A Paris, Librairie Plon, Plon et Nourrit, 14 décembre 1927. In-4. Demi-chagrin époque, dos lisse orné, tête dorée, couvertures et dos conservés, 372 pp.
Avec un portrait et 82 illustrations hors-texte en héliogravure. Le Docteur Récamier, qui a accompagné le Duc d'Orléans dans de nombreux voyages, relate, en particulier les expéditions de chasse de 1904 au Spitzberg sur la "Maroussia", puis celles sur la "Belgica" commandée par De Gerlache en 1905 au Groënland, en 1907 en mer de Kara et en 1909 à la Terre François-Joseph. Bel exemplaire, parfaitement conservé. Photos sur demande.
Paris, Charles Douniol 1875 (& 1874-1876) 92pp., 23cm., reliure cart. (plats marbrés, dos en cuir, charnière fragile), bon état, [relié avec: 1) Lettre de m.l'évêque d'Orléans à Minghetti ministre du roi Victor-Emmanuel, sur la spoliation de l'église à Rome et en Italie, Paris, Douniol, 1874, 56pp. & 2) Seconde lettre a m.Minghetti sur la nouvelle loi militaire italienne et ses conséquences pour le clergé, Paris, Douniol, 1876, 48pp.]
Paris/ Orleans, Douniol/ Blanchard 1863 121pp., 25cm., br.orig., pour la plupart non coupé, qqs. rousseurs, bon état, R81630
Paris, Baudouin Frères, 1824, in-8, 204pp, Reliure demi-basane tabac blond, pièces de titre rouge, dos orné à cinq nerfs, Très bel exemplaire 204pp
Paris, sd, in-8, 488 & 424pp, reliure demi-chagrin bleu, Très bel exemplaire! 488 & 424pp
Genève, H. Georg ; Paris, Magnin, 1859. In-8, demi-chagrin brun de l'ép., dos à nerfs orné, tranches dorées, XVI et 280 pp., portrait. Ex-dono manuscrit sur une garde "d'Edouard et Albert Bellieni à madame Sadevèze le 1er janvier 1860 à Meaux au presbytère".
Mouillure et rouss. au portrait, néanmoins agréable ex. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Lévy, 1870. Fort in-8 rel. post. demi-basane olive marbrée, dos à 4 nerfs, auteur et titre dorés, XCVIII-458 pp., [1] f., portrait en frontispice, une grande carte dépliante h.-t., de l'Algérie. Edition originale.
Exemplaire grand de marges. Rouss. sporadiques modérées, déch. sans perte au coin de la carte, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
HENRI d'Orléans, (Comte de Paris) - Michel de GRÈCE.
Reference : 27471
(1996)
ISBN : 2262012377
Perrin, 1996. Première édition chez Perrin.- In-4 relié à l'italienne (28,5 x 30,5 cm), jaquette imprimée, 200 pages, illustré de 237 photographies en noir et en sépia, depuis la fin de Louis-Philippe jusqu'au retour d'exil du comte de Paris en 1951.- "Un jour je demandai au comte de Paris, mon oncle, s'il possédait toujours des photos de famille rescapées des pérégrinations et déménagements forcés. Non seulement il en avait, mais en quantité, déposées chez lui ou chez la comtesse de Paris. Il voulait bien m'accompagner pour que nous les consultions ensemble. Nous avons passé de longues heures dans des greniers, caisse après caisse, afin de visionner d'innombrables photos qu'ils accompagnait de commentaires, de souvenirs, d'anecdotes." (Michel de Grèce).-1500g.C. - Excellent état.
Paris, Calmann Lévy, 1889. In-8 br.,XI-337 pp., portrait d'après Alfred de Dreux en frontispice. Exemplaire offert par les auteurs, avec le cachet "de la part des fils du Duc d'Orléans".
Couv. salie, petite mouillure en queue du dos, qqs pâles rousseurs, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Genève, H. Georg Edit. / Paris, Magnin, Blanchard & Cie., 1859. In-8 rel. de l'époque, demi-basane fauve, dos à nerfs, ornés d'un filet et bordés de doubles filets dorés, plats granités, gardes marbrées, tranches finement mouchetées, X-251 pp, portrait-frontispice de la Duchesse gravé par H. Sagert. Ex-libris gravé "Bibliothèque de C. Jameson".
