les ai terminées qu'avant-hier et tout de suite, je me suis mis au petit Noël. Vous voyez, monsieur, que mon nom va se trouver associé plus d'une fois au vôtre et je m'en glorifie beaucoup. Je désire bien que mon Noël soit agréé de l'éditeur et qu'il puisse inspirer une jolie musique ou du moins ne pas nuire trop au charme du dessin. Veuillez recevoir, monsieur, la nouvelle expression de mes sentiments, de la plus haute estime et de mon entier dévouement. Emile Deschamps Tous mes respectueux hommages à madame Battaille à qui ma femme envoie les plus empressés compliments. P.S. Nous aurons un grand plaisir à examiner de près et souvent les charmantes peintures de mons. votre fils à l'exposition de Versailles ». Il s'agit vraisemblablement ici du poème que Deschamps écrivit pour le tableau Le Printemps qui fut présenté au salon de Versailles en 1860 puis à l'exposition au Palais des Champs-Elysées le 1er mai 1861, sous le n°141. Le catalogue de cette seconde exposition reproduit le poème de Deschamps. Méhul est le compositeur Etienne-Thomas Méhul (1763-1817). Deschamps a effectivement écrit des paroles sur des musiques posthumes de Méhul (on trouve une seule publication en 1852 et trois en 1907). Beau document. [178b]
L.A.S., Paris, 17 mars 1838, 2p in-8. A l'écrivain et poète Théodore Carlier (1802-1839). « Monsieur, J'ai reçu du prince Elim Mestscherski une lettre et un manuscrit dont il désire que je m'entretienne avec vous. Il réclame vos bons offices et mon concours et ni vous ni moi nous ne voulons l'oublier, n'est-ce pas ? Si je pouvais sans inconvénient transporter son manuscrit, j'irais vous le présenter, mais c'est un volume qu'il faut examiner sur place et c'est pour quoi je prends la liberté de vous prier, au nom du prince Elim, de venir chez moi, le jour et l'heure qui vous conviendront, afin que nous causions des chances et des moyens d'une publication sur laquelle il désire beaucoup vos bons avis. Vous seriez toujours sûr de me trouver tous les matins jusqu'à 10h mais si vous m'indiquiez un autre rendez-vous, je ferais tout pour me mettre à votre disposition. Seulement, il serait important de ne pas attendre. Si donc lundi ou mardi vers 9h du matin vous pouviez venir jusque chez moi, ce serait parfait et j'en écrirais sur le champ en Russie - j'ai une occasion vers le milieu de la semaine. Un mot de réponse je vous prie. Agréez, monsieur, la nouvelle assurance de mes sentiments très distingués et très dévoués. Emile Deschamps ». Une note indique que le rendez-vous est prévu le 23 à 9 heures, donc le vendredi. Le prince en question est Élim Mestscherski (1808-1844), diplomate russe et poète d'expression française et cette lettre concerne la publication de son premier recueil de poésies, Les Boréales, qui sera faite chez Bellizard en 1838. Mestscherski avait visiblement des liens étroits avec les frères Deschamps. On connait ainsi un exemplaire des Dernières paroles d'Antoni Deschamps avec un envoi au prince. Cet exemplaire s'est ensuite retrouvé dans la bibliothèque de Pouchkine. Très intéressante lettre nous montrant l'importance d'Emile Deschamps dans la publication du premier livre de Mestscherski, livre qui fut très bien reçu. [187]
A Bruxelles chez E.Laurent, 1837. 1 vol. in-32 (11 x 7 cm) 348p. Petit gaufrage en page de faux-titre notifiant la Convention (littéraire) du 22 août 1952 (passée entre la France et la Belgique) État : Couverture jaunie, Intérieur très frais, bel exemplaire.
