À Paris, de l'Imprimerie impériale, 1810, in-8, VII-[1]-362 pp, Broché, couverture d'attente, Première édition de cet ouvrage historique majeur qui a paru, la même année, au format in-4. Il s'agit d'une publication parallèle à celle des rapports de Cuvier sur les sciences naturelles (Rapport historique sur les progrès des sciences naturelles. Paris, Imprimerie impériale, 1810) et de Dacier sur la littérature (Rapport historique sur les progrès de l'histoire et de la littérature ancienne. Paris, Imprimerie impériale, 1810), parus la même année et présentés au Conseil d'état : ces tableaux des progrès des sciences depuis 1789 avaient été prescrits par les Consuls le 13 ventôse an X et préparés par les ministres de l'Intérieur, Chaptal en 1803 et Champagny en 1807. Delambre propose tout d'abord un résumé concis des sciences mathématiques, puis détaille, pour chacune des branches qui les compose leur diverses évolutions : Géométrie, Algèbre, Mécanique analytique, Astronomie, Géographie et Voyage, Physique mathématique, Mécanique, Manufactures et Arts. Jean-Baptiste Delambre (1749-1822) fut l'un des plus brillants astronomes de son époque. Il mit au point les tables d'Uranus et celles des satellites de Jupiter. Delmabre succéda à Lalande à la chaire d'astronomie au Collège de France. Il est aujourd'hui célèbre pour avoir, avec Méchain, contribué à l'établissement du système métrique, et pour ses travaux personnels d'observations et ses tables astronomiques. Exemplaire tel que paru, non rogné, sous couverture d'attente de papier à la cuve bleu. Faibles rousseurs. Couverture un peu fanée. Couverture rigide
Bon VII-[1]-362 pp.
Paris, 4 octobre 1819, , 1 page in-4 [20 x 24,5 cm], sur un feuillet replié, adresse au dos avec trace de cachet à la cire, Lettre à en-tête de l'Institut de France, classe des sciences physiques et mathématiques, adressée à un correspondant de l'Institut à Lisbonne, Timothée Lecussan, dit Verdier (négociant, 1756-1831), signée du secrétaire perpétuel, le célèbre astronome Jean Baptiste Joseph Delambre (1749-1822) . L'institut accuse réception de la "carte des côtes du Portugal en deux feuilles (...) adressée de la part de M. Franzini (...) ainsi qu'une autre feuille contenant les plans des principaux ports de ce Royaume relevés par le même auteur". Une note manuscrite marginale informe que "la demande que fait M. Franzini d'être inscrit sur la liste des correspondants de la classe, a été prise en considération." Marino Miguel Franzini (1779-1861), militaire de la marine portugaise et homme politique, fut l'un des pionniers de la statistique pour le Royaume du Portugal, ainsi que dans les études météorologiques. En 1812, il publie un Roteiro das costas de Portugal (Routier des côtes du Portugal), qui connait une première traduction française en 1822 (Imprimerie Royale). Couverture rigide
Bon 1 page in-4 [20 x 24,5 cm]
Jacques Gabay. 2004. Réimpression de l'édition de 1827. Fort in-8. br. 796 p. + 3 planches de Nbrs figs. Excellent état.
S.l. [Paris] s.d. [1808] in-8 en feuilles sous couverture d'attente de papier crème de l'époque
23 pp.Un seul exemplaire au CCF (Lyon). Extrait des numéros 10 et 11 du Moniteur. Cet éloge du célèbre astronome mort le 4 avril 1807 fut prononcé par Delambre (1749-1822) en tant que secrétaire perpétuel de l'Institut, mais ses spécialités (mathématiques et astronomie) étaient les mêmes que celles du défunt.Très rare
Paris Imprimerie impériale 1810 in-8 broché sous couverture d'attente de papier crème, non coupé
2 ff.n.ch., pp. v-viij, 362 pp.Cet important rapport ne concerne pas que les mathématiques pures, mais aussi toutes les disciplines qui y recourent ; on trouvera donc des chapitres sur la géographie, les voyages, l'astronomie, les manufactures, etc. C'est en tant que secrétaire perpétuel de la classe de mathématiques de l'Institut que l'astronome Delambre (1749-1822) eut à rédiger ce rapport
Paris Baudouin janvier 1806 in-4 en feuilles sous couverture d'attente de papier rose
2 ff.n.ch., pp. 5-32.Aucun exemplaire au CCF. L'astronome Pierre Méchain était mort de la fièvre jaune en Espagne (Castellon de La Plana) le 20 septembre 1804, alors qu'il cherchait à refaire le calcul de l'arc du méridien Dunkerque-Barcelone, nécessaire à la détermination précise du mètre