Garniaer 1962 in12. 1962. Cartonné. 402 pages. Bon Etat
Jean de bonnot 1968 in8. 1968. reliure editeur. 5 volume(s). Bon Etat intérieur propre
Flammarion 1999 11x17x2cm. 1999. Broché. 446 pages. Bon Etat intérieur propre couverture brunie
Gallimard / Folio 1990 poche. 1990. Broché. 320 pages. Bon Etat
C'est l'ouvrage qui valut à Chateaubriand la perte de son poste de ministre, reliée avec ses célèbres Mémoires du Duc de Berry. Paris, Le Normant, 1816. In-8 de vi pp., 304 pp. Pte déchirure p. 19 sans manque, mouillure pâle en haut de qq. ff. [Suivi de:] Mémoires, lettres et pièces authentiques touchant la vie et la mort de S.A.R. Monseigneur Charles-Ferdinand-D’Artois, fils de France, Duc de Berry. Paris, Le Normant, 1820. (2) ff., ii pp., 1 portrait à pleine page, 299 pp. 3 ff. brunis. Maroquin vert, plats ornés d’un riche encadrement de double filet et roulettes dorés, dos lisse orné, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, gardes de tabis rose, tranches dorées. Reliure de l’époque. 205 x 125 mm.
I/ Édition originale de la plus grande rareté de ce pamphlet politique de Chateaubriand qui provoqua la colère de Louis XVIII et valut à son auteur d’être destitué de son poste ministériel. Le pamphlet fut interdit le 18 septembre 1816, les exemplaires saisis et détruits. Elle est si rare qu’elle a échappé à Vicaire et à Carteret. Avec le feuillet de titre imprimé contenant la mention «Ministre d’Etat» qui sera supprimée par la suite. « Toutes les éditions, tous les tirages de ce pamphlet exécutés chez Le Normant portent uniformément le titre ci-dessus. Elles sont toutes considérées comme éditions originales; elles furent saisies par ordre de Décazes.» (Talvart, III, 10) «Œuvre politique de François-René de Chateaubriand (1768-1848), parue en 1816 et immédiatement interdite par la police des Bourbons. L’auteur qui avait montré, notamment dans son écrit ‘De Buonaparte et des Bourbons’, son attachement à la cause des souverains ‘légitimes’ de la France, ne pouvait pas, - après les déceptions apportées par la Restauration et spécialement par la politique réactionnaire des ultra-royalistes – ne pas montrer son esprit de rébellion, en se faisant le défenseur de nouvelles idées sociales; certes, il le fit d’une manière toute personnelle, se laissant emporter par l’impétuosité de sa vision fortement égocentriste des choses. Dans ce libelle, il défend la Charte constitutionnelle, grâce à laquelle les libéraux de France avaient accueilli le retour de Louis XVIII et le début de son gouvernement. Un retour à l’ancien régime n’était plus possible. Comme ministre, l’auteur veut, dans cette publication, dire ‘la vérité au roi’; car le Conseil dont il fait partie ne se réunit malheureusement point dans le but de permettre à ses membres de faire valoir leur opinion personnelle sur les questions les plus importantes de la nation. C’est précisément parce qu’il entend défendre la légitimité, qu’il se sent le devoir d’affirmer une fois de plus la nécessité où est la monarchie d’être constitutionnelle (retour des partis, liberté de presse et autres prérogatives parlementaires). Les maux du despotisme seraient en fait pires que ceux d’un libéralisme qui, guidé sainement – à la façon anglaise, - apporterait une nouvelle gloire au roi et au pays. L’ouvrage, publié quelques jours après la dissolution de la fameuse ‘Chambre introuvable’, souleva l’indignation de Louis XVIII qui, sous l’influence de ses partisans ultra, destitua tout simplement l’auteur de son poste ministériel». (Dictionnaire des Œuvres, IV, 603). Trois mois après la publication de De Buonaparte et des Bourbons, en juillet 1814, ses relations dans la haute aristocratie et l’amitié de Madame de Duras lui avaient valu d’être nommé ambassadeur en Suède, poste qu’il ne rejoignit jamais mais dont il perçut le traitement. En avril 1815, le Roi lui permit de le suivre à Gand et l’admit au conseil « pour parler de l’intérieur». Au retour de Gand, après les Cent Jours, il devint ministre d’État, fonction honorifique mais bien rémunérée qui avait été reprise de la pratique de l’Ancien régime, et il fit partie de la première fournée de la Chambre des pairs. Mais Chateaubriand, qui