1968 1968. Jean-Louis Curtis: La quarantaine/ Le Club de la Femme 1968 . Jean-Louis Curtis: La quarantaine/ Le Club de la Femme 1968
Très bon état
Editions Rombaldi 1971 1971. Jean-Louis Curtis: La Parade/ Le Club de la Femme Rombaldi 1971 . Jean-Louis Curtis: La Parade/ Le Club de la Femme Rombaldi 1971
Très bon état
Éditions J'ai lu 1968 1968. Jean-Louis Curtis - La Parade / J'ai Lu 1968
Etat correct
Editions Flammarion 1990 1990. Jean-Louis Curtis: Le temple de l'Amour / Flammarion 1990
Bon état
1974 1974. Jean-Louis Curtis: Les jeunes hommes / J'ai lu 1974 . bon état
Bon état
Éditions J'ai lu Sans date. Jean-Louis Curtis - L'échelle de soie - J'ai Lu
Très bon état
Sans date. Livre en très bon état d'usage. Livre relié couverture cartonnée
J'Ai Lu 1981 13x2 4x16 4cm. 1981. Broché.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
Stock In-8°, broché, couverture rempliée ill ( plat Gallimard déchiré..?), 164 pages, exemplaire enrichi d'un envoi autographe de Curtis.Un peu fané en la pagination, plats frais et beaux.
Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
VIEILLES MAISONS FRANCAISES. AVR-MAI 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 139 pages. Nombreuses photos en couleur et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 720-Architecture
Sommaire : ÉDITORIAL,par Georges de Grandmaison.INTRODUCTION,par Jean-Louis Curtis.CAPITALE BORDEAUX, par Jacques Chaban-Delmas.DEMEURES LE LONG DE L'EAU,par Olivier Schiltz.LE CHARME DES CHARTREUSES,par Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud.LE CHÂTEAU ET LES RAISINS,L’exemple de Barsac-Sauternes, par Philippe Maffre.LE SIÈCLE D'OR DE BORDEAUX, par Christian Taillard. TROIS PETITS COINS DE PARADIS,par Emmanuel Payen.DEMEURES DU VIC-BILH,par Philippe Araguas.LA MAISON DANS L'AIRIAL, par François Moniot. RIVAGES,par Jean-Claude Lasserre.UN ARCHITECTE, DES VILLAS, DES CLIENTS, par Maurice Culot.A VOIR EN AQUITAINE CARTE BIBLIOGRAPHIE MANIFESTATIONS CULTURELLESACTUALITÉBloc-notes.SPÉCIAL PARISL’histoire de l’hôtel de la Marine,par Richard Flahaut.PARCS ET JARDINSParfums de roses, par Henri Delbard.SAUVEGARDER L’abbaye d’Hambye revit, par Pierre de Lagarde.LIRELu pour nous, par Éric Ollivier.Sélection V.M.F.S'INFORMERPatrimoine.Expositions.FISCALITÉLa révision foncière cadastrale.V.M.F. en bref. Assemblée générale. Friends of V.M.F. Liste des délégués. Activités départementales. Carnet. Annonces. Mots croisés. Classification Dewey : 720-Architecture
Julliard, Paris 1966, 14x20cm, broché.
Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers. Bel exemplaire. Bel envoi autographe signé de Jean-Louis Curtis à Joseph Breitbach "A mon cher Joseph, pour qui (et il le prouve à chaque instant) l'âge n'a pas de sens , avec mon amical souvenir, Jean-Louis Curtis. (Je t'avais adressé naturellement, un exemplaire de l'édition courante à ton adresse de Paris. L'as-tu reçu ?" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, René Julliard, Sequana, 15 décelbre 1947. Un volume In-8, broché, couverture à rabats, 382 pp.
Édition originale. Tirage à 200 exemplaires sur chiffon d'Annonay, seul tirage en grand papier avec quelques exemplaires d'auteur. N° 7. * Curtis raconte dans cet excellent roman (Prix Goncourt 1947) la vie pendant la guerre 39-45 dans une petite ville sur le Gave de Pau, et l'épineuse question de la Résistance et de la collaboration. La Résistance : y entrer ou pas, et à quel prix ? le très jeune Francis n'hésite pas : il s'engage. Hélène, sa soeur, jeune femme fragile, tombe éperdument amoureuse d'un sale type, Philippe (sorte de Lacombe Lucien, avant l'heure, de Louis Malle) qui lui est embauché par la Gestapo. Jacques, qui se prétend au-dessus de tout ça, récupère un parachutiste anglais sur une route perdue. S'engager ou pas ? Aimer à en perdre son âme... Les destins se croisent, les tragédies ont lieu. Curtis n'hésite pas aussi à peindre les horreurs et les injustices de la Libération. Curtis est un romancier observateur de son temps. Comment a-t-on pu "effacer" cet observateur remarquable des évolutions de notre temps ? Il a peint avec justesse et acuité notre seconde moitié du XXè siècle. Très injustement oublié aujourd'hui, Michel Houellebecq a essayé récemment de le rappeler à notre mémoire littéraire (La carte et le territoire, p 168-169). Photos sur demande.
MONDOR (Henri) - GANNE (Gilbert) - BORY (Jean-Louis) - MAURON (Marie) - STERNBERG (Jacques) - CURTIS (Jean-Louis) - LAURENT (Jacques) - PARINAUD (André) - collectif - ARTS (revue) -
Reference : 34431
Paris : Arts, 1959 - journal grand format en feuilles (42,8x69,5 cm), 14 pages abondamment illustrées - exemplaire plié en deux sans atteinte au texte - bon état général -
Au sommaire de ce numéro : Henri Mondor (Mallarmé par lui-même), Gilbert Ganne (2500 km sur les routes de Provence), Jacques Sternberg (La caricature en huit leçons. I : Les vacances), Jean-Louis Curtis sur la science-fiction, Georges Govy (Le moissonneur de lauriers), etc. Fondée en 1952, animée par Louis Pauwels, André Parinaud et Jacques Laurent, la revue Arts a notamment ouvert ses pages à une large diversité d'écrivains. Arts est sans doute l'hebdomadaire qui rend le mieux compte de la vie intellectuelle française des années 1950 et 1960 (Arts a cessé de paraître en 1966).
Manuscrit de travail de 8p., 27 × 21, avec des ratures et des ajouts. Pastiche littéraire de Jean-Louis Curtis, c’est un chapitre d’À la Recherche du Temps posthume qui fut publié chez Fasquelle en 1957 dans la collection Libelles. D’autres volumes de pastiches du même suivront : La Chine m’inquiète en 1972 (les évènements de Mai 68 vu par…) ainsi que La France m’épuise en 1982 (la victoire de Mitterrand de 1981). Nous donnons, à titre d’échantillon, la première phrase du manuscrit : “J ’eus aussi le grand plaisir de rencontrer chez Roberte Swann, mon ami Jean Paulhan, l’un des hommes les plus suavement perspicaces du siècle, dompteur de l’édition doué d’un magnétisme assez puissant pour juguler pendant des années une ménagerie d’écrivains altérés de gloire, dont il savait apaiser, d’une parole douce, insinuante et ténue comme une caresse, les farouches appétits et les grinçantes impatiences, et que l’on voyait ronronner à ses pieds, fauves provisoirement apprivoisés, dans son bureau directorial de la N.R.F., critique assez subtil pour qu’on ne sût jamais avec précision s’il vous adorait dans vos faiblesses et vos manques ou vous dédaignait dans vos vertus et vos mérites, rhétoricien assez agile pour enrober dans des apophtegmes aigus comme des énigmes, excitants comme des toniques, insolites comme des paradoxes, les vérités permanentes du bon sens, les classiques évidences d’un Boileau ou d’un Sainte-Beuve, de sorte qu’ayant écrit un ouvrage où il raillait l’inhibition, la paralysie qui empêchent aujourd’hui un si grand nombre d’écrivains de dire avec simplicité le peu qu’ils ont à dire et qui, par exemple leur font croire naïvement qu’un « ciel bleu », un « lac tranquille » sont des choses qui ne se peuvent plus nommer, on pensa généralement que ces Fleurs de Tarbes (c’était le titre du libelle) inauguraient dans les lettres la douloureuse mode des crampes stylistiques, intronisaient le mal même qu’elles dénonçaient — c’est-à-dire une forme particulièrement exquise et torturée de l’impuissance, la Terreur devant le langage — et que l’on prit pour d’inquiétantes orchidées tropicales ces honnêtes pivoines pyrénéennes”.
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