Petite usure de la coiffe de tête, dos un peu passé avec traces de frottements, intérieur frais, état correct. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Calmann Lévy, 1889. In-8, reliure demi maroquin marron à coins signée Pagnant, dos à cinq nerfs, titre et date dorés, papier caillouté sur les plats, tête dorée ; XI-337 pp., portrait d'après Alfred de Dreux en frontispice. Exemplaire offert par les auteurs, avec le cachet "de la part des fils du Duc d'Orléans".
Dos passé, très bon état par ailleurs, ex. bien relié. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Orléans, Éditions Musée des beaux-arts, 1953 In-4, br., 42 pp., pl. h.t. en noir
Très bon ex. -
1842-1843. 1 vol. in-folio, demi-maroquin noir, dos à nerfs muet orné de listels à froid. Reliure de l'époque, coins fortement émoussés et accidents aux plats. 55 pièces manuscrites et 42 pièces imprimées contrecollées soigneusement sur 79 feuillets.
Cet album rassemble les témoignages de sympathie, surtout sous forme de poèmes de circonstance à l'égard de la reine Marie-Aélie à la suite du décès du prince Ferdinand Philippe le 13 Juillet 1842 à l'âge de Parmi les pièces manuscrites on remarque un joli poème autographe de Mélanie Walder (1796-1871), femme de lettres et ancienne maîtresse d'Alexandre Dumas. Les pièces imprimées sont les suivantes : Mandement de l'évêque d'Evreux (Evreux, Amelle, 1842) - Séance royale du 26 Juillet 1842, Discours du roi (Imprimerie royale, 1842) - Lettre de Monseigneur l'archevêque de Reims qui prescrit un service funèbre (18 Juillet 1842) - LIONNET (G.), La Mort du duc d'Orléans (Saint-Amand, 1842) - MORLOT (A.), Ode sur la mort du duc d'Orléans (Belfort, J. Clerc, 1842) - LAKE (J. W.), A monody to the memory of H.R.H. Ferdinand Philippe duke of Orleans (Paris, 1842) - Antoine DUPUCH (...) évêque d'Alger (adresse à son diocèse) - MERCIER (Th.), Le 13 Juillet (Paris, 14 Juillet 1842) - Mandement de Monseigneur l'archevêque de Paris qui prescrit des prières pour le repos de l'âme de S.A.R. Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Le Clere, 1842) - HUARD (F.), Le 30 Juillet 1842, élégie (S.l.n.d.) - GUTTINGER (U.), Le 13 Juillet 1842 (St Germain en Laye, Nov. 1842) - NANCEY (F.), Ode sur la mort... (Melun, Desrues, 1842) - JUBINAL (A.), Lettre au directeur du Courrier du Midi sur Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, 1842) - SAINT-SAËNS (A.), Les Regrets, élégie (Paris, Rouzé, 1842) - FORSTER (Ch.), Le duc d'Orléans (Paris, 1842) - CHAS (Pauline), Le calvaire royal (1842) - PILARD (Héloïse), Elégie sur la mort de Mgr le duc d'Orléans (Paris, J.B. Gros, 1842) - DU MESNIL (Marie), Aux manes de son altesse royale (...) chant funèbre (Maubeuge, Levecque, 1842) - Théodore, Calamité (Versailles, Kiefer, 1842) - Is it not sweet to think hereafter (S.l.n.d.) - ROUSSY (V.), La France en deuil (Paris, Baudouin, 1842) - [STAMPINATU (Rosalie)], Mon dernier hommage au prince royal (Paris, Amyot, 1842) - Ode à la mémoire de (...) Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Hugot, 1842) - G (Eug.), Les Douleurs de Marie (Paris, 1842) - DUPERRET (P.), Mgr le duc d'Orléans (Paris, Brière, s.d.) - BERNARD (P.), Eloge sur la mort de (...) duc d'Orléans (Marseille, Achard, août 1842) - LOIZEROLLES, Daphnis (Paris, Dondey-Dupré, 1842) - LE FLAGUAIS (A.), La Mort du duc d'Orléans (Caen, Hardel, 1842) - MAILLARD (H.), Apothéose du prince royal de France (Paris, 1842) - Michel, Le Cri du Coeur (Paris, Simonet-Delaguette, juillet 1842) - REY (A. de), Ode (Paris, Appert, 1842) - PAILLET, Elégie (Paris, L. Bocquet, 1842) - LAISNE (P.), Le chant de deuil de la France (Paris, Adde, 18412) - BREANT (A.), Evénement du 13 Juillet 1842 - Le Duc d'Orléans (Paris, Rousset, 1842) - CUREZ (L.), A la mémoire de S.A.R. (...) le duc d'Orléans (Paris, Daguin, 15 Juillet 1842) - MARTIN-PASCHOUD (J.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Baudouin, s.d.) - ROLLAND (A.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Tresse, 1842) - SANSON (J.), Le prince royal est mort !!! (Paris, Ledoyer, Juillet 1842) - GRISIER, A la mémoire du duc d'Orléans ! (Paris, 1842) - MULLER (A.), Adieux à son royal élève (Paris, s.d.) - MAUBERT G.), Apologue (Paris, s.d.).
