s.d. (ca 1823), 12x18,2 cm et 10x15,5cm, Six pages sur deux feuillets rempliés.
Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui avait failli apercevoir une lettre de Madame de Pron dans ses appartements : «J'ai feint d'avoir perdu ma clef [...] J'espère que mon tort envers lui n'influera pas sur ses relations avec... Dieu veuille qu'il l'ignore toujours!» (Journal, 27 octobre 1822, éd. Michèle Hanoosh, vol.1, p.94). Prisonnier de ce carré amoureux, Delacroix se résigne à partager l'affection de son amante, mais il lui en fait l'amer reproche: «Je crains que vous ne puissiez pas aimer parfaitement. Il s'est fait dans vos sentiments une lacune qui vous a été fatale [...] dis-moi que non, dis-le-moi de toutes les manières, trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin». Vouvoiement et invectives familières se confondent dans l'esprit tourmenté du peintre. Ironie du sort, Delacroix séjourna fréquemment chez l'autre amant de Madame de Pron, son cousin le général d'Empire Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet, chez qui elle logeait rue Saint-Dominique. Delacroix prendra sa revanche sur ce rival en peignant pour lui en 1826 la fameuse Nature morte aux homards (musée du Louvre), prenant soin d'y glisser de facétieuses références à l'ultra-royalisme de son commanditaire : «J'ai achevé le tableau d'animaux du général [...] Il a déjà donné dans l'il à une provision d'amateurs et je crois que cela sera drôle au Salon [de 1827-1828]» écrit-il dans une lettre à Charles Soulier. Un souvenir de la liaison de Delacroix avec Madame de Pron subsiste dans son tableau en cours, les Scènes du Massacre de Scio, révélation du Salon de 1824, qui placera Delacroix en chef de file du Romantisme et révolutionnera l'histoire de la peinture. En effet, il se procurera par l'entremise de son amante des armes Mameloukes, dont il subsiste une étude (J72) et qui figurent au flanc du spahi chargeant les femmes dans la composition finale. Aussi, un album d'aquarelles de la main de son ami Soulier le représente en train d'orner la chambre de son ancienne amante de décors pompéiens dans le château de Beffes, où il séjournera brièvement en juin 1826. L'ardeur de sa passion pour Madame de Pron est enfin révélée par cette lettre qui ne figure dans aucun essai biographique ni correspondance du peintre. Plus tard, Delacroix se rappellera au bon souvenir de son amante: «Tu diras à Mme de Pron que les Françaises n'ont pas d'égales pour la grâce» (lettre à Soulier, 6juin 1825). - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.l.n.e., 1992, 1 vol. in-4 (270 x 210) broché sous couverture illustrée en couleurs, de 60 pp. Très bel exemplaire.
Catalogue de l'exposition qui s'est tenue au Musée Condé du 7 octobre au 31 décembre 1992, abondamment illustré en noir. 49 numéros décrits. Parmi les peintres présentés : Joseph-Louis-Hippolyte Bellange - Stanislas von Chlebowski - Adrien Dauzats - Alexandre-Gabriel Decamps - Eugène Delacroix - Capitaine Fournier - Eugène Fromentin - Karl & Edouard Girardet - Gaspard Gobaut - Jean-Antoine Gros - Pierre-Antoine Labouchère - Edward Lear - Prosper Marilhat - Isidore-Alexandre Pils - Edouard-Henri-Théophile Pingret - Denis-Auguste-Marie Raffet - Augustin Régis - Philippe B. de rouvre - Emile-Jean-Horace Vernet - Félix Ziem. Bibliographie in-fine. On joint à l'ouvrage une plaquette des Editions du Sagittaire intitulée "Edition spéciale à l'occasion de la publication en première mondiale de l'ensemble des carnets du Maroc d'Eugène Delacroix" et le bulletin de souscription de ces carnets.
