1850 Paris, Imprimerie de Wittersheim, 1850.grand in8 broché, 192 p.,frontispice portrait de LAMARTINE .Edition originale, publiée en livraison, avec 'Le Conseiller du peuple'. (Vicaire, IV, 994 & 999). Edition originale. Non mise dans le commerce, offerte en prime aux abonnés du "Conseiller du Peuple". Excellent état intérieur,bords couvertures et dos renforçés et jaunis,texte frais
Edition originale publiee en livraisons qui constituaient une sorte de prime gratuite du Conseiller du Peuple, puis du Foyer du peuple.En 1850, Lamartine couvert de dettes, publie ce roman vertueux et social. Dans sa preface, Lamartine evoque sa rencontre avec Reine Garde, pres de Marseille ; emue aux larmes par la lecture de Jocelyn, Reine raconta a l’auteur qu’elle admirait, sa pauvre vie solitaire, dont la lecture est sa seule lumiere.
Paris, Baudouin frères et Urbain Canel, 1825. In-8,reliure plein basane raciné epoque,dos lisse orné, (4)-64-(2) pp. Suivi des notes puisées dans l'ouvrage de Lebel, alors encore sous presse, "Cérémonies du Sacre" (cf. "Aux lecteur"). Précédé d'un extrait du catalogue du libraire pour "Cérémonies du sacre" et "Pharamond". Texte finement orné de bandeaux et culs-de-lampe gravés sur bois. Ornementation en encadrement de la page de titre tirée en bleu,. Rare édition originale. Elle contient en page 19, les 4 vers supprimés dans le second tirage à la demande de Louis Philippe. Vicaire IV-960.
Premier tirage, contenant bien au bas de la page 19 : "D'Orléans! Ce grand nom est couvert du pardon de mon frère : le fils a racheté les armes de son père!" Ces quelques vers déplurent au Duc d'Orléans, qui furent expurgés par Lamartine lors du second tirage,exemplaire a grandes marges,la page 5 est reparée sans manque,rousseurs eparses,manques aux coiffes et bas dos
Paris : Hachette et Cie : Furne, Jouvet et Cie, 1873,In-8,reliure demi basane verte ,dos lisse, XXIV-300 p., portrait h. t.Edition originale,
reliure frottée aux coins,petits défauts,
1850 [S.l. : s.n. ; s.d.].(Paris, Au Bureau du Conseiller du Peuple 1850) 1 vol.grand in 8 ,266 pp.+2 (table),reliure demie basane, dos lisse titré,frotté,un coin abimé,rousseurs eparses. Edition originale distribuée hors-commerce, portrait gravé de l'auteur en frontispice,La page de titre porte en haut : Le Conseiller du peuple première partie,"Edition des abonnés du Conseiller du Peuple".Edition originale.Rousseurs, dos légèrement insolé sinon bel exemplaire.Vicaire IV - 996.
LA QUESTION DES NOUVELLES FORMES DE GOUVERNEMENT FUT TRAITEE DANS CE LIVRE, OFFERT COMME PRIME AUX ABONNES DU 'CONSEILLER DU PEUPLE A LA FIN 1850 (E. HARRIS, 'LAMARTINE ET LE PEUPLE'). (VICAIRE, IV, 996)
Paris, Editions du centaure sans date. In-8 broché, couverture illustrée de XXII + 278 pages + table. Frontispice. Collection "les grand orateurs républicains".
Bon état
LEFEUVRE sd;,2 tomes relies en un volume IN12 demi basane,dos lisse orne de fleurons dores,portait de Lamartine,196+172 p.
taches anciennes en marge de qques feuillets,gravure ht,tres rare
1867 Paris : Hachette, 1867, Bibliotheque des Chemins de Fer,3e éd.,In-18,broché, 49p+catalogue ed.,qques rousseurs eparses,non coupé,
LIBRAIRIE DU CONSTITUTIONNEL 1854 - 8 volumes IN12 1/2 velin-piéces de titre rouge et noir-leg.rousseurs et mouillures éparses-la série compléte, premiére édition IN12.
400 -424-420-450-400-446-413 et 403 pp. Rousseurs éparses. (reliure de l'époque). Série complète en bon état. Cette édition, publiée en même temps que l'édition originale chez Lecou-Pagnerre, au format in-8, était donnée gratuitement aux abonnés directs d'une année au journal Le Constitutionnel.
1837 Bruxelles 1837,323 pp. 10 x 15 cm. Première Harmonie: Invocation. L'hymne de la Nuit. Hymne du Matin. La Lame du Temple. Bénédiction de Dieu dans la Solitude. Aux Chrétiens dans les temps d'épreuves. Hymne de l'Enfant a son Réveil. Hymne du soir dans les Temples. Etc.
Paris, Administr. du Conseiller, 1849-1850. 2 volumes grand in-8, demi-basane de l'époque , dos lisse orné de filets dorés, 588-(2) pp. et 456-(2) pp. Les deux premières années complètes. Le journal devait se poursuivre pendant une partie de l'année 1851. (Hatin, 509. Vicaire, IV, 993).
erreur de tomaison et de reliure( inversion),tache grasse en marge des premiers feuillets du volume 1850,au debut duquel on a relié la page de titre et la table de l'année 1849,sinon frais
P. , Charles Gosselin 1847; un vol. in-8 d. chagr. noir à coins, dos lisse orné en long, 391p, qq. rouss. claires.
reliure décorative
P. , Charles Gosselin - Furne 1849; un vol. in-8 d. chagr. noir à coins, dos lisse orné en long, 392p, qq. rouss. claires.
reliure décorative
Paris : L. Hachette, 1859,In-18, 139 p.,L. Hachette, 1862 ,L. Hachette, 1853,Bibliothèque des chemins de fer, 3 titres reliés en un volume 1/2 chagrin tabac,dos lisse,catalogue Bibliothèque des chemins de fer in fine,
Paris : E. Dentu, 1863,In-8,reliure demi basane verte ,dos lisse, 492 p.Edition originale,texte frais,
Paris, Michel Lévy Frères, 1866 ; in-12 ; broche (2) feuillets et 294 pages. Première édition séparée (a paru en 1864 dans le "Cours familier de littérature" tome 18), bien conforme à Vicaire IV-1020. exemplaire frais
couverture de relais verte mention nouvelle edition
1849 Paris, Administr. du Conseiller, 1849-1850. 2 volumes grand in-8, demi-basane de l'époque , dos lisse orné d’arabesques dorées, 588-(2) pp. et 456-(2) pp. Les deux premières années complètes. Le journal devait se poursuivre pendant une partie de l'année 1851. (Hatin, 509. Vicaire, IV, 993).
[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imp. de veuve Weins, Imprimerie de Vanwormhoudt,] - COCHIN, Henry ; BARTHELEMY ; LAMARTINE, Alphonse de
Reference : 63506
(1831)
Avec huit gravures hors texte, troisième édition, 1 vol. petit in-8 reliure postérieure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, couvertures conservées : Lamartine et la Flandre, Troisième édition, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1912, XXVI-442 pp. [ Suivi de : ] A M. de Lamartine, Candidat à la Députation de Toulon et Dunkerque, Extrait de la 13ème Livraison de Némésis, par Barthélémy, Imp. de veuve Weins, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Nommons M. de Lamartine, Bergues, 5 juillet 1831, 1 f. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Laet ons myn heer De Lamartinenaemen. bergen den 5 julius 1831 [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, 24 juin 1831, Imprimerie de Vanwormhoudt, Dunkerque, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Explication aux Electeurs, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, 2 ff., [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me Arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, Vanwormhoudt, Imprimeur du Roi, Dunkerque, 1 f. dépliant [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 22 octobre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Dunkerque - Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 17 novembre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque, 7 pp.
Remarquable exemplaire recueillant, in-fine, 7 très rares prospectus électoraux, en édition originale, relatifs aux candidatures d'Alphonse de Lamartine aux élections de la ville de Bergues (Nord). Eugénie, la soeur de Lamartine et épouse du Baron Coppens et seigneur d’Hondschoote, l’avait incité à se présenter à la députation. Battu une première fois, il sera élu député de Bergues en janvier 1833. Bon exemplaire (ex-libris Robert Thibaut).
