[Paris], Imprimerie de Crapelet, s.d. (1815) in-4, 20 pp., dérelié.
Démarche auprès des chambres, parallèle à celle effectuée auprès de Louis XVIII : il s'agit de la défense par le vieux général (légitimiste et émigré) de Forbin-Janson (1746-1832) de son fils Charles-Théodore-Palamède de Forbin-Janson (1783-1849), aux sympathies bonapartistes marquées, et qui avait participé à la Campagne des Pays-Bas à l'état-major de l'Empereur ; il n'en fallait pas plus pour être inscrit sur la liste des 38 personnages dangereux voués à l'exil. Il dut quitter la France et erra en Toscane, Autriche et Angleterre jusqu'en 1820, date à laquelle il put revenir et se faire oublier dans ses propriétés du sud de la France. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (début du XVIIIe siècle) in-folio, [147] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, très régulière et lisible (environ 30 à 35 lignes par page), infimes biffures, demi-basane marine, dos lisse muet orné de filets dorés, étiquette de titre contrecollée au centre du plat supérieur, tranches mouchetées de rouge (reliure du XIXe siècle). Coiffes et charnières frottées, pages uniformément roussies.
Copie de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle d'une très importante correspondance diplomatique du futur cardinal de Forbin-Janson (1626-1713), évêque de Beauvais depuis le 25 septembre 1679, et surtout nommé de nouveau en 1680 ambassadeur extraordinaire de Louis XIV à la Diète de Pologne. Comme évêque de Marseille, siège qu'il avait occupé avant son transfert à Beauvais, le prélat avait déjà été envoyé comme ambassadeur extraordinaire à Varsovie pour l'élection du nouveau roi à la suite de la mort de Michel Wi niowiecki (mort le 10 novembre 1673). La Diète, extrêmement divisée comme il se doit en Pologne, se réunit le 11 mai 1674, et l'habileté de Forbin permit de rapprocher les partis et de faire élire Jean III Sobieski, ce qui correspondait au voeu de Louis XIV. Rien d'étonnant donc à ce qu'il ait été choisi pour cette nouvelle représentation, qui est au demeurant assez mal connue, mais dont l'objet était à la fois de réchauffer les relations bilatérales, apparemment un peu mises à mal par les intrigues et les prétentions de la Reine de Pologne (Marie-Casimire-Louise de La Grange d'Arquien), et de s'informer sur les dessous des demandes de subsides destinées à soutenir la lutte contre les Turcs, qui se préparait par l'alliance de l'Empereur et de la Pologne. Les relations actuelles entre les deux Couronnes jadis si proches pouvaient en effet être présentées comme suit (lettre XIV) : "Nous avons trouvé en arrivant le Roy et la Reyne de Pologne aigris par mille fausses préventions, persuadez que V. M. les mesprisoit, qu'elle vouloit les traiter comme des princes tributaires, entretenir la division dans leur Royaume affin qu'ils fussent dans une plus grande dépendance, ne leur accorder aucune grâce .."I. Les missives commencent le 3 août 1680 et vont jusqu'au 14 février 1681. Elles sont au nombre de 75.Parti de Paris le 24 juillet 1680, Forbin arriva à Varsovie le 1er septembre, en passant par Cologne, Münster, Hanovre, Berlin (où il rencontra le Grand Électeur). Il rend compte ensuite des diverses audiences obtenues de Jean III, ou de sa femme, d'abord très générales, puis rentrant dans le vif des négociations. Incidemment, il faut le lire insistant souvent sans discrétion excessive sur l'appui de Louis XIV pour l'obtention de son chapeau (qu'il n'obtiendra qu'en 1690 d'Alexandre VIII). Les matières abordées sont très nombreuses et tiennent autant aux affaires intérieures de Pologne, aux manoeuvres de la Reine (en faveur de son père le marquis d'Arquien), qu'aux préparatifs de la lutte contre les Turcs, envers laquelle Louis XIV manifeste un scepticisme et une réticence remarquables (il réitère plusieurs fois la consigne du secret sur d'éventuels subsides de sa part "jusques à ce que la guerre soit effectivement déclarée"). Le même prince refuse de s'engager à ne pas attaquer les États de l'Empereur en cas d'engagement conjoint contre la Porte : "Que pour ce qui est de la demande qu'il luy a faite par la lettre que le Sr. de Villars luy apporta par laquelle il souhaiteroit que V. M. donnast des asseurances qu'elle n'attaquera pas les pays de l'Empereur ny les Estats de l'Empire tant qu'il feroit la guerre conjointement avec la Pologne contre les Infidelles, je luy ai fait connoistre combien cette demande est captieuse de la part de l'Empereur et tout à fait inutile pour la Pologne (...)".À partir du 27 octobre, date de l'arrivée de Vitry, les lettres peuvent être rédigées par les deux ambassadeurs (comme la XII), mais l'évêque continue ses missives particulières au Roi. Les deux numérotées XIV et XV (toutes deux du 8 novembre 1680) sont particulièrement longues (ff. 23-38) et importantes, donnant non seulement tout le détail des affaires pendantes, mais aussi et surtout l'atmosphère de la Cour de Pologne, itinérante entre la Lituanie et la Russie en cette fin d'année 1680 : "Il faut que V. M. s'attache entièrement la Reyne de Pologne car il est certain qu'elle a un pouvoir absolu sur l'esprit du Roy son mary qui ne luy cache rien, qui la met dans toutes les affaires et enfin elle le tourne où il luy plaist".Au début de l'année 1681, les deux hommes rejoignent la Cour de Jean III à Varsovie, où doit se tenir la Diète. En annexe de la lettre XLIII du 14 janvier 1681, on trouvera des copies de missives de l'Électeur de Brandebourg, du prince Louis de Honenzollern (fils cadet de l'Électeur), de Wichert (résident de Brandebourg en Prusse).Au milieu de mille intrigues, la conclusion générale de l'ambassade tient en quelques mots de la dernière lettre adressée au Roi (LXX, du 14 février) : "la parole positive [que le Roy et la Reyne de Pologne] nous ont donnée de ne se point détacher de l'amitié de V. M. et d'entrer aprez la Diette dans un traitté d'alliance".II. Sont intercalées dans cette partie des copies de lettres de Roger Akakia (cf. infra), alors en mission en Transylvanie pour rallier les Mécontents de Hongrie à la politique anti-habsbourgeoise de la France, ce qui n'allait pas sans mal ("Je crois devoir avertir que les Hongrois Mescontens sont conseillez par quelques-uns qui se disent venir de la France, de s'accommoder avec l'Empereur, et pour les y porter, ils taschent de faire perdre à ceux la toute espérance d'un secours de la France sans lequel ils ne peuvent continuer la guerre"). Adressées aux deux ambassadeurs, elles en reçoivent des réponses conjointes (lettres XXVIII-XXX).Enfin, d'autres missives, plus courtes, sont adressées à divers personnages en poste dans le pays : Antoine Baluze, résident de France en Pologne depuis 1644 (il avait été attaché à la personne de Marie-Louise de Gonzague-Nevers, épouse de Ladislas IV, puis de son frère Jean II), et désireux de rentrer en France en raison du mauvais état de sa santé (il devait obtenir son congé, quitter Varsovie en mars 1681, pour mourir à Paris en septembre suivant) ; François du Pas de Feuquières, comte de Rébénacq, etc.III. À la suite de la correspondance du négociateur proprement dite a été réuni un dossier regroupant les instructions données au diplomate avant et pendant sa mission, sous le titre général de : Négociation de Monseigneur l'évesque et comte de Beauvais