499 books for « de banville theodore »Edit

‎Les Stalactites. Edition critique.‎

‎ Henri Didier 1942 1 vol. broché in-8, broché, 458 pp., croquis inédit de Banville par Baudelaire en frontispice et 12 planches hors-texte, bibliographie et index. Edition originale du tirage courant. Excellent état général.‎

‎Contes de Gil Blas, tomes I, II et III.‎

‎Paris C. Marpon et E. Flammarion [1887] 1 vol. relié 3 tomes reliés en 1 vol. in-8, bradel demi-percaline bleue à coins, pièce de titre bordeaux et fleuron doré au dos, 3 couvertures illustrées conservées, 141 pp. (pagination continue), illustrations en noir de Combat, Gorguet, Myrbach, Caran d'Ache, Gambard, Anquetin et Eugène Courboin. Réunion complète en édition originale des trois recueils de contes précédemment publiés dans les pages de Gil Blas : Paul Arène "Les coups de fusil", Théodore de Banville "La dame anglaise", Léon Cladel, "Ça ! non", Paul Ginisty "La demoiselle en deuil", Grosclaude "La jolie parfumeuse", Paul Hervieu "Le taureau du Jouvet", René Maizeroy "Thérèse Vigneaux", Guy de Maupassant "Un échec", Catulle Mendès "Le prix de la gloire", Joseph Montet "La balle de Pierrot", Armand Silvestre "Le melon pastoral". Coins un peu usés, sinon bon exemplaire.‎

‎Odes funambulesques. Deuxième édition précédée d'une lettre de Victor Hugo, de stances par Auguste Vacquerie et d'une lettre à Théodore de Banville sur l'auteur des Odes funambulesques par Hippolyte Babou.‎

‎Paris Michel Lévy 1859 1 vol. broché in-12, broché, 300 pp. Seconde édition en partie originale. Dos très légèrement passé, sinon bel exemplaire, tel que paru.‎

‎Gringoire. Comédie en un acte, en prose. Un portrait et quatorze compositions de J. Wagrez gravés à l'eau-forte par L. Boisson. ‎

‎Paris L. Carteret et Cie 1899 1 vol. relié gr. in-8, plein maroquin à gros grain chocolat, dos à nerfs, plats ornés d'un décor d'encadrement composé d'arabesques et rosaces aux angles mosaïquées de cuir beige et vert, fine bordure intérieure, doublures de maroquin à gros grain vert avec décor d'encadrement composé de filets dorés formant fleurons aux angles, gardes de soie bordeaux, doubles gardes, double filet doré sur les coupes, coiffes guillochées, tranches dorées, couvertures conservées, étui bordé (Noulhac), IV + 98 pp. Belle édition de luxe illustrée par Jacques Wagrez (1850-1908) d'un portrait-frontispice et 14 compositions originales inspirées par la Renaissance italienne, qui ajoutent une touche subtile à cette piquante histoire d'amour : un jeune poète sans le sou et timide se voit contraint par le roi, sous peine de mort, de séduire la jeune femme qu'il aime secrètement, et ce dans un délai d'une heure... Créée dès 1866, la pièce est ici rééditée au lendemain du succès de Cyrano de Bergerac, dans un tirage limité à 280 exemplaires, celui-ci l'un des 100 premiers numérotés sur vélin du Marais (n°63) contenant un état supplémentaire des eaux-fortes. Notre exemplaire est également enrichi de deux ravissantes aquarelles originales signées de l'artiste (une page de titre et une scène de marché de la scène III). Splendide reliure mosaïquée et doublée de style Art nouveau, signée de Noulhac.‎

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‎Odes funambulesques. Occidentales. Idylles prussiennes. Edition définitive.‎

‎Paris G. Charpentier 1883 1 vol. relié in-12, demi-chagrin vert, dos à nerfs (rel. Maillet), (4) + 462 pp. Très bon exemplaire en reliure signée de l'époque.‎

‎Petit traité de poésie française.‎

‎Paris Charpentier 1884 1 vol. Relié in-12, demi-chagrin vert poli, dos à nerfs (Ch. Maillet), 328 pp. Bon exemplaire, bien relié.‎

‎Camées parisiens. Troisième et dernière série.‎

‎Paris René Pincebourde, coll. "Petite bibliothèque des curieux" 1873 1 vol. broché in-18, demi-basane verte, 165 pp. (dos passé et un peu frotté). Edition originale de la troisième série, parue sept ans après les deux premières, avec 48 portraits de Baudelaire, Philoxène Boyer, Alphonse Karr, Leconte de Lisle, François Coppée, Sarah Bernhardt, Mounet-Sully, Dumas fils, etc. Tirage à petit nombre sur vergé.‎

‎Nous tous. Poésies nouvelles (décembre 1883 - mars 1884).‎

‎Paris Charpentier 1884 1 vol. Relié in-12, demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs, caissons ornés de fleurons et de double filets dorés en encadrement, tête dorée, VIII + 288 pp. Édition originale illustrée d'un frontispice par G. Rochegrosse et enrichie d'un envoi autographe signé de l'auteur à Auguste Vitu (1823-1891). Petites rousseurs aux premiers et derniers feuillets et sur les tranches, infime accroc à un nerf, sinon bel exemplaire finement relié à l'époque.‎

‎Les Exilés.‎

‎Paris Lemerre 1867 1 vol. broché in-12, broché, 234 pp. Edition originale. Manque le portrait gravé par Alfred Dehodencq en frontispice. Couverture poussiéreuse et dos un peu gauchi, sinon état convenable.‎

‎Améthystes. Nouvelles, odelettes amoureuses composées sur des rythmes de Ronsard. ‎

‎Paris Poulet-Malassis 1862 1 vol. relié in-18, plein maroquin havane, dos à nerfs, roulette intérieure dorée, doubles filets dorés sur les coupes, coiffes guillochées, tranches dorées, couvertures conservées (M. Godillot), 47 pp. Édition originale de ce petit bijou typographique avec des lettrines, filets et initiales tirés en améthyste. Fine reliure signée, malgré un minuscule accroc sur la coupe inférieure du second plat. ‎

‎Paris vécu. Feuilles volantes.‎

‎Paris Charpentier 1883 1 vol. Relié in-12, bradel demi-percaline vert d'eau, pièce de titre de chagrin marron et fleuron doré au dos, couvertures conservées, non rogné, 464 pp. Edition originale ornée d'un frontispice gravé par Rochegrosse. Excellent recueil de petites études sur Paris au XIXe siècle. Un des 10 exemplaires de tête numérotés sur Chine. Quelques infimes rousseurs éparses et modeste reliure de l'époque.‎

‎Trente-six ballades joyeuses. Précédées d'une histoire de la ballade, par Charles Asselineau..‎

‎Paris Alphonse Lemerre 1873 1 vol. relié in-12, demi-maroquin terre de Sienne à coins avec filets dorés, dos lisse ave pièce de titre de basane verte et décor de fleurons dorés, couvertures conservées, tête dorée, non rogné (Yseux), III + 151 pp. Edition originale avec un envoi du poète à Charles Asselineau qui signe la préface. Fortes rousseurs à certains feuillets, mais exemplaire de belle provenance dans une charmante reliure signée.‎

‎Diane au bois. Comédie héroïque en deux actes, en vers.‎

‎Paris Michel Lévy 1864 1 vol. relié in-12, demi-basane chagrinée bleu nuit, dos à nerfs orné de fleurons dorés, 65 pp. Edition originale. Dos un peu frotté, sinon bon exemplaire.‎

‎Camées parisiens. Troisième et dernière série.‎

‎Paris René Pincebourde, coll. "Petite bibliothèque des curieux" 1873 1 vol. broché in-18, broché, non coupé, 165 pp. Edition originale de la troisième série, parue sept ans après les deux premières, avec 48 portraits de Baudelaire, Philoxène Boyer, Alphonse Karr, Leconte de Lisle, François Coppée, Sarah Bernhardt, Mounet-Sully, Dumas fils, etc. Tirage à petit nombre sur vergé.‎

‎Odes funambulesques.‎

‎Paris Editions d'Aujoud'hui, coll. "Les Introuvables" 1976 1 vol. broché in-8, broché, 300 pp. Réédition en fac-similé de la 2ème édition, en partie originale, publiée par Michel Lévy en 1859. Tirage limité à 400 exemplaires.‎

‎Comédies (Le Feuilleton d'Aristophane - Le Beau Léandre - Le cousin du roi - Diane au bois - Les Fourberies de Nérine - La Pomme - Florise - Deïdamia - La perle).‎

‎Paris Charpentier 1879 1 vol. broché in-12, broché, III + 473 pp. Seconde édition collective, en partie originale. Un des 50 exemplaires à toutes marges numérotés sur Hollande (seul grand papier avec 10 Chine). Belle condition.‎

‎Socrate et sa femme. Comédie.‎

‎Paris Calmann Lévy 1886 1 vol. broché plaquette in-12, brochée (4) + 39 pp. Importante rousseurs.‎

‎Le Baiser. Comédie. Musique de Paul Vidal.‎

‎Paris Charpentier 1888 1 vol. broché plaquette in-12, brochée, 34 pp., frontispice gravé par Georges Rochegrosse et tiré sur Chine. Edition originale de cette féérie créée pour une représentation unique au Théâtre Libre en 1887. Belle condition (sans rousseurs).‎

‎Adieu. Scène lyrique récitée pour la première fois à Paris, sur le Théâtre Cluny, le 22 septembre 1871.‎

‎Paris Lemerre 1871 1 vol. broché plaquette in-12, brochée, 16 pp. Edition originale de ce poème déplorant l'annexion de l'Alsace. Débroché.‎

‎Idylles prussiennes.‎

‎Paris Lemerre 1871 1 vol. relié in-12, demi-veau glacé fauve, dos à nerfs, caissons frappés d'un chiffre doré, pièce de titre de veau marine, tranches jaspées, V + 169 pp. Edition originale de cette chronique poétique du Siège de Paris. Rousseurs éparses, sinon très fine reliure de l'époque, parfaitement conservée.‎

‎Souvenirs sur M. de Balzac.‎

‎ In la revue "La Lecture" 1888 1 vol. broché in-8, broché, pp. 263 à 288. Contient aussi des textes de Maupassant (Le Retour), Paul Bourget, Sully-Prudhomme, Gustave Geffroy, etc. Couverture un peu salie, sinon bon état.‎

‎Le Quartier latin et la Bibliothèque Sainte-Geneviève. Introduction et notes par Amédée Boinet et Frantz Calot.‎

‎Paris G. Vanoest 1926 1 vol. broché plaquette in-8, brochée, 44 pp. Edition originale posthume imprimée sur vélin chiffon. Quelques rousseurs éparses.‎

‎Lettre autographe datée et signée adressée à Eugène Vallée à propos d'une édition des ses oeuvres complètes à paraître chez Alphonse Lemerre - Invitations à la messe d'enterrement et du monument érigé à la gloire du poète au Luxembourg‎

‎S.n., Paris 5 Juin 1889, 13,5x21cm, une page et demie + une enveloppe.‎

‎Lettre autographe datée et signée de Théodore de Banville (21 lignes à l'encre noire) à Eugène Vallée concernant la prochaine parution chez Alphonse Lemerre de ses Ouevres complètes et notamment des jeux d'épreuves. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Enveloppe jointe. Théodore de Banville précise ses intentions en témoignant toute sa confiance à Jacques Madeleine, correcteur chez Alphonse Lemerre :"Les épreuves devront être donc adressées, non pas à moi, mais à M. Jacques Madeleine... M. Madeleine est au courant de toutes mes idées et connaît mes ouvrages, aussi bien que je les connais moi-même. Il corrigera les épreuves avec le soin dont il ne se départ jamais, et me consultera par lettres, toutes les fois que cela pourra être nécessaire." Nonobstant le fait de séjourner dans la Nièvre, le poète restera joignable pour toute autre question et communique pour cela son adresse à Eugène Vallée. Nous joignons également un télégramme adressé par Eugène Vallée à Théodore de Banville lui posant cette question : "Prière à Monsieur Th. de Banville de bien vouloir indiquer en quelle année a été publié Nous tous." Nous joignons aussi une invitation à l'office d'enterrement de Théodore de Banville en l'église Saint-Sulspice le lundi 16 Mars 1891 ; l'invitation à l'inauguration du monument érigé en l'honneur du poète dans le jardin du Luxembourg le 27 Novembre 1892. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Né à Moulins. 1823-1891. Poète, dramaturge et critique littéraire. Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Romantique et parnassien, Banville a été un auteur respecté et admiré de ses contemporains. Son recueil « Odes funambulesques » publié chez Poulet-Malassis, en 1857, peu de temps avant la parution des Fleurs du Mal chez le même éditeur, lui apporta une consécration. M.A.S. « Théodore de Banville » titré « A ma Mère » et daté « le 16 février 1869 ». 1 page grand in-folio.‎

‎ 16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT. ‎

‎Né à Moulins (Allier). 1823-1891. Poète, dramaturge et critique littéraire. L.A.S « Théodore de Banville » à « Cher ami ». Paris, 22 février 1881. 1 p. in-12.‎

‎ 22/02/1881 ...Éclaircissons le scénario !... décide Banville. En effet, lors dune visite que sa femme vient de faire à Mme Richepin, son mari sest exclamé ...« Ah ! que nous sommes heureux de diner avec vous jeudi chez Madame Dartois ! »... Or Banville na reçu aucune invitation et sinterroge : ou Richepin s'est trompé et le diner est prévu un autre jour, ou bien leur hôte a tout simplement oublié denvoyer linvitation et lattendra vainement. C'est pourquoi Banville ...adresse ce mot pour éviter un quiproquo...Considéré comme lun des plus illustres poètes de son époque, Théodore de Banville unit dans son œuvre le Romantisme et le Parnasse dont il était le précurseur. ‎