Précieux et émouvant exemplaire dédicacé par l’auteur à l’amie intime de sa fille disparue. Paris, Charles Gosselin, Furne et Cie, 1841. Grand in-8 de (2) ff., xl pp., 424 pp., 1 frontispice et 11 gravures hors texte protégées par des serpentes légendées, nombreuses vignettes dans le texte. Relié en demi-chagrin rouge, dos à nerfs finement orné, minimes frottements aux coupes. Reliure de l’époque. 257 x 163 mm.
Première édition illustrée de cet « ouvrage capital » (Carteret) de Lamartine. « Vignettes sur bois dans le texte. Il y a aussi 10 titres-frontispices compris dans la pagination. L’ouvrage a été publié en 25 livraisons à 50 cent. : la 1ère est enregistrée dans la Bibliogr. De la France du 19 décembre 1840. » (Vicaire, IV, 977) « Belle illustration, ouvrage bien imprimé ; rare en belle condition » (Carteret, III, 366). « Les serpentes imprimées manquent souvent » (Clouzot, 178). « Poème d’Alphonse de Lamartine publié en 1836. Désireux de mieux définir la grâce et la douceur des sentiments dont sont empreints ses poèmes de jeunesse, Lamartine a tenté de les préciser en s’adonnant à un lyrisme plus proprement subjectif : ce désir a trouvé son aboutissement dans ‘Jocelyn’ ainsi que dans ‘La chute d’un ange’. Le héros de ‘Jocelyn’ fut en réalité l’abbé Dumont, ami de l’auteur, qui se fit prêtre pour sauvegarder le bonheur de sa sœur. Il réussit toutefois à trouver dans son sacrifice la paix et des raisons de vivre. L’épreuve la plus dure qu’il eut à subir fut le tendre amour qu’il conçut pour la jeune Laurence. Arrivé à ce point, il parvint à triompher de lui-même et, pour finir, le cœur tremblant, mais résolu, il implore de la jeune fille mourante, le pardon de Dieu. Un optimisme candide traverse l’œuvre entière, qui est un hymne à l’espérance, à la bonté à la beauté. Les descriptions sont fluides, comme issues d’un songe, plus musicales que pittoresques. Ce que l’on apprécie dans ‘Jocelyn’, c’est l’abondance de poésie et l’on oublie vite l’épopée symbolico-philosophique dont elle devait être un épisode. D’ailleurs, un seul autre épisode fut composé par Lamartine : ‘La chute d’un ange’, publié en 1838. » (Dictionnaire des Œuvres, III, 820). Précieux exemplaire offert par l’auteur à Célestine Blondel, l’amie d’enfance de sa fille Julia, portant cet envoi autographe signé particulièrement émouvant au verso du frontispice gravé : « Offert à Mademoiselle Célestine Blondel, en souvenir des bontés qu’elle a eu pour son amie intime ma pauvre Julia. Hommages. A. De Lamartine. Le 12 septembre 1848. » Julia, la fille de Lamartine, nait en mai 1822 à Mâcon. En 1832, à 42 ans, Lamartine a perdu aux élections, sa fille unique Julia est très malade, elle a 10 ans ; il réalise un vieux rêve : celui d'un voyage en Orient. " Je suis né oriental et mourrai tel" écrira-t-il plus tard. En juillet il s'embarque à Marseille sur l'Alceste, et arrive à Beyrouth en septembre. Il visite le tombeau du Christ en terre sainte. Le 7 décembre 1832, Julia, sa fille, meurt à Beyrouth, à l’âge de dix ans et demi. Dix ans après la mort de son fils Alphonse, trois ans après celle de sa mère, Lamartine est à nouveau frappé par le deuil. Sa foi religieuse vacille. Il "hurle" son chagrin, son désespoir, et sa révolte contre Dieu dans Gethsémani, ou la mort de Julia. Ces poèmes qu'il composera en 1833 et 1834 seront publiés en 1835 dans Voyage en Orient. Le voyage a duré un peu plus d’un an. La mort de Julia l’a raccourci : Lamartine renonce à visiter l’Egypte. C’est un prince romantique qui voyage, c’est un homme en deuil et ruiné qui rentre. Il écrit son Voyage, en même temps que Jocelyn, pour oublier son chagrin. Célestine Blondel était une amie intime de sa fille Julia. Au moment où Lamartine lui dédicace ce livre, en 1848, elle est âgée de 23 ans et est mariée. La dédicace du poète s’adressant à « l’amie intime de [sa] pauvre Julia » 16 ans après la disparition de la fillette, est particulièrement émouvante. Elle souligne à quel point le poète était attaché à son enfant et prouve qu’il ne parvint jamais tout à fait à se consoler de sa perte. Cette dédicace montre aussi que Lamartine est resté proche de l’amie d’enfance de sa fille, même 16 ans après la disparition de cette dernière. Précieux et émouvant exemplaire dédicacé par l’auteur à l’amie intime de sa fille disparue.
