Paris René Debresse 1939 1 8° Broché (4), 316 René Debresse, Paris, 1939. un volume in 8° broché de (4), 316 pages, bon état. Poids avant emballage 250 gr, frais d'envoi colissimo 650
Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris, Maisonneuve et Larose, 1983, in-8, 163pp, broché, Très bel exemplaire abondamment illustré de photographies. Bien complet de la jaquette illustrée. 163pp
PARIS, R. Debresse - 1939 - In-8 ° broché - 313 ,pages - Propre.
Préface de Louis DELEPOULLE. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
On a volé la « tête de cire » est un roman « policier » de Léopold Delannoy, journaliste lillois. Il ne peut que nous intéresser car il se déroule à Lille (avec quelques escapades à Cassel ou Armentières) et fait revivre la ville telle qu’elle était dans les années 30, quand Roger Salengro en était encore le maire, avec ses tramways passant par la place de la Déesse, ses cafés et leurs clients finissant un bock, ses commerçants ou livreurs de bière « au rugueux tablier ». Le titre de l’ouvrage renvoie à la « tête de cire » qu’abrite le musée de Lille après que la « Société des Sciences, de l’Agriculture et des Arts » de la ville, héritière de Jean-Baptiste Wicar (1762-1834), son premier propriétaire lillois, en eut fait don en 1865. L’auteur imagine qu’à l’instar de la Joconde, ce buste (peut-être romain, peut-être renaissant, peut-être un pastiche plus récent) a été dérobé. Le juge d’instruction Félix Martelle est en charge de l’affaire, aidé de son ami d’enfance le journaliste globe-trotter Louis Velpart, qu’il vient de retrouver par hasard et qu’il a invité à résider chez lui, où vivent sa femme, ses deux enfants et, pour le moment, sa belle-sœur Jeanne, érudite spécialiste de l’histoire de Lille. C’est avec un humour quasiment surréaliste que Delannoy nous fait suivre les soubresauts de l’enquête : on soupçonne d’abord un noble vieillard et son fils qui dans un café évoquaient une tête cassée. Las, il s’agissait de la tête… de bielle de leur voiture donnée à réparer… Volume in8, 18x10, relié demi cuir, très bel état intérieur, 333pages. Couverture d'origine conservée. René Debresse éditeur, 1939. Edition Originale, rare. ref/108