n s.l., s.d. (2009. In/4 (27 x 24 cm) broché, couverture illustrée en couleurs, 67 pages, toutes illustrations en couleurs. Texte bilingue : anglais/français.
Arnaud Franc né en 1966.
CINQ PIECES DU XVIIIe SIECLE par BERNARD, D'USSIEUX, MERCIER, ARNAUD.
Reference : c5458
( BERNARD, Pierre-Joseph, 1708 - 1775 ). Phrosine et Mélidore, poëme en quatre chants. Messine , et se trouve à Paris , chez Le Jay, 1772 ; In-8° ,(4), 55 p. et 4 planches hors texte.Orné de 4 figures par Eisen gravés par Ponce ( pour le frontispice) et Bacquoy. ; ( Cf. Cohen 132) Mouillure angulaire à 2 gravures ans atteinte à la gravure.Suivi de : USSIEUX ( D'). Berthold, Prince de Moravie, Anecdote historique. Paris, Costard, 1773 ; in-8°, ( 4)pp. (faux-titre et titre), pp. 103-168pp. Illustré d'un Frontispice dessiné et gravé par Caresme, peintre du Roi, et une vignette en en-tête et un cul-de-lampe par le même.Tiré du Décameron François ( d 'où la pagination) .( Cohen 1001).Suivi de : MERCIER, Louis Sébastien. L'Indigent, drame en quatre actes en prose. Paris, chez Lejay, 1772 ; in-8°, (4), 112pp. Frontispice par Marillier gravé par Voyez l'ainé. ( Cohen 700)Quelques feuillets jaunis, manque de papier en marge d'un feuillet sans aucune atteinte au texte.Suivi de : ARNAUD François Thomas Marie de Baculard d'. Sélicourt, Nouvelle par M. d' Arnaud. Seconde édition. Paris, Chez Lejay, 1769 ; in-8°, (4), 79, (1)pp., Illustré par Eisen d'un frontispice gravé par Binet, d'une vignette en en-tête gravée par Ponce et d'un cul-de-lampe gravé par Binet. Tiré des Epreuves du Sentiment ( Cf. Cohen 101).Petites taches d'encre ou légères auréoles de mouillure dans les marges de plusieurs feuillets. Suivi de : USSIEUX, d'. Henriette et Luci, ou les Amies rivales, Nouvelle écossaise par M. D'Ussieux. A Paris, chez Costard, 1772 ; (2), XII, 46pp. Illustré par J. Clère d'un frontispice , d'une vignette en en-tête et d'un cul-de-lampe gravés par Fessard.Tiré du Décameron français.
Ces cinq textes reliés en un volume in-8°, demi veau vert olive de l'époque, dos lisse orné de larges fleurons dorés, palettes dorées, titre doré ( reliure vers 1830). Reliure postérieure un peu frottée.Intéressant ensemble de pièces illustrées par Eisen, Marillier, Binet, etc. ( GrMD)
Villeneuve-sur-Lot, Imprimerie Edouard Chabrié, 1888 ; in-8° broché, couverture grise imprimée en noir et rouge ; (4)pp.,Vpp.,(3)pp.,259pp.(1)p.Couverture salie, manque une grande partie du dos ( cassé),exemplaire débroché, petites taches jaunes en marge de 6 feuillets, très rares piqûres. Rare édition des oeuvres du poète- peignier.
Arnaud Daubasse (1650-1720) était maître-peignier et poète occitan.Né à Moissac en 1650, il s'installa à Villeneuve-sur-Lot comme artisan-peignier, où il fut également cabaretier, et se distingua par ses talents d'improvisateur et de poète. “Peut être analphabète, il meurt sans laisser de trace écrite de son oeuvre. Et l'on doit à la mémoire collective d'avoir consigné par écrit quelques une de ses chansons et de ses poèmes.“ ( GrMG)
Presses Universitaires de Rennes, 2006, in/8 broché, 206 pages. Illustrations en noir.
"Depuis les années 1990, à l'instar des autres capitales méditerranéennes. Tunis s'oriente vers une programmation plus stratégique de son développement, dont le projet urbain est la clef de voûte. Parmi les aménagements urbains les plus " visibles " de ces dernières années, l'urbanisation de la lagune constitue le chantier le plus important du Monde Arabe : 2 600 ha de réserves foncières, situées au coeur de capitale et en majorité gagnées sur le plan d'eau, sont en cours de lotissement, et ce, jusqu'en 2040-2050 pour les dernières tranches opérationnelles ! De façon à réactualiser et à compléter un certain nombre d'analyses publiées sur Tunis au cours des années 1980, le livre de Pierre-Arnaud Barthel brosse à grands traits les dynamiques urbaines actuelles de cette métropole émergente marquée par une franche accélération de la fabrication de la ville légale et illégale, mais aussi par une recomposition des modes d'action de l'État liée à l'implication croissante des acteurs privés et internationaux. Cet ouvrage s'adresse à un public intéressé par les questions urbaines et d'aménagement pour lequel des clés de compréhension des enjeux actuels dans le Grand Tunis sont proposées. Il constituera une ouverture sur un contexte métropolitain d'une capitale du " Sud ". En proposant une analyse fouillée de la mise en projet de la lagune qui est emblématique de nouveaux modes de faire la ville"
Paris La Table Ronde 1975 Un volume in-8 broché, couverture blanche illustrée, 223 pages. Rousseurs sur la couverture, bon état.