Pair de France, ambassadeur extraordinaire en Pologne (ff. 105-147), composé de cinq parties :1. Mémoire pour servir d'instruction tant au Sr. évesque de Beauvais allant de la part du Roy ambassadeur extraordinaire en Pologne qu'au Sr. marquis de Vitry, qui doit demeurer plus longtemps aud[it] pays en cette mesme qualité (ff. 105-112). Nicolas-Louis de Lhospital, marquis de Vitry (1636-1685), fils du maréchal de Vitry, fut ambassadeur en Pologne de 1680 à 1683, en remplacement de François-Gaston de Béthune-Sully (dont le séjour semble avoir été celui d'un brouillon), et après une mission auprès de l'Empereur. Il était censé arriver sur place avant Forbin, encore retenu par le soin de son nouveau diocèse (et où la lutte contre le jansénisme l'accaparait), mais ce fut exactement l'inverse qui se produisit.2. Addition au mémoire servant d'instruction (ff. 113-116).3. Lettres de créance données par Sa Majesté à Mgr de Beauvais pour le Roy et la Reyne de Pologne (ff. 116v-117r).4. Articles du traité secret signé avec Mr. l'Électeur de Brandebourg le 25e octobre 1679, dont il est fait mention dans l'instruction du Roy (f. 117). Il s'agit du traité secret de Saint-Germain-en-Laye, signé le 25 octobre 1679 entre le roi de France et l'électeur de Brandebourg Frédéric-Guillaume Ier, constituant un complément au traité homonyme signé en juin de la même année par lequel le Brandebourg restituait à la Suède ses possessions de Poméranie et de Stettin. Le Grand Électeur recevait des subsides de la France, mais s'engageait en retour à donner son suffrage au Roi ou au dauphin en cas d'élection impériale. 5. Lettres du Roy et de Mr. de Croissy à Mgr l'évesque de Beauvais depuis le 17 juillet 1680 jusqu'au 13 feb[vrier]) 1681 (ff. 117-147). Dans cette dernière partie, on trouvera également correspondance active et passive de Roger Akakia de Fresne, qui exerça longtemps les fonctions de secrétaire de l'ambassade de Pologne, et a laissé le souvenir ambigu d'un intrigant incorrigible (il avait déjà été embastillé en 1664 à la suite de son premier séjour en Pologne).Le CCF ne signale apparemment aucun manuscrit correspondant à notre recueil. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Delaunay 1819, In-8 (12x20cm), (12) 460pp., relié.
Seconde édition parue la même année que la première, chez le même éditeur. Grand plan dépliant du Saint Sépulcre in fine. Le grand et fameux atlas, édité à seulement 325 exemplaires et qu'on se procurait à part, est absent. In fine explication des 78 planches lithographiées en couleurs qui composent l'atlas. Reliure en pleine basane brune d'époque porphyre. Dos lisse orné de 4 caisson à la grotesque croisillonnés, d'un fer central. Frise d'encadrement sur les plats. Pièce de titre en maroquin chocolat. Dos uniformément éclairci. Petits manques aux mors en tête. Un léger manque en queue. Mors supérieur fendu étroitement en queue sur 8 cm, et sur 5cm le long du mors inférieur. Trace de mouillure pâle sur le faux titre, la page des titre et les feuillets préliminaires. 3 coins émoussés. Nommé en 1816 Directeur général du musée du Louvre, Forbin obtient de Louis XVIII un congé pour réaliser enfin son rêve de jeunesse, un voyage dans le Levant. Embarquant sur plusieurs navires, il visite tout d'abord Milos, Athène, Constantinople, Ephèse, puis arrive enfin à Saint Jean d'Acre, poursuivant jusqu'à Jerusalem, Gaza, Damiette. Il visite également l'Egypte et ses principaux sites : Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. Il acquière de nombreuses antiquités qui enrichiront les collections du Louvre. En dehors de la narration classique et pittoresque du voyage, ce Voyage au Levant se caractérise par sa vision esthétique et artistique ; Forbin est avant tout un homme de l'art, et il oeuvrera beaucoup en France pour les musées, réaménageant les collections du Louvre, créant le musée du Luxembourg et celui de Versailles... Dans le Dictionnaire des orientalistes, Frédéric Hirzel écrit : "Le voyage au Levant du Comte de Forbin reste l'une des plus belles réalisations des Voyages pittoresques du début du XIXe siècle. A la différence de certains de ses précurseurs, comme le Comte de Choiseul-Gouffier, le texte est ici un vrai récit." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Imprimerie Royale, Delaunay libraire, 1819, 1 vol.in 8, 460 pp., une planche dépliante, relié demi chagrin, dos lisse orné avec titre, tranches jaunes, ex-libris manuscrit
Nommé en 1816 directeur général des musées royaux, le comte de Forbin (1777-1841) agrandit le musée du Louvre et étoffa les collections en acquérant entre autres, Les Sabines et Léonidas aux Thermopyles de David (1819), la Vénus de Milo (1820) ou bien encore le Radeau de la Méduse (1824). En 1817, poursuivant sa politique d'acquisition d'antiquités pour les musées français, Forbin entreprit un long voyage d'une année dans le Levant à travers l'Asie Mineure, la Palestine et l'Egypte où il remonta le Nil, accompagné des peintres Pierre Prévost et son neveu Léon Matthieu Cochereau ainsi que de l'architecte Jean-Nicolas Huyot : Milos, Athènes, Constantinople, Éphèse, Saint-Jean-d'Acre, Jérusalem, Gaza, Damiette, Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. L'expédition, après maintes aventures et accidents s'achèva le 24 avril 1818 au lazaret de Marseille et aura permis d'acquérir (selon les précisions de Forbin dans son récit) pour 28 000 Francs d'antiquités pour le musée Royal. M8-A
Paris, Challamel et Imprimerie Royale, Delaunay libraire,1843 et 1819, 1 vol.in 8*, 298pp. et 460 pp., une planche dépliante in fine, relié demi chagrin vert, dos à nerfs avec auteur et titre.
Nommé en 1816 directeur général des musées royaux, le comte de Forbin (1777-1841) agrandit le musée du Louvre et étoffa les collections en acquérant entre autres, Les Sabines et Léonidas aux Thermopyles de David (1819), la Vénus de Milo (1820) ou bien encore le Radeau de la Méduse (1824). En 1817, poursuivant sa politique d'acquisition d'antiquités pour les musées français, Forbin entreprit un long voyage d'une année dans le Levant à travers l'Asie Mineure, la Palestine et l'Egypte où il remonta le Nil, accompagné des peintres Pierre Prévost et son neveu Léon Matthieu Cochereau ainsi que de l'architecte Jean-Nicolas Huyot : Milos, Athènes, Constantinople, Éphèse, Saint-Jean-d'Acre, Jérusalem, Gaza, Damiette, Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. L'expédition, après maintes aventures et accidents s'achèva le 24 avril 1818 au lazaret de Marseille et aura permis d'acquérir (selon les précisions de Forbin dans son récit) pour 28 000 Francs d'antiquités pour le musée Royal.
A Amsterdam, Chez François Girardi, Imprimeur et Libraire, M.DCC.XLVIII (1748). 2 volumes in-16, 383 pp. (Tome I), 344 pp. (Tome II), reliure ancienne plein veau, dos à nerfs ornés de fleurons, ors un peu passé, bons exemplaires. Exemplaire Illustré d'un frontispice du Comte de Forbin, en Grand Amiral des Armées Navales du Roi de Siam, Narai. Sur les 2 pages de titre, la partie supérieure a été découpée maladroitement pour ôter le nom du propriétaire.
Mémoires du Chevalier de Forbin, qui prit part à l'Ambassade du Roi Louis XIV auprès du Roi de Siam, Narai. Il resta au Royaume de Siam et devint brièvement grand amiral des forces navales du Roi de Siam. Un destin hors du commun!
Mercure de France, 1993, in-8°, 628 pp, introduction et notes de Micheline Cuénin, un portrait, un tableau généalogique et 3 cartes hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Le Temps retrouvé)
Les Mémoires laissés par les marins de Louis XIV sont rares et d'un style assez technique. Ceux du comte de Forbin, trop longtemps occultés, se révèlent exceptionnels tant par l'étendue et la variété des aventures militaires qu'ils couvrent que par la plaisante vivacité de leur écriture. Nul n'a parcouru tant de mers, du Siam à la mer Blanche, nul n'a pu faire valoir, en tant d'opérations risquées, une pareille connaissance des flots et des hommes ; nul n'en a parlé avec plus d'agrément. Le franc-parler de cet officier trop intelligent lui valut d'être, jusqu'à ce jour, fort calomnié. Il est temps que ce texte passionnant, divertissant d'un bout à l'autre, contribue à lui rendre justice tout en nous régalant de plaisirs sans mélange. Cette édition est enrichie de notes substantielles et d'annexes nombreuses permettant une meilleure plongée dans ces glorieuses années. – "Forbin a servi sur mer de 1675 à 1707, le plus souvent sous les ordres de Jean Bart, de Tourville et de Duguay-Trouin. Il fit campagne sur les côtes du Portugal en 1679, aux Antilles en 1680 et se distingua aux bombardements d'Alger de 1682 et 1683. Il partit au Siam où il fut nommé gouverneur de Bangkok et amiral de la flotte siamoise par le roi de ce pays. Rentré en France il est fait prisonnier par les anglais. Après son évasion avec Jean Bart, il fait campagne en Mer du Nord et participe à l'affaire de Lagos en 1693. Puis les campagnent s'enchaînent, Constantinople, la campagne de Catalogne et le siège de Barcelone, l'Adriatique (1702) où il intercepte le commerce vénitien, bombarde Trieste et rançonne Fiume, le Levant pour chasser les corsaires de Flessingue (1703-1704). De 1706 à 1707 il combat les anglais et les hollandais puis il quitte la marine après l'échec de l'opération visant à remettre Charles-Edouard Stuart sur le trône d'Angleterre." (Bourgeois & André, Sources II, 883 / Taillemite, Dictionnaire des marins français)
Paris, Renard, 1810. in-8, VIIpp. - 189pp. - 1f. errata - frontispice. Relié à l'époque veau blond glacé, encadrement triple filet doré, dos lisse orné à la grotesque, pièce de titre, tranches marbrées.
Édition originale. Charmant frontispice gravé par B. Roger, d'inspiration pré-romantique. Ce roman sentimental aurait inspiré Lamartine pour Graziella : même esprit, même lieu, même intrigue. L’adresse du libraire Renard qui figure au titre précise que ce Renard est le libraire de S. A. I., la Princesse Pauline, Princesse Borghèse. Pour la petite histoire, Forbin a été l’amant de Pauline lors de son séjour à la villa Médicis en 1802-1803 « Sa nomination de chambellan de la princesse Pauline, signée le 5 octobre 1806, fut la consécration d’une intimité que Pauline et lui ne se donnaient pas la peine de cacher » (Dumaine. Quelques oubliés de l’autre siècle p. 77) - (Oberlé, cat. vente Barante n° 154 (cet exemplaire) - Escoffier, 194). - Ex-libris Barante. Bel exemplaire, bien relié.
Mercure de France.1993.In-8,couv.souple ill.en couleurs.TBE.
Paris,, (c.1825-30). fascicule in-4, 52pp. Broché.
Contentieux avec des agents de change. - Brochage fragile, couverture détachée, rousseurs.
EDITIONS BAUDINIERE 1934 1934. Victor Forbin: Le Pipe-Line sous les murs de Ninive/ Editions Baudinière 1934 . Victor Forbin: Le Pipe-Line sous les murs de Ninive/ Editions Baudinière 1934
Bon état
De l' Imprimerie Royale, Paris 1823, In-8 (14,5x23cm), (4) xx, 394pp. (1), relié.
Edition originale, rare, de ce voyage en Sicile par le Comte de Forbin. Un frontispice, ruines du théâtre de Taormine, dessiné par le Comte de Forbin, et 2 planches de musique d'une ariette sicilienne, ainsi que 2 figures de monnaie. Reliure en plein maroquin vert d'époque. Dos à nerfs à la cathédrale, orné de fers monastiques dorés et à froid en long. Pièce de titre en maroquin vert. Plats doté d'un riche encadrement à froid avec frises diverses, frappé à froid d'un fer monastique central. Fers sur les coupes et intérieur. Gaufrages du cuir en encadrement. Tranches dorées. Gardes jaunes à damiers. Rousseurs éparses. En queue : R. P. Decle. Très bel exemplaire dans une reliure originale. Voyage réalisé durant l'insurrection sicilienne pour l'indépendance en 1820. Le livre est donc composé de deux parties, l'une est la narration de voyage et l'autre sur la révolte sicilienne, l'auteur tentant de comprendre les raisons de ce soulèvement. Le voyage est suivi, après les notes, de la nouvelle Le radja de Bednoure. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, Bibliothèque des Chemins de Fer, 1853. 1 volume in-12, IV- 176 pp., broché, couvertures imprimées légèrement salies et défraîchies, quelques rousseurs, bon état général. Volume de la fameuse collection ferroviaire de la Bibliothèque des Chemins de Fer.
Relation de Monsieur de Forbin au Siam. Il accompagnait une Ambassade Française de Louis XIV auprès du Roi Narai, à la fin du XVIIe siècle.
NOAILLES (Adrien-Maurice, duc de) – FORBIN (Claude, Comte de) – DUGUAY-TROUIN (René).
Reference : 113259
(1828)
P., Foucault, 1828-1829, 5 vol. in-8°, 432, 475, 451, 464 et 460 pp, reliures demi-veau glacé caramel à coins, dos à 4 larges nerfs filetés, caissons à froid, pièces de titre et tomaison basane noire, roulette dorée en queue, tranches marbrées (rel. de l'époque), C. de bibl., coiffe sup. arrasée au 1er volume, étiquettes en queue, bon état (Coll. complète des Mémoires relatifs à l'histoire de France, depuis l'avènement de Henri IV jusqu'à la paix de Paris conclue en 1763 ; avec des notices sur chaque auteur, et des observations sur chaque ouvrage, par Messieurs A. Petitot et Monmerqué). Exemplaires trés bien reliés à l'époque
"Cette production qui offre le dépouillement de 200 volumes de pièces originales, fait connaître plus particulièrement les personnages célèbres qui ont conduit les affaires de l'Europe, depuis la guerre de la succession jusqu'à celle de 1714 inclusivement, et renferment des lettres intéressantes de la princesse des Ursins, du roi d' Espagne, de Louis XIV, etc." (Quérard T.6) – "Forbin a servi sur mer de 1675 à 1707, le plus souvent sous les ordres de Jean Bart, de Tourville et de Duguay-Trouin. Il fit campagne sur les côtes du Portugal en 1679, aux Antilles en 1680 et se distingua aux bombardements d'Alger de 1682 et 1683. Il partit au Siam où il fut nommé gouverneur de Bangkok et amiral de la flotte siamoise par le roi de ce pays. Rentré en France il est fait prisonnier par les anglais. Après son évasion avec Jean Bart, il fait campagne en Mer du Nord et participe à l'affaire de Lagos en 1693. Puis les campagnent s'enchaînent, Constantinople, la campagne de Catalogne et le siège de Barcelone, l'Adriatique (1702) où il intercepte le commerce vénitien, bombarde Trieste et rançonne Fiume, le Levant pour chasser les corsaires de Flessingue (1703-1704). De 1706 à 1707 il combat les anglais et les hollandais puis il quitte la marine après l'échec de l'opération visant à remettre Charles-Edouard Stuart sur le trône d'Angleterre." (Bourgeois & André, Sources II, 883 / Taillemite, Dictionnaire des marins français) – "Duguay-Trouin, après avoir passé rapidement sur sa jeunesse, raconte sobrement et sans vantardise ses campagnes sur mer depuis 1689. Modeste, il sait attribuer à ses lieutenants la part qu'ils ont eu dans les combats. Il poursuit le récit jusqu'à l'année 1734 où les infirmités le forcent à se retirer du service. Ces mémoires sont très précieux parce que d'un bout à l'autre on reconnaît que l'auteur est sincère." (Bourgeois & André, Sources II, 884).
Bureau du journal. 14 mars 1931. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 305 à 334. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire :Un empire de 26 siècles transformé en 40 ans par Victor Forbin, Les méfaits de l'eau et du feu, La terre a tremblé en Nouvelle Zélande, Nuit de ramadan a Stamboul, J.F. Blanche, littérateur et portraitiste par Maurice Bourdet, Un nouvel hydravion géant britannique Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, Bibliothèque des Chemins de Fer, 1853. 1 volume in-12, IV- 176 pp., reliure moderne plein cuir caramel, couvertures conservées, très bon état.
Relation de Monsieur de Forbin au Siam. Il accompagnait une Ambassade Française de Louis XIV auprès du Roi Narai, à la fin du XVIIe siècle.
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, Bibliothèque des Chemins de Fer, 1853. 1 volume in-12, IV- 176 pp., reliure ancienne demi-basane, plats cartonnés chagrinés, très bon état. Premier plat décoré des fers du Lycée d'Avignon. Volume de la fameuse collection ferroviaire de la Bibliothèque des Chemins de Fer.
Relation de Monsieur de Forbin au Siam. Il accompagnait une Ambassade Française de Louis XIV auprès du Roi Narai, à la fin du XVIIe siècle.
État : Très bon état - Année : 1942 - Format : in 8° - Pages : 204pp - Editeur : Horizons de France - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Mors un peu frottés. - Collection : Le roman de l'histoire - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/chevalier-de-forbin/2600-marin-du-roy?lrb
Mémoires du chevalier de Forbin, chef d'escadre. ˮCe qu'on va lire, et qui se lit avec ravissement, ce sont les guerres, campagnes, exploits et batailles sur tous les océans, d'un grand marin du Grand Roi - contés avec une verve endiablée, tantôt épique, tantôt malicieuse, nourrie de faits, de gestes et d'action, dans un style qui jamais ne traîne ni ne languit.ˮ En guise de préface: ˮLes vieux bateauxˮ, poème de Jacques Bourgeat dédié à La Varende. La guerre sur mer au temps de beau bateaux à voiles et de la ˮcourseˮ avec Jean Bart.
Phone number : 09 63 58 85 14
1934 P. Plon 1934, in-8, X-236pp., br.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Complet en deux volumes, cartonnages de l'éditeur (demi simili-cuir fauve avec décor doré sur le dos et le premier plat), signet, 20X13 cm, 1970, 315+344 pages, illustrations en noir, histoire générale des aventuriers de la mer, librairie commerciale et artistique. Bon exemplaire.
ALCAN 1932 br.-il. de J.Routier-couv.ill.-leg.aurèole en bas des derniers feuil.
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, Bibliothèque des Chemins de Fer, 1853. 1 volume in-12, IV- 176 pp., percaline usagée et fortement insolée, intérieur propre et frais, assez bon exemplaire.
Relation de Monsieur de Forbin au Siam. Il accompagnait une Ambassade Française de Louis XIV auprès du Roi Narai, à la fin du XVIIe siècle. Table des matières: Coup d'oeil retrospectif - Le châtiment - Le patriarche - Le pasteur - Une journée dans l'ile - L'arrivée d'un amiral - Le pasteur dans la mère -patrie - Statistique et moeurs.
Avignon, François Seguin, 1910 1 volume In-8° (16,5 x 24,8cm) Broché. 2 feuillets, 100p., 1 feuillet. Mauvais état: en partie débroché avec dos en lanbeaux; inscriptions à l'encre en page de titre (références des numéros des "Mémoires de l'Académie de Vaucluse" d'origine); tache au 1er plat.
Vie de François-Dragonet de Fogasses, seigneur de La Bastie (1536-1599) par le comte Georges-Palamède de FORBIN (1874-1964); documents en appendice sur les biens du seigneur de La Bastie et sur cette seigneurie en particulier; pièces justificatives (documents et correspondances); notes et références. Extraits des "Mémoires de l'Académie de Vaucluse" de 1908-1909.
Amsterdam, Francois Girardi, 1739. 2 volumes in-12, veau brun, dos orné, tome 1 restauré aux coiffe, titre et auteur redoré, 3 feuillets renforcés en marge dont le titre (tome 1), manque le frontispice, brunissures.
Nouvelle édition (EO 1729)de ces intéressants mémoires d'un des plus brillants hommes de guerre au service de Louis XIV, édites par Simon Reboulet d'après les papiers du célèbre officier de marine Claude de Forbin (1656-1733), qui parcourut les mers au service de la France, participant aux expéditions aux Amériques sous D’Estrée et contre les pirates barbaresques avec Duquesne, il est nommé major de l’ambassade au Siam ou il demeure 3 ans, rentré en France, il fait la course avec le célèbre Jean Bart avec lequel il s’évade pour continuer sa carrière militaire….
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1943 150 pages