Paris, Librairie de L. Hachette et Ch. Lahure, 1868. 3 volumes in-8 reliés demi-maroquin rouge à coins, titre et ornements dorés sur le dos, tête dorée. Bel ensemble bien relié et complet en 3 vol.- Pour le tome 1 : IV (avertissement) - CXVIII (Notice biographique), X-492 pages : Variante de trois textes des Maximes, étude sur l'édition de 1664/. Tableaux de concordance, Réflexions diverses, Notice bibliographique, Additions et corrections, Oortrait du Duc de la Rochefoucauld fait par lui-même, Portrait du Cardinal de retz.- Réflexions ou sentences et Maximes morales, Maximes posthumes, Maximes supprimées, Réflexions diverses, Jugements des contemporains, Appendice.- Table alphabétique et analytique des Maximes et des Réflexions diverses, des oeuvres morales ./// Pour le tome 2 : LIII-584 pages : Mémoires, Notice, Mémoires 1624 à 1652, Apologie du Prince de Marcillac, Appendice aux Mémoires, Table alphabétique des Mémoires et de l'Apologie /// Pour le tome 3 : 310-CVV et 464 pages : Avertissement, Lettres et Table des Lettres (première partie du T. III - Lexique de la langue de la Rochefoucauld par MM. D. L. Gilbert et J. Gourdault.- 4,2kg.- Intérieur très frais, beau papier vélin non rogné, Reliure en bel état.
Paris, Renard, Prodhomme ; Imprimerie de Rignoux, Paris, Renard, Prodhomme ; Imprimerie de Rignoux1824 ; in-24, demi-veau beige, fil. dor. (Rel. de l’époque) 94 pp.ÉDITION ORIGINALE TRÈS RARE de ce recueil lilliputien signé par un imposteur déguisé sous les initiales E. L. “Ces pensées sont tirées soit de manuscrits de M. de La Rochefoucauld inconnus jusqu’à ce jour, soit de sa correspondance particulière. Quoique fort inférieures aux maximes publiées de son vivant, le nom de leur auteur leur donne peut-être des droits aux regards du public” dit l’éditeur en tête du recueil. “Il est évident que c’est une imposture. Il n’y a pas dans ce livre un mot qui ne soit indigne d’un homme de bon sens” dit Quérard IV, 566 qui décrit cette tromperie dans les colonnes des éditions de La Rochefoucauld publiées aux XVIIIe et XIXe siècles. - J. Marchand ne signale pas ce volume dans sa Bibliographie de La Rochefoucauld - Pas dans Barbier. ENVOI AUTOGRAPHE À Monsieur Dablin de la part de l’auteur E. L. Nous n’avons pas pu identifier E. L. et laissons volontiers cette enquête à un autre bûcheron bibliographe.
Une imposture littéraire
Paris, Ponthieu, Paris, Ponthieu1825 ; in-8, broché, couverture beige imprimée. 2 ff., portrait gravé, XXVIII pp., 490 pp.Édition collective donnée par le Marquis Gaëtan de La Rochefoucauld-Liancourt. Elle est annoncée sur la couverture comme “la plus complète de toutes celles qui ont été publiées jusqu’à ce jour”.Elle contient le Portrait du duc de La Rochefoucauld rédigé par lui-même, le Portrait du Card. de Retz, les Mémoires, les Maximes et la Correspondance.Édition très soignée, tirée sur beau papier satiné. Vicaire V, 54.Exemplaire non coupé.
Damascene morgand 1883 129 pages in8. 1883. Broché. 129 pages. Notes & variantes tables des maximes. Tirage à petit nombre sur beau vergé; Rousseurs sur couverture ( entière protégée par un plastic ) intérieur non coupé très bon
Etat Correct
Bibliothèque nationale 1866 192 pages in16. 1866. Broché. 192 pages.
Mauvais état couverture fortement défraîchie intérieur clair taché de rousseur sans gêner la lecture dos abîmée manques le prix tient compte de l'état
Berche et tralin 1878 315 pages in8. 1878. Relié. 315 pages.
Bon Etat
Première édition des Mémoires de La Rochefoucauld, publiée de son vivant, dans laquelle les noms propres ont été imprimés en italique. Cologne, P. Van Dyck (Bruxelles, Foppens, à la Sphère), 1677. Petit in-12, de (2) ff. et 360 pp., plein veau brun granité, filet à froid autour des plats, armoiries de François-Alexandre-Frédéric de La Rochefoucauld, Duc de La Rochefoucauld, né le 11 janvier 1747, dos à nerfs orné, coupes décorées, tranches granitées, petite découpe sur le feuillet de titre sans atteinte au texte. Reliure armoriée de l’époque. 142 x 78 mm.
Première édition des Mémoires de La Rochefoucauld, publiée de son vivant, dans laquelle les noms propres ont été imprimés en italique. L’édition originale fut imprimée en 1662. Il y a de légères différences dans l'Avis au lecteur. Le libraire annonce la présente « impression de ce Recueil plus correcte et plus exacte que n'avaient esté les précédentes », mais il ne l'annonce pas plus ample ; par conséquent, les additions de l'édition de 1672 ne s'y trouvent pas. Ces célèbres Mémoires couvrent les années 1624-1652, l’une des périodes les plus fiévreuses et les plus confuses de l’histoire de France, et mettent en scène les principaux protagonistes de la fronde : Madame de Chevreuse d'abord, à laquelle le jeune LaRochefoucauld eut le tort de s'attacher en arrivant à la Cour. Cette femme qui se servait de tous ses charmes, pour réussir dans ses desseins, avait encouragé Buckingham à courtiser la reine Anned'Autriche ; La Rochefoucauld nous conte cette aventure dont il connut le détail, et c'est dans son texte qu'Alexandre Dumas père puisa certains épisodes des Trois Mousquetaires et notamment celui des ferrets de diamants. Après la mort de Louis xiii et de Richelieu, La Rochefoucauld espéra une récompense pour le dévouement qu'il avait témoigné à la reine ; mais celle-ci s'était liée avec Mazarin et Mazarin avait hérité les inimitiés de son prédécesseur. Il tint La Rochefoucauld à l'écart du gouvernement et lui refusa même le tabouret de duchesse qu'il avait demandé pour sa femme. Ulcéré, le jeune homme se tourna vers le parti des mécontents, dont Condé et Conti prenaient la tête ; il y fut retenu par Madame de Longueville, sœur de ces deux princes, pour laquelle il semble avoir conçu une violente passion, bien qu'il nous déclare assez perfidement ne s'être servi d'elle que « comme hausse-pied de sa fortune ». Quand Mazarin eût fait arrêter les princes (18 janvier 160), La Rochefoucauld s'enfuit dans ses terres de Poitou et rallia la Fronde bordelaise. «Par leur intérêt historique et psychologique, par leur style élégant et bien charpenté, ces mémoires se placent au premier rang du genre littéraire qu’elles représentent.» (Laffont-Bompiani). Précieux et savoureux exemplaire des « Mémoires de La Rochefoucauld» conservé dans sa reliure en veau ancien aux armes de François de La Rochefoucauld. Ce dernier possédait aussi les Maximes de La Rochefoucauld reliées à ses propres armes. François-Alexandre-Frédéric de la Rochefoucauld, duc de Liancourt, puis d’Estissac, puis de la Rochefoucauld, fils de Louis-François-Armand, grand maître de la garde-robe, et de Marie de la Rochefoucauld, né à la Roche-Guyon (Seine-et-Oise) le 11 janvier 1747, servit d’abord dans les carabiniers et se maria très jeune, le 10 septembre 1764, avec Félicité-Sophie de Lannion ; il obtint en janvier 1768 la survivance de la charge de grand maître de la garde-robe, mais, ayant déplu à Madame Du Barry, il quitta la cour pour se consacrer à l'agriculture ; il établit une ferme modèle dans sa terre de Liancourt et y fonda pour les enfants des militaires pauvres, une école d’arts et métiers qui prit une grande extension et qui fut l’origine de l’école de Châlons. Le duc de Liancourt fut promu colonel en 1770, puis brigadier de dragons le 5 décembre 1781, et reçut la charge de notaire royal pour le marquisat d’AIlium, autrement dit de Maigelay, le 23 novembre 1785. La noblesse du bailliage de Clermont-en-Beauvaisis l’envoya siéger aux États généraux en 1789 ; le duc de Liancourt s’y montra le défenseur à la fois de la royauté et des libertés publiques ; président de l’Assemblée nationale le 18 juillet 1789, lieutenant général au gouvernement de Normandie, il dut s’enfuir, après le 10 août 1792, en Angleterre où il fut accueilli par Arthur Young. Il prit le titre de duc de la Rochefoucauld après l’assassinat de Louis-Alexandre, son cousin (14 septembre 1792), visita l’Amérique du Nord et revint en France en 1799.
Les bibliolatres de France 1950 in8. 1950. Cartonnage editeur.
Bon Etat
René Hilsum 1932 in12. 1932. Broché.
Bon Etat de conservation intérieur propre
Editions De France 1936 in12. 1936. Relié.
très bon état de conservation coins un peu émoussés intérieur propre
Jean de bonnot 1970 in8. 1970. Relié.
proche du neuf
Précieux exemplaire particulièrement grand de marges de cette édition originale recherchée. Cologne, Pierre Van Dyck, 1662.In-12 de (2) ff., 400 pp. Relié à l’époque sans le f. d’errata. Relié en maroquin citron de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs finement orné, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque.128 x 67 mm.
Précieuse édition originale de ces célèbres Mémoires sur l’une des périodes les plus fiévreuses et les plus confuses de l’histoire de France.Tchemerzine, IV, 25 ; Brunet, III, 848.Imprimée chez Foppers à Bruxelles, elle est précédée d’un « Avis » de l’éditeur qui s’excuse des fautes contenues dans cette « première édition », par la précipitation avec laquelle il a dû effectuer le tirage pour satisfaire l’empressement du public. Ces fautes seront corrigées dans les éditions suivantes. Le fleuron à la tête de buffle de la page 1 est placé tel qu’il doit être, alors qu’il est à l’envers dans la seconde édition ; par contre il n’y a pas de f. d’errata et les fautes n’ont pas été corrigées. Il s’agit donc bien d’un exemplaire du premier tirage, avec les fautes signalées dans l’errata, mais relié à l’époque sans ce f. d’errata.Les pages 387 à 400 contiennent les Lettres du Cardinal de Mazarin et de M. de la Chastre à M. de Brienne.Ces Mémoires si fameux couvrent la période 1624-1652 et mettent en scène les principaux protagonistes de la Fronde.Seuls les extraits provenant de copies clandestines furent imprimés du vivant de La Rochefoucauld qui craignait fortement le ressentiment des personnes dont il dévoilait les intrigues parfois sordides.Madame de Chevreuse à laquelle l’écrivain s’attacha à son arrivée à la cour prend une place de choix dans les Mémoires, c’est elle qui avait encouragé Buckingham à courtiser la reine Anne d’Autriche. La Rochefoucauld conte avec cœur cette aventure dont il connut le détail et c’est dans son texte qu’Alexandre Dumas puisa certains épisodes des Trois Mousquetaires et notamment celui des ferrets de diamants.Déçu de ne pas voir son dévouement pour la reine récompensé et haï par Mazarin, La Rochefoucauld allait se tourner ensuite vers Condé et Conti et concevoir une violente passion pour Madame de Longueville, sœur de ces 2 princes.« Par leur intérêt historique et psychologique, par leur style élégant et bien charpenté, ces ‘Mémoires’ se placent au premier rang du genre littéraire qu’ils représentent ». (Laffont-Bompiani).Précieux exemplaire particulièrement grand de marges de cette édition originale recherchée.Elle est si rare en maroquin de l’époque que ni Brunet, ni Deschamps, ni Tchemerzine, ni Rochebilière n’en citent d’exemplaires ainsi reliés.Provenance : de la bibliothèque de l’écrivain L. S. Auger avec ex libris.
Garnier, coll. « Classiques Garnier » 1999 Expédition très soignée, tous les mardis et vendredis. . In-16. Broché. Édition illustrée de 26 reproductions en noir et blanc. 3e édition revue et augmentée. Livre en Français. Pas de jaquette. Très bon état d’occasion. 682 pages. Poids sans emballage : 526 grammes. Sommet de la littérature moraliste du XVIIe siècle français, les Maximes de La Rochefoucauld gagnent à être lues ou relues dans cette édition critique fournie sans être pédante. - Edité par Jacques Trichet
Sommet de la littérature moraliste du XVIIe siècle français, les Maximes de La Rochefoucauld gagnent à être lues ou relues dans cette édition critique fournie sans être pédante. Très bon état d’occasion
A Cologne, chez Pierre Van Dyck, 1663.
Un volume petit in-12° (8, 5 x14 cm), reliure d’origine en vélin, dos avec inscription manuscrite partielle du nom de l’auteur. Intérieur: 2 ff; puis page titre et page avis au lecteur, puis 400 pages et 2 ff. de garde. Comme l’indique le titre, cet ouvrage est composé de plusieurs textes, tous écrits de la main du Duc de la ROCHEFOUCAULD: “Les Brigues pour le gouvernement à la mort de Louis XIII”, “ Guerre de PARIS”, “Récapitulation de ce que dessus, avec la Prison des Princes”, “Ce qui se passa depuis la Prison des Princes jusqu’à la guerre de Guyenne”, “Guerre de Guyenne et la dernière de Paris”, “Lettre de Monsieur le Cardinal de Mazarin à Monsieur de Brienne”, “Apologie ou Défense de Monsieur le Duc de Beaufort contre la Cour, la Noblesse et le Peuple”, “Mémoires de Monsieur de la Chastre”. Le Duc François de la ROCHEFOUCAULD (1613-1680), connu principalement aujourd’hui pour ses MÉMOIRES, eût d’abord une vie fort animée, partagée entre complots (en particulier la Fronde) et activités militaires. Appartenant à une grande famille de la noblesse française, il fut d’abord Prince de MARCILLAC et ne prit le titre de Duc de la ROCHEFOUCAULD qu’en 1650. C’est en 1662 que sont publiés à COLOGNE les présents MÉMOIRES (sans son autorisation, dit-on). Ces MÉMOIRES firent un tel scandale qu’il dut les désavouer (pour les re-publier en 1665, corrigés, expurgés)... C’est en cette même année 1665 qu’il publiera son ouvrage majeur : “Réflexions ou sentences et maximes morales” que l’on appela les MAXIMES de LA ROCHEFOUCAULD.. Notre exemplaire des MÉMOIRES forme un ouvrage compact et bien relié dans son vélin d’origine. Il a pu être considéré comme une production elzévirienne (titre à la sphère) : Tchémerzine IV 25, Brunet -III , 848. Deuxième édition, rare. TRÈS BON ÉTAT [50526].
Grasset 1978 104 pages 12x18x1cm. 1978. Broché. 104 pages.
Bon état couverture ternie intérieur propre
Éditions universitaires 1963 in12. 1963. Broché.
Etat correct couverture défraîchie tachée de rousseurs intérieur propre
MONTGLAT (Francois de Paule de Clermont, Marquis de) – LA ROCHEFOUCAULD (François, prince de Marsillac, baron de Verteuil, duc de) – GOURVILLE (Jean Hérault de).
Reference : 114719
(1838)
P., Chez l'éditeur du Commentaire analytique du Code civil, 1838, pt in-4°, 593 pp, texte sur 2 colonnes, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 larges faux-nerfs ornés, caissons dorés et à froid, titres et tomaison dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état (Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe, avec des notices, par MM. Michaud et Poujoulat)
"Ces souvenirs sont rédigés selon l'ordre des temps, comme ceux de Saint-Simon, mais divisés par campagnes ; ce sont donc des annales historiques. Ils ont, des annales, "l'exactitude, l'allure calme et monotone, la forme régulière et pesante". Toutefois, la grande qualité de l'auteur est l'impartialité : s'il mêle à son récit des réflexions et des critiques, celles-ci sont toujours judicieuses et jamais méchantes. De plus, comme la plupart du temps Montglat a été un témoin oculaire, les informations qu'il donne doivent être prises en considération. Les négligences de son style ajoutent même en quelque sorte à la véracité de l'écrivain : celui-ci n'avait songer qu'à rédiger ses souvenirs pour lui-même, et non pour la postérité : il n'a donc eu aucun souci de farder ou de dissimuler la vérité." (Bourgeois et André II, 747) – Les Mémoires de La Rochefoucauld racontent avec netteté, élégance et précision l'histoire de la régence d'Anne d'Autriche. On y trouve en particulier le récit particulièrement saisissant de la Fronde à laquelle La Rochefoucauld participa activement aux côtés des Princes, contre le jeune Roi, la Reine mère et Mazarin. Un des plus importants témoignages sur la période allant de 1624 à 1652. – "Jean Hérault, devenu plus tard seigneur de Gourville (1625-1703), est le type de ces hommes partis de rien qui surent, au XVIIe siècle, faire leur fortune dans la finance. D'abord au service des La Rochefoucauld, il tâtat de la Bastille, s'enfuit à l'étranger; mais il s'était rendu indispensable, on l'amnistia, il se retrouva successeur désigné de Colbert (1683). Il mourut respecté de tous." (Bourgeois et André II, 808)
Académie des Bibliophiles, Paris, 1868
Un volume grand in-12° (14 x 21, 5cm), demi-reliure cuir rouge à coins, dos à 4 mors et 5 caissons dont l’un mentionne simplement le titre en lettres dorées et les autres sont ornés d’élégants motifs décoratifs classiques. Cet exemplaire présente au premier contre-plat la mention suivante : Bibliothèque de la Princesse Antoine Radziwill et, en regard un bel ex-libris de Stanislas Radziwill. On trouvera ensuite l’emblème de la maison d’édition (LACOUR ) et de l’imprimeur (JOUAUST). François de La ROCHEFOUCAULD (1613-1680) est un des grands écrivains du 17ème siècle, connu surtout pour ses MAXIMES. Voici l’une d’entre elles: “La nature fait le mérite, et la fortune le met en œuvre”... L’ouvrage compte 226 pages dont une liste des Variantes, une Table générale et une liste des souscripteurs. Le tirage de ce exemplaire a été limité à 525. Notre exemplaire porte le N°56 et est imprimé sur papier vergé. Signalons une tache noire sur la coiffe inférieure due sans doute à la trace d’une étiquette décollée. traces d’âge et d’usage mais ETAT TRES SATISFAISANT.
La renaissance du livre 1930 in12. 1930. broché.
dos recollé couverture défraîchie bords frottés intérieur propre
La renaissance du livre 190 pages in12. Sans date. Broché. 190 pages.
Bon Etat