Alphonse de Lamartine & Narcisse Carbonel, Recueil de Romances dédiées à Madame la Duchesse de Rovigo - Courage et Raison - La pauvre Adèle - Saint Jacques de Compostelle. Paris, Auguste Le Duc, sd [novembre 1812 ?]. Petit in-folio, titre-7p. Très rare tirage de ces romances portant les initiales autographes NC de Carbonnel et mentionnant l'auteur « Paroles de M. Al. de L*** ». Partition pour chant et piano ou harpe. Ces romances ont eu plusieurs éditions, comme souvent à l'époque, mais l'édition de Le Duc est la seule indiquant un auteur. Cette édition devait pouvoir se trouver tant en recueil, comme ici, qu'en partition séparée, comme l'exemplaire de La pauvre Adèle conservé au conservatoire de Montbéliard (Inv. 148 (43)) qui est d'ailleurs d'accord avec l'année que nous proposons. L'exemplaire de Montbéliard provient de la collection More-Pradher et a été démonté d'un recueil pour être relié à part, signe qu'un des collectionneurs (Louis Pradher, son épouse Félicité More ou le neveu Jules More) avait compris l'importance de cette petite plaquette. Deux exemplaires sont conservés, un à la Bibliothèque Sainte Geneviève (qui indique Lamartine avec un point d'interrogation) et un à Munich (Bayerische StaatsBibliothek, signalé par Eric Bertin). Concernant Lamartine et les romances dans les années 1810, la correspondance de Lamartine en 1810, qui se limite aux lettres à ses amis Guichard de Bienassis et Aymon de Virieu, nous montre que Lamartine en écrivait déjà souvent. Il en envoyait à ses amis, soit copiées dans les lettres, soit jointes aux lettres, tout en les trouvant parfois un peu faibles (voir la lettre LIV à Bienassis du 20 mars 1810, in Correspondance Alphonse de Lamartine-Aymon de Virieu 1808-1815). Néanmoins, on apprend par une lettre à Virieu (lettre LXVIII du 30 septembre 1810) que ce dernier a fait mettre en musique deux « détestables romances » qui sont les premiers vers de Lamartine. « Je ne t'aurais jamais pardonné si tu m'en avais déclaré l'auteur ». Toutefois, dans la même lettre, il lui dit : « Mais parlons de choses plus sérieuses. Seulement si tu as un bon compositeur, je t'en enverrai quelques-unes ; si elles lui conviennent, il les mettra en musique et tu me les renverras ». S'agit de ces romances ? C'est fort probable mais rien ne permet toutefois de trancher avec certitude. Olivier Feignier, avec qui nous en avions échangé en 2019 à ce sujet, nous avait écrit : « le faisceau de présomption est donc assez favorable à Lamartine [.] Les lettres de Lamartine à Virieu rendent possible l'attribution mais ne me paraissent pas permettre de trancher de façon définitive ». Notons d'ailleurs, comme nous l'avait fait remarqué M. Feignier, qu'aucun autre candidat pouvant se cacher derrière « Al. de L. » ne s'est dégagé jusqu'à présent. Reliure (non signée) de Sophie Charlot, demi-maroquin à plats rapportés, titre à l'italienne. Très rare document.
Phone number : +33 6 30 94 80 72
Paris, Wittersheim, Avril 1849-Novembre 1851.
Collection complète de cette revue, en 34 livraisons. Les trois premières livraisons de la 3e année sont de la réimpression trimestrielle, faite la même année. Cette troisième année est difficile à rencontrer. Vicaire 4, 993. Relié à la suite : LAMARTINE. Les Foyers du Peuple. Collection complète de cette revue en 12 livraisons. Vicaire 4, 1000 :" La manière dont sont paginés ces numéros dépasse, en fait d'irrégularité, tout ce qu'on peut imaginer." En voici le détail : - Revue littéraire : Histoire de Marie Stuart par M. Dargaud, Claudie par G. Sand, Vers de M. de Lamartine à M. le comte d'Orsay. 8 pp. - Les foyers du peuple. Mélanges littéraires : Poésies, 8 pp; Discours de M. de Lamartine, Lettre de Lamartine à Béranger, Le coquillage (poésie), 8 pp. - Extrait de Toussaint Louverture (drame), Fragment d'un voyage à Naples, 8 pp. - Une improvisation de Lamartine, pp. 67 à 72 & 105 à 110. - Lettre de Lamartine à M. Dargud, pp. 101 à 104 & 141 à 144. - Des devoirs civils du curé, pp. 135 à 140 & 173 à 178. - Histoire de la Restauration de Lamartine, pp. 165 à 172 & 201 à 203. La Marseillaise de la paix ou Le Rhin allemand, pp. 203 à 208. - 3 poésies de Lamartine, pp.197 à 200 & 237 à 240. - Souvenirs, pp. 233 à 236; Poésies, pp. 273 à 276. - Murat & Ressouvenir du lac Léman, pp. 255 à 298. - Confidence poétique, pp. 269 à 274. Poésies nouvelles, pp. 275 à 280 & 301 à 304. - Souvenirs de Florence, pp. 305 à 312. - Poésies, pp. 295 à 300 & 317 à 321. Des rousseurs. /// Fort in-8 de portrait, (4), 588 pp. /(4), 456 pp./ (2), 44 pp., pp. 81 à 276. Demi-basane verte, dos à nerfs orné. (Reliure de l'époque.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Edition revue par M. de Lamartine, 1 vol. in-32 reliure demi-basane marron, Pagnerre Editeur, Paris, 1845, 32-48-50 pp. Rappel des titres complets : Discours de M. de Lamartine prononcé à la Chambre des Députés le 27 janvier 1843 [ Suivi de : ] Deuxième Discours et Réplique de M. de Lamartine prononcés à la Chambre des Députés les 3 et 4 mars 1843 dans la Discussion des fonds secrets [ Suivi de : ] Discours de M. de Lamartine prononcé à la Chambre des Députés le 24 mars 1843 dans le discussion relative aux fonctionnaires publics
Bon état (ex-libris en garde et ex-libris ms. Julien de Cerval)
«Alphonse de Lamartine, de son nom complet Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869 est un poète, romancier, dramaturge français, ainsi qu'une personnalité politique qui participa à la Révolution de février 1848 et proclama la Deuxième République. Il est l'une des grandes figures du romantisme en France» Série complète en quatre volumes : Premières méditations poétiques avec des commentaires, La mort de Socrate, 267pp. Hachette 1900 - Recueillements Poétiques, épîtres et poésies diverses, 374pp, Hachette 1888 - Nouvelles méditations poétiques, avec commentaires. Le dernier chant du pèlerinage d'Harold, chant du sacre, 376pp, Hachette 1900 - Harmonies poétiques et religieuses, 408pp,Hachette 1900 volumes in8, 18x11, reliure demi cuir, très bel état de l'ensemble. "Harmonies poétiques et religieuses" est un recueil de poèmes écrit par le poète français Alphonse de Lamartine. Ce recueil a été publié en 1830 et fait partie des œuvres littéraires les plus importantes de Lamartine. Les "Harmonies poétiques et religieuses" sont caractérisées par leur ton méditatif et religieux. Lamartine, qui était un écrivain romantique, y aborde des thèmes tels que la nature, la foi, la méditation, la réflexion sur la vie et la mort, et l'aspiration spirituelle. Le recueil exprime une sensibilité religieuse profonde et une quête de sens existentiel. Le poème "La Mort de Socrate" a été écrit par le poète français Alphonse de Lamartine (1790-1869). C'est l'un de ses poèmes les plus célèbres et a été publié dans son recueil "Méditations poétiques" en 1820. Ce poème évoque