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1969 Les éditions de Minuit, Paris, 1969. Un volume in-8 broché, couverture illustrée, 326 pages, illustrations en noir et blanc. Bon état.
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1980 1980 Ramsay, Paris, 1980. In-4 broché, 233 pages. Bon état.
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In "Le roman des grandes existences" n°16. Plon, Paris, 1928. 1 volume in-8 broché, 296 pages. Léger accident aux coiffes et mors faible.
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1997 1997 Mazzotta, Cinémathèque Française, Musée du Cinéma, Paris, 1997. 1 volume in-8 broché, 95 pages. Bel état.
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Seghers, Poètes d'aujourd'hui 151, 1966, in/12 carré, broché, couverture illustrée, 189 pages. Bibliographie, portrait, fac-similés.
A.. L. T. E. S. S 1992, in/8 broché, 163 pages. Planches en noir in et hors texte.
Édition originale de « La Grammaire de Port-Royal », « l'un des textes les plus célèbres de l'histoire des théories linguistiques ».(En Français dans le Texte, n°99.) L'exemplaire relié à l'époque pour Jérôme Duvivier, l'ami de La Fontaine. Paris, Pierre le Petit, 1660. In-12 de 147 pp., (5) pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure parisienne de l'époque attribuable à Boyet. 149 x 88 mm.
Édition originale d’une rareté légendaire de la fameuse grammaire de Port-Royal. Ruble, n°104 ; Barbier, II, 554 ; Destailleur, I, p. 230, n°978 ; Brunet, II, 1692. Rédigée par Lancelot, mais inspirée par le grand Arnauld, la « grammaire de Port-Royal » est l’un des textes les plus célèbres de l’histoire des théories linguistiques. Bien qu'elle ne soit pas sans précédents européens et qu'on puisse faire remonter ses sources jusqu'à la grammaire spéculative médiévale, elle constitue la première présentation conséquente (dans le sillage du rationalisme cartésien) d'un programme scientifique qui va dominer l'Europe des Lumières, jusqu'à ce que la grammaire comparée le remette en question. Le langage est l'expression de la pensée qui correspond en tout homme à une structuration universelle. Les règles qui gouvernent les mots dépendent de celles qui régissent les idées que ces mots expriment. Par là, la grammaire de toute langue possède un fond rationnel qui la rapproche de la logique ; c'est au reste dans leur logique que les Messieurs de Port-Royal exposeront leur théorie du verbe et des propositions incidentes. Cette édition originale est si rare qu’il n’en est apparu aucune sur le marché public international depuis 35 ans. Admirable exemplaire, peut-être le plus précieux connu, entièrement réglé, relié à l’époque avec élégance en maroquin rouge par Luc-Antoine Boyet, pour l’un des trois curieux identifiés, Jérôme Duvivier (1660 ≈ 1720) avec sa signature autographe en bas du titre. C’est dans le milieu des « curieux » parisiens, à l’extrême fin du XVIIe siècle, qu’ont fait leur apparition des reliures spécialement destinées à recouvrir des livres rares. Du Vivier connaît le duc du Maine, son « voisin » à l'Arsenal ainsi que le prince de Conti. On sait qu'il est l'ami de La Fontaine. Une lettre du fabuliste au prince de Conti - qui partageait la passion de Duvivier pour la céramique de Chine et du Japon - fait allusion sur un ton plaisant aux précieuses statuettes qui peuplent son cabinet: « Nous en parlions l'autre jour, du Vivier et moi (…). Nous fîmes des vœux très particuliers en votre faveur. Ils n'étoient ouïs que de quelques idoles chinoises » A partir de 1698, puis dans les éditions de 1706 et 1717, Brice le cite comme l'un des plus grands curieux parisiens, et les sept salons de son appartement de l'Arsenal sont devenus un lieu de visite obligé pour tous les gens de goût.
Editions du Bastidon, Aix en Provence, 1927. Fort et grand volume in-4 (33 x 25 cm) broché, couverture rempliée, illustrations de Dellapiane : couvertures illustrées en couleurs, 1 planche, bandeaux et cul de lampes monochrome et 4 planches en couleurs (pochoir), 48 planches (phototypies en sépia), 228 pages. Tiré à seulement 530 exemplaires, celui-ci sur vélin blanc (n°519/530). Taches sur le dos, rousseurs sur les premiers et derniers feuillets.