Phone number : 02 47 97 01 40
Orléans 1829 39,6 x 25,3 1 permission de chasse signée par Louis-Philippe d'Orléans, donnant autorisation depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, dans la forêt d'Orléans (inspection d'Orléans, département du Loiret). Feuillet double de format: 395mm x 255mm, papier vergé fort). Feuillet à en-tête imprimée aux armes du Duc d'Orléans, avec sa signature manuscrite dans le bas du document. Permis nominatif de Mr Boscheron des Portes, premier avocat général à la Cour Royale d'Orléans, l'autorisant à chasser une fois par semaine, depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, accompagné d'une personne, avec chiens courants, dans la forêt d'Orléans, La Garde Neuville, et à tirer le sanglier, le lapin et les oiseaux de passage. Louis-Philippe d'Orléans, Paris 1773 - Claremont 1850, dernier roi à avoir régné en France, entre 1830 à 1848, avec le titre de « roi des Français », il est le fils de Louis-Philippe-Joseph, duc d'Orléans ( '' Philippe Egalité '', 1747-1793 ), duc de Valois, Duc de Chartres en 1785,
Signé par l'auteur
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013763
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.A.S., 7 janvier 1645, 1p in-4. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de « plusieurs médicamens et autres marchandises » pour les officiers domestiques du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1644 et pour un montant de 4500 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013764
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. P.A.S., 3 janvier 1647, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de médicaments pour les officiers d'écuries du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1646 et pour un montant de 700 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Suite de lithographies relatives à la mort du fils aîné de Louis-Philippe, Ferdinand-Philippe d’Orléans (Palerme 1810 - Neuilly 1842) causée par un accident de la route. La dernière estampe montre la cathédrale Notre-Dame tapissée de noir, par manque de tissu l’architecte Visconti eut recours à du papier noir pour exécuter cet impressionnant catafalque.- MAURIN. Famille du Prince royal. Paris, Bulle et Delarue fils. 48,5 x 38,5 cm.- ADAM (Victor). Les 13 juillet à 11 heures, son A. R. Mons. le Duc d’Orléans se rendant à Neuilly... [Le Duc d’Orléans blessé transporté par deux grenadiers]. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 28 x 37 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Translation du corps de S. A. R. M. le Duc d’Orléans au Palais de Neuilly. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 40 x 31 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor) d’après VILLMIN. Chapelle ardente au Château de Neuilly. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 X 38 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Translation du corps de S. A. R. M. le Duc d’Orléans de Neuilly à l’église cathédrale de Notre-Dame passage du cortège sur la place de la Concorde. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 x 40 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor). Mort de son Altesse Mgr. le Duc d’Orléans. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 30 x 40 cm. (feuille de 53 x 38,5 cm.)- ADAM (Victor) d’après Villemin et Monthelier. Catafalque et chapelle ardente de S. A. R. le Duc d’Orléans dans l’église Notre-Dame de Paris. Paris, Bulla et Delarue, imp. Lemercier, Benard et Cie., 31 x 45 cm. oblong (feuille de 53 x 38,5 cm.)- GRENIER et DEROY. Arrivée du cortège funèbre de S. A. R. le Duc d’Orléans à Notre-Dame. Paris, Jeannin, lith. Formentin, lithographie sur fond bistre, feuille de 53 x 38,5 cm., timbre sec. mouillure pâle à la marge.
0 Une carte de visite imprimée d'une fleur de lys dorée surmontée d'une marguerite, avec le texte manuscrit: Mille remerciements'', signé par Marguerite d'Orléans (carte de format: 105mm x 130mm). Marguerite d'Orléans, Marguerite Marie Françoise Louise d'Orléans, Richmond (Angleterre) 1869 -Château de la Forêt à Montcresson 1940, est une princesse d'Orléans, fille de Robert d'Orléans (1840-1910), duc de Chartres, et de Françoise d'Orléans (1844-1925), elle épousa civilement Marie Armand Patrice de Mac Mahon à Paris en 1896
Très bon Pas de couverture Signé par l'auteur
Eugène Dufeuille, journaliste politique, dirigea le bureau politique du duc d’Orléans de 1894 à fin 1898, après avoir été au service du comte de Paris pendant 11 ans, il a pris la succession de Paul-Gabriel Othenin de Cléron, comte d’Haussonville (1843-1924), qui, de 1891 à 1894, a été le représentant officiel du comte de Paris auprès des comités et de la presse monarchique et a dirigé son bureau politique. Il a publié plusieurs ouvrages : l'Anticléricalisme avant et pendant notre République, Réflexions d’un monarchiste, etc. Longue et très intéressante correspondance entre deux intimes des « Orléans » riche de détails et d’informations où se trouvent dévoilé la politique, l’exil, les mondanités et le quotidien. Janvier 1891. Il relit « Bossuet » et de la philosophie allemande. Il le rejoint dans sa pensée sur Auguste Comte. « Sa religion est ridicule. Elle est de plus inconséquence. Aussi n’ai-je jamais été son adepte. J’estime et j’ai toujours estimé qu’il n’y a rien au dessus de la religion du Christ… ». Ce choix, il en assure de « sa bonne foi. Mais si j’ai des doutes sur son origine, je n’en ai pas sur son efficacité, et je suis tout prêt en ce qui concerne la France, à en dire ce que le Prince vient d’en écrire Paulo majora Calamus ! (sic)… ». Mars et avril 1892. Il lui donne des nouvelles d’Hausonville et lui relate le mariage de sa seconde fille. Il lui indique que le marquis d’Harcourt se rendra à Lisbonne pour aller chercher la comtesse de Paris, que le comte de Paris partira de Gibraltar, accompagné d’André Buffet, et qu’il restera à Villamanrique, « l’état de santé de la duchesse de Montpensier s’étant amélioré. ». Le duc d’Orléans est à Lisbonne « qu’il a gagné à cheval en compagnie de Schneider. ». Il lui précise la situation à Paris, « Ici rien que vous ne puissiez deviner. Loubet est au dessous de tout et les désordres dans les églises pour être moins terrifiants que la dynamite sont à mon sens, plus graves. Je ne crois pas que la leçon profite au Pape si haute qu’elle soit. Les catholiques, qu’on avait voulu unir, n’ont jamais été aussi divisés. ». Mai 1893. Il lui apprend que des difficultés se sont présentées à « Stowe », indépendantes de celles prévues, qui l’obligeront certainement de battre en retraite, « sauf avis contraire du Prince… ». Il aurait bien voulu épargner cette situation au Prince, « mais si l’on doit la vérité aux Princes, c’est surtout quand ils sont exilés… ». Décembre 1895. Il est ravi d’apprendre que la comtesse de Paris, est heureuse d’être à Madrid. « Ses joies ne sont pas surabondantes et ses serviteurs ne peuvent que ressentir très vivement celles que de très rares occasions lui apportent. Il lui apprend que le jeune prince Henri, « a mené à bien un voyage aussi difficile que les résultats scientifiques et géographiques en paraissent être intéressants. Il annonce son retour dans le courant février et c’est à Bombay que l’on peut lui écrire… ». Quant à Paris, « c’est de plus en plus la décomposition. Nous sommes en plein Panama. … et la République parlementaire nage au sein de la boue. Quoi qu’il fasse, M. Félix Faure devra vider les lieux… ». Octobre 1902. L’arrivée du roi du Portugal étant imminente, il était bien persuadé que son ami serait rapidement de retour à Randan. Février et avril 1903. « Les manœuvres de la Marquise secondées par la complicité amoureuse de la fiancée actuelle et la faiblesse du tuteur on réussi. J’en éprouve une peine égale à la vôtre. Le jeune homme ne serait pas le joueur que la voix publique proclame incurable, il n’y aurait rien à dire. On pourrait même avancer qu’à beaucoup d’égards la pupille aurait trouvé chaussure à son pied. Je me suis jamais fait d’illusion sur la moralité du marquis de B, mais vraiment dans mes prévisions les moins indulgentes, je ne serais jamais allé jusqu’à supposer qu’il choisirait la famille royale et son ami d’enfance pour y placer un beau-fils dont il ne savait que faire. On ne vend pas à un ami un cheval vicieux… ». Son retour à Villamanrique l’a ravi, « après une absence de treize ans ». Janvier et décembre 1905. Il revient de l’Angleterre. « Le Prince a été le très aimable compagnon que vous savez quand il le veut être. Il était seul à Londres. Je l’y eusse préféré avec la Princesse et je regrette son absence aussi prolongée. Je ne dis pas que le mari s’en plaigne mais s’il est bien de la montrer une fille dévouée, il ne l’est pas moins d’être une Epouse assidue…». En juin il a dû se consacrer aux corrections des épreuves de sa plaquette et au roi du Portugal, qui est à Paris. « Il me semble bien que l’Auguste et considérable époux de la princesse Amélie gagne beaucoup à être connu. ». Quand il verra Dupuy, il lui dira « un mot » de l’entourage du duc de Montpensier. « un entretien est plus sûr qu’une lettre, mais je puis vous donner quelques renseignements sur l’entourage féminin de Madame la duchesse d’Orléans. La paix, me dit-on, y serait fort troublée…». Décembre 1909. La mort de la princesse Marie (Marie d’Orléans, fille de Robert d’Orléans, duc de Chartres) lui a causé plus de chagrin que de surprise. « J’incline donc à supposer avec vous, que la pauvre princesse a succombé à une grippe infectieuse ». On lui a remis un mot du duc de Guise, de sa maison de Copenhague, « le Prince m’y parle de sa douleur et de celle de Madame la duchesse de Chartres qui sont tout ce que vous pouvez deviner. Le frère et la sœur étaient très liés et le duc de Guise avait conservé la reconnaissance la plus émue de ses années de séjour dans sa maison de Copenhague […] Par discrétion et aussi un peu par manque de courage, je n’ai pas demandé à Mgr de duc de Chartres, de me recevoir. J’ai peur de son chagrin avec en plus le profond sentiment de mon impuissance…». Le petit fils du comte de Paris est à Paris. Il a été reçu avec un très bon accueil, « et a laissé partout une excellente impression » ((Il s’agit du jeune roi Manuel II, qui succèdera à son père assassiné lors de l’attentat du 1er février 1908, par des révolutionnaires. Son frère perdra également la vie et lui ne sera blessé qu’au bras). Sa mère, la reine Amélie est avec lui. « Puisse cet accueil être de quelque allègement dans sa douleur à la Reine Amélie qui est, comme vous le savez très apprécié et très plainte à Paris.. ». Enfin, il lui signale que le duc de Montpensier vient de publier un livre et le conforte concernant les troupes non licenciées de Ferrer. « Je pense que le gouvernement à l’œil ouvert et qu’il prend les précautions nécessaires […] Toutefois, mieux vaut être averti et tous les fanatiques ne réussissent pas leur coup. Ici, le parti révolutionnaire socialiste international fait ce qu’il peut pour galvaniser le cadavre de cette canaille de Ferrer, mais l’agitation ne rend pas. Le public est aujourd’hui édifié sur la moralité du "héros". Je suis porté à croire que s’il avait eu moins d’argent à la disposition du parti, sa mort aurait passé inaperçue comme celle des autres condamnés de Barcelone. Egalité, où est tu ? ».
Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers.
Reference : 013739
Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers. P.A.S., 18 juin 1696, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance, entièrement autographe, pour le paiement de sa rente. [278-2]
( Politique ) - Henri d'Orléans, Comte de Paris - Isabelle d'Orléans-Bragance, Comtesse de Paris
Reference : 31215
(1946)
Paris, Les Oeuvres Françaises, 1937. In-12 broché de 186 pages au format 19 x 12 cm. Couverture illustrée. Dos resté carré. Plats et intérieur frais, malgré de très rares rousseurs aux bords de quelques pages. Un des quelques exemplaires hors commerce, imprimés sur alfa, réservés aux amis de l'auteur. Edition originale, enrichi d'une cordiale dédicace autographe de Henri d'Orléans, Comte de Paris et de son épouse, Isabelle d'Orléans-Bragance, Comtesse de Paris. Cette dernière est sur une carte aux armoiries de la famille.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Orléans Couret de Villeneuve 1778 In-8 (20 x 12 cm), (8)-xii-210-(2) pp., plein veau glacé, dos lisse orné de fers à la grotesque, triple filet en encadrement sur les plats, tranches dorées (légère mouillure dans la marge supérieure, coiffe supérieure arasée, petits manques de cuir au coins ).
Edition illustrée d'un plan dépliant gravé d'Orléans et d'un portrait de Jeanne d’Arc. . Daniel Polluche (1689-1768), historien et antiquaire, membre de la Société littéraire d'Orléans, toute sa vie durant "il s'appliqua sans relâche à recueillir et étudier les monuments qui pouvaient servir à faire connaître ou illustrer sa patrie" Il s'agit de la seconde édition augmentée donnée par son proche parent, Beauvais de Preau, d'un ouvrage publié par Polluche en 1736 : Description de la ville et des environs d'Orléans. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
Stanislas-Arthur-Xavier TOUCHET - [Soliers 1848 - Orléans 1926] - Evêque d'Orléans et Cardinal français
Reference : 33709
3 pages in8 - En tête: Evéché d'Orléans - trés bon état -
Il lui est "absolument impossible" de ne pas avoir une journée de repos entre deux conférences; d'une part, parce qu'il ne donnera pas partout la même confèrence "j'en suis incapable"; d'autre part parce qu'il est dans sa "soixante treizième année" - Il revoit donc le calendrier des conférences et fait des propositions pour son hébergement - Il rajoute qu'il a eu l'honneur d'inviter le cardinal Mercier à venir présider une fête à Orléans en l'honneur de Jeanne d'Arc et de la délivrance d'Orléans -"Le Président Millerand y sera - Son Eminence interesserait pour le moins autant que M. Millerand" - Il aimerait savoir si son invitation a été remise - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
A Paris, Les Editions de l'Ibis, 1970, 1 volume in-4 de 260x195 mm environ, 169 pages, 2ff. (justification de tirage), pleine basane havane avec décor doré à la fanfare sur les plats et le dos, chiffre et arles de Charles d'Orléans, gardes en suédine café, sous coffret recouvert de papier jaune vanille avec intérieur en suédine café, tranche de tête dorée. Exemplaire 534, un des 1000 exemplaires sur vélin chiffon de Lana, numérotés de 273 à 1272, contenant 21 miniatures en couleurs (une à double-page, 6 à pleine page et 14 dans le texte), texte encadré et orné à chaque page, belles lettrines ornés en tête de chapitre. Bon état.
Charles Ier d'Orléans, né à Paris le 24 novembre 1394 et mort à Amboise le 5 janvier 1465, duc d'Orléans et de Valois, est un prince connu surtout pour ses uvres poétiques écrites lors de sa longue captivité anglaise. Il est le fils de Louis Ier, duc d'Orléans (le frère du roi de France Charles VI), et de Valentine Visconti, fille du duc de Milan. Il est le père du roi de France Louis XII. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.