Plon-Edition d'Histoire et D'Art Deux volumes non séparés 97 et 98 pages,In-12°, brochés, rousseurs marginales superficielles et belle intégrité mécanique.
Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
SHAKESPEARE. François-Victor Hugo ( traduction de ). DELACROIX, Eugène ( illustrations )
Reference : 83925
(1984)
1984 Ed. Marchal - 1984 - In-8 (carré), broché, couverture illustrée - 176 pages
Bon état
13 septembre 1852, 12,2x19cm, une feuille.
Longue lettre autographe signée de l'archéologue et conservateur des antiques du musée du Louvre, Adrien de Longpérier, à un journaliste, 4 pages sur une feuille rempliée. Dans cette passionnante lettre sur Eugène Delacroix, le conservateur des antiquités égyptiennes Longpérier fustige un journaliste, auteur d'une dure critique du plafond du peintre à la galerie d'Apollon du Louvre : "mais quand il s'agit seulement d'un plafond, fait pour une galerie roccoco, quand du reste j'ai reconnu que cet ouvrage produit un excellent effet décoratif que le ton général est parfaitement adapté à la place et qu'outre cela le tableau contient un certain noombre de détails traités avec un véritable talent, je ne vois pas la nécessité d'aller attaquer très vivement très rudement non seulement l'oeuvre mais encore la personne de l'artiste". Delacroix avait réalisé composition intitulée Apollon terrassant Pythonpour la galerie construite sous Louis XIV et nouvellement restaurée sous la seconde République. En pleine querelle des romantiques, Longpérier cite également Jean-Auguste Dominique Ingres, auteur lui-même d'un plafond au Louvre (L'apothéose d'Homère) : "Comme vous avez l'imprudence de mettre le plafond d'Homère en parallèle avec celui d'Apollon, vous n'eussiez pas pu empêcher que, dans la discussion, on ne s'en prit à votre vénérable ami. Croyez vous que si Ingres, qui aime si peu la discussion, vous eu su un bien grand gréde ces horizons que vous lui eussiez procurés ? [...] Imaginez-vous que vous ayez fait le sacrifice d'une somme assez considérable pour fonder un journal, et que je vous apporte un article violent contre M. Ingres ? (Je dis : imaginez, car je suis, moi, un admirateur de M. Ingres et n'ai en aucune manière envie de le critiquer) [...] Iriez-vous donner aide à celui qui voudrait le combattre ?".Ingres, peintre représentant l'école classique avait sa préférence, à la différence de Delacroix le romantique, dont il n'apprécie pas le style mais reconnaît malgré tout les qualités humaines :"J'ai reconnu que c'est un homme très doux, très poli, fort instruit et fort modeste [...] Je parle de l'homme ; quant à ses oeuvres, elles sont plus ou moins bonnes. Il y en a même de fort mauvaises" . Longpérier parle longuement des travaux de restauration au Louvre menés par l'architecte Félix Duban, qui supervisait la rénovation de la galerie d'Apollon et d'autres chantiers majeurs : " Je verrais avec grand plaisir que vous fissiez sentir le mérite de la restauration de la galerie d'Apollon, de la façade du jardin de l'infante, de la façade d'Henri IV sur le quai et du plafond de la Salle des sept cheminées décoré, avec tout de goût, de figures peintes. Le public, dirigé par des journalistes peu instruits, a critiqué bien à tort l'emploi de ces grandes figures si harmonieusement colorées". - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[DELACROIX Eugène] BESSEDE Claire & al.
Reference : PEINTURE23230000924
(2022)
ISBN : 9782847424829
Paris, Le Passage / Musée du Louvre Editions, 2022, 20,5 x 26, 158 pages sous cartonnage éditeur illustré. Iconographie couleurs. Catalogue publié à l'occasion de l'exposition présentée au musée national Eugène Delacroix du 16 mars au 27 juin 2022. "Peu après son emménagement dans son nouveau domicile du 6 rue de Furstemberg, à Paris, Eugène Delacroix écrit dans son journal : "La vue de mon petit jardin et l'aspect riant de mon atelier me causent toujours un sentiment de plaisir." Delacroix ressent la nature de manière sensuelle. La nature qu'il observe est loin d'être vide et les animaux, aussi petits soient-ils, sont pour lui matière à réflexion. S'il prend plaisir aux promenades dans la campagne, il n'expose pas pour autant ses rares paysages. Il multiplie les croquis sur le motif, mais laisse une large place à l'imagination dans ses tableaux. Surtout, le passage du dessin d'après nature au tableau dépend le plus souvent du travail intellectuel de composition effectué dans l'atelier à partir de sources différentes. Il travaille à partir de ses propres études et de ses souvenirs, mais il se nourrit aussi des oeuvres des artistes qu'il admire, Rubens, surtout, pour les combats de fauves. Il entretint toute sa vie avec le sculpteur animalier Barye une amitié née d'un intérêt partagé pour les grands fauves de la ménagerie du Jardin des Plantes... Le catalogue de l'exposition Delacroix et la nature montre le travail de Delacroix, du croquis au tableau achevé, et confronte ses oeuvres au réel avec une planche botanique et des animaux naturalisés de la maison Deyrolle, déjà active du temps de l'artiste, qui laissent au lecteur le soin d'imaginer la posture de l'artiste face à l'animal."
Pied de dos et angle de premier plat émoussés.
Pierre Petit, Paris 1858, 6x10,4cm, une feuille.
Photographie originale à l'albumine de Eugène Delacroix au format carte de visite, représentant le peintre assis sur un fauteuil. C'est le plus célèbre portrait de Delacroix. La séance de pose chez Pierre Petit fit l'objet de plusieurs poses et on trouve des tirages différents de cette séance au Musée d'Orsay et au Metropolitan de New-York. Une photographie montée sur carton. En marge basse, Pierre Petit. Au dos, publicité de Pierre Petit avec son adresse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[Everat Imprimeur de la Revue de Paris Au Bureau de la Revue de Paris et chez Levavasseur] - Collectif ; VERON, Docteur ; (DELACROIX, Eugène ; SCRIBE, Eugène ; NODIER, Charles ; CHASLES, Philarète ; SAINTE-BEUVE ; MERIMEE, Prosper)
Reference : 34509
(1829)
2 vol. in-8 reliure postérieure demi-basane à coins bleue, dos lissé orné, Everat Imprimeur de la Revue de Paris (Tome 1), Au Bureau de la Revue de Paris et chez Levavasseur (tome 2), Paris, Avril et Mai 1829, tome 1 : 2 ff. (1 f. portant la mention "Imprimerie d'Everat" et 1 f. de faux-titre), 256 pp. et 4 ff. n. ch. (partition de Rossini sur un texte de Casimir Delavigne) ; Tome 2 : 2 ff., 252 pp.
Rare et bel exemplaire (un petit choc léger à un dos) de l'édition originale des deux premiers tomes de la Revue de Paris (à ne pas confondre avec les diverses contrefaçons belges). Ces deux volumes contiennent notamment les débuts de la publication des "Portraits et Souvenirs de la Révolution Française" de Charles Nodier, la première parution de la nouvelle "Mateo Falcone" de Prosper Mérimée, l'article "Des institutions littéraires à la Chine" par J. P. Abel-Rémusat et surtout les débuts de Delacroix comme critique d'art avec son article "Des Critiques en matière d'Arts".
A. Quantin, 1878, grand in-8 cartonnage percaline (17 x 26), XX-391 p., coll. "Bibliothèque de l'Art et de la Curiosité", un portrait d'E. Delacroix en front., planches coul., fac-similés de lettres, reliure amateur convenable avec pièce de titre, assez bon état.
"Un recueil de lettres de Delacroix où l'on retrouve l'expression la plus touchante de ce sentiment qui fut la caractéristique du cœur d'Eugène Delacroix : l'amitié. Aux épanchement de la jeunesse succèdent les préoccupations de la virilité, les tristesses de l'âge mûr, l'horreur de "l'injure de la vieillesse". Son coeur ne vieillit pas.
Plon, 1936, 1938. Complet en 5 volumes, in-8 reliés (22,7 x 15 cm), reliure demi-maroquin bleu-nuit, titre doré sur le dos, couverture imprimée conservée, 454-428-432-392-280 pages, illustrés d'un frontispice dans chacun des volumes, quelques gravures hors-texte. Petit ex-libris. Très bel état dans une remarquable fraîcheur, parfait état des reliures.
Librairie Plon. Broché D'occasion état correct 01/01/1942 150 pages
Librairie Plon. Broché D'occasion état correct 01/01/1942 150 pages
Librairie Plon Broché D'occasion bon état 01/01/1942 150 pages
Shakespeare, William - Hugo, François-Victor (trad.) - Sérullaz, Arlette (préf.) - Delacroix, Eugène (ill.)
Reference : 5129
(1984)
ISBN : 2865010023
Paris Editions Marchal 1984 in-8 broché Paris, Editions Marchal, 1984. 22 x 22 cm, in-8, 176 (4) pp., reproductions en noir dans le texte, broché sous couverture à rabats illustrée et imprimée.
L'un des 2200 exemplaires numérotés sur papier ivoire Kaolimat d'Arjomari-Prioux (n° 1078). Couverture un peu défraichie avec trace d'étiquette. Ex-dono au premier feuillet blanc. Bon ///// ATTENTION : la librairie sera fermée du 17 décembre au 5 janvier. Pendant cette période je ne pourrai que prendre note de vos réservations d'ouvrages. En vous souhaitant à tous et toutes de joyeuses fêtes !
Sous jaquette d'éditeur en couleurs. Reliure d'éditeur pleine-toile verte. Dos lisse avec titre en long et date dorée. Premier plat avec titre doré. Pages non-ébarbées. De petites rousseurs éparses n'atténuent qu'à peine la beauté du contenu orné de fac-similés, d'une planche contre-collée en couleurs, d'illustrations en noir et blanc en noir et blanc ou en couleurs in- et hors-texte, ainsi que de deux suites de planches en noir et blanc ou en couleurs : l'une numérotés jusqu'à 43, l'autre X.
Lourdes. Les Amis du Musée Pyrénéen. 1975. XVI-60 pp. In-4. Cartonné. Très bon état. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ. Un des 500 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches.Dessins et aquarelles présentées par Claudine Ganeval et Pierre C. Lamicq.Préface de Maurice Sérullaz.Bel ouvrage rendant l'hommage qui est à ce grand artiste du XIXe siècle qu'était Eugène Delacroix (), ainsi qu'à ces paysages des Pyrénées qui lui ont inspiré de superbes créations picturales et graphiques.
Delacroix regrette de ne pouvoir se rendre chez lui le soir même, …je suis pris depuis trois jours dune inflammation de la gorge pour laquelle il mest interdit de me trouver dans toute espèce de réunion et de dire un seul mot. Les conséquences de ces indispositions auxquelles je suis sujet sont si graves pour moi quelles me forcent momentanément à un régime sévère…Il le charge dexprimer ...combien je suis affligé de ce contretemps à Monsieur Shulhoff... [sans doute Julius Schulhoff, 1825-1898, pianiste et compositeur que Frédéric Chopin encouragea à devenir pianiste professionnel].Peintre majeur du mouvement romantique, Eugène Delacroix laissa de nombreuses oeuvres engagées, souvent en rapport avec l'actualité, telles Scènes des massacres de Scio (1824) ou La liberté guidant le peuple (1830) ainsi que des oeuvres d'inspiration littéraire, telles La barque de Dante (1822) et La mort de Sardanapale (1827-1828) inspirée d'un poème de Byron.
Plon 1960 3 volumes. In-8. Reliures éditeur pleine toile rouge,étui carton, jaquettes rhodoïd, XXIII-503-483-536 pp., 40 planches hors texte. étui carton légèrement frotté, sinon très bon exemplaires.
Bon état d’occasion
Paris, Bibliothèque-Charpentier 1880 2 volumes. In-12 18,5 x 12 cm. Brochés, couvertures jaunes imprimées de lettres noires, XXIX-348-XXVII-355 pp. Couvertures ternies, dos fragilisés, intérieur assez frais.
Vol. I : 1804-1847 - Vol. II : 1848-1863. Bon état d’occasion
Plon - Editions d'histoire et d'art tome 9 et 10 I-II , mars 1942. Deux fascicules in 8, brochés, XIII-97 et 98 pages. Piqûres affectant les tranches et peu la pagination. Propres.
Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Paris, Plon 1932 - 1936 - 1937 - 1938, 225x140mm, broché. Bon état, hormis déchirure sur le bas du dos du tome III du Journal.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Plon Paris, Librairie Plon, 1926. 3 volumes In-8 brochés, LV pages pour l'étude sur le Maître par Paul Flat + 452 + 496 + 490 pages. I : 1823-1850. II : 1850-1854. III :1855-1863. Notes et éclaircissements par MM. Paul Flat et René Piot et table alphabétique des noms et des oeuvres citées. Bel exemplaire.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris, Charavay frères, 1885. In-4 de LXII-538-[4] pages. Reliure en plein maroquin bleu d’eau, dos à nerfs orné de caissons décorés d’un bouquet de fleurs dorées; filets, roulettes encadrant les plats, décorés du même bouquet doré, oiseaux, fleurons dorés, filets sur les coupes, roulette et filets dorés intérieurs, tranches dorées. Parfaitement établi dans une reliure de Pagnant.
Illustré de 2 portraits, dont un portrait de l’artiste d’après une photographie par Pierre Petit en 1862, et une myriade de vignettes : 1968 œuvres de Delacroix sont ici décrites. Vicaire VI, 1142.
Paris,Ministère des Affaires Culturelles,1963, 16 x 21 cm, 172 pp + planches en n et b, couverture illustrée, bon état,
catalogue d'exposition,Palais du Louvre,Grande Galerie.Avec le "petit journal des grandes expositions "joint.
CHAMPFLEURY Jules François Félix Husson, dit DELACROIX Eugène & MANET Edouard & MERIMEE Prosper & PRISSE D'AVENNES Emile & VIOLLET-LE-DUC Eugène Emmanuel & GRANDVILLE Jean Ignace Isidore Gérard & OK'SAI & KREUTZBERGER Charles
Reference : 73447
(1870)
J. Rothschild, Paris 1870, 11,5x18,5cm, relié.
Quatrième édition, postérieure d'une année à l'originale. Reliure en demi maroquin chocolat à coins, dos janséniste à cinq nerfs, date dorée en queue et signature du relieur en grande partie effacée, gardes et contreplats de papier peigné. Toirs coins émoussés et épidermures, sinon intérieur frais. Ouvrage illustré de dessins in et hors-texte d'Eugène Delacroix, Edouard Manet, Prosper Mérimée, Eugène Viollet-le-Duc, Ok'Sai, Grandville... Provenance : de la bibliothèque du Château de Cassan d'Alexandre Martel avec son ex-libris encollé sur le premier contreplat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1878 reliure éditeur - pleine toile grise in-quarto, illustrations : portrait en frontispice de Delacroix gravé par Villot - 7 fac-similés de lettres publiées par Philippe Burty et de 2 palettes sur double page couleur, 391 pages, 1878 à Paris A. Quantin Imprimeur Editeur,
Collection "Bibliothèque de lart et de la curiosité" bon état général