Éditions André Sauret, Monaco, 1976. 25 x 33,5 cm, 163 pp. - 3 pp. de table. Pleine toile crème d'éditeur, sous jaquette illustrée par unelithographie originale de Paul Delvaux et rhodoïd imprimé, étui cartonné. Ouvrage illustré de 97 reproductions dont 28 en couleurs, avec deux lithographies originales impriméespar Mourlot : le frontispice Le reflet [M.J. 92 ] et la jaquette illustrée en 2 tons utilisant la partie centrale delestampe Le tramway [M.J. 55]. Etui légèrement abîmé, sinon très bel exemplaire, frais. Exemplaire enrichi dun envoi autographe signé dAnne et Paul Delvaux. Est jointe une carte de voeuxillustrée du tableau « Murmures » de P. Delvaux, également signée par Tam et Paul [Delvaux]. Tam est le surnom que Delvaux avait donné à sa femme, née Anne-Marie de Martelaere. Réf. pour les estampes : M. Jacob, Paul Delvaux, OEuvre gravé, pp. 108-109 et 156-157.
Bruxelles et Paris, éd. Galerie Isy Brachot, 1987, in-4, cartonnage souple à rabats, couv. ill. d'un dessin en coul. de Delvaux, non pagine (62 pp.), papier glacé, très nb. reproductions d'œuvres en coul. et en noir de Paul Delvaux, Remarquable catalogue de l'exposition de l'œuvre de l'artiste belge Paul Delvaux dans la galerie Isy Brachot à Bruxelles et à Paris, en 1987 et 1988. Très belle présentation et choix d'œuvres, dont certaines en couleurs. Très bon état
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Paris, Dutilleul, Paris, Dutilleul1955 ; plaquette in-16, broché, couverture ornée - EDITION ORIGINALE rare de ce recueil de poèmes inspirés par les tableaux de Paul Delvaux. Tiré à seulement 200 exemplaires sur papier alpha, sur les presses de G.M Dutilleul. Dessin de Paul Delvaux en frontispice.
BUTOR (Michel) - CLAIR (Jean) & HOUBART-WILKIN (Suzanne) - [DELVAUX Paul)].
Reference : 29925
(1975)
Paris / Lausanne, La Bibliothèque des Arts, (1975). Un vol. au format in-4 (312 x 247 mm) de 352 pp. Reliure d'édition de pleine percaline grège, sous jaquette illustrée.
L'ouvrage s'agrémente d'une abondante iconographie en noir et couleurs et ''constitue le premier grand bilan de l'oeuvre peint de Paul Delvaux et en propose une lecture à la fois fictionnelle et analytique. Il recense 335 tableaux et peintures murales accompagnés d'une information exhaustive''. ''Paul Delvaux fait du monde un musée, dont la femme est la gardienne, à l'entrée du tableau, la vestale, la vénus, la courtisane sacrée. Il la transforme en figure, sans identité, sans finalité, rayonnante d'être là, dans une sorte d'attente pure, d'innocence érotique, de songe vide dans la lumière''. Jaquette présentant un petit manque en tête du dos ainsi que quelques altération marginales Du reste, très belle condition.
Aux dépens des éditions Lumière. Collection la pêche d'or, 1944.Un volume broché (20 x 26 cm) de 83 pages, 6 planches hors-texte, y compris le frontispice, dessinées par Paul DELVAUX. Exemplaire en bon état;Un des 500 exemplaires numérotés sur vélin.Envois autographes signés de Franz Hellens et de Paul Delvaux au peintre Olivier Picard (1868-1964).
1965. Klein-4°. 64 S. mit 8 farbigen montierten Abbildungen, 48 S. mit 45 ganzseitigen s/w. Abbildungen, 5 s/w. Fotografien und 1 ganzseitigen Faksimile-Brief. Originalleinwand mit Schutzumschlag.
Seite 7 mit handschriftlicher Widmung und Signatur von Paul Delvaux, datiert 21-9-72. - Schutzumschlag beschabt. Pergaminpapierumschlag mit Ein- und Abrissen. - Sauberes Exemplar. 45, 5 1
Editions Dutilleul, Paris, 1955. Un volume broché (12 x 14,5 cm) non paginé. Exemplaire en bon état. Edition originale de ces poèmes inspirés des tableaux de Delvaux. Tirage limité à 200 exemplaires numérotés sur Alfa. Envoi autographe de Paul Dewhalens . Avec une illustration de Paul Delvaux en frontispice.
Denoël Paris 1967 In-4 carré ( 325 X 275 mm ) de 112 pages, pleine toile framboise à la bradel sous jaquette illustrée d'un dessin de DELVAUX, celluloïd et étui illustrée d'une grande vignette contrecollée de DELVAUX. Présentation de Maurice NADEAU. Collection dirigée par Alex GRALL. 92 planches de dessins hors-texte et 8 dans le texte de Victor BRAUNER, de 1929 à 1964. Très bel exemplaire.
New York Staempfli Gallery 1959 1 vol. broché in-8 oblong, agrafé, 1 frontispice en couleurs et 26 reproductions en noir à pleine page. Texte en anglais. Bon état.
Paris Denoël 1967 1 vol. en feuilles in-folio, en feuilles, chemise et étui de toile bordeaux, 112 + (8) pp., nombreuses reproductions en noir et en couleurs à pleine page. Edition originale. Un des 100 exemplaires hors commerce sur vélin de Lana, celui-ci imprimé spécialement pour Pierre Humbourg et signé au crayon par l'artiste. Dos de l'étui légèrement défraîchi. Sinon bonne condition.
Genève. Galerie Engelberts, 1977. Catalogue 8 x 15 cm. agrafé à l'italienne. Cette exposition a eu lieu de juillet à septembre 1977. Texte de présentation. Environ 70 reproductions en noir & blanc avec les prix de vent. E.O.
Musée des Arts décoratifs 1969 1 vol. broché in-4 carré, broché, non paginé., nombreuses reproductions en noir et en couleurs et 76bis numéros décrits. En très belle condition.
Knokke-Heist, 1973 175pp.rijkelijk geïll. (richement illustré), 24cm., (bilingue: français-néeralandais), lichte gebruiksslijtage (qqs.traces d'usage)
Bruxelles, Jacques Antoine, 1971. Hardcover petit in-4 oblong, non paginé, texte manuscrit de Franz Hellens en fac-similé et 7 dessins hors-texte de Paul Delvaux., cartonnage pleine toile noire, décor en blanc.- E.O. après 23 numérotés.
Bel exemplaire (rousseurs aux gardes). [CA31-8]
P., Albin Michel, 1985, in 4° relié pleine toile bleue de l'éditeur, jaquette illustrée en couleurs, 279 pages ; innombrables illustrations.
"Ce livre a été édité par le Fonds Mercator à Anvers à l'initiative de la Banque Paribas Belgique et avec la collaboration de la Fondation Paul Delvaux". Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
"etc D. Mothé Paul Cardan Jean-François Lyotard Jean Delvaux Paul Canjuers"
Reference : 13798
(1962)
"1962. Paris Claude Lefort et Cornelius Castoriadis décembre 1961-février 1962 - Broché 13 5 cm x 22 cm 100 pages - Textes de Paul Cardan D. Mothé Jean-François Lyotard Jean Delvaux Paul Canjuers etc - Bon état"
P. J.J. Pauvert 1967. Fort in-4° pleine toile violine à la Bradel sous jaquette illustrée en couleurs (jaquette légèrement effrangée), 318 pages.
Très nombreuses illustrations dans et H.T. en noir et en couleurs.
Bruxelles, Blondel Artprinting international, 1997. Un volume, in-4, plein cartonnage toîlé à la Bradel de l'éditeur, bien complet de sa belle jaquette illustrée, 319 pp. 233 reproductions hors-texte en couleurs et planches de carnets de croquis en noir et blanc.
Ont collaboré à cet ouvrage : Laurent Busine - Pieter de Reuse - Eliane de Wilde - Claude Levi-Strauss - Frédérik Leen - Baron Philippe Robert-Jones - Gisèle Ollinger-Zinque - Paul-Louis Spaak - Charles van Deun. Exemplaire à l'état de neuf. Photos sur demande.
Galerie Engelberts, Genève 1977. Broché minuscule oblong 8 x 15, couverture turquoise imprimée. 71 reproductions en noir.
45ème petit catalogue d'expo présentant près de 100 estampes à prix marqués, une jolie référence et qui prendra si peu de place :-) Si d'aventure quelque autre notice ressemblerait étrangement à la mienne sur la toile, sachez que je ne pompe jamais celle des con-frères... sans les citer ou le leur demander :-(Dans la même série, je dois avoir Ernst, Michaux, Lecoultre-Sarto et Bonnard-Miro, que de rimes d'eaux :-) > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
"2. Brussel, Koninklijke Musea voor Schone Kunsten van België, 1977 July 8; Hulde aan Paul Delvaux. 19 x 21 cm, ca. 66 nn pp with coloured and b/w ill. orig. wrappers. Text in Dutch."
Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique, 1977. 21 x 19, sans pagination, nombreuses illustrations en N/B et en couleurs, broché, bon état.
Editions Filipacchi - "La Septième Face Du Dé" Paris 1972 In-4 carré ( 310 X 245 mm ) de 80 pages, pleine toile bleue à la bradel sous jaquette illustrée en couleurs. Superbe et abondante iconographie en couleurs et en noir dans et hors-texte. EDITION ORIGINALE. Bel exemplaire.
1985 Bruxelles, Centre Culturel Wallonie, Paris, Beaubourg, 1985, in 4° oblong, 48 pages non paginées ; illustrations en noir et en couleurs ; couverture illustrée en couleurs.
57 numéros décrits. ...................... Photos sur demande ..........................
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CEF. 20-11-1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Feuillet artistique philatélique de format paysage 31,1 x 21,6 cm tiré sur papier épais glacé, édité par les oeuvres sociales du personnel des PTT et le réseau commercial CEF et étranger au profit des oeuvres sociales des PTT. Il est composé d'un timbre original oblitéré du cachet premier jour, d'une illustration couleurs, d'une notice explicative.. . . . Classification : 20-Documents Philatéliques
Ce feuillet artistique philatélique a été imprimé à tirage limité. Ce document est une mine et un trésor d'informations sur le sujet traité, histoire, contenu artistique et biographie des personnages. Classification : 20-Documents Philatéliques
Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -
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