Antoine-François-Marie DESCHAMPS de Saint-Amand dit Antoni (ou Antony) DESCHAMPS (frère du poète Émile Deschamps). Écrivain et Poète, ayant dans sa jeunesse, séjourné en Italie. Très présent dans le cénacle romantique, A. Deschamps fut par son admiration pour la Divine Comédie et la traduction qu'il en propose, l'un des plus influents porte-paroles poétiques de Dante en France. On se souviendra pour l'anecdote de l'épître de Charles Nodier à propos du poète traducteur : « Antony battait avec Dante un andante ».
[Seguin Frères, Oudin Frères] - DESCHAMPS, N. [ DESCHAMPS, Nicolas ] ; JANNET, Claudio
Reference : 57949
(1880)
Troisième édition entièrement refondue et continuée jusqu'aux événements actuels avec une introduction sur l'action des sociétés secrètes au XIXe siècle par M. Claudio Jannet, 2 vol. grand in-8 reliure postérieure bradel demi-toile à coin noire, Seguin Frères, Avignon, Oudin Frères, Paris, 1880, CIX-335 ; 685 pp.
Bel exemplaire. Un troisième volume de documents fut publiés ultérieurement par Claudio Jannet. Père jésuite, Nicolas Deschamps (1797-1873) fut l'auteur de nombreux travaux anti-maçonniques. "Le P. Deschamps n'invente ni ne déduit. Il copie et toujours, répétons le, en citant le tome, la page, l'édition et tous peuvent vérifier son dire". Caillet, 3033
DESCHAMPS (Alain), DESCHAMPS (J.), MERIGLIER (Bernard).
Reference : 91018
(1984)
ISBN : 2905262052
Limoges Lucien Souny 1984 1 vol. Relié in-8, cartonnage illustré de l'éditeur, 177 pp., nombreuses reproductions. Préface de Georges-Emmanuel Clancier. Sur les grèves des ouvriers porcelainiers. En parfait état.
1. Marc-Antoine-Jacques Rochon de Chabannes ; 2. Molé, Linguet, etc ; 3. Citoyen Desprez ; 4. Desfontaines, Barré, Radet, Desprez & Deschamps ; 5. Les auteurs des Diners du Vaudeville ; 6. JL Brousse-Desfaucheretz & F. Roger ; 7. Ségur jeune, Desfaucherets, Despres ; 8. Barré & Desfonfaines ; 9. Barré, Radet, Deschamps & D** ; 10. Ségur aîné, musique de Foignet fils,
Reference : 007102
1. Marc-Antoine-Jacques Rochon de Chabannes ; 2. Molé, Linguet, etc ; 3. Citoyen Desprez ; 4. Desfontaines, Barré, Radet, Desprez & Deschamps ; 5. Les auteurs des Diners du Vaudeville ; 6. JL Brousse-Desfaucheretz & F. Roger ; 7. Ségur jeune, Desfaucherets, Despres ; 8. Barré & Desfonfaines ; 9. Barré, Radet, Deschamps & D** ; 10. Ségur aîné, musique de Foignet fils, 1. Heureusement, comédie ; 2. Jugemens sur Lekain par Molé, Linguet ... Ou supplément aux mémoires de ce grand acteur ; 3. L'Allarmiste, impromptu Républicain ; 4. Le Pari, divertissement [.] à l'occasion de la Paix ; 5. Enfin nous y voilà, divertissement ; 6. Arioste gouverneur ou le Triomphe du Génie ; 7. Le Portrait de Fielding, comédie ; 8. La Tragédie au Vaudeville ; 9. René Le Sage ou C'est bien la Turcaret, comédie ; 10. Le Gondolier ou la Soirée vénitienne, opéra. Volume in-8. Paris, Jorry, 1770, 26p. Paris, Colney, Debray, Mongie, [1802], 74p. Paris, théâtre du Vaudeville, 1793, 38p (manque la page de titre). Paris, Migneret, Brunet, 1797, 44p. Paris, Brunet, an 9 [1801], [2]-49p. Paris, théâtre du Vaudeville, an 8 [1800], 52p. Paris, Salon littéraire, an 8 [1800], 40p. Paris, Brunet, 1801, 49p (manque la page de titre). Paris, Barba, 1802, 43p. Paris, Hugelet, an 8 [1800], 26p (mal chiffrées à la fin). Edition originale de chacun de ces dix ouvrages, principalement des vaudevilles. Reliure demi-basane, dos lisse, filets, pièces de titre maroquin, petits défauts. Bon ensemble de vaudevilles.
