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‎Traité des Eaux Minérales de Châteldon, de Celles de Vichy et Haute-Rive en Bourbonnois avec le détail de leurs Propriétés Médicinales et leur Analyse. A Moulins et à Paris, chez la Veuve Faure et Vidalin et chez Didot le jeune, 1778. RELIE AVEC (à la suite): 2). AVIS A MONSIEUR DEBREST, Docteur en médecine, etc. Au sujet d'un Traité qu'il vient de publier sur les Eaux minérales de Châteldon, de Vichy et d'Hauterive. S.l.n.d. (c.1778). 3). DEBREST (Jean-Baptiste). Lettre à MM. les auteurs du Journal de Médecine. A Clermont-Ferrand et à Paris, chez Antoine Delcros, chez le Sieur Didot, 1779.‎

‎ 3 ouvrages en 1 volumes. 1). XXIV. 301 pages. 1 feuillet. 2). 63 pages. 3). 35 pages. (17x10 Cm). Demi veau. Dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin grenat. Tranches rouges. Coins et coiffes émoussés. Plats frottés. Premier ouvrage qui met en avant les bienfaits des eaux minérales de Châteldon, par le médecin et inspecteur des eaux à Vichy Jean-Baptiste Desbrest. Il semble que les bienfaits des sources des Vignes de Châteldon étaient connus de Louis XIV, par l'intermédiaire de son médecin. C'est néanmoins le travail de Debrest et la publication de ce traité qui en lança l'exploitation. L'auteur qui qualifie les eaux de Châteldon de "plus médicinales d'Europe", projetait d'y installer une station thermale. Reliés à la suite un ouvrage de recension critique du Traité, dans lequel on pointe certaines erreurs et approximations de Desbrest, ainsi qu'une lettre de réponse adressée à des détracteurs des travaux du médecin. Tampons à l'encre du Dr Emile Badoche aux derniers feuillet du troisième ouvrage. Second ouvrage un peu court de marges (quelques notes marginales affectées). Taches et rousseurs éparses. Mouillure sur la dernière partie du livre. Papier bruni. Petits accrocs. Taches et rousseurs. ‎

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