3 books for « demay marcelle charles... »Edit

‎La mode en 1912‎

‎ Paris, Marcelle Demay Modiste, 1er mars 1912, 316x242mm, 14 feuillets non numérotés, sous couverture illustrée, relié d’une cordelette dorée. Imprimé par Draeger Frères, illustré de 4 planches lithographiques rehaussées au pochoir par Charles Martin qui réalise également la couverture et les vignettes. Quatre photographies en couleurs de Berthe Cerny de la Comédie Française portant des chapeaux de la célèbre modiste. Bel exemplaire.(101799) ‎

‎La Mode en 1912 chez Marcelle Demay. ‎

‎Paris Draeger 1912 1 Illustrations de Charles MARTIN. Paris, Draeger, 1912, in-4, broché, couverture illustrée en couleurs et or. ‎

‎Charles MARTIN (1884-1934), illustrateur et dessinateur du XXe siècle, collabore aux revues "Le Sourire", "La Vie Parisienne", la "Gazette du Bon Ton" ... Quatre planches hors texte au pochoir de Charles MARTIN représentant des chapeaux et cinq photos en couleurs de comédiennes de Talbot illustrent ce superbe catalogue au raffinement subtil. Sans doute le plus beau catalogue jamais édité par une modiste, coup de chapeau immortel ! (Catalogue Exposition Forney, "Pages d'Or de l'Edition Publicitaire", 1988, n° 3). Infimes usures et petites piqures, infime insolation. ‎

‎ Costumes parisiens. Planche n°19. Modèles de M.me Marcelle Demay. Chapeaux d'automne. 1. satin blanc fantaisie paradis noir ; 2. bonnet hollandais fond or broderie laine couleurs ; 3. tricorne velours et paradis olive ; 4. en velours et moire, couronne d'autruche frisée ; 5. bergère Louis XVI, crêpe de Chine blanc, panne noire et camélias ; 6. velours canard pouff autruche ; 7. bonnet du soir, broché, œuf d'aigrette ; 8. Le Mignon : en velours noir, boules multifil ; 9. en velours saphir, soierie écossaise ; 10. en velours fantaisie paradis rubis.‎

‎ 1912. 167 x 93 mm.‎

‎Planche dessinée par Charles Martin, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.‎