Paris, Ve Poussielgue-Rusand, 1864, in-8, [4]-262 pp, Demi-percaline noire à la bradel [ateliers Laurenchet], Seconde édition. Cet ouvrage est divisé en deux parties : l'une sur les symptômes, l'autre sur les maladies graves. Le père Pierre Jean Corneille Debreyne (1786-1867) était un prêtre et religieux de la Grande-Trappe. Il était aussi docteur de la faculté de médecine de Paris et ancien professeur de médecine pratique. Il écrivit notamment un ouvrage sur le suicide publié en 1854. Quelques mouillures en début et fin de volume. Couverture rigide
Bon [4]-262 pp.
Librairie de Pooussièlgue-Rusand 1840 In-8, pleine basane fauve granitée, dos lisse, fers et filets dorés, pièce de titre maroquin brun, dentelle d’encadrement des plats, roulettes sur les coupes, 496 pp. Dos passé, coins usées en pied.
Seconde édition, revue et notablement augmentée. Ouvrage essentiellement destiné à la jeunesse de l’époque qui se destinait à la médecine, au droit, ou à l’état écclésiastique. Debreyne (1786-1867) était trappiste et docteur en médecine. Il s’éleve ici avec vigueur contre les châtiments corporels infligés aux enfants. Bon état d’occasion
Paris. Chez Poussielgue-Rusand. 1848. In-8° broché. XXIII+340 pages. E.O. Couverture défraîchie ; propre intérieurement.
Debreyne est né à Quaëdypre, près Dunkerque, en 1785. Il fut médecin à Paris puis à la Trappe de Mortagne où il prit l'habit vers 1840. Toute son uvre fut écrite pour le clergé, afin d'assister les religieux dans leur sacerdoce et leur fournir réponses et arguments dans un grand nombre de circonstances et de sujets auxquels leur vie et celle de leurs ouailles les confrontent. Il est l'auteur de livres sur la diététique, la sexualité, la magie et la possession, le suicide, la famille, les rapports entre religion et médecine. Dans cet ouvrage, il élargit son propos aux dimensions du cosmos. Sa thèse est simple : " Il faut que l'édifice de la science soit enfin posé sur le fondement biblique et sur le principe de l'unité. (-) Il faut que le clergé ressaisisse d'une main ferme le sceptre glorieux de la science ". Il réfute donc Leibnitz, Descartes, Buffon, Franklin, Képler, Newton, Laplace, Herschell, pour replacer Dieu comme " principe et fin de tout ". Caillet, 2842-2850. Blavier, p. 300. Oberlé, 129.