Paris, Bibliothèque des Curieux, Le Coffret du Bibliophile, Paris, Bibliothèque des Curieux, Le Coffret du Bibliophile(v. 1915) ; in-16, demi-veau blond à coins, filets dorés, dos orné de fleurons et guirl. dor., tête dorée, couverture cons., non rogné. (Reliure de l’époque) 2 ff., 217 pp., 1 f.Pia III, p. 152 mentionne une édition sous le même titre datée de 1786 figurant dans le Catalogue Dresde n° 487. Il ne fait pourtant aucun doute que cet ouvrage, peut-être inspiré d’un roman du XVIIIe siècle, a bien été écrit au XIXe. Il a paru pour la première fois en 1864 chez Dentu et connut un un grand succès. Habituellement attribué à Henry de Pène, Lorenz dément à l’entrée Pène, cette attribution qu’il avait lui-même donnée à la rubrique Mémoires... Il s’en explique vol. VI p. 374 “quoique nous sachions aujourd’hui d’une manière absolument certaine que M. de Pène n’est pas l’auteur. Nous avions cru pouvoir les lui attribuer, en nous fondant sur la 8e édition du Dict. des ouvrages anonymes de Barbier (t. III, p. 191), et lorsque nous avons appris le véritable nom de l’auteur (Madame de ***) que du reste nous ne sommes pas autorisés à divulguer, la lettre M. du présent volume était déjà imprimée...” En 1865, Barbey d’Aurevilly consacre une longue et vénéneuse notice à ces Mémoires dans Les œuvres et les hommes. Tirage à 510 exemplaires, un des 500 sur Arches. Couverture jaunie, intérieur frais.
Paris, Dentu, Paris, Dentu1864 ; in-12, demi-chagrin noir, nerfs, fleurons dorés, tranches peignées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 318 pp.Photographie originale de Vaury montée dans un encadrement de filets bleus en frontispice. ÉDITION ORIGINALE anonyme de ce roman de mœurs rédigé dans un style soubrette par Henry de Pène, journaliste et romancier d’origine béarnaise, né à Paris en 1830, mort en 1880. Il était fils d’un affairiste propriétaire du château d’Argagnon (Pyrénées Atlantiques) et des forges de Banca. Henry de Pène était un ardent royaliste qui ne cessa d’attaquer la République pendant toute sa vie. Pendant la Commune il fut grièvement blessé le 22 mars lors de la manifestation des “Amis de l’Ordre”. Il fut rédacteur en chef du Gaulois jusqu’à sa mort. Il s’est caché derrière divers pseudonymes : Némo, B. Loustalot, Mané.“La mode est aux mémoires, et j’écris les miens. Quand messieurs les grands hommes publient des livres sous ce titre, ils ont soin de ne dire que la moitié de la vérité, et lorsque ce sont des femmes célèbres, il paraît que c’est bien pis ! Je ne suis qu’une soubrette, et je raconterai l’histoire des autres : c’est une double raison pour ne mettre à la vérité ni robe ni maillot...” Promesse tenue : la vérité toute nue sur ce qui se joue dans les alcôves, boudoirs et antichambres.
Paris Librairie Nouvelle 1859 1 vol. relié in-12, demi-basane cerise, dos lisse orné de filets à froid, 315 pp. Seconde édition d'un des premiers livres de l'auteur qui rassemble des chroniques un peu lestes écrites sous le pseudonyme de Némo et dont l'auteur se fera une spécialité. Quelques années plus tard suivront "Paris aventureux", "Paris effronté" ou encore "Paris viveur" ! Quelques rousseurs éparses (sans gravité), sinon bon exemplaire agréablement relié.
Librairie Nouvelle - A. Bourdilliat et Cie, éditeurs 1859 Relié. 343 pages. In-12 12 x18 cm. Reliure de l’époque demi-chagrin vert moyen, 343 pp., Coupes de pied et coins frottés. Exemplaire en bon état.. Bon état d’occasion.
Chroniques de la vie mondaine parisienne sous le Second Empire : Bals chez le duc de Morny, la comtesse de Fitz-James, Alfred de Vigny à Compiègne... Bon état d’occasion
Paul Ollendorff. 1886. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos frotté, Quelques rousseurs. 317 pages. Auteur, titre, inscription (New Club) et filets dorés sur le dos. Etiquette de bibliothèque au dos du 1er plat (New Club). Manques importants en surface des plats.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
11e édition. Avec une letre d'Octave Feuillet. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
PAUL OLLENDORFF. 1887. In-12. Broché. A relier, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 328 pages - plats et dos manquant - ouvrage désolidarisé - coins frottés - quelques rousseurs sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 928-Ecrivains
Vendu en l'état. Classification Dewey : 928-Ecrivains
PAUL OLLENDORFF. 1886. In-12. Cartonné. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Rousseurs. 317 pages - déchirure sur la page 317 sans conséquence sur la lecture - roussseurs sans réelle conséquence sur la lecture - coins tranches plats frottés - couverture d'attente - plats partiellement désolidarisé - dos partiellement manquant - tranches salies.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Vendu en l'état - Exemplaire de travail - Avec une lettre d'Octave Feuillet . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Paul Ollendorf. Non daté. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 328 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
P., Ollendorff, 1887. In-16, reliure demi-maroquin bleu poli à grands coins, dos à 5 nerfs, auteur, titre et date dorés, tête dorée, couv. conservées, témoins conservés, [reliure de Lanscelin], [2] ff., 328 pp. Edition originale : un des 10 exemplaires sur Hollande (seul grand papier signalé), n° I.
Bel envoi autographe signé de l'auteur " à mon excellent éditeur et ami M. Ollendorff qui m'a inventé comme romancier ". Bel exemplaire bien relié. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris Paul Ollendorff 1886 In-12, demi-maroquin bleu à bandes, plats de papier marbré, dos à nerfs orné de fers et filets dorés; doublures et gardes de papier marbré, non rogné, couverture imprimée.Nouvelle édition pour laquelle il a été tiré 10 exemplaires numérotés sur papier de Hollande. Exemplaire sur alfa.
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 8 janvier 1866, 2p in-8. Il envoie à Scholl la copie d'une lettre d'un prince Narischkine (lequel ?) dont l'image a visiblement été écorné dans le Nain Jaune. Pène avait déjà rétabli les choses. Il semble qu'un article de Victor Koning soit la source de cette histoire. Il s'agit vraisemblablement de Dimitri Pavlovitch Narychkine (1797-1868), hôte de Dumas à Saint-Pétersbourg. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1865-1886], 1p in-8. A Scholl, sur « l'affaire Narischkine ». Par une autre lettre, on sait qu'il y a un problème entre Narischkine et Victor Koning, « blanc comme neige ». Il dit à Scholl que Narischkine lui a envoyé de l'argent, « de façon honorable » en voulant que son nom n'apparaisse pas. Narischkine a décidé de rompre le silence et Pène sollicite un rendez-vous. Il s'agit vraisemblablement de Dimitri Pavlovitch Narychkine (1797-1868), hôte de Dumas à Saint-Pétersbourg. [210]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 7 décembre 1863, 1p in-8. Il recommande à Scholl un compositeur de talent, monsieur Brosselet (?), un presque compatriote de Scholl car il est de Toulouse (et Scholl de Bordeaux) et qu'il a eu un duel fameux à Bordeaux. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 8 décembre 1864, 1p in-8. Il réclame du travail à Scholl. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 13 décembre 1864, 1p in-8. Il demande à Scholl d'insérer une réclame et lui propose de faire des échanges de réclames permanents entre leurs journaux. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 10 avril, 1p in-8. Il présente ses excuses à Scholl qui a dû réclamer un journal. « Je croyais absolument que vous aviez toujours reçu la Gazette depuis que j'en suis le maître ». [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1864], 1p in-8. Il demande à Scholl s'il doit bien donner sa copie le lendemain pour paraître dans le prochain numéro de Club. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 1p in-8. Il dit à Scholl de ne faire aucune chronique « jusqu'à la fin des débats de la Haute Cour ». « Tours va nous prendre tous le journal ». [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 2p in-12. Jolie lettre amicale à Scholl sur sa vision de Scholl et d'Henri de Valois. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 2 novembre, 1p in-8. Il demande si le premier numéro du nouveau journal de Scholl parait bien le 15, si Scholl veut toujours qu'il y écrive un article et s'il a trouvé des bureaux. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1865-1866], 1p in-8. A Scholl. Il a trouvé l'attitude de Victor Koning au Nain Jaune parfaite, à propos du prince Narischkine (nomme « Monsieur N »). « Il a, par obligeance pure, fait la rectification que je lui demandais ». Il s'agit vraisemblablement de Dimitri Pavlovitch Narychkine (1797-1868), hôte de Dumas à Saint-Pétersbourg. [210]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1867}, 1p in-8. A Scholl. On lui a pris son exemplaire des Cris de Paon et en réclame un autre à Scholl. « Vous savez que votre talent et votre . me sont sympathiques. Malheureusement, je ne suis pas le seul dans ce cas-là puisqu'un de vos amateurs m'a soufflé votre volume ». [210]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 1p in-12. Il envoie à Scholl sa copie et demande quand il aura les épreuves. [210]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 1p in-12. A Victor Koning (vient des papiers de Scholl). Il ne peut répondre à la demande de Koning avant une huitaine de jours. [210]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 2p in-12. A Scholl. Il le remercie pour son billet. Il souhaite revenir sur le rôle de Popinot (rapport à la Comédie humaine de Balzac ? Surnom donné à quelqu'un ?) dans une affaire. Il demande que le rendez-vous proposé par Scholl se fasse chez Tortoni car le temps lui manque. [210]