Février 1844. Poème manuscrit de 3 pages in-8 (encre palie), adressé à M. Nicétas Périaux, rédacteur de la Revue de Rouen (cachet et tampons).
Bel hommage en vers à l'auteur havrais, répondant ainsi à un coucours de la Revue de Rouen après le décès de Casimir Delavigne en 1843. Sans remporter le 1er prix, il fut apprécié suffisamment par le comité de lecture pour être intégralement reproduit dans la Revue de Rouen, 1844, page 121.