sous la première Restauration avait été proche du centre et avait défendu la Charte avec éloquence et habileté dans ses Réflexions politiques d’octobre 1814, ce qui lui avait attiré la bienveillance de Louis XVIII, se rapprocha alors de la droite ultra qui venait de gagner les élections à la Chambre des députés. Il devint l’un des principaux porte-parole de ce parti à la Chambre des pairs. Il avait été révolté par l’entrée de Fouché dans le ministère et considérait que les Cent Jours avaient montré qu’il était devenu nécessaire de refonder la société française sur des bases traditionnelles. Le Roi ayant décidé de maintenir un gouvernement du centre pour des raisons tant de politique étrangère que de politique intérieure, Chateaubriand se trouva assez vite rejeté dans l’opposition au ministère et, de façon sourde, au souverain. La rupture intervint en septembre 1816, lorsqu’il publia La monarchie selon la Charte où, malgré le conseil que lui avait fait passer Louis XVIII, il critiquait le ministère Richelieu-Decazes, trop complaisant selon lui pour les « intérêts révolutionnaires», et la décision de dissoudre la Chambre introuvable. En représailles, il fut destitué de son titre de ministre d’État, ce qui l’obligea à vendre sa chère Vallée-aux-Loups. L’ouvrage est une machine de guerre dressée contre Decazes et sa politique. L’auteur dénonce la censure de la presse tout en s’attaquant au Ministère de la police générale. L’ouvrage critique sévèrement les trois Ministères de la Restauration. L’ouvrage connaitra un succès foudroyant et provoquera la colère de Louis XVIII et de Decazes qui l’interdira et fera détruire les exemplaires saisis. Chateaubriand sera rayé de la liste des ministres d’Etat et perdra ses honoraires. Les Mémoires d’Outre-tombe comportent la lettre adressée au comte Decazes par Chateaubriand le 18 septembre 1816 lorsque ce dernier apprend que son ouvrage De la Monarchie selon la Charte a été saisisur son ordre. En voici un extrait : «Monsieur le comte, J’ai été chez vous pour vous témoigner ma surprise. J’ai trouvé à midi chez M. Le Normant, mon libraire, des hommes qui m’ont dit être envoyés par vous pour saisir mon ouvrage intitulé: De la Monarchie selon la Charte. Ne voyant pas d’ordre écrit, j’ai déclaré que je ne souffrirais pas l’enlèvement de ma propriété, à moins que des gens d’armes ne la saisissent de force. Des gens d’armes sont arrivés, et j’ai ordonné à mon libraire de laisser enlever l’ouvrage. Cet acte de déférence à l’autorité, Monsieur le comte, n’a pas pu me laisser oublier ce que je devais à ma dignité de pair. Si j’avais pu n’apercevoir que mon intérêt personnel, je n’aurais fait aucune démarche; mais les droits de la pensée étant compromis, j’ai dû protester, et j’ai l’honneur de vous adresser copie de ma protestation. Je réclame, à titre de justice, mon ouvrage; et ma franchise doit ajouter que, si je ne l’obtiens pas, j’emploierai tous les moyens que les lois politiques et civiles mettent en mon pouvoir. J’ai l’honneur d’être, etc. Vte de Chateaubriand.» II/ Édition originale de ces célèbres et vibrants mémoires commandés par la famille royale à Chateaubriand en hommage au duc de Berry. Talvart, III, 19; manque à Carteret et à Vicaire. Cette biographie du duc de Berry, fils de Charles X, parut l'année de son assassinat par Louvel à la sortie de l’Opéra, rue de Richelieu, le 13 février 1820. Père de deux petites filles anglaises par un premier mariage, il les présenta à son épouse, la duchesse de Berry, sur son lit de mort. Composés « sur les documents originaux les plus précieux » (Avertissement), ces Mémoires renferment des lettres de Louis XVIII, de Charles X, du duc d’Angoulême, du duc de Berry, du prince de Condé, et un fragment de journal inédit. L’ouvrage reçut une récompense inestimable. La duchesse de Berry voulut en effet que les Mémoires fussent ensevelis avec le cœur de la victime de Louvel. Précieux exemplaire conservé dans une élégante reliure en maroquin vert finement orné de l’époque.
Caillot, Antoine, Claude-Antoine Chambelland,C.-M. Morin,Chateaubriand, François-Rene de
Reference : 18044
Ladvocat, Paris 1826-1831 & 1824 & 1838, 13x21,5cm, 36 volumes reliés.
Première édition collective, en partie originale, de loin la plus importante et la plus recherchée (cf Clouzot), Chateaubriand ayant remanié et revu une grande partie de ses uvres. Dans cet ensemble apparaissent également en édition originale plusieurs textes dont Les Natchez, Le Dernier Abencérage, Le Voyage en Amérique, Moïse (placé en fin du XXIIè volume et qui fait souvent défaut). Chaque volume est illustré d'un frontispice de Charles Thompson. Reliures en demi chagrin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve. Quelques rousseurs. Il est joint à ces uvres complètes, en reliures uniformes, un volume intitulé uvres diverses (volume relié dans lequel ont été regroupés plusieurs brochures politiques en édition originale), Le Congrès de Vérone (2 volumes parus chez Delloye en 1838), Essai sur la littérature anglaise et Paradis perdu, de Milton, tous les deux parus chez Gosselin en 1839). Dans le volume intitulé uvres diverses, précieux envoi autographe signé de François-René de Chateaubriand à monsieur (Henri) Bayart sur la page de faux-titre de «?La nouvelle proposition relative au bannissement de Charles X et de sa famille?». Cet envoi datant des dernières années de l'écrivain est adressé à Henri Bayart (1825-1892), filleul de la duchesse de Berry et frère de Sophie-Josèphe Bayart, une amie intime de François-René et de son épouse. Les Chateaubriand et la famille Bayart nouèrent des liens d'amitié et d'affaires au moment des Cent-Jours et restèrent proches jusqu'à la fin de leur vie. Ces légitimistes voués corps et âme à la cause bourbonnienne tentèrent d'ailleurs l'impossible pour faire nommer l'écrivain gouverneur du jeune comte de Chambord, prétendant au trône de France. Lorsqu'il rédige cet envoi, probablement vers 1843, Chateaubriand est au crépuscule de sa vie politique et d'écrivain ; proches du comte de Chambord alors en exil en Angleterre, les Bayart tentent à nouveau d'intercéder en faveur de Chateaubriand et envoient sans succès Henri Bayart prier le dernier descendant des Bourbons de convier le vieil écrivain à sa suite. Rare et bel ensemble établi en reliure uniforme, comportant de nombreuses éditions originales et enrichi d'un précieux envoi autographe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A Gand, de l'Imprimerie royale, 1815. In-8 de (2)-62 pp., demi-basane bleue, dos lisse orné, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Édition originale. Violent pamphlet contre Napoléon, d'abord publié dans le Moniteur de Gand du 12 mai. Chateaubriand y dresse un tableau très noir de la France de Bonaparte et développe ses conceptions politiques très libérales pour « éviter les excès » du tyran. Reliés à la suite : CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). Réflexions Politiques sur quelques écrits du jour et sur les intérêts de tous les Français. Paris, Le Normant, 1814. In-8 de (6)-145 pp. Édition originale. Ces réflexions ont été publiées en Décembre 1814 à la demande de Louis XVIII qui en relut les épreuves. Carnot avait fait paraitre un Mémoire au roi critique envers la nouvelle monarchie. Chateaubriand saisit l'occasion de cette publication pour lancer ses Réflexions tout en stigmatisant l'audace de ce régicide.CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). Proposition faite à la Chambre des Pairs, dans la séance du 23 Novembre dernier, et tendant à ce que le Roi soit humblement supplié de faire examiner ce qui s'est passé aux dernières élections, afin d'en ordonner ensuite selon sa justice. Suivie des Pièces justificatives annoncées dans la Proposition. Paris, J. G. Dentu, 1816. In-8 de 88 pp. Deuxième édition. Quelques rousseurs, trace de mouillure sur les deux derniers feuillets.FITZ-JAMES (Édouard, duc de). Chambre des Pairs. Opinion de M. le Duc de Fitz-James sur le projet de loi relatif à la répression des délits commis par la voie de presse, ou par tout autre moyen de publication. Paris, De l'Imprimerie de P. Didot l'Ainé, sans date (1817). In-8 de 46 pp. Manque le feuillet de titre.RUBICHON (Maurice). De l'Action du clergé dans les sociétés modernes, par M. Rubichon. Paris, De l'imprimerie de Lefebvre, 1829. In-8 de 80 pp. Manque le faux titre.
CHATEAUBRIAND (François-René de) / [DELANDINE DE SAINT-ESPRIT (Jérôme)].
Reference : 20146
(1831)
Paris, Ladvocat, 1831 1 volume In-8° (13,5 x 21,7cm) Broché sous couverture ornée au dos, de motifs d'encadrement et d'une vignette sur les plats. 1 faux titre, 1 faux-titre illustré, 1 titre, 283p., 2 feuillets. Couverture salie, avec manque angulaire au 1er plat; rousseurs; non rogné, non coupé.
1ère édition du XXVIIIè et dernier volume des "Oeuvres complètes" de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) publiées en 1826-1831 chez Ladvocat, contenant la table des matières (titres des chapitres) et la "table analytique et raisonnée des matières" des 27 volumes de la collective, et une "Notice sur la vie et les ouvrages de M. le vicomte de Chateaubriand", par Jérôme DELANDINE DE SAINT-ESPRIT, bibliothécaire du château de Rambouillet (1787-1855). Exemplaire bien complet du faux-titre illustré d'une gravure de C.Thompson.
[Chez Migneret, Et à l'ancienne Librairie de Dupont] - CHATEAUBRIAND, François-Auguste ; [ CHATEAUBRIAND, François-René de ]
Reference : 49944
(1801)
Troisième édition revue et corrigée, 1 vol. in-18 reliure de l'époque demi-basane marbré, dos lisse orné à décors de lampe antique, Chez Migneret, Et à l'ancienne Librairie de Dupont, Paris, An IX (1801), xxiv-207 pp.
Dans cette rare troisième édition, Chateaubriand a inséré un "Avis sur la présente édition", une "Lettre publiée dans le Journal des Débats et dans le Publiciste" et une longue Préface. Par comparaison avec notre autre exemplaire de la troisième édition, on peut apercevoir qu'au sein d'une même édition des modifications typographiques ou de fond ont été apportées. Ainsi, dès la page "vi", cet exemplaire contient le texte suivant : "C'est sur la dernière phrase de cette apostrophe, que tombe la remarque du critique" ; dans l'autre version, on peut lire : "C'est la dernière phrase de cette apostrophe, qui a excité la gaîté de la Décade". Des modifications typographiques (dans une citation en grec, ou dans la pagination des premiers feuillets), il semble ressortir nettement que la présente version de la troisième édition est antérieure à celle de l'autre exemplaire. Bon état (coins frottés, le douzième cahier a été relié entre les cahiers 9 et 10) pour cet exemplaire en stricte reliure du temps de cette importante édition, qui révèle l'attention permanente que Chateaubriand portait au polissage de son oeuvre... (Escoffier, 110)
[Chez Migneret, Et à l'ancienne Librairie de Dupont] - CHATEAUBRIAND, François-Auguste ; [ CHATEAUBRIAND, François-René de ]
Reference : 49945
(1801)
Troisième édition revue et corrigée, 1 vol. in-18 reliure anglaise de l'époque plein maroquin rouge, dos lisse, filet doré d'encadrement en plats, toutes tranches dorées, Chez Migneret, Et à l'ancienne Librairie de Dupont, Paris, An IX (1801), xxiv-207 pp.
Dans cette rare troisième édition, Chateaubriand a inséré un "Avis sur la présente édition", une "Lettre publiée dans le Journal des Débats et dans le Publiciste" et une longue Préface. Par comparaison avec notre autre exemplaire de la troisième édition, on peut apercevoir qu'au sein d'une même édition des modifications typographiques ou de fond ont été apportées. Ainsi, dès la page "vi", cet exemplaire contient le texte suivant : "C'est la dernière phrase de cette apostrophe, qui a excité la gaîté de la Décade" ; dans l'autre version, on peut lire : "C'est sur la dernière phrase de cette apostrophe, que tombe la remarque du critique". Des modifications typographiques (dans une citation en grec, ou dans la pagination des premiers feuillets), il semble ressortir nettement que la présente version de la troisième édition est postérieure à celle de l'autre exemplaire. Bon état (manque le feuillet de faux-titre, ex-libris gravé de Lady Francis Bentinck et ex-libris ms. de son nom de jeune fille "The Hon. Frances Augusta Pierrepont", cachet de la "Selbourne Library") pour cet exemplaire en plein maroquin de cette importante édition, qui révèle l'attention permanente que Chateaubriand portait au polissage de son oeuvre... (Escoffier, 110) Lady Frances Augusta Eliza Pierrepont was the daughter of Charles Pierrepont, 1st Earl Manvers and Anne Orton Mills. She married, firstly, Vice-Admiral William Bentinck, son of Captain John Albert Bentinck and Reniera van Tuyll van Serooskerken, on 20 October 1802. She married, secondly, Henry William Stephens on 30 July 1821, and died on 10 February 1847
CHATEAUBRIAND (François-René de).- BONALD (Louis-Gabriel-Ambroise, vicomte de).liberté de la presse
Reference : 22819
(1816)
1816 reunis en un volume demi veau tabac dos lisse titré ,charnieres faibles fendillées reliure de l'epoque,: De la monarchie selon la Charte:Paris, Imprimerie des AMIS DU ROI, 1816.First Edition In-8°, VI, 88 pp., Edition originale dans laquelle Chateaubriand tente de convaincre les émigrés de se rallier à la charte constitutionnelle. relié à l'époque suivi de Du Retablissement De La Censure Par L'ordonnance Du 24 Juin 1827-LADVOCAT 1827,xij+91p. suivi de : Opinion sur le projet de loi relatif a la police de la presse, 2nd. ed., Paris LADVOCAT 1827,104p. suivi de BONALD (Louis-Gabriel-Ambroise, vicomte de)- De l'opposition dans le gouvernement et de la liberté de la presse.Adrien Le Clère et Cie,1827] (4)-163 pp,rousseurs éparses, bon état, Edition originale (Talvart et Place II-78)
reliure meritant une restauration, rare reunion de textes historiques sur la liberté de la presse
Paris, Le Normant, Imprimeur-Libraire, 1811, Tome 2/3, vendu seul, 1 volume in-8 de 205x125 mm environ, 415 pages, plein veau marbré fauve, titres et tomaisons dorés sur dos lisse,, pièces de titres rouges, orné de caissons à fers dorés, gardes marbrées, tranches mouchetées de bleu. Quelques rousseurs, bordures des gardes de couleurs brunies, coins émoussés, frottements et quelques griffures sur les plats, tache p. 16-17, sinon bon état pour cette édition originale.
François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.Itinéraire de Paris à Jérusalem est un récit de voyage de François-René de Chateaubriand publié en 1811. Il relate un voyage effectué de juillet 1806 à juin 1807. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Le Normant, Imprimeur-Libraire, 1811, Tome 3/3, vendu seul, 1 volume in-8 de 205x125 mm environ, 370 pages, complet du fac-similé, plein veau marbré fauve, titres et tomaisons dorés sur dos lisse,, pièces de titres rouges, orné de caissons à fers dorés, gardes marbrées, tranches mouchetées de bleu.Des rousseurs, bordures des gardes de couleurs brunies, coins émoussés, frottements taches et quelques griffures sur les plats, sinon bon état pour cette édition originale.
François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.Itinéraire de Paris à Jérusalem est un récit de voyage de François-René de Chateaubriand publié en 1811. Il relate un voyage effectué de juillet 1806 à juin 1807.++ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
s.l. s.d. [ca 1840], 15,5x19,5cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 12 lignes à l'encre noire sur un double feuillet , adressé à madame Amédée de Duras se réjouissant de sa meilleure santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Mde de CH[ateaubriand]. me dit de vous répondre: si je meurs, madame, ce sera à vos pieds le matin. Non pas à midi, mais à trois heures et demie. Je me porte à merveille chez ma soeur. Que cela ne soit pas vous, mais mde de Lévis qui m'ait vu perdre ma longue barbe er mon mouchoir turc. Ne venez pas, vous ne devriez pas venir. Mde de Ch[ateaubriand] est inconsolable..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x16cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 10 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequelle il se voit obligé d'ajourner leur rendez-vous pour cause de mauvaise santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Je suis malade... Je ne pourrai sortir aujourd'hui. Demain si Dieu le veut... J'ai un violent mal de tête et des vomissements. C'est une migraine occasionnée par le froid. Cela ne sera rien..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x15,5cm, une feuille rempliée.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 6 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequel il se réjouit de la voir très bientôt après un rendez-vous annulé. Restes de cachet de cire, une déchirure avec manque sur le dernier feuillet sans atteinte au texte, dûe à l'ouverture de la lettre. "A demain matin, madame. Je vous remercie mille fois de vouloir bien me dédommager si vite du plaisir que je perds ce soir. A mercredi." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
L’exemplaire de l’abbé Aubenas, intéressante provenance pour le chef-d’œuvre de l’auteur du « Génie du christianisme ». Bruxelles, Meline, Cans et Compagnie, 1848-1850. 6 tomes en 12 volumes in-12 de : I/ (2) ff., 140 pp. ; II/ pp. 141-356 ; III/ (2) ff., 180 pp. ; IV/ pp.181-374 ; V/ (2) ff., 232 pp. ; VI/ pp.233-471 ; VII/ (2) ff., 228 pp. ; VIII/ pp. 229-490 ; IX/ (2) ff., 180 pp. ; X/ pp.181-483 ; XI/ (2) ff., 212 pp. ; XII/ pp.213-516. Brochures d’origine, chemises et étuis. Brochures de l’époque. 191 x 120 mm.
Rarissime pré-originale de « l’un des textes les plus importants de la littérature du XIXème siècle. » (Clouzot). Elle est la seule édition complète dont le texte du premier volume a été publié avant l’édition de Paris. Paul Van der Perre, Les préfaçons des Mémoires d’Outre-Tombe, Bulletin du bibliophile, 1931. « Édition recherchée dont les premiers volumes ont paru avant l’édition française ». Clouzot, 66 ; En Français dans le texte, 268. Cette préfaçon est si rare que dans un article qu’il fit paraître dans le Bulletin du bibliophile de 1931, Paul van der Perre dit avoir cherché vainement cette édition sans avoir jamais pu la trouver. Chef-d’œuvre autobiographique de Chateaubriand destiné par l’auteur à n’être publié qu’après sa mort, les Mémoires d'outre-tombe, commenceront à paraître en feuilleton, trois mois après le décès de Chateaubriand, survenu en juillet 1848. « Ces Mémoires ont été l'objet de ma prédilection. Saint Bonaventure obtint du ciel la permission de continuer les siens après sa mort : je n'espère pas une telle faveur mais je désirerais ressusciter à l'heure des fantômes pour corriger au moins les épreuves... ». En juillet 1817, dans le parc du château de Montboissier, le chant d'un oiseau réveille en lui des souvenirs de jeunesse : « Je fus tiré de mes réflexions par le gazouillement d'une grive perchée sur la plus haute branche d'un bouleau. A l'instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux le domaine paternel; transporté subitement dans le passé, je revis ces campagnes où j'entendis si souvent siffler la grive... ». « L’Œuvre et la personnalité de Chateaubriand (1768-1848) dominent tout le XIXe siècle littéraire. Il était né, dit Barbey d’Aurevilly, comme Napoléon, avec une étoile sur la tête, et quand celle de l’empereur pâlit et s’éclipsa, la sienne resta lumineuse. Chateaubriand eut l’admiration, l’influence, les yeux du monde fixés sur lui et une minute dans le gouvernement de son pays. Et, chose prodigieuse, il resta poétique. Une nouvelle manière de sentir et de penser, de s’exprimer et de comprendre date de Chateaubriand. Il ouvrit l’ère du Romantisme. » (Talvart). Œuvre unique au style d’une extraordinaire variété écrite en plein romantisme, Les Mémoires sont façonnés de cette alchimie subtile mêlant le réel à l'imaginaire, l'investigation psychologique aux admirables portraits et aux descriptions de paysages qui sont parmi les plus belles de toute notre littérature. Séduisant exemplaire de cette très rare pré-originale du chef-d’œuvre de Chateaubriand conservé dans ses brochures d’origine. Provenance : Bibliothèque de l’abbé Aubenas, avec ex-libris manuscrit sur les couvertures de chaque volume. Ad. Aubenas était le neveu de l’abbé Bonnefoi qui publia en 1784 « De l’état religieux, son esprit, son établissement et ses progrès ». « Il y traite avec profondeur et courage diverses questions que l’opinion publique à la veille de la révolution de 1789 devaient ne pas accepter avec faveur et qui, peut-être, comme le dit Ad. Aubenas, son neveu, ont fait naître chez M. de Chateaubriand l’idée de son génie du christianisme » (C. F. H. Barjavel, Dictionnaire historique, biographique et bibliographique, I, p.17).
1814-1831 In-8, cartonnage à la Bradel.
Le recueil comprend : Fragmens d'un nouvel écrit de M. de Chateaubriand, intitulé : Réflexions politiques sur quelques Ecrits du jour, et sur les intérêts de tous les Français. Marseille, Antoine Ricard, 1814. In-8 de 32 pp. Du système politique suivi par le ministère. Paris, Le Normant, 1817. In-8 de 64 pp. Edition originale. Chateaubriand reprend et développe les thèmes de la Monarchie selon la Charte. Dans cette brochure dont il avait différé la parution, espérant un accord avec le gouvernement, Chateaubriand dénonce les malversations électorales et l'alliance à gauche du gouvernement. Il le met en garde contre cette politique qui exclut les royalistes et avantage les anciens révolutionnaires. Le pamphlet connut un grand succès. Talvart, 17. Proposition faite à la chambre des pairs… Paris, Dentu, 1816. In-8 de (2) ff., III, 80 pp. Edition originale. Si sa proposition fut rejetée, la brochure devait être diffusée à profusion malgré les tentatives d'intimidation de la police. Didot, imprimeur de la Chambre des pairs, s'étant récusé, c'est le libraire-imprimeur Dentu, spécialiste des brochures politiques, qui en assuma le risque. Rapport sur l'état de la France, fait au roi dans son conseil… Réfutation par M. Regnault de Warin… Paris, Plancher, juin 1815. In-8 de 62 pp. Lettre à un pair de France… Paris, Le Normant, 1824. In-8 de 88 pp. Edition originale. Importante brochure relative à l'indemnisation des émigrés qui fut l'un des grands débats de la Restauration. Talvart, 28. Lettre de M. le vicomte de Chateaubriand à Mr le rédacteur du Journal des débats. Paris, Ladvocat, 1827. In-8 de 16 pp. Opinion de M. le vicomte de Chateaubriand sur le projet de loi relatif aux journaux. Paris, Le Normant, 1817. In-8 de (2) ff., 35 pp. Remarques sur les affaires du moment. Paris, Le Normant, 1818. In-8 de (2) ff., 36 pp. Edition originale. Talvart, 18. Opinion de M. le vicomte de Chateaubriand, pair de France, sur le projet de loi relatif aux finances. Paris, Le Normant, 1817. In-8 de (1) f., 34 pp. Aux lecteurs. Paris, Le Normant fils, novembre 1831. In-8 de 16 pp. Edition originale. Talvart, 43B.
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59
Paris, Ladvocat, 1828 - 1831 2 volumes In-8° (13,5 x 21,7cm) Brochés sous couvertures ornées aux dos, de motifs d'encadrement et d'une vignette sur les plats. Vol.[1]: 1 titre de collection, 1 faux-titre illustré, 1 titre, XX + 364p.; Vol.[2]: 1 titre de collection, 1 faux-titre illustré, 1 titre, XV + 98p.; petits ornements. Rousseurs; mouillures angulaires sur les 1ères pages des 2 volumes; non rognés, 1er volume en partie non coupé.
Edition originale (? un volume à l'identique (exceptés pages de titre et faux titre) est publié la même année chez Ambroise Dupont et Cie (Paris), intitulé "Oeuvres inédites de M. le vicomte de Chateaubriand") du recueil, avec préface de l'écrivain précisant que "ce volume, à l'exception de trois opuscules en vers [...] est entièrement inédit". Réunit, après préface de l'écrivain, "Lettre sur l'art du dessin dans les paysages", les traductions de 3 poèmes d'Ossian ("Dargo", "Duthona" et "Gaul"), un texte de "politique historique" sur "Les quatre Stuart", des "Pensées, réflexions et maximes", les "Tableaux de la nature" (poésie) et des "Poëmes divers"; recueil augmenté, dans son volume d'appendice, de la tragédie "Moïse", avec préface de l'écrivain indiquant que cette pièce "sera imprimée à part et distribuée gratis aux souscripteurs". Volume XXII et son appendice des "Oeuvres complètes" de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) publiées en 28 volumes en 1826-1831 chez Ladvocat. Exemplaire bien complet en 2 volumes et de leurs faux-titres illustrés d'une gravure de C.Thompson.
chez Ladvocat, à Paris 1826 -1831, in-8 (12,5x21cm), 32 volumes.
Première édition collective des uvres de François-René de Chateaubriand, chaque volume étant orné d'un frontispice gravé par Charles Thompson et représentant une jeune femme assise sur une pierre gravée "Chateaubriand, uvres complètes" et contemplant l'horizon. L'auteur a contribué largement à la publication de cette édition par l'organisation de l'ensemble et par l'écriture de nouvelles préfaces pour tous les textes. Ainsi qu'il l'écrit lui-même ces préfaces sont davantage des morceaux d'autobiographie que des préfaces. Reliure en demi veau brun Restauration strictement d'époque. Dos à nerfs orné de 2 fers à froid, de roulettes en queue et tête et sur les nerfs. Pièces de titre et de tomaison de veau brun. Manque en queue du tome 4. Tome 5 bis, manques aux mors en tête, épidermure en queue. Tome 5 ter, mors supérieur fendu en tête, accident en tête avec manques, coiffe de queue élimée. Epidermures en queues des tomes 9 et 10. Tome 11, épidermure en queue avec petit manque. Tomes 18 et 19, épidermures en queue. Tomes 23, 24, 27 et 28, épidermures en queue. Tête du tome 28 frottée. Supplément au tome 22 frotté. Hormis quelques rares piqûres, ensemble superbement frais sur un beau papier vergé (mais souvent rousseurs sur les gardes). Belle série comportant de minimes défauts de cette importante première édition collective des oeuvres de Chateaubriand. L'ensemble se décompose comme suit : -Essai sur les révolutions, en 2 volumes. T1 et 2. 1826. -Mélanges historiques, en 1 volume. T 3. 1827. -Etudes historiques, en 4 volumes. T 5, 5 bis, 5 ter. 1831. -Voyages en Amérique, en 2 volumes. T 6 et 7. (avec seconde tomaison 1 et 2). 1827. -Itinéraire, en 3 volumes. T 8, 9 et 10 (avec seconde tomaison 1 à 3). 1826. Erreur du relieur dans le tome 2, la seconde partie commence à la p. 17, et le début de cette seconde partie se trouve relié plus loin, à la fin de cette partie. -Génie du christianisme, en 5 volumes (seconde tomaison de 1 à 5). 1826 - 1827. -Atala, René etLe dernier Abencerage, en 1 volume. 1826. -Les Martyrs, en 3 volumes (seconde tomaison de 1 à 3). 1826. -Les Natchez, en 2 volumes (il s'agit de la première édition de cette oeuvre de jeunesse de Chateaubriand). 1826. -Mélanges littéraires, en 1 volume. 1826. -Mélanges et poésies, en 1 volume. 1828. -Discours et opinions, en 1 volume. 1826. -Mélanges politiques, en 2 volumes (seconde tomaison 1 à 2). 1826 et 1828. -Polémique, en 1 volume. 1827. -De la liberté de la presse, en 1 volume. 1828. -Table, en 1 volume. 1831. (non coupé) - Appendice au 22e volume, sans tomaison. Moïse. 1831. Entre les premières libraisons par souscriptions et les dernières, il s'écoula un an, et suivant la date où fut faite la commande des oeuvres il pouvait s'écouler davantage, il va donc presque de soi que les volumes ne portent pas toujours les mêmes dates, l'éditeur puisant dans ses stocks et réimprimant pour honorer les commandes, ainsi les dates s'étendent t-elles de 1826 à 1831. Pour exemple, les deux tomes constituant les Mélanges littéraires sont pour le premier de 1826 et pour le second de 1828... Ex-libris aux armes du XIXe d'un baron., 2 lévriers flanquant l'écu - Photos sur www.Edition-originale.com -
A Paris, chez Le Normant fils, 1831. In-8 de 48 pp.CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). De la nouvelle proposition relative au bannissement de Charles X et de sa famille ou Suite de mon dernier écrit de la Restauration et de la monarchie élective. Paris, Le Normant fils, octobre 1831. In-8 de 155-(4) pp.2 pièces reliées en 1 vol. in-8, demi-cuir de Russie vert, dos lisse orné, sommaire manuscrit à l'encre du temps en fin d'exemplaire (reliure de l'époque).
1. Édition originale. Diatribe de Chateaubriand contre la Monarchie de Juillet, qui rencontra un énorme succès. L'auteur proclame sa fidélité à Charles X, menacé par un projet de loi de bannissement. Escoffier, 890.2. Édition originale. Chateaubriand s'élève contre le projet de loi déposé par Baude portant bannissement de Charles X et de ses descendants. Fustigeant la monarchie « usurpatrice » de Louis-Philippe, Chateaubriand réussit sa rentrée politique en se posant moins en défenseur de la légitimité qu'en chef de l'opposition à Louis-Philippe. Il plaça en tête de volume une lettre de remerciement adressée à Béranger pour une chanson qu'il avait composée en son honneur. Suivi de 2 feuillets d'annonce d'éditeur. Escoffier, 889. Relié à la suite :COTTU (Charles). Des Résultats nécessaires de la situation actuelle de la couronne et de la Chambre des Députés. Paris, Dentu, 1829. In-8 de 96 pp. Édition originale. Sur le système électoral et de la charte. Pâles rousseurs éparses mais bel exemplaire.
Paris, Editions Albin Michel, (1948). Un fort vol. au format pt in-8 (213 x 138 mm) de 334 pp., broché.
Edition originale agrémentée de planches hors-texte. ''L'ouvrage dresse un portrait de Châteaubriand dans des humaines faiblesses, dans ses détresses les plus émouvantes, mais aussi, dans le perpétuel souci de l'auteur de tendre à la grandeur et à la dignité. Parmi les redressements et les inflexions d'une courbe inattendue - de splendeurs en misères, et de cimes en abîmes - le lecteur suivra ici l'aventureux déroulement des ambitions politiques et des insécurités financières de Chateaubriand. A travers tant de vicissitudes, au nom de l'absolu, apparaissent ainsi les appels de l'écrivain aux chimères qui consolent de vivre, le recours au rêve. Et aussi à la poésie''. Plats à l'éclat légèrement altéré. Du reste, belle condition.
[Mame Frères, le Normant, etc.] - CHATEAUBRIAND, François René de
Reference : 66514
(1814)
12 vol. in-8 br. : De Buonaparte, des Bourbons et de la nécessité de se rallier à nos Princes légitimes, pour le bonheur de la France et celui de l'Europe, Mame Frères, Et se trouve chez Le Normant, H. Nicole, Paris, 1814, 87 pp. sous couv. blanche muette [ On joint : ] Du Système politique suivi par le Ministère. Par M. le Vicomte de Chateaubriand Pair de France, Le Normant, Paris, 1817, 64 pp. sous couv. muette [ Edition originale ] [ On joint : ] Remarques sur les Affaires du Moment, Chez le Normant, Paris, 1818, 36 pp. sous couv. muette[ Edition originale ] [ On joint :] Lettre à un Pair de France, [ 1ère lettre ] Le Normant Père, Paris, 1824, 44 pp. ous couv. muette [ Edition originale ] [ On joint : ] Lettre à un Pair de France,[ 2e lettre ] Le Normant Père, Paris, 1824, 88 pp. sous couv. muette [ Edition originale ] [ On joint : ] De la Censure que l'on vient d'établir en vertu de l'article 4 de la loi du 17 mars 1822, Troisième édition, Le Normant Père, Paris, 1824, 44 pp. [ On joint : ] Les Amis de la Liberté de la Presse. Marche et Effets de la Censure, Le Normant Père, Paris, 1827, 32 pp. [ Edition originale ] [ On joint : ] Opinion de M. le Vicomte de Chateaubriand Pair de France, sur le Projet de Loi relatif à la Police de la Presse. Deuxième édition, Chez Ladvocat, Paris, 1827, 104-16 pp. (Prospectus des Oeuvres complètes) sous couv. imprimée [ On joint : ] De la Restauration et de la Monarchie élective, ou Réponse à l'interpellation de quelques journaux sur mon refus de servir le nouveau gouvernement, Chez Le Normant Fils, Paris, 24 mars 1831, 48 pp. sous couv. muette [ Edition originale ] [ On joint : ] De la nouvelle Proposition relative au Bannissement de Charles X et de sa Famille, ou Suite de mon dernier écrit : De la Restauration et de la Monarchie élective, Le Normant Fils, Paris, octobre 1831, 155 pp. et 2 ff. sous couv. imprimée [ Edition originale ] [ On joint : ] Mémoire sur la Captivité de Mme la Duchesse de Berry, Le Normant Editeur, Paris, 1833, 121 pp. et 2 ff. sous couv. imprimée [ Edition originale ] [ On joint : ] Discours prononcé à la Chambre des Pairs par M. le Vicomte de Chateaubriand à l'occasion de la mort de M. le Comte de Sèze le 18 juin 1828, (Extrait du Moniteur de 1828), Typographie de Firmin Didot Frères, Paris, 1861, 30 pp. sous couv. imprimée
Intéressante réunion de 12 brochures et volumes brochés dont 8 éditions originales, parmi lesquelles les deux éditions de la "Lettre à un Pair de France", à savoir celle s'opposant à la poursuite de la politique de Villèle et la second relative à l'indemnisation des émigrés. Une partie des brochures est conservée sous un étui moderne.
Garnier frères Broché D'occasion bon état 01/01/1861 150 pages