"MICHEL LEVY FRERES. 1860. In-12. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Quelques rousseurs. 296 pages. Coins et dos de toile bordeaux, pièce de titre noire, titres et filets dorés, papier multicolore sur les plats. Auréoles d'humidité sur plusieurs pages. Tampon ""Association mutuelle des employés de tisus, mercerie, bonneterie de Bordeaux"". Léger manque sur la page de faux-titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris, Michel Lévy Frères, 1860. 12 x 18, 296 pp., reliure dos cuir à 5 nerfs, 1 pièce de titre, bon état (bords et coins émoussés).
Edition originale.
Horbourg-wihr, Editions Degorce, 2019; in-8, 213 pp., br.
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Paris, Michel Levy Frères, 1860. In-12, V pp (préface) 296 pp. Demi basane, dos à nerfs (reliure époque) Coiffes frottées sans gravité, bel état intérieur sans rousseurs.
Préface : " Les Scènes de la vie Juive en Alsace ont paru tout d'abord et à d'assez longs intervalles (de 1857 à 1859), dans la Revue des Deux-Mondes ... Nous les réunissons aujourd'hui dans ce petit volume. ". Première édition in-12. Photos sur demande.
P., Michel Lévy Frères, 1860, in-12, v-296 pp, reliure demi-basane carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état
"Les Scènes de la vie Juive en Alsace ont paru tout d'abord et à d'assez longs intervalles (de 1857 à 1859), dans la “Revue des Deux-Mondes”. Nous les réunissons aujourd'hui dans ce petit volume. (...) Je me demandai pourquoi, après tout, en ma qualité d'Alsacien et d'Israélite, né et élevé au village, je n'essaierais pas d'initier le lecteur profane à cette vie si peu connue et si digne de l'être. Aidé de nos souvenirs d'enfance comme aussi des impressions résultant de quelques récentes excursions au pays, nous nous mîmes à esquisser les scènes qu'on va lire. On y verra les Juifs de l'Alsace dans les principales phases de la vie de famille et de la vie religieuse, au foyer et dans la synagogue. On fera connaissance avec leurs habitudes, leurs traditions, leurs légendes, leurs fêtes, leurs moeurs et leurs caractères. Nous avons cherché à dépeindre de notre mieux cette sorte “d'antiquité judaïque” contemporaine prête, hélas ! à disparaître; car au train dont va le siècle, le progrès et les chemins de fer aidant- quelques années encore, et il ne restera plus vestige de ces moeurs primitives. Déjà, en plus d'un endroit, elles s'effacent comme tout ce qui vieillit. Hâtons-nous donc d'en consigner bien vite les traits les plus caractéristiques." (Avertissement, février 1860)