Davide Paolo Dellepiane dit David Dellepiane né à Gênes 1866 et mort à Marseille en 1932, peintre et lithographe français, En 1880 il entre à l'école des beaux-arts de Marseille. Il fait un bref séjour à Gênes en 1884. En 1890 il habite Paris au moment où le modern style remporte un vif succès avec les affiches de Mucha ; il travaille dans la capitale sous la direction de Jules Chéret qui le forme à l'art lithographique.Anciens Usages de la Noël et du Cycle de Noël : Anciens usages de l'Avent et de la Noël : Coutumes particulières durant l'Avent. Le gros souper. Bénédiction de la buche et autres rites unis au gros souper. Présents et aumônes. Réconciliation générale à Marseille. Pratiques religieuses ou superstitieuses dérivées du gros souper et de la buche de Noël. Particularités liturgiques de la messe de minuit en Provence et dans le Comtat et usages locaux qui s'y rapportent. Le Defructus. Noël et les oiseaux. Le dîner de Noël. II. Anciens usages des autres fêtes du cycle de Noël : Les planches de Sant Estève. La fête des Innocents en Provence. L'Épiphanie à Saint-Sauveur d'Aix, la marche des rois. Le gâteau des rois. La fête de la belle étoile à Pertuis. La Purification ou Chandeleur en certains lieux de Provence. Crèches et Santons : Anciennes figurations de la Nativité. Origine des crèches. Crèches d'Églises et de familles. Procédés de fabrication des santons d'argile. Principaux santonniers anciens et modernes. Des divers personnages représentés par les santons. Manifestations diverses en l'honneur des santons : La foire aux santons et autres manifestations en faveur de l'industrie santonnière. Divers états de la foire aux santons. Concours de crèches. Exposition "Art et Santons". Place tenue par les santons dans d'autres expositions et dans plusieurs musées. Les santons provençaux exposés à Paris. Troisième Partie : Crèches Parlantes - Noëls et Pastorales : Drames liturgiques et mystères. Crèches parlantes : Le cycle des fêtes de Noël et le théâtre en Provence du XIVe au XVIIe siècle. Les crèches parlantes. Crèches parlantes d'Aix-en-Provence. Crèches parlantes de Toulon. II. Les Noëls provençaux : Nicolas Saboly et autres compositeurs de Noëls. Pastorales : Première représentation de la pastorale dans un grand théâtre de Paris. Bibliographie.
Paris Gallimard 2003 Un volume in-8 broché, couverture illustrée, 864 pages. Bon état.
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Paris Bordas 1973 Un volume in-8 reliure de l'éditeur en skyvertex rouge, titre doré, croix de Malte sur le plat supérieur, 394 pages. Bon état.
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Paris Dunod 2004 Un volume in-8 broché, couverture blanche illustrée, 223 pages. Bon état.
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Paris Télémaque 2016 Un volume in-8 dos collé, couverture bleue illustrée, 524 pages. Bon état.
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Privas, imprimerie Lucien Volle, 1974, grand in/8 broché, 200 pages. Préface de Nicole Esquieu. Illustrations en noir et en couleurs
Le château d'Alba est un ancien château fort dont l'origine remonte au XI siècle, qui se dresse sur la commune française d'Alba-la-Romaine dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpe
1955 Paris, Plon, 2008. Un volume in-8 dos collé, couverture illustrée, 522 pages. Bon état.
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1775 (Paris, Ruault), de l'Imprimerie de Quillau, 1775, (in fine); 2 tomes reliés en 1 volume in-12°, pleine percaline havane à la bradel, dos lisse, fleuron doré titre doré sur étiquette de maroquin rouge, initiales dorées en pied; (VI)pp. - (1)f. - 55pp.; (4) -67pp.-(1)p. Titre-frontispice et 24 vignettes hors texte par Marillier gravées par Gaucher, de Ghendt, Le Gouaz, Delaunay, Lebeau, Masquelier, Née et Ponce.
“Les beaux exemplaires sont sur papier de Hollande avec les figures avant les numéros“ (cf. Cohen 139), ce qui est le cas dans le présent exemplaire. Exemplaire dans une sobre reliure moderne (vers 1900), marges non rognées sauf en tête, très petite tache rousse en marge inférieure d'une page. Très bon exemplaire de l'édition originale sur grand papier, et 1er tirage des très fines figures de Marillier, "d'une grace ravissante“.( Reu-Bur)
Typographie Remondet Aubin, Aix, 1867. Plaquette in/8 (24 x 16 cm) 13 pages, une planche in-fine (coupe des tapets). Couverture tachée. Dédicace de l'auteur.
Extraits des comptes rendus de la 33è session du Congrès scientifique de France.
LE PETIT JÉSUS. " Journal intime, publié par Noël Arnaud ". Collection complète du n° 1 au n° 11. Le n° 10 est entièrement constitué d'une édition de " l'Hourloupe " de Jean Dubuffet ; notre exemplaire de ce n° 10 est 1/150 hors commerce (" réservés aux élites extérieures "). Cette collection est conservée dans une chemise-étui toilée, vert, jaune et noir, réalisée sur mesure, titre doré sur bandeau de maroquin. Ensemble en très bon état. // Textes de Noël Arnaud, Marcel Béalu, René Berger, Cyrano de Bergerac, André Blavier, Claude Brunet, Camille Bryen, Jacques Bureau, François Caradec, Paul Colinet, Roland Dubillard, André Frédérique, Aline Gagnaire, Georges Henein, Albert Humbert, Irine, Alfred Jarry, Willem Kostrowitzky [Guillaume Apollinaire], Jean Laude, André Martel, Abbé Meslier, Edgar Morin, René Passeron, Marcel Piqueray, Michel Philippot, Roger Rabiniaux, Kurt Schwitters, Louis Scutenaire, Julien Torma, Frédérick TristanIllustrations de Noël Arnaud, Jean Dubuffet, Albert Humbert, Robert Willems...
Paris (18, rue Mesnil). Presses du MESSAGER BOITEUX DE PARIS, puis Imprimerie spéciale du PETIT JESUS. Directeur : Noël Arnaud. Plaquettes in-8° ou in-12, agrafées ou brochées. 11 numéros (dont deux doubles - n° 4-5 et n° 4-51/2 - et un triple - n° 7-8-9) ont paru en 9 livraisons de mai 1951 à fin 1963. (Destribats, 552)
Ensemble de documents relatifs à Marie Lucile Cognasse de Lage (Limoges, 1844 – Gargilesse, 1901) en littérature Simone Arnaud (sa fiche à la BnF la fait naître par erreur en 1850).
Son père, Joseph de Lage décédé en 1848 avait épousé Catherine Louise Élisabeth Vidaud d’Envaud, descendante d’une famille attestée depuis longtemps dans le Limousin. Enfant très douée, elle lit à quatre ans sans avoir reçu de leçons et dès six ans commence le piano, sans grande conviction. Ce n’est qu’à l’adolescence qu’elle montrera son talent quand elle prendra des leçons de Planté et de Félicien David avec qui elle entretint une amitié très étroite. Le compositeur lui dédiera son dernier quatuor et sa mort en 1876 laissera la jeune fille désemparée. Elle vit alors avec sa mère, morte à une date inconnue, et fait un mariage tardif en 1889 avec Paul Joseph Copin, publiciste sous le nom de Paul-Copin Albancelli (1851-1939). Elle se consacre au théâtre, et quelques-unes de ses pièces comme les opéras qu’elle en tira furent représentés sur de grandes scènes : Entre autres : Mademoiselle du Vigean, comédie en un acte et en vers (1883), représentée à la Comédie Française avec Julia Bartet dans le rôle-titre ; La Jacquerie. Drame lyrique, musique d’Édouard Lalo terminée par A. Coquard. Représenté à l’Opéra-Comique puis au Grand Théâtre de Lyon (1895). Il a été redonné en 2015 lors du Festival de Radio France-Montpellier ; Carmagnola, drame en 3 actes, 1 prologue, en vers. Théâtre de l’Odéon. On lui doit encore des contes et poèmes mis en musique. Documents d’état-civil - Contrat de mariage avec Paul Joseph Copin en date du 25 novembre 1889. - Certificat de mariage 27 novembre 1889. Mairie du 9e arrondissement. - Commune de Gargilesse. Attestation du Maire. 23 juillet 1901. Concernant le transport du corps de Simone Arnaud décédée le 20 juillet. Photographies et documents divers - 3 portraits photographiques - Louise Vidaud d’Envaud. Testament sur papier timbré. 28 janvier 1880. 2 pp. in-4. Une pièce émouvante dans laquelle après avoir redit son amour à ses enfants « Je prie tous ceux que j’ai nommés et que j’aime profondément, de ne me garder nulle rancune si je ne leur laisse aucun legs : je possède si peu qu’on peut dire rien. Je réunis ce peu que je donne à mon enfant chérie Anne Lucile Cognasse de Lage ; elle est destinée hélas à vivre si seule qu’au moins je veux que ces meubles que nous possédions en commun, que cette argenterie, ces objets divers, témoins de notre vie d’autrefois, dont elle a fait le charme et le bonheur, lui appartiennent totalement. Je ne sais s’il me restera quelque argent, quelques actions ou obligations, je peux avoir besoin de mes faibles économies, mais tout ce qui peut rester, tout est à Anne, avec mes plus tendres bénédictions. […] » - 4 papiers commerciaux : avis de transport, actions. Lettre adressées à Simone Arnaud - 2 lettres autographes signées de Marguerite Lavoix. 1882-1883. 1 p. in 12, 2 pp. in 8°, enveloppes. 1er octobre 1882 : Relative à sa première pièce Mademoiselle du Vigean. « Victoire, chère Demoiselle. Hier au soir, M. Perrin a dit à M. Lavoix : La pièce est noble, élevée, et tout à fait pour la Comédie Française ! je la prends. […] » – 27 septembre 1883 : « […] Votre gd ami est très content que vous ayez fini votre travail et que Mr Perrin soit revenu ! Il en causera longuement avec vous, dès notre retour […] Il me charge de vous dire, que si le papier vert du terrible cabinet, vous effraye nous en ferons mettre un autre ! […] » – 3 lettres autographes signées d’une amie habitant Marly-le-Roi. 1887-1888. 3 pp. in 12 et 5 pp. in 8°. Relatives à son drame Jeanne d’Arc. – 29 septembre 1887 : elle a lu un article de L’Univers (mardi 27) « je vous écris pour vous inviter à vous procurer cet article plein de situations dramatiques dont vous pourrez tirer parti. Peut-être donnerez-vous au rôle du duc de Bourbon qui s’était fait le fidèle écuyer de Jeanne, un rôle plus important. […] Avec cela vous ferez une œuvre qui pourra contribuer à nous sauver de l’abîme où nous sommes précipités […] » – 16 décembre 1887 : le curé demande qu’elle remette sa visite car il est souffrant. – 9 mars 1888 : « J’ai été heureuse d’apprendre que vous avanciez dans votre œuvre colossale. […] Avez-vous fait entrer le duc de Bourbon, comme moyen dramatique, d’une grande puissance, dans le jeu de vos personnages ? […] Vous aviez un grand parti à tirer de son dévouement infatigable, et persévérant en toutes circonstances, de ses conseils comme homme de peine et vrai français. N’oubliez pas la scène où Jeanne demande au Roi, s’il veut donner son royaume à la pucelle. Après un moment d’hésitation le Roi répond : Oui je donne à la pucelle mon royaume ; et moi reprend-elle, je le donne au Christ pour qu’il en soit le Roi, et que vous le gouverniez comme son Vicaire. […] Ne craignez pas le surnaturel […] » Successions de Simone Arnaud et de son époux - Contrat entre Paul Copin-Albancelli et Robert Caplain, 29 décembre 1930, autorisant celui-ci à adapter les œuvres de Simone Arnaud (exception faite de Monsieur Vincent). - Acte de vente sur papier timbré par Julia Copin au docteur Louis en date du 25 mai 1939 de tous les manuscrits et livres qui appartenaient à son frère Paul Copin. - Lettre autographe signée du Colonel A. Wayne d’Arche à un médecin. 12 avril 1939. 2 pp. in 4°. « […] Veuillez bien comprendre ma pensée […]. Il ne s’agit pas d’héritage, puisque M. Copin-Albancelli ne nous est rien personnellement et que, par suite, sa sœur, seule existante, est de droit son héritière, mais bien de nombreux souvenirs de famille, provenant de la femme de M. Copin, notre tante commune à tous les cinq ». Il fait un long exposé de la généalogie de la famille. […] Il y avait chez mon oncle Copin, à St-Cloud de nombreux souvenirs d’Anne de Lage, portraits, objets, etc.. et tous les manuscrits de cette dernière. […] Les deux familles sont éteintes. […] Ou bien, il y a un testament […] Ou bien, il n’y en a pas, et alors il ne nous reste qu’à demander à Mlle Copin si elle veut bien nous céder tous ces souvenirs, papiers, manuscrits d’Anne de Lage qui ne peuvent l’intéresser en rien et constituent au contraire pour nous un héritage de famille, sans valeur monétaire d’ailleurs, mais d’une valeur morale pour nous seuls, descendants uniques de ces deux vieilles familles. […] Bien entendu, je ne fais allusion plus haut qu’aux écrits et manuscrits de ma tante de Lage (Mlle Simone Arnaud) et nullement à ceux de M. Copin. - Société Historique d’Auteuil et de Passy, Bulletin XCIII, 3e trimestre 1916. In-4, broché, 46 pp. (débroché). Bulletin entièrement consacré à Simone Arnaud par J. Caplain.
S.l. [Nîmes, puis Casablanca et Mazagan], 1911 - 1913 112 pièces in-12 ou in-8, en feuilles.
