à Paris, chez Guillaume Pelé..., M. DC. XXXVI. 1636 In-folio 35 x 22 cm. Reliure postérieure demi-basane fauve, dos lisse orné de petits fers encadrés de filets dorés, pièce de titre et de tomaison cuir champagne, [10]-800 pp., sensibles mouillures marginales, 799-800 pp. fac-similés manuscrits.
Cette histoire de France de Jean de Serres (1540-1598), courant de Pharamond le Chevelu au règne d'Henri IV a été publiée pour la première fois en un volume en 1597 et connaîtra de nombreuses éditions. La nôtre continue jusqu’en 1636. Pasteur, historien et théologien, Jean de Serres était historiographue du roi de France Henri IV. Après la mort de Jean de Serres, ses continuateurs poursuivirent l’ouvrage, d’abord avec les notes de l’auteur, jusqu’en 1589, par Jean de Montyard, puis sans (par des folliculaires catholiques de surcroît), ce qui fait que toutes les éditions diffèrent par des augmentations plus ou moins importantes. Bon état d’occasion
Editions Arc-En-Ciel Paris 1945 2 volumes in-8 carré ( 205 X 155 mm ) de 210 et 224 pages, brochés sous couvertures illustrées en couleurs rempliées. Aquarelles de Raoul SERRES dans et hors-texte. Exemplaire numéroté sur vélin de luxe. Très bel exemplaire, pur.
Précieux exemplaire relié en vélin ivoire vers 1660. Paris, Iamet Metayer 1600. Imprimeur ordinaire du Roi Henri IV. In-folio de (8) ff. dont 1 frontispice gravé, 1004 pp. et (10) ff. Plein vélin ivoire, dos à nerfs orné de fers proches de l’Atelier Pierre Rocolet-Antoine Padeloup, vers 1638-1662 selon Raphaël Esmérian. Exemplaire relié vers 1660.
Edition originale rare de «l’extrêmement remarquable Théâtre d’agriculture d’Olivier de Serres». (Pierre Larousse), le premier traité moderne d’agriculture mettant à l’honneur la langue française. Tchemerzine, V, p. 817; Pritzel 8630; Mortimer French Books, 494; Thiebaud 840; Schwerdt II-156/157; Kress 236; En français dans le texte 79. «La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès.» (En Français dans le texte, B.n.F.). Gentilhomme protestant d'Ardèche, Olivier de Serres, dans sa jeunesse, milite dans les rangs des réformés et on le trouve encore, en 1573, au siège de Villeneuve-de-Berg, qui fut suivi d'affreux massacres. Il reprend ensuite, pour un quart de siècle environ, la culture de son domaine du Pradel, pratiquant méthodiquement l'assolement. Son intérêt s'étend à l'irrigation, à l'élevage, aux forêts, à la vigne. Le jardin médicinal ou bouquetier le requiert particulièrement. Il connaît le maïs et la betterave et, près de deux siècles avant Parmentier, la pomme de terre qu'il compare à la truffe et nomme cartoufle. Il s'intéresse à l'utilisation et à la conservation des produits de la terre et découvre d'ingénieuses recettes. Il étudie les ruches et les vers à soie et acquiert une grande maîtrise en matière de sériciculture. En 1599, il publie un petit volume de cent pages, aussitôt traduit en Angleterre et en Allemagne, sur la Cueillette de la soye par la nourriture des vers qui la font. Henri IV lui écrit et lui demande son aide pour l'une des grandes entreprises économiques du règne consistant à planter d'immenses quantités de mûriers. À soixante ans, l'agronome devient le conseiller royal. Il réunit dans son Théâtre d'Agriculture les fruits de son expérience et y prodigue un vaste enseignement inconnu jusqu'alors. Il s'agit là du premier grand traité français d'agronomie. Le livre est orné d'un titre frontispice gravé par Mallery et de figures sur bois dans le texte ; en tête de chacun des huit chapitres, un bandeau, également gravé sur bois, montre des scènes de la vie champêtre. ». (En Français dans le texte. B.n.F.) Son «Théâtre d'agriculture et Ménage des champs», où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherches et de pratique, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de «La Maison rustique» de Ch. Estienne et Liébault. «Il est divisé en 8 « lieux » chacun illustré d'un bandeau gravé sur bois en rapport avec le titre : (1) connaissance et choix des terres, (2) labourage des terres à blé (pain et légumes), (3) culture de la vigne, (4) bétail à quatre pattes et pâturages, (5) poulailler, colombier, garenne, étang, rucher