(Paris, 1683).
Texte polémique et très amusant contre certains des confrères médecins de Denyau qui "prétendent tout inventer d'eux mêmes sans livres & conseils". Ce texte commence par : "Monsieur Denyau, conseiller-lecteur & professeur du roi, docteur régent en la Faculté de médecine de Paris, expliquera les controverses de l'anatomie, dont il fera la démonstration selon Galien & Hippocrate. Il évitera la confusion de ces commis de nouvelle doctrine..." Tout le reste de ce texte est très violent contre la "nouvelle doctrine". "L'homme, disent ces beaux trouveurs de rien, n'est qu'une machine qui doit-être expliquée par les mécaniques. Si nous faisons réflexion sur les termes dont ils se servent, ils sont barbares, rustiques, vils, forgés par de misérables manoeuvres & pour être bon médecin à leur méthode, il faut faire l'apprentissage de serrurier, menuisier, horloger, charpentier, maçon, fontainier & une infinité d'autres." (...) Lundi 22 Février 1683. On fera la démonstration du squelette ... au Colllège royal de France." /// In-4 de (4) pp. //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Mathurin Denyau (?-1680), docteur en 1635 et régent en la faculté de médecine de Paris, professeur royal, médecin ordinaire du roi Louis XIV, natif de Vendôme, père d'Alexandre-Michel Denyau.
Reference : 013792
Mathurin Denyau (?-1680), docteur en 1635 et régent en la faculté de médecine de Paris, professeur royal, médecin ordinaire du roi Louis XIV, natif de Vendôme, père d'Alexandre-Michel Denyau. P.S., 15 mars 1675, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de sa rente sur les gabelles. [280-2]
Alexandre Michel Denyau (1637-1712 ou 1714), conseiller et médecin du roi, lecteur au Collège royal, docteur de la faculté de médecine de Paris, doyen par date de réception doctorale (et non doyen de la faculté).
Reference : 013791
Alexandre Michel Denyau (1637-1712 ou 1714), conseiller et médecin du roi, lecteur au Collège royal, docteur de la faculté de médecine de Paris, doyen par date de réception doctorale (et non doyen de la faculté). P.S., 10 août 1677, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de sa rente sur les gabelles. [280-2]