1841 Paris, H. L. Delloye, 1841 ; 2 tomes reliés en 1 volume in-12, demi-basane verte de l' époque, dos lisse orné de ejux de filets dorée, palette dorée en pied, titre doré " Poésies de E. Deschamps"; VIII, 258, (1)pp. et un frontispice gravé par Delanoy d'après Jacquand; 232, (1)pp. et un frontispice gravé par Delanoy d'après Boulanger. Le faux-titre général porte " Bibliothèque choisie Poésies de Emile et Antoni Deschamps".
Piqûres aux frontispices, très rares au texte, restauration au faux-titre général, doublé dans sa marge supérieure. Bon exemplaire. (CO2)
0 1 double feuillet In8 en date du 6 Mai 1846 - Lettre autographe de 4 pages au Baron Taylor . Extrait : " Cher et trés honorable ami , je vous ai obéi bien vite en composant et envoyant à Lyon deux longs discours sur Molière et Louis XIV ( excusez du peu ) . Tout cela est parvenu a Monsieur Duval Le Camus et je n'ai entendu parler de rien . J'ai quelques raisons de croire que les choses ne se sont pas trés bien passées , mais je faisais (...) pour sacrifier l'amour propre Quoiqu'il en soit la Revue de Paris et quelques autres journaux de la capitale viennent de s'emparer de mes deux discours ... " Emile Deschamps de St-Amand dit Emile Deschamps ( 1791/1871) fondera La Muse Française avec Victor Hugo , Vigny , Nodier , etc... Il sera l'un des 99 poètes contribuant au Parnasse Contemporain . Isidore Séverin Taylor ( 1789/1879) précurseur du mouvement romantique créa dans les années 1840 des associations de secours mutuels pour les artistes .
Bon
Emile Deschamps (1791-1871), poète. Lot de 4 CDV, 17 août 1869, Noël 1869 & 26 août 1870. Ecrites par des secrétaires et adressées à Louise Labbé [à tort écrit Lable dans certaines généalogies] (1846-1934), son mari Léopold Paignard (1837-1923?), qui sera maire de Savigné-l'Evêque, et les parents de Paignard, propriétaires du château de Savigné. Courriers amicaux qui montrent que Deschamps connaissaient aussi les parents de Louise Lable qui semblent être versaillais comme Deschamps. [230-2]
A Paris, chez Debure frères, 1779. In-12 de XXIII pp. chiffrées XXIV, LIV-362 pp., maroquin Lavallière, doublure de soie rose, dos lisse orné, triple filet d'encadrement sur les plats, chiffre doré au centre, pièce de titre en maroquin rouge, filet sur les coupes et les coiffes, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition originale sur l'éducation des sourds et muets au XVIIIe siècle. Ce volume réunit deux textes : la méthode d'apprentissage de l'abbé Deschamps et une traduction de la Dissertation sur la parole de Jean-Conrad Amman traitant de l'origine de la parole, des méthodes corrigeant les défauts de langage et permettant aux sourds et muets de recouvrer la parole. Il témoigne de la vive controverse de l'époque concernant deux méthodes d'apprentissage des sourds-muets : celle de Jacob-Rodrigue Péreire basée sur l'articulation des sons et celle de l'abbé de l'Épée, basée sur les gestes, aujourd'hui universellement reconnue.Le cours de Deschamps suit les principes de la méthode de Péreire et se montre admiratif mais sceptique à l'égard de celle de l'abbé de l'Épée. La même année Pierre Desloges, sourd-muet, publia Observations d'un sourd et muet, sur un cours élémentaire d'éducation des sourds et muets, publié en 1779 par M. l'Abbé Deschamps prenant la défense de la méthode de l'abbé de l'Epée.2 planches dépliantes : la première (222 x 144 mm), gravée à l'eau-forte, représente une table typographique pour apprendre l'écriture aux sourds et muets et aveugles de naissance. Elle comprend 28 cases garnies d'autant de tiroirs dans lesquels se trouvent une lettre de l'alphabet. En se servant de ces lettres, le sujet peut composer des phrases sur des rails placés sur la table. La seconde planche dépliante (170 x 305 mm) représente un tableau méthodique des lettres décrivant et classant les sons de chaque lettres en catégories : gutturales, dentales, labiales, sifflantes. On trouve 5 planches gravées à l'eau-forte représentant l'Alphabet manuel figuré.Provenance : bibliothèque de Mr. de La Place de Mont-Evray (ex-libris gravé du temps). Michel-Augustin-Thérèse de La Place de Mont-Evray (1761-1841) fut Président de chambre en la Cour impériale d’Orléans.Très bel exemplaire en maroquin de l'époque, au chiffre non identifié.Adolphe Bélnger, Enseignement des sourds-muets : bibliographie générale des tous les ouvrages parus en France ou en langue française, p. 28.
« Premiers vers d'Emile Deschamps » : « La paix conquise, ode 1811 » & « Lyre captive, stances élégiaques 1813 ». Manuscrit autographe signé deux fois (à la fin de chaque poème), copie, probablement vers 1850, de ses premiers vers. Il précise, pour le premier, « Lors des grandes guerres de l'Empire ». Le manuscrit ne reprend que les deux derniers sixains de ce poème publié en 1821 dans Victoires, conquêtes des français de 1792 à 1815. Couronne poétique. Pour le second : « Lorsque Emile Deschamps entre comme surnuméraire dans les bureaux du ministère des finances ». Ce second poème, composé de trois dixains, fut publié en épilogue dans les Etudes françaises et étrangères (Paris, Levavasseur, 1829, p.309-311). Intéressant document. [178]
L.S., Versailles, Samedi 24 avril 1869, 2p in-8. A la femme de lettres Eugénie Casanova (1825-1908), surnommée par Deschamps « la Muse du Berry ». « Madame et Charmante Muse et vous bien cher et éminent ami, Merci mille fois de votre double bouquet d'amitié, auquel je réponds par une toute petite fleur, mais qui ne se fanera jamais, étant né dans le sol du cour le plus affectueux. Je me suis fait lire aussi l'excellente page du journal des Campagnes, dont j'aurais signé avec ardeur chaque ligne tant tout cela est bien dit, bien pensé et bien jugé - le futur Député y est apprécié à sa grande et juste valeur et de la façon la plus sincère et la plus ingénieuse à la fois. Du reste tout va dépendre, comme il le dit si bien lui-même de la question de la neutralité ; et j'approuve, de toute ma conscience, toutes ses idées et tous es projets sur ce qui m'intéresse plus que personne. Adieu sans adieu jamais, votre ami toujours bien misérable mais encore plus fidèle et plus sympathique Emile Deschamps ». Sympathique lettre à une amie proche, à la fin de sa vie, avec une grande et émouvante signature, presque plus lisible qu'en temps normal ! [187]
La Plume, Paris 1er Février 1900, 19x26cm, broché.
Edition originale de ce numéro entièrement consacré à Léon Deschamps, fondateur de la revue. Contributions de Papus, A. Scholl, L. Riotor, F.A. Cazals, A. Retté, P. Adam, A. Segard, L. Deschamps... Numéro illustré d'un portrait de L. Deschamps. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85