Ensemble cohérent de lettres adressées au moins une fois par semaine (parfois tous les trois jours) à ses parents et frère par Auguste Arnaud (1890-1946), un canonnier, conscrit de Sarras (Ardèche), incorporé en octobre 1911 au 38e Régiment d'artillerie, et originaire d'une famille vraisemblablement paysanne et même viticole, étant données les nombreuses considérations sur les travaux des champs et le soin des vignes ; rédigées généralement sur un bifeuillet, soit à l'encre soit au crayon de bois (surtout les marocaines), elles courent du 10 octobre 1911 au 7 octobre 1913, soit la presque totalité de son temps de conscription (soumis encore à la loi des deux ans), et se présentent dans un langage élémentaire mais correct, sans trop de fautes d'orthographe. À noter cependant, un petit post-scriptum en dialecte local à la fin des lettres 72, 74, 78, 81 et 93.On peut diviser naturellement ce dossier en deux parties : la vie de garnison à Nîmes (octobre 1911 - août 1912), avec des lettres débordant de considérations familiales, de détails répétitifs sur la vie quotidienne du soldat, envisagée sous son côté le plus terre à terre ; la campagne de "pacification" du Maroc, effectuée à la suite des émeutes de Fès du 17 avril 1912.Le conscrit Arnaud représente vraiment le degré le plus élémentaire du soldat de la IIIe République : comptant dans presque toutes ses lettres le nombre de jours le séparant de la "classe" [ = "quille"], il ne se préoccupe guère que de ses conditions matérielles d'existence (permissions, gamelle, couchage, parties de piquet et de manille avec les copains), sans qu'il s'attarde véritablement sur les missions proprement militaires de son séjour marocain. Quant aux populations locales côtoyées pendant son temps de service africain, ou ses étapes dans l'arrière-pays, elles sont unilatéralement considérées de façon négative (e.g. "Moukères, elles ne sont vraiment pas belles"). Il en va de même pour la nourriture locale (le couscous est considéré comme immangeable ...). Il s'indigne quand même du traitement "barbare" infligé à une prisonnier marocain : "Seul un blessé a été trouvé, et quel sort on lui a fait subir, c'est barbare pour des gens civilisés, laisser faire des choses pareilles : devant un lieutenant et d'autres hommes, un Sénégalais a jeté le malheureux dans un silo, a rempli le trou de buissons que des trainglos ont allumés et ont ainsi brûlé vivant le Marocain" (lettre 82).PREMIÈRE PARTIE [Nîmes] : 1. Lettre du 10 octobre 1911 : arrivée au quartier du 38e Régiment d'artillerie à Nîmes et affectation à la 3e batterie, avec son ami Saunier. - 3. Du 17 octobre 1911 : aperçu de la vie de quartier (punaises, mauvaise nourriture, etc.). - 3. Du 1er novembre 1911 : sur la rareté des permissions. - 4. Du 2 novembre 1911 : sur l'entraînement à cheval. - 5. Du 8 novembre 1911 : sur une revue par un général. - 6. Du 15 novembre 1911 : sur une marche de 12 km en-dehors du quartier. - 7. Du 23 novembre 1911 : banalités du quotidien. - 8. Du 29 novembre 1911 : idem. - 9. Du 7 décembre 1911 : visite de la Tour Magne et des arènes à Nîmes. - 10. Du 13 décembre 1911 : sur un défilé au champ de tir. - 11. Du 19 décembre 1911 : sur la permission de Noël et le retour à la maison à cette occasion. - 12. Du 29 décembre 1911 : retour de permission, vague à l'âme ... - 13. Du 7 janvier 1912 : reprise de l'exercice, banalités du quotidien. - 14. Du 14 janvier 1912 : banalités du quotidien. - 15. Du 21 janvier 1912 : détail des manoeuvres de la semaine. - 16. Du 27 janvier 1912 : exercices de tir. - 17. Du 2 février 1912 : revue de mobilisation par le commandant du corps. - 18. Du 8 février 1912 : préparation de nouvelles revues. - 19. Du 17 février 1912 : revue du général et marches de nuit. - 20. Du 25 février 1912 : permission à Montpellier le dimanche précédent et participation au carnaval. - 21. Du 3 mars 1912 : visite à la foire de Nîmes. - 22. Du 7 mars 1912 : sur un accident survenu au retour d'un exercice au polygone. - 23.-24. Des 14 et 22 mars 1912 : banalités du quotidien. - 25. Du 3 avril 1912 : annonce de 6 jours de permission pour Pâques. - 26. Du 14 avril 1912 : un "bleu" passe en conseil de guerre. - 27. Du 21 avril 1912 : arrivée d'un nouveau capitaine. - 28. Du 28 avril 1912 : banalités du quotidien. - 29. Du 5 mai 1912 : différentes sanctions de militaires dans le corps. - 30. Du 8 mai 1912 : visite au dentiste, qui propose de remplacer 10 dents cariées irrécupérables. - 31. Du 15 mai 1912 : suite de l'affaire du dentiste. - 32. Du 19 mai 1912 : premiers exercices et revues avec le nouveau capitaine. - 33. Du 30 mai 1912 : arrivée de 2000 réservistes. - 34. Du 13 juin 1912 : permission de 6 jours accordée à la demande des parents (vraisemblablement pour travaux agricoles). - 35. Du 27 juin 1912 : suite de l'affaire de la permission. - 36. Du 7 juillet 1912 : quartier désert à cause du grand nombre de permissionnaires. - 37. Du 19 juillet 1912 : proposition d'un lieutenant pour devenir son ordonnance (n'a pas de suite). - 38. Du 29 juillet 1912 : exercices de tir (très détaillés). - 39. Du 3 août 1912 : banalités du quotidien. - 40. Du 11 août 1912 : pose de l'appareil dentaire. - 41. Du 18 août 1912 : le 38e doit fournir deux batteries sur pied de guerre pour le Maroc, mais on ignore encore lesquelles seront désignées par tirage au sort ("Ne vous faites par du mauvais sang pour celui qui ne s'en fait pas", conclusion de cette missive). - 42. Du 19 août 1912 : "Depuis hier, il y a bien du nouveau ; aujourd'hui, nous sommes renseignés sur les batteries qui partent au Maroc, le sort est tombé sur la 3me et la 6me ... Je sais que cela va vous faire beaucoup de la peine et c'est ce qui m'attriste, sans cela je partirais volontiers. Ne vous faites pas du mauvais sang, c'est tout ce que je demande : si vous me le promettez, je partirai heureux de voir des pays qui me sont encore inconnus". SECONDE PARTIE [Maroc] : 43. Du 30 août 1912 (écrite de Marseille) : arrivée au port de Marseille pour l'embarquement le dimanche suivant sur l'Anatolie. - 44. Du 6 septembre 1912, première missive écrite de Casablanca : débarquement des chevaux après la traversée. - 45. Du 8 septembre 1912 : débarquement à Casablanca, premières nuits à terre. - 46. Du 18 septembre 1912 : visite de Casablanca, incendie d'un cinéma. - 47. Du 28 septembre 1912 : nouvelle affectation comme garçon d'hôtel au mess des officiers, amélioration du quotidien, cérémonie de dégradation militaire de soldats de l'infanterie coloniale. - 48. Du 6 octobre 1912 : punition de deux camarades retrouvés ivres. - 49. Du 8 octobre 1912 : banalités du quotidien. - 50. Du 11 octobre 1912 : départ le lendemain pour Mazagan (= El Jadida). - 51. Du 14 octobre 1912 : petites étapes vers Mazagan. - 52. Du 17 octobre 1912 : arrivée sur place, installation. - 53. Du 20 octobre 1912 : séjour à Mazagan. - 54. Du 22 octobre 1912 : départ de Mazagan, étape à Aïn Schrama. - 55. Du 28 octobre 1912 : étapes de Ouled Ranem [= Ouled Ghanem], Ouali Dia et Si Aïssa [= Safi]. - 56. Du 3 novembre 1912 : retour d'une mission de 4 jours. - 57. Du 7 novembre 1912 : nouvelle étape. - 58. Du 11 novembre 1912 : difficultés pour trouver de l'eau potable. - 59. Du 17 novembre 1912 : nouvelle étape aux abords de Marrakech. - 60. Du 21 novembre 1912 : banalités du quotidien. - 61. Du 27 novembre 1912 : considérations sur le climat local. - 62. Du 29 novembre 1912 : Arnaud a assisté à une séance de derviches, à laquelle évidemment il ne comprend rien. - 63. Du 2 décembre 1912 : considérations sur la violence des pluies. - 64. Du 6 décembre 1912 : retour à Mazagan et installation malcommode. - 65. Du 12 décembre 1912 : détails de l'installation (couchage, etc.). - 66. Du 20 décembre 1912 : nettoyage du matériel. - 67. Du 25 décembre 1912 : ennuis de la vie de garnison, une fois le nettoyage du matériel terminé. - 68. Du 1er janvier 1913 : festivités du Nouvel an. - 69. Du 17 janvier 1913 : arrivée depuis Casablanca d'une colonne composée de 3 compagnies de tirailleurs et d'une compagnie d'infanterie coloniale, destinée à Mogador [= Essaouira]. - 70. Du 19 janvier 1913 : banalités du quotidien. - 71.-72. Des 26 et 29 janvier 1913 : sur les retards du courrier. - 73. Du 2 février 1913 : vives inquiétudes d'Auguste ne recevant plus de courrier. - 74. Du 7 février 1913 : attente de l'arrivée du général Lyautey. - 75. Du 12 février 1913 : banalités du quotidien. - 76. Du 14 février 1913 : rumeurs d'un départ pour Marrakech. - 77. Du 18 février 1913 : banalités du quotidien. - 78. Du 23 février 1913 : le général Lyautey, attendu sur place, n'est pas venu. - 79. Du 26 février 1913 : annonce du départ de Mazagan pour la semaine suivante. - 80. Du 9 mars 1913 : départ de Mazagan, transit d'une nuit à Casa, puis formation d'une colonne vers Berrechid. - 81. Du 14 mars 1913 : étape à Bir Mezoui, intensification des reconnaissances comme des attaques marocaines. - 82. Du 22 mars 1913 : composition de la colonne (environ 3000 hommes pris dans différentes armes et sous les ordres de deux colonels ; deux batteries), opérations brutales. - 83. Du 25 mars 1913 : évacuation des malades. - 84. Du 28 mars 1913 : Séjour à l'infirmerie de Ben Ahmed (près de Casa) pour une bronchite "droite simple". - 85. Du 31 mars 1913 : nouvelles d'un combat du 27 mars qui aurait fait 7 morts parmi les Français. - 86. Du 4 avril 1913 : "De ma vie, je n'ai jamais passé de si beaux jours qu'ici" (à l'infirmerie). - 87. Du 8 avril 1913 : départ annoncé de l'infirmerie ("Je vais tâcher de me faire exempter de service encore quelque temps, ce sera toujours ça de tiré en attendant la classe"). - 88. Du 11 avril 1913 : évacuation d'Arnaud au dépôt des convalescents de Berrechid, séjour qui l'enchante ("On est bien nourri .. la boustifaille est bonne" ...). - 89. Du 15 avril 1913 : toujours une prodigieuse activité guerrière ("Le soir, je suis libre d'aller à la maison du soldat, où il y a à boire et à manger ... C'est une vie de bourgeois, jamais je n'avais passé de jours comme j'en passe en ce moment ici"). - 90. Du 21 avril 1913 : nouvelles de la colonne Mangin. - 91. Du 24 avril 1913 : banalités du quotidien. - 92. Du 30 avril 1913 : un convoi de Marrakech amène 25 convalescents au dépôt. - 93. Du 8 mai 1913 : arrivée d'un convoi amenant une centaine d'évacués, dont 56 blessés de guerre. Écho de combats meurtriers. - 94. Du 15 mai 1913 : inquiétudes au sujet du vote éventuel de la loi des trois ans (qui sera acceptée le 7 août 1913). C'est que, lorsque les appelés de la classe 1911 - dont faisait partie Arnaud - apprirent que leur temps de service allait être prolongé d'un an, un vif mécontentement se déclencha dans nombre d'unités. - 95. Du 18 mai 1913 : renforcement de la colonne qui combat dans les zones non pacifiées. - 96. Du 25 mai 1913 : rapatriement du 4e Chasseurs en France. - 97. Du 30 mai 1913 : "C'est toujours la même vie tranquille ces jours-ci". - 98. Du 8 juin 1913 : banalités du quotidien. - 99. Du 12 juin 1913 : toujours au dépôt depuis plus de deux mois. - 100. Du 18 juin 1913 : arrivée d'un important convoi de blessés venant de Tadlas [= région de Tadla]. - 101. Du 24 juin 1913 : toujours des inquiétudes sur la loi de trois ans. - 102. Du 28 juin 1913 : "La classe s'approche et la perspective d'aller en colonne est passée". - 103. Du 2 juillet 1913 : sortie du dépôt le 1er juillet et attente d'un convoi pour se rendre à Oued-Zem. - 104. Du 11 juillet 1913 : arrivée hier à Oued-Zem, retour de la 6me batterie à Casablanca. - 105. Du 14 juillet 1913 : arrivée à Kasbah Tadla. - 106. Du 17 juillet 1913 : banalités du quotidien. - 107. Du 24 août 1913 : incertitudes autour de la "classe", Arnaud va fêter ses 23 ans. - 108. Du 7 septembre 1913 : "Ici tout se passe comme vous savez déjà, quelques coups de fusil de temps en temps et c'est tout". - 108. Du 17 septembre 1913 : "Il serait temps de quitter ce sale pays qui est si peu fait pour nous". - 109. Du 20 septembre 1913 : annonce officielle du départ de la batterie pour Casa. - 110. Du 30 septembre 1913 : "Maintenant nous ne bougeons plus d'ici jusqu'à notre départ pour la France". - 111. Du 3 octobre 1913 : le rapatriement serait prévu le 9 du mois ("Maintenant, on commence à sentir un peu cette vie civile ; il n'y a plus que quelques jours qui nous séparent, aussi sommes-nous tous contents en attendant ce bateau libérateur"). - 112. Du 7 octobre 1913 : "Je crois que c'est la dernière fois que je vous écris de ce Maroc que nous allons quitter après-demain. Je vous assure que c'est sans regret que je vais lui dire adieu, car il nous a assez fait souffrir". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Noël Arnaud - Claude Rameil - Pierre Alechinsky - Edouard Jaguer - Jean Suquet - Collectif.
Reference : 13988
(1997)
Librairie Champavert 1997. In-4 broché de 76 pages au format 21 x 28 cm. Belle couverture illustrée par Pierre Alechinsky. Catalogue de l'exposition qui eut lieu autour de l’écrivain, collectionneur et bibliophile français Noël Arnaud, organisée à l’Espace d’Art moderne et Contemporain de Toulouse et Midi-Pyrénées du 6 novembre au 30 décembre 1997. Ouvrage conçu par Noël Arnaud, Lydia Maurel, Alain Mousseigne er Roger Roques. Textes de Noël Arnaud, Claude Rameil, Pierre Alechinsky, Edouard Jaguer, Jean Suquet, etc. Très nombreuses illustrations. Indes des oeuvres et des affiches exposées. Bibliographie de Noël Arnaud. Complet de l'errata. Tirage sur couché. Superbe état proche du neuf. Edition originale.
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