et ver à soie, (6) potager, verger, herbes condimentaires (dont safran), médicinales et tinctoriales (guède, garance), (7) eaux et bois dont coupes et entretiens, (8) usages des aliments dont recettes de divers pains, boissons (hypocras, malvoisie, hydromel, confitures, conserves de fruits ou viandes, sirops, choucroute, truffes, etc.), façon d'accommoder les maisons et les habits à la campagne, médecine des hommes et des bêtes et « de l'honneste comportement [à tenir] en la solitude de la campagne.» Mais pas un instant Olivier de Serres ne cessa de veiller sur sa propriété du Pradel, tout en employant ses dernières années à propager dans la région la culture de la soie. Il vint à un moment décisif de l'économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n'est pas besoin d'être un technicien de l'agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d'être naturelle.» Dans son activité de propriétaire rural, Olivier de Serres ne perdait pas de vue l'intérêt national. Il désirait prêcher d'exemple et convaincre les gentilshommes de s'occuper eux-mêmes de leurs terres ; il lut les anciens traités d'agronomie, les trouva insuffisants et vieillis ; aussi, pendant 30 ans, consacra‑t-il ses loisirs à la composition d'un traité qui put rendre service de son temps. L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménagea-t-il pas ses éloges. L'utilité de cet ouvrage, la protection royale, son caractère d'actualité lui valurent un immense et durable succès, dont témoignent les nombreuses éditions qui en furent faites dans la première moitié du XVIIe siècle. Souvent l'expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l'orfèvre de la terre, parce qu'il surpasse d'autant plus le simple laboureur que l'orfèvre le commun forgeron ». Il y a parfois dans ce langage, qui n'a rien d'affecté, quelque chose de Montaigne et quelque chose de Saint François de Sales. Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque dîner, une demi-heure durant, et il y eut avant 1675, une vingtaine d'éditions. On l'a réimprimé en 1804. L’ouvrage est illustré d’un titre frontispice gravé par Mallery, de 16 figures sur bois de parterres dans le texte et de 8 bandeaux gravés sur bois en tête de chaque chapitre représentant des scènes de la vie champêtre. Les auteurs contemporains gardent le silence sur Olivier de Serres, excepté le président de Thou. «Deux frères, du nom de Serres dit cet historien, ont rendu ce nom très illustre dans le XVIe siècle: le premier était Jean de Serres, qui s'est fait une grande réputation dans les belles-lettres. L'autre était Olivier, qui a fait un écrit sur la cueillette des vers à soie, pour seconder le désir que le roi Henri IV « avait de propager en France les vers a soie et les mûriers.» Olivier de Serres s’exprime ainsi dans la préface de son Théâtre: « Mon inclination et l'estat de mes affaires m'ont retenu aux champs en ma maison, et faict passer une bonne partie de mes meilleurs ans durant les guerres civiles de ce royaume, cultivant ma terre par mes serviteurs, comme le temps l'a peu supporter. En quoi Dieu m'a tellement béni par sa sainte grâce, que m'ayant conservé parmi tant de calamités, dont j'ai senti ma bonne part, je me suis tellement comporté parmi les diverses humeurs de ma patrie, que ma maison ayant été plus logis de paix que de guerre, quand les occasions s'en sont présentées, j'ai rapporté le témoignage de mes voisins, qu'en me conservant avec eux, je me suis principalement adonné chez moi à faire mon mesnage. Parmentier, si zélé pour la propagation des produits de l'agriculture, profita de la publication d'un Mémoire sur les avantages que le Languedoc pouvait retirer de ses grains (1786) pour retracer le mérite d'Olivier, en faisant observer que plusieurs modernes l'avaient mis à contribution. Broussonnet saisissait toutes les occasions de rappeler au souvenir de la postérité le nom de De Serres. De plus, il fit le fonds d'un prix à l'académie de Montpellier pour le meilleur éloge de cet auteur ; et ce prix fut décerné en 1790, à un discours dans lequel Dorthès fit un bon extrait du Théâtre d’Agriculture. Faujas de St-Fond, toujours zélé pour les entreprises honorables, avait rassemblé des matériaux pour rendre à la mémoire d'Olivier le même service qu'il avait rendu à Bernard Palissy, en faisant une nouvelle édition de ses œuvres. Enfin les étrangers eux-mêmes concoururent à cette sorte de réparation, entre autres Arthur Young, qui comptait au nombre des circonstances les plus heureuses de son voyage agronomique en France d'avoir pu respirer l'air du Pradel, antique manoir d'Olivier. « Je contemplai, dit-il, la résidence du père de l'agriculture française (qui était sans doute un des premiers écrivains sur ce sujet qui eût encore paru dans le monde) avec cette espèce de vénération qui ne peut être sentie que par ceux qui se sont fortement adonnés à quelque recherche favorite, et qui se trouvent satisfaits de la manière la plus délicieuse. » Le voyageur anglais ne s'en est pas tenu à ces simples expressions : dès qu'il connut le projet d'élever, par souscription, un monument à la mémoire d'Olivier, sur la place de Villeneuve de Berg, il s'empressa de s'inscrire sur la liste. Ce n'est qu'en 1804 que ce monument a été exécuté, par les soins de Caffarelli, alors préfet de l'Ardèche. La société d'agriculture a fait aussi frapper une médaille à l'effigié de De Serres. Edition originale rare en reliure ancienne. Le 8 novembre 2006 la Librairie Sourget cataloguait et vendait 50000 € un exemplaire en reliure restaurée du XVIIIe siècle (Cat XXXIII n° 51). Le présent exemplaire nettoyé anciennement avec délicatesse, revêtu de son élégante reliure du XVIIe siècle, est en condition bibliophilique plus désirable. Le 21 mai 2003, il y a 21 ans, la même Librairie Sourget cataloguait et vendait 350000 € l’exemplaire relié en vélin de l’époque aux armes du roi Henri IV.
Challamel, 1903 1903 In-12 broché, 316 pp. Portrait. Dos fendillé fragile, sinon ex. frais.
Très bon état d’occasion
Saint-Brieuc. Armand Prud'Homme 1948 In-12, demi-basane cerise à bandes, dos à nerfs, 283 pp. Très bon exemplaire.
Edition originale. Parachuté en janvier 1944 sur le plateau du Tran Ninh, le commando Gaur Polaire du capitaine Ayrolles, dit « Serres », va mener, avec sa poignée de commandos, une guérilla sans merci aux forces d’occupation nippones. Bon état d’occasion
Editions Du Charme Paris 1941 In-8 carré ( 205 X 155 mm ) de 234 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs rempliée et étui. Ouvrage orné de 30 aquarelles originales de Raoul SERRES. Très bel exemplaire numéroté, un des 3000 sur vélin Navarre.
Editions Jacques-Petit Angers 1946 In-8 carré ( 230 X 170 mm ) de 240 pages, broché sous couverture imprimée rempliée. Frontispice et llustrations en couleurs dans le texte de Raoul SERRES. Tirage limité à 4000 exemplaires numérotés. Très bel exemplaire.
Editions Du Charme Paris 1941 In-8 carré ( 205 X 155 mm ) de 234 pages, demi-chagrin bleu nuit, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tête dorée, couverture illustrée en couleurs et dos conservés. Ouvrage orné de 30 aquarelles originales de Raoul SERRES. Bel exemplaire numéroté, un des 3000 sur vélin Navarre.
La Tradition Paris 1939 4 volumes petit in-4 ( 250 X 195 mm ) de 246 251 286 et 236 pages plein velin ivoire, dos lisses jansénistes, têtes dorées, couvertures et dos conservés, non rognés. 64 eaux-fortes en couleurs dont 4 frontispices et 21 à pleine page de Raoul SERRES. Edition strictement limitée à 500 exemplaires sur grand vélin d'Arches, 1 des 34 exemplaires enrichis d'une suite de toutes les planches avec remarque, tirée en noir. Très bel exemplaire.
Première édition complète du premier grand traité français d’agronomie dédiée au roi Henri IV. Exemplaire relié en vélin doré du XVIIe siècle, au frontispice enluminé. Paris, Abr. Saugrain, 1603.In-4 de (16) pp. dont le frontispice gravé, 907 pp., (1) p.bl., (26), (2) pp.bl. Vélin doré à recouvrement, plats ornés d’un double encadrement de filets et motifs géométriques sur les plats avec fleurs-de-lys et fleurons aux angles, dos à nerfs, tranches dorées, feuillets blancs réglés reliés en tête et en fin de volume. Quelques restaurations au vélin. Reliure ancienne du milieu du XVIIe siècle. 246 x 178 mm.
Édition originale définitive du premier grand traité français d’agronomie. Tchemerzine, V, 817. « C’est la première complète, elle est augmentée de nombreuses additions dans divers livres. Cette seconde édition, qui est également fort belle, est au moins aussi rare que celle de 1600. » (Thiebaud, 840). « Édition fort rare ». « Ce livre célèbre fut maintes fois réimprimé pendant le XVIIe siècle, et copieusement pillé et démarqué au coure du XVIIIe, par Liger et autres. Le chapitre vii du lieu huictième traite « De la Chasse et autres honnestes exercices du Gentilhomme ». La première édition est la plus belle de toutes et la seule de format in-folio. Elle présente, toutefois, l’inconvénient de ne pas être aussi complète que les suivantes, Olivier de Serres ayant apporté de nombreuses augmentations à son œuvre dans l'édition de 1603 » (Thiébaud). « Il s’agit là du premier grand traité français d’agronomie. La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès. » En français dans le texte, n° 79. Olivier de Serres, seigneur du Pradel (1539-1619) est un gentilhomme paysan, attaché à sa terre. Il peut s’y installer paisiblement à partir de 1573 et multiplie dès lors ses efforts pour en faire une exploitation modèle, pratiquant la culture du maïs et du mûrier, amenant l’eau par des canaux d’irrigation, implantant la pomme de terre dans le sol du Vivarais, utilisant même des prairies artificielles. Il fut appelé à Paris par Henri IV. Pour encourager l’industrie de la soie, il publia en 1599, sur la demande du roi, un traité de La Cueillette de la soie. C’était un traité de l’éducation des vers à soie, propice à favoriser le désir que témoignait le roi de propager cette branche de prospérité, de manière à fournir non-seulement aux besoins de son peuple, mais à l’exportation. Il était déjà devenu un chapitre de son ouvrage en 1600 ; mais cette addition ne put paraître que dans la seconde édition de 1603, qui fut précédée d’un morceau détaché, sous ce titre : la Seconde richesse du meurier blanc, qui se trouve en son escorce, pour en faire des toiles de toutes sortes, non moins utile que la soie provenant de la feuille d’icelui. Un an plus tard, en 1600, son Théâtre d’agriculture et ménage des champs, où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherche et de pratiques, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de La Maison rustique de Ch. Estienne et Liébault. Il vint à un moment décisif de l’économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen-âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n’est pas besoin d’être un technicien de l’agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d’être naturelle. » L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménage-t-il pas ses éloges. Souvent l’expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l’orfèvre de la terre ». Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque diner, une demi-heure durant, et il y eut, avant 1675, une vingtaine d’éditions. Olivier de Serres rendit un service éminent à son pays, en renfermant dans son Théâtre d’agriculture, tout ce qu’une longue pratique et une vaste érudition avaient pu lui apprendre sur le premier des arts Le Théâtre d’agriculture et mesnage des champs d’Olivier de Serres, imprimé à Paris en 1600 par Jamet Mestayer, est sans contredit la plus belle édition de celles qui ont été publiées du vivant d’Olivier ; mais c’est la plus incomplète, à cause des augmentations nombreuses qu’il a faites à la seconde édition, « revue et augmentée par l’auteur. Ici est représenté tout ce qui est nécessaire pour bien dresser, gouverner, enrichir embellir sa maison rustique. » Paris, chez Saugrain, 1603, in-4, de 907 pages de texte et 21 feuillets pour les pièces préliminaires et la table. Il est dit, à la fin, que la première impression a été achevée le dernier jour de juillet ; et dans l’in-folio, il y a le 1er juillet. Il s’y trouve donc beaucoup d’augmentations, entre autres la seconde cueillette de la soie, qui fait le quinzième chapitre du cinquième livre. » L’ouvrage est illustré d’un beau titre-frontispice gravé sur cuivre par Mallery, ici enluminé, avec portrait d’Henri IV, et de 15 figures sur bois de parterres dans le texte ; entre les pp. 554-555, planche hors texte dépliante représentant le « Corps du iardin medecinal carré. » Bel et précieux exemplaire relié en vélin doré du XVIIe siècle, avec le frontispice enluminé. Provenance : « Constant dans l’inconstance...- C. Blyenburch 1656 » (ex-libris manuscrit sur une des gardes) ; « Fuit Jan Rietmaier anno 1675 in Febriwari... » (ex-libris manuscrit face au titre) ; « J. F Schmidt m.dcc.lv [1755] » (ex-libris en marge du titre) ; ex-libris G. I. H. Mingardi V. D. M. » (ex-libris imprimé et collé au verso du titre).
