1877 1877. 1877 broché couverture souple. Etat médiocre livre abimé vendu en l'état pour exemplaire de travail (mouillures sur la moitié de la hauteur de toutes les pages)
Gallimard 2008 96 pages 18 6x0 8x12 2cm. 2008. pocket_book. 96 pages.
Bon état
Gallimard 2008 96 pages 18 6x0 8x12 2cm. 2008. pocket_book. 96 pages.
Bon état
Marane 2006 61 pages in8. 2006. Relié. 61 pages.
Légères marques plis de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état. envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulles depuis France
Calmann Levy 1880 1880.
Reliure demi-cuir (couverture souple conservée). 11ème éd° de 1880. Pages avec rousseurs sinon restant en bon état. Livre relié couverture cartonnée. En stock. Vendeur PRO Français. Expédition rapide et soignée sous enveloppe cartonnée ou à bulles
Paris, Calmann-Lévy, 1902. Édition originale des œuvres complètes (théâtre, opérettes, opéra-bouffe) d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy. Huit volumes in-12 de 12,5 x 18,5 cm pour 383 + 386 + 402 + 404 + 412 + 493 + 474 + 468 pp. Relié demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs, nom d'auteur et titre en caractères d'imprimerie dorés séparés d'un trait doré, tomaison en doré. Tranches supérieures dorées. Plats marbrés à motifs foncés tournoyants, gardes colorées marbrées d'un motif camaïeu clair. Couvertures conservées. Tranchefile. "Avec Ludovic Halévy, rencontré en 1860, Henri Meilhac entame une collaboration de près de vingt ans et donne les livrets des plus célèbres opérettes de Jacques Offenbach dont La Belle Hélène (1864), La Vie parisienne (1866), La Grande-duchesse de Gérolstein (1867) et La Périchole (1868) ainsi que le Carmen de Georges Bizet (1875). Le duo compose aussi des vaudevilles et des comédies : Les Brebis de Panurge (1863), Fanny Lear (1868), Frou-Frou (1869), Tricoche et Cacolet (1872), Le Prince (1876), La Cigale (1877), Le Mari de la débutante (1879). Des deux duettistes, Henri Meilhac apporte en propre sa fantaisie, confinant parfois à la loufoquerie. Gagnant beaucoup d'argent, il en dépense également beaucoup, cherchant l'inspiration dans les grands restaurants, les cigares et le champagne. Meilhac et Halévy fréquentent le salon littéraire de Geneviève Halévy ou se rencontrent aussi Lucien Guitry, Paul Bourget ou Joseph Reinach, entre autres."
Quelques frottements aux dos, en haut et en bas des charnières et aux coins. Papier sable clair à blanc cassé, quelques rousseurs. Globalement en bon état. Collection complète et élégante.
P., Calmann-Lévy, 1935, 2 vol. in-12, 230 et 224 pp, reliures bradel papier crème, dos lisses, pièces de titre basane vermillon, couv. illustrées conservées (un portrait de L. Halévy d'après un dessin de Paul Renouard au tome I, une vignette d'Edmond Morin au tome II), bel état. Edition originale, le tome I est un des 320 exemplaires numérotés sur vélin du Marais (seul grand papier), enrichi d'un envoi a.s. de Daniel Halévy, le tome II est sur papier courant
"Ludovic Halévy est un homme séduisant, il écrit avec agrément, il approche de grands personnages : Morny, Gambetta, il connaît les coulisses du théâtre et moins bien celles de la politique, il fréquente le grand monde mais il est plus qu'un homme du monde ; son fils Daniel l'a fait revivre en publiant presque intégralement ses Carnets. Ludovic Halévy était le demi-frère de Prévost-Paradol et la carrière tragique de Prévost-Paradol tient une place considérable dans le second des Carnets. Vraisemblablement le suicide de Prévost-Paradol a contribué à éloigner Ludovic des prises de position politiques. De là sa faiblesse et aussi son charme : il n'a voulu être qu'un témoin de son temps. La politique était un jeu trop cruel." (Pierre Guiral) — "Rédigés sous la forme d'un journal, ces carnets concernent essentiellement la société littéraire et artistique de l'époque. Excellent témoignage." (Bourachot, 201)
Paris, Brandus et Cie., Troupenas et Cie., 1849. 1 feuillet. 323 pages. (28x18,5 Cm). Cartonnage imprimé de l'éditeur. Fromental Halevy est principalement connu pour ses opéras et opérettes. Né à Paris, Halévy a étudié le piano et la composition avec les musiciens les plus renommés de l'époque, dont Étienne Nicolas Méhul et Luigi Cherubini. Fromental a été un mélodiste très abondant, parfois inspiré, souvent sincère jusqu'à la naïveté. La première de l'opéra 'Le Val d'Andorre' eut lieu le 11 novembre 1848 à l'Opéra-Comique à Paris. Presque complètement oublié de nos jours, il fut l'une des plus grandes réussites d'Halévy : il y'en eut 165 représentations, et le théâtre redressa sa situation financière, qui était alors précaire. Le critique de la Revue et gazette musicale de Paris écrivit que l'œuvre était le succès total le plus brillant qu'ait jamais connu l'Opéra-Comique.