Bruxelles, et se trouve à Paris, Buisson, 1788 in-8, VIII-415 pp., basane blonde, dos lisse orné de filets dorés, encadrement de double filet doré sur les plats (reliure de l'époque). Bon exemplaire.
Troisième édition, reprenant le titre exact de l'originale qui était parue en 1785. La deuxième édition (1787) mettait en exergue les Loisirs d'un ministre d'Etat au titre.Fils du redouté lieutenant de police de Paris, René d'Argenson, Louis-René d'Argenson, Ministre des Affaires étrangères, pouvait se montrer un doux rêveur qu'on a comparé à l'Abbé de Saint-Pierre. Il fut proche de Voltaire et des Encyclopédistes. Écrit en 1736, cet ouvrage, rédigé au jour le jour, fait partie de ses Mémoires qui ne seront publiés in extenso qu'au XIXe. On y trouve "des réflexions qu'il avait faites avant d'entrer au Ministère, tantôt d'après ses lectures, tantôt d'après ses conversations. On a précieusement conservé le caractère de franchise, le ton de vérité, l'espèce de naïveté".Cioranescu, XVIII, 8395.Armes non identifiées poussées au XIXe siècle au centre du plat supérieur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Baudouin frères, 1825; in-8, 484-[1] pp., une carte dépliante en début de volume, broché. Qqs rousseurs.
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Paris, Vve Jules Renouard, 1859-1867 9 vol. grand in-8, demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné, tête dorée (reliure de l'époque). Rousseurs, parfois fortes. Qqs frottements au dos mais bon exemplaire.
La meilleure édition de ces importants mémoires.René-Louis de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson (1694-1757), fils du célèbre lieutenant-général de police de Paris sous Louis XIV, fut l'un des hommes d'état les plus éclairés de son temps. Ministre des Affaires Étrangères de 1744 à 1747, il fut le dernier homme d'État français à persévérer dans la politique anti-autrichienne. Ses Considérations sur le gouvernement de la France, publiées de façon posthume, furent lues à l'état de manuscrit par Voltaire, avec lequel il était lié. Ses mémoires sont l'une des meilleures sources qui nous soit parvenue sur la vie politique et littéraire sous le règne de Louis XV, véritable œuvre de philosophie politique.Il n'existe aucune publication de l'ensemble des travaux économiques et politiques du marquis. La présente édition fut faite sur les manuscrits originaux conservés à la Bibliothèque du Louvre (ancienne Bibliothèque du Conseil d'État). En effet, après une édition inutilisable publiée en 1825 en un volume, la Bibliothèque Elzévirienne publia la première "édition complète" bornée à cinq volumes in-12 en 1857-1858. Tout de suite après la Société d'Histoire de France entreprit une grande édition critique, encore partielle, mais incomparablement plus achevée. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Vve Jules Renouard, 1859-1867 9 vol. grand in-8, broché. Rousseurs. Petits manques de papier au dos du tome VIII. Très bon état général.
La meilleure édition de ces importants mémoires.René-Louis de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson (1694-1757), fils du célèbre lieutenant-général de police de Paris sous Louis XIV, fut l'un des hommes d'état les plus éclairés de son temps. Ministre des Affaires Étrangères de 1744 à 1747, il fut le dernier homme d'État français à perséverer dans la politique anti-autrichienne. Ses Considérations sur le gouvernement de la France, publiées de façon posthume, furent lues à l'état de manuscrit par Voltaire, avec lequel il était lié. Ses mémoires sont l'une des meilleures sources qui nous soit parvenue sur la vie politique et littéraire sous le règne de Louis XV, véritable œuvre de philosophie politique.Il n'existe aucune publication de l'ensemble des travaux économiques et politiques du marquis. La présente édition fut faite sur les manuscrits originaux conservés à la Bibliothèque du Louvre (ancienne Bibliothèque du Conseil d'État). En effet, après une édition inutilisable publiée en 1825 en un volume, la Bibliothèque Elzévirienne publia la première "édition complète" bornée à cinq volumes in-12 en 1857-1858. Tout de suite après la Société d'Histoire de France entreprit une grande édition critique, encore partielle, mais incomparablement plus achevée. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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[Baudouin Frères] - ARGENSON, Marquis d' ; (ARGENSON, René d')
Reference : 64407
(1825)
Avec une notice sur la vie et les ouvrages de l'auteur, publiés par René d'Argenson, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-veau blond, dos à 4 nerfs guillochés orné, Collection des Mémoires relatifs à la Révolution Française, Baudouin Frères, Paris, 1825, 2 ff., 484 pp. avec une carte dépliante (partage de l'Italie autrichienne en vertu du Traité de Turin)
Secrétaire d'Etat des Affaires Etrangères de Louis XV de 1744 à 1747, René Louis de Voyer de Paulmy, 2e marquis d'Argenson propose dans ses Mémoires (en fait une nouvelle édition de ses "Essais" parus en 1785) une belle galerie de portraits, pleins de finesse. Etat très satisfaisant (dos passé, petits mq. de cuir en mors et dos, bon état par ailleurs)
1785 Amsterdam, 1785; in-8 de (4) - IV- 410pp. - (1)f.; plein veau marbré de l'époque, dos misse orné en long de larges palettes, titre doré sur étiquette de maroquin rouge, tranches rouges.Ces Essais anonymes sont du Marquis d'Argenson et ont été publiés par son fils, le marquis de Paulmy.
Dos frotté, perte des ors dans la partie inférieure, fente à la charnière du 1er plat sur 10 cm (reliure solide); petits travaux de vers dans la partie supérieure de 20 feuillets (pp. 255 - 303), perte de quelques lettres sans gêne la lecture. Exemplaire très correct. (S2)
P., Vve Jules Renouard, 1859-1867, 9 vol. gr. in-8°, reliures demi-maroquin vert, dos à 5 nerfs filetés, titres et tomaisons dorés, filet à froid sur les plats (rel. de l'époque), rousseurs, bon état. Bel exemplaire
La meilleure édition de ces importants mémoires. René-Louis de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson (1694-1757), fils du célèbre lieutenant-général de police de Paris sous Louis XIV, fut l'un des hommes d'Etat les plus éclairés de son temps. Ministre des Affaires étrangères de 1744 à 1747, il fut le dernier homme d'Etat français à perséverer dans la politique anti-autrichienne. Ses “Considérations sur le gouvernement de la France”, publiés de façon posthume, furent lues à l'état de manuscrit par Voltaire, avec lequel il était lié. Ses mémoires sont l'une des meilleures sources qui nous soit parvenue sur la vie politique et littéraire sous le règne de Louis XV, véritable oeuvre de philosophie politique. Aucune édition intégrale de ces mémoires ne furent publiés : ses notes représentent 56 volumes manuscrits à la bibliothèque du Louvre ! Après une édition inutilisable publiée en 1825 en un volume, la bibliothèque elzévirienne publia la première « édition complète » en 5 volumes in-12 en 1857-1858. Tout de suite après la Société de l'Histoire de France entreprit une grande édition critique, encore partielle, mais la plus achevée qui ait été publiée.
Amsterdam, 1785, 2 vol. in-8°, viii-230 et 231 pp, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin carmin à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titre doré, tête dorée (rel. postérieure), traces de mouillure ancienne sur les 35 premiers feuillets du tome 1, bon état. Edition originale rare
Ouvrage apprécié à l'époque et recherché aujourd'hui pour son contenu regroupant des pensées et anecdotes aussi bien philosophiques que morales et littéraires, composé par René-Louis de Voyer, marquis d'Argenson (1684-1757), ministre des Affaires étrangères sous Louis XV. Le livre « est composé de réflexions qu'il (d'Argenson) avoit faites avant d'entrer dans le Ministère, tantôt d'après ses lectures, tantôt d'après ses conversations avec les gens de son temps, dont la Société lui étoit chère, & dont il croyoit que la fréquentation pouvoit lui être de quelque utilité. Ces pensées, conçues dans le silence du cabinet, sont mêlées de traits & d'anecdotes » (pages v-vj). On y trouve également un intéressant passage sur la collection des livres précieux, l'auteur faisant référence à l'Abbé de Rothelin : « Sa bibliothèque commence à devenir très-considérable; il la montre volontiers & avec faste...» (tome 2, p. 151). L'auteur se montre très critique envers les bibliomanes : « Comme il (Rothelin) parle communément à des gens bien moins savans que lui, on ajoute foi à tout ce qu'il dit, & on le félicite de posséder de si belles choses, qui seront vendues bien cher après sa mort. Quelques gens sensés trouvent qu'il y a du charlatanisme dans cette démonstration, & je suis assez de leur avis... Il est plaisant d'imaginer qu'il pourra venir un temps, où des gens qui ne sauront pas un mot de Latin, mettront un prix exorbitant à des Livres écrits en cette Langue, qui ne seront nullement à leur usage; qu'ils donneront jusqu'à cent pistoles d'un Livre, parce que, sur un Catalogue connu, on l'aura honoré de l'épithete de Livre rare & singulier, & parce que, dans une vente précédente, il aura déjà été porté à un grand prix » (pages 152-154). L'originale de ce texte parut en 1785, imprimée à Paris par Moutard sous la fausse adresse d'Amsterdam et publiée par M. de Paulmy, fils de l'auteur. Le garde des Sceaux, Hue de Miromesnil, avait demandé à ce dernier de n'en faire imprimer qu'un petit nombre d'exemplaires si bien qu'il n'en fut tiré que 250 destinés à la famille et aux amis. La deuxième édition destinée au commerce date de 1787.— Une erreur d'impression a été commise lors de l'édition : le mot Montaigne a été orthographié Montagne !
Paris, Chez P. Jannet, 1857. 5 vol. in-8 de [CXXXVI] 263 + 399 + 388 + 415 + 470 pages, reliure d’éditeur pleine percaline rouge, dos lisses ornés. Tranches poussiéreuses.
Bibliothèque Elzevirienne.
A Amsterdam, Marc Michel Rey, A Amsterdam, Marc Michel Rey1765 ; in-8, basane fauve marbrée, armes dorées sur les plats, dos orné, tranches rouges. (Reliure du XIXe siècle dans un style XVIIIe) VII pp., 312 pp.Ouvrage posthume, publié par le Marquis de Paulmy, le fils de l’auteur. “L’évolution d’Argenson sur la base des principes dont on trouve les prémisses dans cet ouvrage (voir les développements consacrés à Lycurgue) radicalisa sa critique des vices de la propriété individuelle, jusqu’à faire de lui, ainsi que que le conclut Lichtenberger, citant Rathery, “un des grands précurseurs de nos réformes économiques et sociales”. Dans cet ouvrage, d’Argenson cherchait à “établir les principes d’un gouvernement démocratique et municipal. L’édition qui s’introduisait en France était très altérée, le véritable titre étant : Jusqu’où la démocratie peut s’étendre dans un Etat monarchique. On avait dû mettre beaucoup de cartons, et même adouci, le livre était poursuivi” - Belin. Le mouvement philosophique p. 182 - Jammes. Le bûcher bibliographique 481.INED p. 12 “ Sa doctrine économique a de nombreux points communs avec celle des disciples de Quesnay. Si les physiocrates ne reconnurent pas en Argenson un précurseur direct, du moins ils lui adressèrent les mêmes éloges qu’à Gournay”.Barbier 720 se trompe en donnant 1765 comme date de l’originale. Les Considérations ont été publiées pour la première fois en 1764 à Amsterdam chez Marc Michel Rey, le grand éditeur des Lumières. Cette édition de 1765 porte bien son adresse mais il s’agit d’une contrefaçon probablement parisienne. On connaît au moins trois contrefaçons de ce livre célèbre, publiées en 1764 et 1765. Voir Deux siècles de contrefaçon. Dijon, Univ. de Bourgogne et Bibl. municipales, 1987 pp. 26-27Exemplaire relié aux armes et portant l’ex-libris du Comte Balincourt, héritier de la bibliothèque P. Guiraudi (Reinaud et R. de Genas).
Amsterdam, Marc-Michel Rey, 1765 in-12, 272 pp., (6) pp., demi-basane fauve mouchetée, dos à nerfs orné (reliure pastiche).
Un des tirages de la première version, d'abord donnée en 1764. Le terme de "seconde édition" a été utilisé ensuite par le marquis de Paulmy pour la sortie corrigée qu'il donna en 1784. L'ouvrage, lu sous forme manuscrite par Voltaire et Rousseau (et bien d'autres) dès 1739, mais publié seulement après la mort du ministre, forme comme un anti-Montesquieu, dont sont blâmés le refus du "despotisme" et la confiance en la liberté. C'est que le marquis, comme son correspondant Voltaire, incline vers ce système du "despotisme éclairé" qui fut partagé par une grande proportion de l'élite des Lumières, et y sacrifie ce que l'organisation de l'ancienne France lui opposait de privilèges et de franchises locales.Cioranescu, XVIII, 8397. INED, 87 (rend compte de l'édition de 1784). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Liège, Plomteux, 1787 2 tomes en 1 vol. in-8, VIII-230 pp. et 231 pp., demi-veau brun moucheté, dos lisse, filets dorés, tranches jaspées (rel. de l'époque). Bon exemplaire.
Quérard, La France littéraire, p. 86, qui indique qu'il s'agit du même ouvrage intitulé Essais dans le goût de ceux de Montaigne, etc. (Ouvrage refait et publié par le marquis de Paulmy, son fils), paru à Amsterdam en 1785. Mais celui-ci ne fut tiré qu'à 250 exemplaires pour les amis de la famille de l'auteur. Il fut donc réimprimé deux ans plus tard à Liège sous ce titre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Amsterdam, Marc-Michel Rey, 1765 in-12, 272 pp., (6) pp., vélin souple ivoire, tranches marbrées (reliure postérieure). Léger manque de cuir en bas du premier plat, mais bon exemplaire.
Un des tirages de la première version, d'abord donnée en 1764. Le terme de "seconde édition" a été utilisé ensuite par le marquis de Paulmy pour la sortie corrigée qu'il donna en 1784. L'ouvrage, lu sous forme manuscrite par Voltaire et Rousseau (et bien d'autres) dès 1739, mais publié seulement après la mort du ministre, forme comme un anti-Montesquieu, dont sont blâmés le refus du "despotisme" et la confiance en la liberté. C'est que le marquis, comme son correspondant Voltaire, incline vers ce système du "despotisme éclairé" qui fut partagé par une grande proportion de l'élite des Lumières, et y sacrifie ce que l'organisation de l'ancienne France lui opposait de privilèges et de franchises locales.Cioranescu, XVIII, 8397. INED, 87 (rend compte de l'édition de 1784). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Messein, 1926 in-8, 334 pp., demi-chagrin rouge à coins, dos à nerfs, tête dorée, couv. et dos cons. Qqs usures.
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Amsterdam, Marc-Michel Rey, 1765 in-8, VII-312 pp., demi-basane fauve à coins, dos lisse orné (reliure un peu postérieure).
Forme le deuxième tirage de la première version, d'abord donnée en 1764. Le terme de "seconde édition" a été utilisé ensuite par le marquis de Paulmy pour la sortie corrigée qu'il donna en 1784. L'ouvrage, lu sous forme manuscrite par Voltaire et Rousseau (et bien d'autres) dès 1739, mais publié seulement après la mort du ministre, forme comme un anti-Montesquieu, dont sont blâmés le refus du "despotisme" et la confiance en la liberté. C'est que le marquis, comme son correspondant Voltaire, incline vers ce système du "despotisme éclairé" qui fut partagé par une grande proportion de l'élite des Lumières, et y sacrifie ce que l'organisation de l'ancienne France lui opposait de privilèges et de franchises locales.Cioranescu, XVIII, 8397. INED, 87 (rend compte de l'édition de 1784). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Argenson (René Louis de Voyer de Paulmy, marquis d’ ; 1694-1757)]
Reference : 20106
(1787)
Liège, C. Plomteux, 1787 ; 2 tomes in-8, veau fauve moucheté, dos lisse à faux nerfs dorés, fleurons “à la lyre” pièces de titre grenat et de tomaison vert empire (reliure de l’époque) ; VIII, 230 ; [4], 231 pp.
Edition originale sous ce titre, des “Essais” (publiés à Amsterdam en 1785) qui sont un recueil de réflexions, anecdotes, portraits ou commentaires historiques de personnages de son temps ou plus anciens et qui ne manque ni de lucidité, ni de finesse. Le relieur a utilisé plusieurs morceaux de peau, ce qui se voit de temps en temps, il ne fallait pas gaspiller ! Bel exemplaire qui aurait été refait et publié par le marquis de Paulmy, son fils, et tiré à 250 exemplaires pour les amis de la famille puis, republié en 1788 à Bruxelles.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris : Frédéric Henry, 1866 - un volume in-12 (11x16,8cm) demi percaline à la bradel, dos lisse orné du titre et auteur (reliure de l'époque), couverture conservée, 130 pages - bon état - Vicaire I, 83 -
Paris, E. Plon, Nourrit, 1891. 11 x 17, cxxxvi- 418 pages, reliure d'édition pleine percaline rouge, dos : titre et tomaison, et orné du macaron or Elzevier, exemplaire non rogné, bon état (quasi sans rousseurs).
"Publiés d'après les manuscrits conservés à la Bibliothèque Nationale; introduction, notes et index par Paul Cottin."
1891 Paris Librairie Plon E; Plon, Nourrit et Cie Imprimeurs-Editeurs 1891 Bibliothèque Elzevirienne Un volume in°12 reliure éditeur pleine percaline rouge CXXXVI+418 Pages
5 pages de l'intro très jaunies sans gênes pour la lecture Envoi en Mondial Relay pour la France Métropolitaine, l'Allemagne, l'Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et PortugalPour l'étranger, envoi en tarif "livres et brochures" pour les commandes inférieures à 50 , au dessus en colissimo international.
Paris, Librairie E.Plon, Nourrit, 1891. 10 x 17, 418 pp., reliure d'édition percaline rouge, dos orné d'un macaron doré, bon état.
"Publiés d'après les manuscrits conservés à la Bibliothèque Nationale; introduction, notes et index."
Paris, Plon, 1891. 1 vol. in-8 de [CXXXVI] 418 pages, reliure d’éditeur pleine percaline rouge, dos lisse orné. Quelques petites taches à la percaline.
Bibliothèque Elzevirienne.