[BOURBON-CONDE Louise-Anne de] & SADE Donatien Alphonse François, Marquis de & SADE Jean-Baptiste-François-Joseph, comte de
Reference : 59468
(1758)
Paris dimanche 2 avril 1758, 13,4x19,2cm et 11,7x17,8cm, 2 feuillets.
Testament de Louise-Anne de Bourbon-Condé dite Mademoiselle de Charolais, recopié de la main de Jean-Baptiste-François-Joseph, comte de Sade (et père du Marquis), dans lequel cette dernière fait de son neveu, Louis-François Joseph de Bourbon, prince de Conti, son légataire universel. Une seconde partie concerne les legs aux gens de livrée, aux femmes et valets de chambre, à la femme de garde-robe, etc. Note de bas de page de la main du Marquis de Sade : « dite Mademoiselle de Charolais ». On y joint un billet de notes, rédigé de la main de Sade, en vue de la publication de la correspondance de son père. Ce testament a été rédigé cinq jours avant la mort de Mademoiselle de Charolais, dont le décès survint le vendredi 7 avril 1758 à la suite de trois mois de maladie. La seconde partie du testament est datée du dimanche 2 avril 1758, sur la première est mentionnée la date du dimanche 12 avril 1758 : il s'agit bien sûr d'une date fautive. La totalité de cette copie a été rédigée de la main du Comte de Sade qui vécut avec Mademoiselle de Charolais à son château d'Athis-Mons à partir de 1750 jusqu'à la mort de cette dernière. Le jeune Comte de Sade, envoyé par son père à Paris aux alentours de 1720, eut pour protecteur Louis-Henri de Bourbon, Prince de Condé, dit Monsieur le Duc. Dès son arrivée, le jeune homme apprécie la vie de cour et « Chose rare, il plaît aux femmes sans se faire haïr des hommes : d'où le nombre de ses amis, au moins aussi élevé que celui de ses maîtresses. [...] M. de Sade ne se contente pas de conquêtes faciles ; les bourgeoises l'indiffèrent. Celles qu'il recherche - et conquiert le plus souvent - sont des femmes de cour, non seulement pourvues d'esprit et de beauté, mais parées encore d'un nom illustre, de crédit, d'influence ou de fortune, capables en un mot de servir ses intérêts et de le mettre bien en cour. » (Lever, Sade). Parmi son tableau de chasse figure Mademoiselle de Charolais, de sept ans son aînée, soeur de son protecteur et alors maîtresse royale. Peu désireuse de se marier, elle préférera toute sa vie conserver le célibat et multipliera les aventures et les amants prestigieux. Elle fut notamment la favorite du Duc de Richelieu, mais aussi de Louis XV pour lequel elle recrutait de nombreuses maîtresses, écopant ainsi du sobriquet de « maquerelle royale ». La rencontre charnelle entre Mademoiselle de Charolais et le Comte de Sade eut lieu le 24 novembre 1725 alors que ce dernier était contraint de garder le lit à cause d'une entorse. Une lettre de Louise-Anne atteste de cette aventure naissante : « Le 24 novembre est le plus beau jour de ma vie si je suis rentrée en possession de mon royaume et de ma souveraineté, par les droits du lit où je vous ai prêté serment de fidélité. Je compte y avoir reçu le vôtre et je vis maintenant pour le plus joli roi du monde. » (Papiers de famille, p.20). La passion n'est pourtant pas réciproque et le volage Comte de Sade fait bientôt la rencontre de la Duchesse de la Trémoïlle. S'éloignant ainsi de Mademoiselle de Charolais, il lui écrit en guise de rupture : « J'ai regardé, Madame, les avances que vous m'avez faites, comme des agacements de votre esprit et point de votre coeur. Je n'avais point l'honneur de vous connaître, je ne vous devais rien, une entorse m'obligeait de garder ma chambre, j'y étais désoeuvré, vos lettres étaient jolies, elles m'amusaient, je me suis flatté s'il était vrai que j'eus fait votre conquête, que vous me guérissiez d'une passion malheureuse qui m'occupe uniquement. » (op. cit. p.23). En 1752, le Comte de Sade est ruiné par son train de vie, il a envoyé le jeune Donatien au collège Louis-le-Grand et loge chez sa bonne amie Mademoiselle de Charolais au château d'Athis-Mons : « Je me suis retiré chez Mademoiselle, quoiqu'il soit cruel à mon âge de dépendre de quelqu'un, pour diminuer ma dépense. » (Lettre du Comte de Sade à son oncle le prévôt de L'Isle-sur-Sorgue, 11 novembres 1752). Il demeurera chez son amie, l'accompagnant dans ses nombreux déplacements à travers l'Europe, jusqu'au décès de celle-ci. La correspondance entre le Comte de Sade et Mademoiselle de Charolais perdura, comme en attestent les lettres consignées par le Marquis de Sade qui, avec une grande piété, joua un rôle important de conservateur dans le but de publier un jour les oeuvres paternelles. Ce testament de la main du Comte de Sade a été conservé dans cet esprit. Le Marquis, admiratif de l'histoire de son père, conservera toute sa vie le portrait en habit de cordelier que Mademoiselle de Charolais avait offert au Comte de Sade et l'accrochera dans sa chambre à Charenton. Rare témoignage de la grande amitié du Comte de Sade et de Mademoiselle de Charolais, précieusement conservé par le Marquis de Sade. Provenance : archives de la famille. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[finances du Marquis de Sade et de sa tante] Bruno-Marie de Foresta (1735-1818), receveur de l'ordre de Malte à Marseille ; Léon de Malvin de Montazet (1724-ap.1807), commandeur de l'ordre de Malte à Toulouse.
Reference : 013600
[finances du Marquis de Sade et de sa tante] Bruno-Marie de Foresta (1735-1818), receveur de l'ordre de Malte à Marseille ; Léon de Malvin de Montazet (1724-ap.1807), commandeur de l'ordre de Malte à Toulouse. L.S. de Foresta & L.S. de Montazet, Marseille 27 octobre 1789 & Toulouse, 13 mai 1790, 5p in-4. Deux intéressantes lettres à Henriette-Victorine de Sade (1715-?), comtesse de Villeneuve, soeur de Richard-Jean-Louis de Sade (1703-1789), bailli, ordre de Malte, grand prieur de Toulouse et tante du fameux marquis de Sade. Lettre de Foresta : « Madame la Comtesse, M. Le Commandeur de Montazet a jugé à propos de me charger de toutes les affaires de la dépouille de feu M. Le Bailli votre frère, qui sont pour le ressort de ma recette, ce qui m'oblige, madame, de vous demander de vouloir bien ordonner la réintégration pour la maison de St Cloud, des meubles et de tous les effets qui y ont été enlevés, cette réintégration est d'une absolue nécessité, soit pour la consécration des droits de mon ordre sur les dépouilles de ses religieux, soit pour la rigueur de mes procédures, car il est bien douteux, madame, que nous puissions nous dispenser de ne pas abandonner la dépouille de M. Le Bailly de Sade à ses créanciers La réintégration faite, je pourrai faire continuer librement mes procédures ; vous aurez la bonté aussi de m'établir un mémoire des effets réintégrés, et que M. Le Bailly votre frère a réellement tirés du château de M. son neveu pour meubler sa maison de St Cloud appartenant ainsi à M. son neveu que vous voudrez bien me certifier, je le ferai passer à nos supérieurs avec votre réclamation sur laquelle ils statueront et me donneront leurs ordres pour régler ma conduite. En attendant, les effets redonnés resteront en dépôt à la maison de St Cloud, et je ne ferai procéder qu'à la vente des effets restants non réclamés. Je suis avec respect, madame la Comtesse, votre très humble et très obéissant serviteur. Le chev. de Foresta ». Le sens de « dépouille » employé ici est la succession, les biens du défunt, et non son corps. « Je viens, madame la Comtesse, de recevoir de Mrs de la Vénérable Chambre, la réponse à la lettre que j'ai l'honneur de leur écrire dans le temps pour les prévenir de l'argenterie que vous réclamiez de la dépouille de Mr le Grand prieur sur le récépissé dont vous m'aviez fait passer copie, je m'empresse à vous apprendre, Madame, que rien n'en retardera désormais la remise, je n'ai pu me soustraire aux formes mais maintenant qu'elles