Paris, d’Houry, Paris, d’Houry1725 ; in-12, veau brun marbré, dos orné. (Reliure de l’époque) 12 ff. n. ch., 329 pp., (1 p.), 3 ff. n. ch.ÉDITION ORIGINALE EN FRANÇAIS. La traduction est de Jean Devaux. A. Deidier prétend que la maladie vénérienne a pour cause de petits vers imperceptibles, rongeant et féconds qui se transmettent d’un individu à l’autre. Ce médecin, fils d’un chirurgien de Montpellier s’était occupé avec Chicoyneau des habitants de Marseille lors de la peste de 1720. Il enseigna la médecine à Montpellier pendant 35 ans avant de se retirer à Marseille comme médecin des galères jusqu’à sa mort en 1746. Il est l’auteur de plusieurs traités accumulant des hypothèses farfelues. Le traité des tumeurs concerne le phlegmon, l’erésipele, l’oedeme, le schirre, le cancer, les écrouelles, le charbon, la gangrène, le panaris, la galle, les dartres, la teigne et la petite vérole. Blake p. 112.