A Paris, Marchant, an IX, 1801. 1 feuillet. 359 pages. 3 planches. 12 pages. (13x21cm). Broché. Couverture papier muette. Non rogné. Dos fendillé. Taches à la couverture. Pages brunies aux bords. Quelques traces de mouillure. Cachet dans la page de titre. Quelques pages presque détachées à la fin. Sinon bon état général. Avec 3 planches illustrées d'instruments et machines agricoles. