Daniel Dezeuze, La lumière blanche du printemps, poème de Daniel Dezeuze illustré de cinq collages peints originaux de Daniel Dezeuze inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste, Rivières — Sète, avril 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 12,5x12cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires, tous uniques. Exemplaire V/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 435e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 2e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 1er en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et collages peints uniques de Daniel Dezeuze, inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste : "Des sombres futaies longent la rivière. A l'orée viennent les perdreaux attirés par les volières d'un grand mas. Mais ils repartent à tire-d'aile au ras des cistes cotonneux. L'averse se débobine en fuseaux grisâtres et enjambe les bosquets. Qu'égale la pluie qui glisse en biais sur les taillis luisants ? Des sources dégorgent sous les cressons charnus. Le secret de l'herbe ressurgit dans une recrudescence drue et très dévote. Toutes les sèves se nébulisent pour former la lumière blanche du printemps. Les mauvaises herbes pourchassées par le feu et le poison ont caché leurs graines dans les fentes et les replis. Bientôt entre chien et loup vont venir les hirondelles hâtives Et puis quelques chauves-souris, peaux de chamois froissées sur les fusains de la nuit. L'ombre sans cesse talonne le jour qu'elle roule dans un fourreau de sommeil. Les insectes divaguent dans des nuits mi-blanches mi-bleues. Les rêves aussi hors chrysalides. Au loin : des pignons vernissés et des balcons prognathes au-dessus des piscines azurées-chlorées. Plus loin encore : la mer, lame d'acier trempée dans chaque soleil naissant." Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Dires d’un Bonhomme sur le chemin de l’’exil, poème, un grand dessin original sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, mars 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 10 double f., 20x14cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire IX/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 745e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 10e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 6e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessin original à double page de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Ces courts poèmes ont été écrits en 1994 et certains fragments ont été publiés sous le titre Relevés & Commentaires aux éditions Tarabuste (Saint Benoît du Sault, 1996) en pensant aux bonshommes cathares fuyant leur pays. Extrait : "La vie est une fuite, ses oeuvres autant d’impedimenta. La forêt pyrénéenne se referme comme des yeux. Paupières, allons, dites-nous nos pleurs. De tout lointain aucune certitude Extraite. Du magma aucun diamant net hors de la gangue où est scellée la lumière originelle. " Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Pour une Dona, avec mandoline, poème, trois collages originaux avec dessins sur papier Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, janvier 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 20x15,5cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire I/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 577e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 7e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 4e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessins originaux de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : " Dona, vous fermez les yeux dans les plaisirs extrêmes, alors que je les garde grand’ ouverts. Vous voulez la pénombre et moi cent lustres clairs. Dans la nuit dense je ne fais que tâtonner puis vous tâte si bien que toujours préférez à l’oeil pervers qui fixe le divaguant toucher. " Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Jardins de contemplation à Kyoto, poème, deux collages originaux de Daniel Dezeuze inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste, Rivières — Sète, octobre 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 21,5x14cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire IX/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 525e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 5e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 3e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et collages peints uniques de Daniel Dezeuze, inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste. "Karé-sansui : c'est une planche savonnée pour tous les philosophes, un vrai piège conceptuel, un jardin sec de tout discours. [...] Ici, la lumière crue encadrée par les créneaux tombe dans un grand tiroir où l’on remise les abstractions démises par le martèlement des éléments" Le kare-sansui (jardin sec) est un jardin sans aucun courant d'eau, composé parfois seulement avec des roches et du gravier fin. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons également au catalogue sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Marelle, poème de Daniel Dezeuze, illustré d’un dessin original sur Canson noir de l’artiste, Rivières — Sète, mai 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 18,6x13,6cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire III/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 482e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 3e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 2e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessin original de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : « Essaims d’aurore, fourmillement de palets, jalons à la craie des marelles : nous voilà partis à cloche-pied vers des hors-jeux certains ou vers ce grand écart pour choir en case CIEL. » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Claude Minière, Tsimtsum, poème, collages originaux de Daniel Dezeuze, Rivières — Lille —Sète, octobre 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 20,5x16cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire III/XII signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 526e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 6e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur. Claude Minière en a produit 6 chez Rivières : 2 illustrés par Claude Viallat, 2 par Daniel Dezeuze 1 par Julius Baltazar, 1 par Sylvère. Magnifique poème et collages peints uniques de Daniel Dezeuze, inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste. Chaque coin de feuillets de ce poème consacré à la ville de Lille est illustré d’un collage de Dezeuze en forme de petite pastille peinte soit 18 pièces uniques au total. Claude Minière est un essayiste et poète né à Paris le 25 octobre 1938. Instituteur dans la campagne beauceronne, il entre ensuite au Ministère de la Culture pour différentes missions, notamment au Centre Georges-Pompidou et à l'École des beaux-arts de Paris, où il a enseigné pendant quinze ans. Il participe dans sa jeunesse aux activités de groupes d’avant-garde, avant de se tourner vers une écriture plus classique et solitaire. Ses premiers poèmes sont publiés dans la revue Tel Quel en 1966. Il est l’auteur d’un « panorama » de la création artistique en France entre 1965 et 1995 (L’art en France 1965-1995, Nouvelles éditions françaises, Paris, 1995). Avec Margaret Tunstill, il a traduit en français le poète américain Frank O'Hara ainsi que deux ouvrages d’Ezra Pound : Henri Gaudier-Brzeska, A Memoir (Henri Gaudier-Brzeska, Tristram éd., 1992) et Treatise on Harmony (Julien Salvy éd. 1980). À côté de ses nombreux recueils de poésie, il a publié trois essais : Traité du scandale (Rouge Profond, coll. « Stanze »), Pound caractère chinois (Gallimard, coll. « L'Infini) » et Barnett Newman (Tarabuste). Il a contribué à plusieurs revues : Tel Quel, Critique, Po&sie, TXT, L'infini ou Art Press. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons également au catalogue sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones, évacuant la figure. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, L’aura du lion, trois collages peints de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, 2010, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 24x16,5cm + emboîtage éditeur. XVIII exemplaires. Exemplaire 1/XVIII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 1025e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 20e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 9e en tant qu'auteur et illustrateur. Poème d'une grande virtuosité technique et trois collages peints originaux de Daniel Dezeuze. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Entre le pouce et l’index, intervention peinte originale de Daniel Dezeuze sur la double-page de titre, Rivières — Sète, octobre 2010, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 18,5x18cm + emboîtage éditeur. XVIII exemplaires. Exemplaire 7/XVIII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 1013e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 19e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 8e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème en prose et dessin original à double-page de Daniel Dezeuze en page de titre. Extrait : " Tel un vieux talmudiste j'ai mis le langage sur un piédestal. J'ai questionné sans fin, jusqu'à l'absurde, le sens et le non sens, jusqu'à une folle ivresse. Dépense des mots mais dépendance du Verbe. Je me suis tourné vers l'expérience secrète d'un Logos non-idolâtré. Ainsi, j'ai laissé venir les choses et n'ai rien voulu saisir, pas même le Présent." Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Nous, les parfaits, grand dessin original sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières — Sète, décembre 2009, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 24,2x16,5cm + emboîtage éditeur. XVIII exemplaires. Exemplaire 18/XVIII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 958e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 18e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 7e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifiques poèmes en prose et dessin original à double-page de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : " […] Nous n’avons jamais voulu naître et nous voici jetés dans le Monde, dans des errances misérables. Et pourtant nous voulons tout : la Résurrection ou le Nirvana, ne pas revivre ou vivre intensément dans l’éternel présent, ou résider dans la Félicité, dans la Béatitude, l’Allégresse et la Sainte douceur du Plérôme. […]" Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Dictons échevelés, deux grands dessins originaux sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze monogrammés DZ, Rivières —Sète, août 2009, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 11 double f., 16,5x12cm + emboîtage éditeur. XVIII exemplaires. Exemplaire 10/XVIII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 925e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 17e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 6e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique collections de dictions et 2 dessins originaux de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : "Ah ! Extraire le Logos hors de sa coquille avec une pointe d’acacia !" "Si le serpent sa queue avale, il devient membre à vie d’un cercle très fermé" "Somnambule sur la corde du Temps, je me raccroche aux branches d’un songe qui ploie" Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