sont remplies, je suis prêt à remettre sur votre ordre et la représentation de Mr le Bailli de Sade les effets dont il donne le dénombrement. Prévenu, madame la Comtesse, que vous avez fait un démeublement de la maison de St Cloud qu'habitait Mr votre frère, j'imagine que vous voudrez faire réintégrer les meubles déplacés, conformément à l'inventaire qui m'a été fait puisque vous m'oteriez sans cela la liberté de pouvoir conclure avec vous le traité de paix dont j'ai confié la négociation à Mr le Commandeur de Foresta, comme plus à portée que moi de prendre vos ordres et de se concerter avec vous, Madame la Comtesse, sur tout ce qui peut concilier les devoirs de ma place avec vos désirs. J'ai l'honneur d'être avec respect, Madame la comtesse, votre très humble et très obéissant serviteur. Le commandeur de Montazet ». La correspondance inédite du marquis de Sade nous apprend de nombreux détails (Paris, Librairie de France, 1929. p.240-254 pour l'année 1789, p.255-277 pour 1790). En effet, le 2 août 1789, la comtesse de Villeneuve apprend que sont frère a eu une attaque d'apoplexie. Elle se hâte alors de faire déménager des meubles du château de Saint Cloud au château de Mazan, où habite son neveu, le divin marquis. Ripert fils précise que la comtesse fit mettre dans deux charrettes « ce qui lui parut le plus de valeur ». Le 20 septembre 1789, le grand prieur de Sade meurt et sa soeur fait main basse sur le reste du m
( Erotisme - Cinéma ) - Donatien Alphonse François Marquis de Sade - Claude Pierson - Huguette Boisvert - Alice Arno.
Reference : 27071
(1973)
Editions Internationales Prodiscor-France 1973. In-8 broché de 300 pages au format 21,5 x 15,5 cm. Couverture avec photo érotique extraite du film éponyme, réalisé par Claude Pierson, avec Alice Arno dans le rôle de Justine. Dos resté carré. Plats et intérieur parfaits. En début d'ouvrage on trouve la présentation des acteurs, scénariste et metteur en scène, une préface de ce dernier, les avis sur le film de Dominique Aury, Christian Bourgois, Jean Lescure, Gilbert Lely, Sergio Léone, Jean-Jacques Pauvert, etc. Présentation de Donatien Alphonse François Marquis de Sade, suivie d'une bibliographie, et des avis d'André Breton, Georges Bataille, Jean Paulhan, Paul Eluard. Magnifique roman-film écrit par Huguette Boisvert d'après Sade, et mis en scène par Claude Pierson, accompagné de très nombreuses photos érotiques et sado-masochistes, extraites du film. Très rare édition originale, surtout dans un tel état de fraicheur, proche du neuf.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Éditions du Globe, Paris, 1947 1 volume in-4 (24 x 19,5 cm), en feuilles, sous couverture imprimée. 324-(1) pages. 21 illustrations hors-texte en noir et 35 lettrines en noir par Lilian Gourari. Emboîtage de l'éditeur. Très bon état. Le dos de la couverture est légèrement insolé. TIRAGE A 300 EXEMPLAIRES. CELUI-CI 1 DES 244 EXEMPLAIRES SUR VÉLIN TEINTÉ AVEC L’ÉTAT DÉFINITIF DES ILLUSTRATIONS. Il a été tiré en sus quelques exemplaires réservés aux collaborateurs. Les Infortunes de la vertu est un conte philosophique du marquis de Sade, écrit en 1787. L'ouvrage est écrit entre le 23 juin et le 8 juillet 1787, alors que Sade est emprisonné dans la tour de la Liberté à la Bastille. Justine ou les Malheurs de la vertu, publiée en 1791, est la seconde version de cette histoire, qui sera elle-même suivie d'une troisième version, La Nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu, publiée en 1799. Le prénom de l'héroïne, Justine, est celui qui avait été donné à Catherine Trillet, domestique au château de La Coste en 1776. Le manuscrit des Infortunes de la vertu a été mis au jour en 1909 par Guillaume Apollinaire et a été publié pour la première fois en 1930 "L’ordre fut presque aussitôt exécuté que donné, on me mit un mouchoir sur la bouche, on me fit embrasser étroitement l’arbre, et on m’y garrotta par les épaules et par les jambes, laissant le reste du corps sans liens, pour que rien ne pût le garantir des coups qu’il allait recevoir. Le marquis, étonnamment agité, s’empara d’un nerf de boeuf ; avant de frapper, le cruel voulut observer ma contenance ; on eût dit qu’il repaissait ses yeux et de mes larmes et des caractères de douleur ou d’effroi qui s’imprégnaient sur ma physionomie... Alors il passa derrière moi à environ trois pieds de distance et je me sentis à l’instant frappée de toutes les forces qu’il était possible d’y mettre, depuis le milieu du dos jusqu’au gras des jambes. Mon bourreau s’arrêta une minute, il toucha brutalement de ses mains toutes les parties qu’il venait de meurtrir... Je ne sais ce qu’il dit bas à un de ses satellites, mais dans l’instant on me couvrit la tête d’un mouchoir qui ne me laissa plus le pouvoir d’observer aucun de leurs mouvements, il s’en fit pourtant plusieurs derrière moi avant la reprise des nouvelles scènes sanglantes où j’étais encore destinée. Oui bien, c’est cela , dit le marquis avant de refrapper, et à peine cette parole où je ne comprenais rien fut- elle prononcée, que les coups commencèrent avec plus de violence ; il se fit encore une suspension, les mains se reportèrent une seconde fois sur les parties lacérées, on se parla bas encore... Un des jeunes gens dit haut : Ne suis-je pas mieux ainsi ? ... et ces nouvelles paroles également incompréhensibles pour moi, auxquelles le marquis répondit seulement : Plus près, plus près , furent suivies d’une troisième attaque encore plus vive que les autres, et pendant laquelle Bressac dit à deux ou trois reprises consécutives ces mots, enlacés de jurements affreux : Allez donc, allez donc tous les deux, ne voyez-vous pas bien que je veux la faire mourir de ma main sur la place ? Ces mots prononcés par des gradations toujours plus fortes terminèrent cette insigne boucherie, on se parla encore quelques minutes bas, j’entendis de nouveaux mouvements, et je sentis mes liens se détacher. Alors mon sang dont je vois le gazon couvert m’apprit l’état dans lequel je devais être ; le marquis était seul, ses aides avaient disparu... – Eh bien, catin, me dit-il en m’observant avec cette espèce de dégoût qui suit le délire des passions, trouves-tu que la vertu te coûte un peu cher, et deux mille écus de pension ne valaient-ils pas bien cent coups de nerf de bœuf ?..." (extrait) L'illustration profuse par Lilian Gourari sert parfaitement le texte du divin marquis. Les compositions, très fouillées, ne sont pas toutes libres, mais de l'ensemble des scènes mises en images se dégage une ambiance indéniablement Sadienne. L’œuvre graphique de Lilian Gourari reste difficile à historier. A bien chercher, on ne trouve d'ailleurs que cet ouvrage dans sa bibliographie d'illustrateur de l'après-guerre. Qui pouvait bien être Lilian Gourari ? Nous n'en savons strictement rien. Le néant de son parcours d'artiste-illustrateur d'un unique livre pourrait laisser supposer un pseudonyme cachant le nom d'un artiste renommé. Illustrer le marquis de Sade en 1945-1947 n'est sans doute pas encore chose facile à avouer publiquement. Son trait est fin et assuré. Il reste à identifier celui qui se cache derrière ce nom. Les gravures, qui semblent être des lithographies reproduites par la photogravure, sont toutes datées dans la planche "L. GOURARI 45" (1945). BEL EXEMPLAIRE, TEL QUE PARU. Photos sur demande
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Un ouvrage de 1352 pages, format 135 x 220 mm, relié simili cuir, publié en 1973, Editions Tête de Feuilles, bon état
Tome Premier et Deuxième : Vie du Marquis de Sade, avec examen de ses ouvrages. Nouvelle édition revue et corrigée et en maints endroits refondue. Postface d'Yves Bonnefoy
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( Donatien Alphonse François Marquis de Sade ) - Gonzague Saint Bris.
Reference : 6477
(2013)
Editions Télémaque 2013. In-8 broché de 264 pages au format 23,5 x 15 cm. Couverture illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais. Illustration érotique, en noir, extraite d'un ouvrage d'époque du Marquis de Sade, située en frontispice. Bibliographie de l'auteur avec photographie de ce dernier. Etat superbe, proche du neuf. Edition originale. Précieux exemplaire enrichi d'une superbe et affectueuse dédicace autographe, pleine page, signée de Gonzague Saint Bris à René de Obaldia. Provenance idéale.
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Editions Complexe 1987 1987. Jean Paulhan: Le Marquis de Sade et sa complice/ Editions Complexe 1987 . Jean Paulhan: Le Marquis de Sade et sa complice/ Editions Complexe 1987
Bon état
( Erotisme ) - Donatien Alphonse François Marquis de Sade - Jean Paulhan - Maurice Heine - Robert Valençay.
Reference : 11480
(1954)
Paris, Le Editions du Point du Jour, Collection Incidences n° 3 de 1946. In-8 broché de 242 pages au format 14 x 19,5 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé en rouge. Dos resté légèrement insolé. Plats et intérieur frais, malgré une minuscule déchirure en page de garde. Le signet de numérotation à un peu bruni le mors intérieur du justificatif de tirage et de la page de titre. Exemplaire non coupé. Edition originale en très bel état général. Un des 20 exemplaires nominatifs, hors commerce du tirage de tête, numéroté sur vergé teinté. Celui-ci imprimé spécialement pour René Laporte, avec amicale dédicace, autographe, signée, de Jean Paulhan. Belle provenance de la bibliothèque de René Laporte, écrivain, poète, et journaliste français, lauréat du prix Interallié en 1936.
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Grasset, Paris, 1933, In-8° (13,5 x 20,8 cm), 252 pages. Traduit de l'allemand par Pierre Klossowski. Édition originale tirée sur Alfa Navarre (tirage non précisé), ici en S.P., enrichie d'un envoi signé du traducteur avec une mention de correction. Rare envoi de Pierre KLossowski sur ce titre, exemplaire en bon état. Joint des coupures de presse sur Sade glissées en début de volume.
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Un ouvrage de 1085 pages, format 135 x 220 mm, relié simili cuir, publié en 1973, Editions Tête de Feuilles, bon état
Tome Onzième et Douzième : La Marquise de Gange, précédée des Opuscules politiques et d'Oxtiern ou les malheurs du libertinage ; Correspondance (1759-1814) Préfaces de Pierre Naville, Camille Schuwer, Gaêtan Picon et Gilbert Lely
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Un ouvrage de 892 pages, format 135 x 220 mm, relié simili cuir, publié en 1973, Editions Tête de Feuilles, bon état
Tome Cinquième et Sixième : Aline et Valcour ou le roman philosophique ; La Nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu ; L'histoire de Juliette, sa soeur, ou les prospérités du vice Préfaces de Jean Fabre, Maurice Blanchot, Georges Bataille, Pierre Klossowski et Maurice Heine
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Un ouvrage de 1041 pages, format 135 x 220 mm, relié simili cuir, publié en 1973, Editions Tête de Feuilles, bon état
Tome Septième et Huitième : La Nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu ; L'histoire de Juliette, sa soeur, ou les prospérités du vice Préfaces de Jean Fabre, Maurice Blanchot, Georges Bataille, Pierre Klossowski et Maurice Heine
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Un ouvrage de 992 pages, format 135 x 220 mm, relié simili cuir, publié en 1973, Editions Tête de Feuilles, bon état
Tome Troisième et Quatrième : Justine ou les malheurs de la vertu ; La philosophie dans le boudoir ; Aline et Valcour ou le Roman philosophique Préfaces du Dr A. Hesnard, de Pierre Klossowski et de Maurice Heine ; Postface de Jacques Lacan
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Editions de la différence, 1977. In-8° broché de 278 pages. Etat d'usage.
Textes rares et précieux réunis et présentés par Gilbert Lély.
[Clavel (Philippe)] - Marquis de SADE / Philippe CLAVELL et Francis LEROI
Reference : AMO-67
(1979)
Editions Dominique Leroy, Paris, [3e trimestre 1979] 1 volume in-plano (41,5 x 32 cm), 115 pages, bande dessinée, illustrations en noir et en rouge (pour les derniers feuillets). Cartonnage bradel toile rouge avec titre doré sur le premier plat (reliure éditeur). Excellent état. Belle impression de luxe sur papier vergé blanc. Bien complet de la planche originale sur Arches signée et numérotée par Philippe Clavell. TIRAGE A 500 EXEMPLAIRES. CELUI-CI, UN DES 470 SUR FLORENTINA ALBÂTRE. Une illustration moderne très forte, adaptation époustouflante en bande dessinée de la célèbre Juliette du marquis de Sade par Francis Leroi et l'artiste Philippe Clavell. Le roman a été publié originellement en 1796. "Juliette, ou la Suite de Justine, parut en 1796. Des atrocités, des infamies devant lesquelles l'auteur avait reculé d'abord, lui paraissaient choses tout-à-fait louables ; les maximes de perversité, de scélérature, qu'il avait placées dans la bouche de ses personnages, lui semblaient si judicieuses qu'il regrettait de s'être montré si pusillanime. Pour réparer cette faute, il donna dans "Juliette" libre carrière à son imagination, que ne gênait plus aucun des misérables scrupules auxquels il avait obéi." "Oh ! ma bonne, ma chère bonne, me dit Olympe en baisant ma bouche avec ardeur, tu es bien putain, je t'adore ; voilà comme il faudrait que fussent toutes les femmes. Qu'elles sont imbéciles celles qui ne sacrifient pas tout à leurs plaisirs : Ah ! qu'elles sont stupides celles qui peuvent avoir d'autres dieux que Vénus ... d'autres moeurs que celles de se prostituer sans cesse à tous les sexes, à tous les âges, à toutes les créatures vivantes. Oh ! Juliette, la plus puissante des lois de mon coeur est le putanisme ; je ne respire que pour répandre du foutre ; je ne connais ni d'autres besoins, ni d'autres plaisirs. (...)" Extrait de Juliette. SUPERBE EXEMPLAIRE A L'ETAT PROCHE DU NEUF DE CET IMMENSE VOLUME, ET PAR LE FORMAT, ET PAR LA PUISSANCE DE L'ILLUSTRATION SADIENNE.
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Paris : Georges Visat, 1968. Un volume in-folio (376 x 285 mm) en feuilles, couverture rempliée de l'éditeur avec titre estampé en relief, chemise titrée, étui (dos de la chemise et étui insolés comme presque toujours). Célèbre suite de 10 GRAVURES ORIGINALES DE HANS BELLMER EN DEUX COULEURS, TOUTES SIGNÉES AU CRAYON PAR L'ARTISTE. - Édition : Un des 150 exemplaires sur vélin d’Arches numérotés en chiffres arabes, celui-ci le n°19. - Description : bel exemplaire sur Arches, avec dix gravures originales signées de Bellmer. Cet ouvrage est une nouvelle manière pour Bellmer de donner corps à sa fascination pour le « Divin marquis » : la justification indique en effet que « les titres du marquis de Sade ont inspiré Hans Bellmer pour la gravure des dix cuivres de 1966 à 1968 ». - Arches wove copy, comprising 10 original bicolour etchings by Bellmer, all signed by the artist. The artist was inspired by titles of works by the Marquis de Sade.
L'ouvrage en parfait état de conservation. L'étui est insolé comme généralement. Rare.
SADE ..//.. Donatien Alphonse François de Sade, dit le marquis de Sade (1740-1814).
Reference : 3898
(1967)
Paris, Le Cercle des Bibliophiles Européens, 1967, 1 volume, in-12 étroit, relié, 229 p.. Cinquième volume de la collection "Les petits maîtres galants", 36 illustrations en couleur de Yves Yorel. Reliure éditeur, plein skivertex orangé, tête dorée.
Exemplaire du tirage ordinaire. Superbe exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Arcanes, coll. Humour noir, 1953, in 8° (14 x 19 cm), 106 pages. (publié sous la direction d'Eric Losfeld). Couverture illustrée du portrait de Sade par Man Ray, deux hors-textes. Édition originale tirée à 1000 exemplaires, ici, un des 950 ex. numérotés sur Offset Libert. Exemplaire de toute fraîcheur en excellent état. En 1952, Éric Losfeld créa sa première maison d'édition, les éditions Arcanes, en référence à Arcane 17 d'André Breton.
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Paris, s.d. 1). 63 pages. 2). 62 pages. 1 feuillet. 3). 59 pages. 2 feuillets. 4). 64 pages. Broché. Couverture de l'éditeur illustrée en couleur. Déchirures sur le dos. Couverture un peu brunie. Papier bruni. Quelques taches.
Éditions Gallimard, Paris, 1952, (14,5 x 21 cm), 538 pages. Édition originale, fort volume en très bon état.
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"Gallimard. 1970. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 183 pages - déchirure sur la page ""achevé d'imprimer"", annotations au crayon à papier au dos - petite annotation sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires"
Collection idées n°221 - Suivis en appendice d'une notice sur l'hospice de Charenton par Hippolyte de Colins - Publiés pour la première fois sur les manuscrits autographes inédits avec une préface de Georges Daumas. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Le Pavillon - Roger Maria Editeur Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1972 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur In-8 1 vol. - 235 pages
coin du plat inférieur un peu frotté, sinon bon état, intérieur frais
( Erotisme - Dossiers de Presse Cinéma ) - Walerian Borowczyk - André Pieyre de Mandiargues - René Micha - Robert Benayoun - Paloma Picasso - Marquis de Sade.
Reference : 1427
(1974)
Editions Argos Film 1974. In-8 agrafé de 36 pages au format 18 x 27 cm. Couvertures photos extraites du film éponyme. Préface de André Pieyre de Mandiargues. Contient les synopsis des 4 contes composant le film - 1 : La Marée - 2 : Thérèse Philosophe d'après le Marquis de Sade - 3 : Erzsebet Bathory - 4 : Lucrezia Borgia. Scénarios et réalisation Walerian Borowczyk, aidé par André Pieyre de Mandiargues pour l'adaptation de sa nouvelle " La Marée ". Textes de René Micha et Robert Benayoun. Dossier consacré au cinéaste, avec interview, biographie et filmographie. Fiche technique. Etat superbe, proche du parfait. Rare édition originale, enrichie de 4 photos de tournage, en noir et blanc, en tirage argentique, au format 12 x 17,5 cm, dont 2 avec cachet au verso et fiche technique, ainsi que d'un article extrait de la revue " Lui ".
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S.E.D.I.E.P. Broché D'occasion bon état 01/01/1968 220 pages
Edition 10/18 N°0239/240/241 Broché D'occasion bon état 01/01/1965 150 pages