le moment de la mort du philosophe grec Socrate, qui est souvent considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie occidentale. La mort de Socrate est un sujet fréquemment abordé dans l'art, la littérature et la philosophie, car elle symbolise le courage de Socrate face à la condamnation à mort injuste, ainsi que sa réflexion philosophique sur la nature de l'âme et de la vie après la mort. Lamartine, dans son poème, décrit le calme et la sérénité de Socrate au moment de sa mort, mettant en avant la noblesse de l'âme et la force de la philosophie. Le poème célèbre la figure de Socrate en tant que modèle de sagesse et de dignité, même face à la sentence de boire de la ciguë, qui était une méthode d'exécution en Grèce antique. La "méditation poétique" est une forme de poésie qui se caractérise par son ton réfléchi, méditatif et introspectif. Ce genre poétique se concentre souvent sur des sujets profonds, tels que la nature, l'amour, la spiritualité, l'existence humaine, la beauté et la signification de la vie. Les méditations poétiques visent généralement à susciter une réflexion profonde et à provoquer une réponse émotionnelle chez le lecteur. Les méditations poétiques se distinguent par leur rythme, leur langage et leur structure, qui favorisent la contemplation, l'introspection et la spiritualité. Ces poèmes peuvent être courts ou longs, et ils sont souvent écrits en vers, bien que certaines formes de méditations poétiques puissent également être en prose. ref/267
Exemplaire historique, littéraire et hautement bibliophilique provenant du Château de Montculot, propriété de Lamartine à compter de 1826 où il composa plusieurs méditations. Exemplaire unique enrichi de nombreux poèmes inédits, avec la participation autographe de l’auteur lui-même. Paris, Au dépôt de la librairie grecque-latine-allemande, 1820.[Suivi de] : FONTANES, Louis de. Les tombeaux de Saint-Denis, ou le retour de l’exilé.Paris, Le Normant, 1817.2 ouvrages reliés en 1 volume in-8 de : (5) ff.bl. dont 3 couverts d’annotations manuscrites à l’encre, vi pp., 116 pp., (1) f., 14 pp., (1) f., (7) ff.bl. couverts de notes manuscrites. Restauration dans la marge inf. du f. de notes sans atteinte au texte. Exemplaire avec les pp. 11-12 cartonnées. Plein veau havane marbré, roulette dorée sur les plats, dos lisse orné, filet sur les coupes, tranches marbrées. Reliure de l’époque.204 x 125 mm.
« Recueil des plus importants, et rare, tiré à 500 exemplaires seulement en 1820 ». (Clouzot, Guide du bibliophile, p. 176).Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, IV, 950 ; Bibliothèque Rahir, p. 491.« Ce chef-d’œuvre de Lamartine, et en même temps son début, parut sans nom d’auteur ; quelle modestie ! Edition originale rare. » Carteret, II, p.17.« Le plus souvent très simplement relié à l’époque. Ne pas se montrer trop exigeant, se contenter au besoin d’une demi-basane si le volume est en état satisfaisant. » (Clouzot).Lagarde et Michard consacrent de nombreuses pages à Lamartine : « Pour le public de 1820, ce mince recueil de 24 poèmes, produisit l’effet d’une révolution en poésie. Le public fut enthousiasmé de trouver, enrichis par le rythme et l’harmonie des vers, les thèmes et les sentiments nouveaux mis à la mode depuis Goethe, Byron et Chateaubriand ; et celui qui les exprimait était un poète profondément, douloureusement personnel. Par leur accent personnel, par ce sentiment de la nature, par l’importance des thèmes de l’amour, de la destinée, de l’infini, ces élégies répondaient à l’attente de la génération romantique. En dépit des variations du goût, il est permis d’affirmer que les meilleures d’entre elles, jaillies de l’âme comme un cri, atteignent à ce romantisme profond qui rejoint le classicisme dans ce qu’il a d’éternellement humain. » « En mars 1820, un petit volume de 24 poèmes sonne la fanfare de la poésie romantique. Son auteur, un jeune Bourguignon de trente ans, quasi inconnu, beau, ardent, ambitieux, aspire à réussir une vie publique [...]. Les ‘Méditations poétiques’ paraissent en 1820 sans nom d’auteur. Celui-ci, vite identifié, exulte : ‘Elles ont un succès inouï, universel.’ Leur influence sera considérable. » (En Français dans le texte).Bel exemplaire relié en plein veau marbré et décoré de l’époque et non en simple demi-basane, condition pourtant jugée acceptable pour cette originale « des plus importantes et rares », selon M. Clouzot.Exemplaire historique, littéraire et hautement bibliophilique provenant du château de Montculot (Urcy, 24110). Ce château appartenait à l’oncle de Lamartine mais il hérita de la propriété en 1826 où il écrivit plusieurs « Méditations ».Le volume est enrichi d’une vingtaine de pages manuscrites, reliées à l’époque en début et fin du volume, avec la participation active et autographe de Lamartine lui-même. Chacune de ces poésies calligraphiées à la plume à l’époque, la plupart inédites, sont accompagnées de petites introductions elles mêmes manuscrites. Ainsi :- « Impromptu fait à Lyon et envoyé à Papa par M. de La Martine, 1835 »…- « Deux sœurs demandaient à M. de Lamartine de leur écrire quelques petits vers au commencement de leurs albums. Il leur écrivit ceci (suivent deux poèmes manuscrits)… Les mots soulignés ont été écrits par M. de La Martine lui-même, à Montculot le 31 janvier 1831 ». Suit un poème de 2 pages avec quelques mots écrits par l’auteur et soulignés.- « Ces vers ont été faits le 24 janvier 1831 au Château de Montculot – Departement Cote d’or ».- « A Madame Desbordes Valmore. En réponse aux Stances insérées par elle dans le Keapsak. Par M. de Lamartine. »…L’un des plus précieux exemplaires de cette belle et importante édition originale.Provenance : de la bibliothèque Paul de Cauville (ex-libris armorié).
Ces lettres sinscrivent dans une correspondance entre Léon de Pierreclau et Ernest Falconnet, elles font plusieurs fois référence à Alphonse de Lamartine et Louis-Aimé Martin. Il sagit essentiellement dinvitations et de rendez-vous :…M. delamartine ma chargé de vous dire, que vous aviez du le trouver bien impoli la derniere fois que vous êtes venu chez lui, il ma chargé de vous en faire ses excuses ; ce nest que quand vous avez été parti quil (sic) sest rappelé votre nom, et les beaux vers que vous lui aviez adressés. Il sera bien aise de vous voir souvent… … M. Aimé Martin, mon cher Falconnet me prie de vous faire savoir que votre lecture de mardi est remise a jeudy. Jen suis charmé pour mon Compte puisque le changement me permettra dy assister… Léon de Pierreclau est né de lunion sans amour de Lamartine et de Nina Dézoteux, son père putatif Guillaume de Pierreclau resta un ami proche de Lamartine. À sa mort, Lamartine décida de prendre en charge léducation de Léon quil affectionnait beaucoup, ce dernier effectua alors des études de droit. Il épousa en 1838 à Mâcon Alix de Glans de Cessiat, mais mourut à lâge de 28 ans seulement de consomption. Louis-Aimé Martin (1782-1891), surnommé « Aimé Martin » dans la correspondance, était un littérateur français qui abandonna ses études de droit pour se concentrer sur la littérature. À sa mort, Lamartine dit sur ce dernier : « Toute la vie dAimé Martin (sic) se raconte en un mot : il fut un homme de lettres dans lantique et grande signification de ce mot ; cest-à-dire quaprès avoir jeté un regard sur toutes les occupations, sur toutes les ambitions, sur toutes les gloires qui soffrent à lhomme de talent à son entrée dans la vie, il nen trouva quune digne de lui. Cultiver sa pensée, perfectionner son intelligence, … ». Ernest Falconnet (1815-1891), le destinataire de ces sept lettres, était un magistrat, avocat général à Lyon et un hélléniste français. Il publia un livre sur Lamartine en 1840.