Claude Minière, Comment se compte le temps, poème, dessin original sur double-page Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières — Lille —Sète, septembre 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 19x13,5cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 15/XV signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 784e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 14e de Daniel Dezeuze et le 2e avec Claude Minière. Magnifique poème de Claude Minière, évoquant au passage la ville d'Alès et le Gardon, à la mise en page soignée, et spectaculaire dessin original à double-page sur canson noir de Daniel Dezeuze. Claude Minière est un essayiste et poète né à Paris le 25 octobre 1938. Instituteur dans la campagne beauceronne, il entre ensuite au Ministère de la Culture pour différentes missions, notamment au Centre Georges-Pompidou et à l'École des beaux-arts de Paris, où il a enseigné pendant quinze ans. Il participe dans sa jeunesse aux activités de groupes d’avant-garde, avant de se tourner vers une écriture plus classique et solitaire. Ses premiers poèmes sont publiés dans la revue Tel Quel en 1966. Il est l’auteur d’un « panorama » de la création artistique en France entre 1965 et 1995 (L’art en France 1965-1995, Nouvelles éditions françaises, Paris, 1995). Avec Margaret Tunstill, il a traduit en français le poète américain Frank O'Hara ainsi que deux ouvrages d’Ezra Pound : Henri Gaudier-Brzeska, A Memoir (Henri Gaudier-Brzeska, Tristram éd., 1992) et Treatise on Harmony (Julien Salvy éd. 1980). À côté de ses nombreux recueils de poésie, il a publié trois essais : Traité du scandale (Rouge Profond, coll. « Stanze »), Pound caractère chinois (Gallimard, coll. « L'Infini) » et Barnett Newman (Tarabuste). Il a contribué à plusieurs revues : Tel Quel, Critique, Po&sie, TXT, L'infini ou Art Press. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté
Francine Marc, La cabane du poète-ermite, un grand dessin original sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, mars 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 10 double f., 24,2x16,7cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 6/15 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 764e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 12e de Daniel Dezeuze et le 1er avec Francine Marc. L’écrivaine Francine Marc a réalisé six livres d’artiste pour Rivières, dont deux avec Daniel Dezeuze, puis un avec chacun des artistes suivant : Jonathan Monk, Mathieu Pernot, Isabell Heimerdinger et Anna Malagrida. « Sur l’imparfait, l’inerte, le dissous, danse la vague sur la vague » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
Francine Marc, J’étais partout, deux dessins originaux sur double-page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète — Lagrasse, novembre 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 19x13,5cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 12/XV signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 812e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 16e de Daniel Dezeuze et le 2e avec Francine Marc. L’écrivaine Francine Marc a réalisé six livres d’artiste pour Rivières, dont deux avec Daniel Dezeuze, puis un avec chacun des artistes suivant : Jonathan Monk, Mathieu Pernot, Isabell Heimerdinger et Anna Malagrida. « Sur l’imparfait, l’inerte, le dissous, danse la vague sur la vague » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
[Daniel Dezeuze] - Bernard Teulon-Nouailles / Daniel Dezeuze
Reference : DMI-1370
(2006)
Bernard Teulon-Nouailles, Du chant de l’yeuse, poème, illustré d’une peinture originale à double-page de Daniel Dezeuze, Rivières — Sète — La Source, septembre 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 19,3x10,5cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire 8/12 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 506e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 4e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur. Extrait : « La poussière dévoile son velours patiné Des perles d’eau miment le grain stellaire La peau du vent résonne en creux Et la fenêtre réserve ses secrets Mais si l’on franchit le regard au-delà A longueur de trait à glissement d’échelle Le jardin grouille de mille perspectives La cueillette des fruits tient la promesse des fleurs La couleur s’envole en papillons de joie Et même la guerre devient un jeu d’enfant Sous les plis de l’yeuse tutélaire Dont les racines plongent jusqu’au levant Se sustentent tout près d’un Eldorado perdu Car le nom détient les claies du prophète Et ses branches comme des bras secs Dessinent un sourd idéogramme » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. Animateur de revues, critique d’art (membre de l’AICA-France, L’art-vue), critique littéraire, Bernard Teulon-Nouailles a commencé par écrire « sur » les autres (essais, articles...), puis « à partir des autres » (prétextes à la manière de, réécritures), enfin "pour" les autres des romans, poèmes à partir d'oeuvres plastiques, en digne héritier des ekphrasis ou transposition d'art. Il a écrit de nombreux essais et articles sur Michel Butor. Il est l'un des contributeurs les plus prolifiques des éditions de Rivières. De toute rareté.
René Pons, À Wang Wei (701-761) poème, dessin original sur double-page Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières — Sète — Gajan, septembre 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 7 double f., 17,7x13,5cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 13/XV signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 786e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien. Magnifique hommage poétique de René Pons, écrit à Gajan le 24 mars 2005, et plastique de Daniel Dezeuze, inspiré de la calligraphie extrême-orientaliste, à l’art du poète, peintre et musicien chinois de la période Tang : Wang Wei (701-761). On disait de lui qu'il était habité par le Tao et que, délivré de toute conscience et de toutes limitations, il était en mesure de rendre à la nature sa beauté invisible perceptible aux sens. Extrait : "Temps et distance N'existent plus Depuis l'Orient extrême Wang Wei me tend la main La pluie boudeuse Depuis longtemps Est enfin là Les oiseaux migrateurs arrivent Matin et soir le jardin Est un parterre de cris Et l'aube sent l'herbe mouillée [...]" L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
René Pons, À Hiroshige (1797-1858), poème, illustré de six collages peints de Daniel Dezeuze, Rivières — Gajan — Sète, janvier 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 9 double f., 12,5x12cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire 11/12 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 370e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien. Magnifique hommage poétique de René Pons, écrit à Gajan le 24 mars 2005, et plastique de Daniel Dezeuze, inspiré de la calligraphie extrême-orientaliste, à l’art du peintre et graveur japonais Utawaga Hiroshige (1797-1858), représentant avec Hokusaï de l’ukiyo-e. Extrait : "Comme Hiroshige ne garder que l'essentiel Entourer de ses mots le vide L'esquisse ouvre l'infini fulguration d'un éclair d'encre [...]" L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
[Daniel Dezeuze] - Pierre André Benoit / Daniel Dezeuze
Reference : DMI-1338
(2007)
Pierre André BENOIT, L’espace à l’avant, poème, intervention plastique de Daniel Dezeuze en frontispice, technique mixte, Rivières — Sète, janvier 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 16x12,5cm + emboîtage éditeur rouge. XII exemplaires, tous uniques. Exemplaire XI/XII justifié et signé par l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. Il s'agit du 572e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de PAB. Le frontispice de Dezeuze ouvre l’espace du livre sur une composition alliant un fond de papier canson noir, un grillage en métal probablement réalisé à partir de trombones et une intervention picturale discrète sur la partie inférieure. Elle dialogue parfaitement avec le titre du recueil de PAB et le poème qui s’ouvre ainsi : "L’espace à l’avant diminue de le franchir la hâte de plus en plus grandit De loin on s’imagine concevoir puis l’approche sans dérouter aveugle Lente fin écrasante quand l’attente n’est pas troublée par un non prêt à jaillir mais qui ne sera on le sait pas prononcé Car les côtés si vastes coupés d’un arrière exécré ne tendent qu’à la dérobée Et l’on reste ancré sur l’aire étroite du blé battu étendu parfois debout tant fourbu et sanglant" Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans ce catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Gaston Puel, Ferraille, poèmes, un dessin original sur Canson noir de Daniel Dezeuze, justifié 10/15, Rivières —Sète — Veilhes, juin 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 5 double f. + 1 f. Canson noir justifié par l'artiste 10/15, 24x16,5cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 10/XV signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 765e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 13e de Daniel Dezeuze et le 1er avec Gaston Puel. Gaston Puel (1924-2013), compagnon de route de Pierre André Benoit (1921-1993), a donné plus de 70 textes et quelques aquarelles aux Éditions de Rivières. Ferraille est le 22e ouvrage de Gaston Puel aux éditions de Rivières. « […] Alors dans la vigne tremblent encore les dernières feuilles roussâtres, le soir accroche sa pâle lumière aux herbes les plus humbles, la fraîcheur tombe du ciel, le silence après la brutale détonation accentue la blanche tiédeur du ventre du lapin. On se sent triste et penaud quand perle une goutte de sang au museau de la bête. Le beuglement lointain d’une micheline entrant en gare dans la ville toute proche semble affermir l’assombrissement du soir et le dégoût du sang. La fatigue gagnant, on aspire au petit de fer où quelque rêverie s’ensevelira dans le sommeil ou s’insinuera dans un songe. » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
René Pons, Paysages inexistants, poèmes en prose, deux grands dessins originaux sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, mars 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 10 double f., 24,2x16,7cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 6/15 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 643e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 9e de Daniel Dezeuze et le 2e avec René Pons. 16 poèmes en prose de René Pons et deux grands dessins originaux à double-page sur canson noir. Extrait du poème "Arcadie" : "Ici, il y a des monastères déserts, dominés de tours creuses dans lesquelles on monte, un seul à la fois, par des échelles hasardeuses. On monte, et l’on ne peut accéder à la terrasse de la tour que par une étroite ouverture qui vous écorche les épaules. Angoisse de rester coincé là. Mais quel paysage, une véritable Arcadie, lorsque passé le sas, le cercle du regard embrasse tant de paix ! Toutefois, quand on veut redescendre, les échelles ont disparu. Il ne reste donc plus qu’à sauter, ou à mourir de faim en contemplant l’inaccessible." L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
KHLEBNIKOV (Vélimir) - MAIAKOVSKI (Vladimir) - BUSTO (Daniel) - DEZEUZE (Daniel) - HULSMANN (R.Kühn-H.) - PRIGENT (Christian) - VERHEGGEN (Jean-Pierre) -
Reference : 36017
Paris : Christian Bourgois (Gérant : Christian Prigent), 1977 - un volume 15,3x24 cm sous couverture illustrée, 113 pages illustrées de 8 dessins en hors texte de Daniel Dezeuze - bon état -
Sète Rivière 2011 In 8 en feuilles de de 24 pages, Poème illustré de 3 collages originaux de Daniel Dezeuze. Tirage limité à 18 exemplaires numérotés, celui ci enrichi d'un envoi de l'artiste.
Catalogue d'exposition au FRAC Bourgogne à Dijon, du 18 avril au 4 juin 2003, Fond Régional d'Art contemporain de Bourgogne, bilingue anglais/français, 2004, 96 pp., broché, bon état.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Actes Sud / Carré D'Art Arles 1998 In-4 ( 290 X 225 mm ) de 125 pages, pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleurs. Nombreuses illustrations en couleurs hors-texte. Liste des oeuvres, bibliographie . Catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Daniel Dezeuze" à Carré d'Art - musée d'art contemporain de Nîmes du 23 octobre 1998 au 17 janvier 1999. Parfait état.
DEZEUZE (Daniel) - PIJAUDIER (Joëlle) - PACQUEMENT (Alfred) - KAEPPELIN (Olivier) -
Reference : 42271
Catalogue de l'exposition présentée en 1989 et 1990 au Musée d'Art moderne de Villeneuve d'Ascq, au Centre national des arts plastiques et au Musée des Beaux-Arts de Nantes - Paris : Flammarion, 1989 - un volume 21x23cm sous couverture cartonnée illustrée en couleurs, de 111 pages avec 85 reproductions en noir et en couleurs de peintures, sculptures, dessins et photographies - exemplaire truffé de 2 cartons d'invitation à des expositions Dezeuze en 1998 et 1999 -
Collectif,Coulange Alain,Dezeuze Daniel,Limousin Christian,Pleynet Marcelin,Prigent Christian
Reference : ru104
(1977)
Gramma Dos carré collé 1977 In-4 (28x20cm), dos carré collé, 84 pages, illustrations en noir, Daniel Dezeuze : Feuilles de carnet (textes, dessins), Alain Coulange : D'un trait, Christian Prigent : Vérités du dessin, Christian Limousin : Bords, rebords, Marcelin Pleynet : Du différé d'un discours, Entretien avec Dezeuze ; couverture salie, état correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.