P., Imprimerie de Firmin Didot, 1860, un volume in 4, broché, couverture imprimée de l'époque, (2), 15pp., 942pp., (1), 25 planches dépliantes conformes à la table des planches figurant dans ce volume
---- EDITION ORIGINALE ---- "SERRES'chief writings are Anatomie comparée du cerveau dans les quatre classes des animaux vertébrés (1824/1826) and Anatomie comparée transcendante - Principes d'embryogénie, de zoogénie et de tératogénie (1860). Serres was trained in Paris and received his medical degree in 1810. From 1808 to 1822 he worked at the Hôtel-Dieu. In 1820 he was awarded the prize for physiological research by the Académie des Sciences and the following year gained a special prize for his two-volume work on the comparative anatomy of the brains of vertebrate animals. In 1822, he was appointed chief medical officer at the Hôpital de la Pitié. He was elected to the Académie de médecine in 1822 and to the Académie des Sciences in 1828. In 1839, he preceded Flourens as professor of comparative anatomy at the Jardin des Plantes and two years later became president of the Académie des sciences... Serres studied the comparative anatomy of a number of vertebrate organs. He noted that many organs start from a number of isolated centers, which eventually unite to form a single adult organ. In his general approach to the nature of life and the harmony between the organes he was clearly influenced by Cuvier, who mentioned Serres's work with admiration. Serres's theoretical position was more closely akin to that of Geoffroy Saint-Hilaire. Serres believed that there was only one underlying animal type and that in the course of their development, the organs of the higher animals repeated the form of the quivalent organs in lower organisms...". (DSB XII pp. 315/316)**4743/B5AR/A7AR(2)
[Serres raoul] - Imprimé sur papier bleu - (SERRES Raoul) - MAURIAC François.
Reference : 10089
(1937)
1937 Paris, Les Bibliophiles Franco-Suisses, 1937; in-4° en feuilles, couverture rempliée bleu pétrole, titre en noir au 1er plat, chemise et étui cartonnés bleus, titre en noir au dos de la chemise; (3)ff. dont le frontispice, VIpp., 109pp., (5)ff. Illustré de très nombreuses eaux-fortes de Raoul Serres en en-tête, culs-de-lampe et à mi-pge ou 3/4 de page. On joint le Menu du restaurant La érouse du 28 janvier 1938, 2ff. in-4° avec un eeux)forte de R.Serres. Ouvrage tiré à 115 exemplaires sur vergé bleuté de Guarro. Exemplaire n° 20 nominatif.
Une des belles productions de Raoul Serres sur un grand texte de la littérature française du XXème siècle. (Infimes frottements à la chemise et à l'étui, très bon exemplaire). (Reu-Bur) Absente jusqu'au 16 mars, vos commandes seront enregistrées mais je ne pourrai y répondre qu'à partir du dimanche 17. Merci de votre compréhension.
Paris, Editions Marpon & Cie, 1929, 1 volume in-4 de 295x235 mm environ, 256 pages, 3 ff. (Notes, table, achevé d'imprimer), en feuillets libres sous chemise rempliée crème et emboîtage de l'éditeur brun mordoré. Tirage limié à 196 exemplaires numérotés. Celui-ci un des 100 sur Arches. Avec un frontispice, 17 vignettes en bandeaux, 11 hors-texte sur 17, en couleurs par Raoul SERRES, soit 29 illustrations sur 34, Texte agrémenté de 17 lettrines et 17 cul-de-lampes. Frottements et début de fente sur l'étui, une déchirure sans manque d'environ 3cm sur le bas de la chemise papier, sinon bon état.
Pierre Lhande Heguy, né le 4 juillet 1877 à Bayonne et mort le 17 avril 1957 à Tardets-Sorholus, est un écrivain, prêtre jésuite et académicien basque français de langue basque et française, apôtre des banlieues et surtout connu pour le succès de ses « radio-sermons », une grande nouveauté dans les années 1930. Raoul Serres, né à Cazères-sur-Garonne (Haute-Garonne) en 1881 et mort à la Maison Nationale des Artistes à Nogent-sur-Marne, en 1971, est un graveur et illustrateur français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
PREVOST d'EXILES (Antoine-François) - SERRES (Raoul, ill. de).
Reference : 15580
(1839)
Paris, Editions Arc-en-Ciel, 1946. Un vol. au format pt in-4 (242 x 163 mm) de 226 pp., en feuilles, sous couverture à rabats rempliés.
Premier tirage des 25 compositions en couleurs de Raoul Serres. Un des 23 exemplaires numérotés du tirage sur vélin pur-chiffon de Lana (deuxième papier après l'unique exemplaire de tête). Il recèle en outre deux suites à part des illustrations (l'une en noir, l'autre en couleurs, chacune avec remarques) ainsi qu'un dessin original aquarellé de Raoul Serres, monté sous passe-partout. ''Serres fut l'élève de J. Jacquet, Debouchet et Bonnat. Il figura au Salon des Artistes français [...]''. (in Bénézit). ''Tragique, l'histoire de Manon Lescaut relate les tourments de deux jeunes amants que le vertige de la passion a poussé à leur perte respective. Mais, à l'inverse de ce qui a pu être énoncés, le véritable sujet du livre n'est en rien la passion. Mais plutôt la répression. En effet, l'érotisme subtil se manifeste ici en filigrane, non par des scènes, mais comme un péril dont une certaine société tente de conjurer les pouvoirs dissolvants. Cette société, c'est celle des pères et de l'argent, celle de la famille aussi. Le plaisir est devenu valeur marchande, le marché des sentiments, réglé par le seul jeu de l'attraction, est remplacé par un marché économique qui apparaît alors contre nature. Le bonheur étant quant à lui mis à l'encan. Ainsi, pour la première fois dans la littérature, Manon Lescaut venait illustrer la sainte alliance de la famille et de la police contre l'érotisme, pour chasser le bonheur de la cité bourgeoise.'' (in Pia). Le colophon est constitué d'un joli calligramme affectant la forme d'un coeur. Pia - Dictionnaire des Oeuvres érotiques, p. 302 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 537. Coiffes légèrement plissées. Nonobstant, très belle condition.
Toulouse, s.n. 1963 In-4 28 x 19,5 cm. Reliure toile écrue, pièce de titre rouge, tapuscrit, 146 pp., notes, 48 planches. Exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion
Actes Sud, coll. « Thesaurus », n° 3 2001 In-8 broché 20,5 cm sur 14,1. 1545 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Serres Michel (sous la direction de) ; Farouki Nayla (sous la direction de)
Reference : 134362
(1997)
ISBN : 2080351087 9782080351081
Flammarion 1997 In-8 cartonnage éditeur sous jaquette 24,6 cm sur 16,5. 1092 pages. Jaquette en bon état. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
larousse 2004 In-4 cartonné, sous jaquette illustrée, 191 pp, nombreuses illustrations en couleurs et en noir.
Bon état d’occasion
Serres Michel ; Cologni Franco ; Sabrier Jean-Claude ; Kerman Sharon ; Lucas de Pesloüan Guy (photographies)
Reference : 121942
(2009)
ISBN : 2702208711 9782702208717
Éditions Cercle d’Art 2009 In-4 cartonnage éditeur sous jaquette. 33,5 cm sur 28,5. 211 pages. Illustrations en couleurs et en noir et blanc in et hors-texte. Jaquette en bon état. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Delmas 1952 In-8 broché, 143 pp. Bibliographie. Couverture lég. ternie.
Bon état d’occasion
Flammarion 1994 In-4 cartonnage éditeur 28,5 cm sur 22. Illustrations en couleurs et en noir et blanc, 302 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Hermann - Editeurs des sciences et des Arts 1992 LISEZ BIEN : Retirage de 1992 ou bien de 1982 suivant disponibilité en boutique. In-12, broché, 144pp. Iconographie reproduite en noir et blanc. Bon état.
Voici donc, pour parler des goûts et des couleurs, une autre parole, un autre lexique. Ces Esthétiques sur Carpaccio se situent donc, à dessein, dans la marge des disciplines officielles. Et si elles proposent au lecteur de cheminer loin devant le cortège très autorisé de la critique, c’est pour lui faire découvrir, au terme du voyage, des chefs d’oeuvre finalement inconnus. Bon état d’occasion
Presses du Châtelet 2008 In-4 relié 29 cm sur 19,4. 272 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
CILF 1992 In-8 broché. 118 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Le Pommier 1999 In-8 relié 26,4 cm sur 20,2. 188 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion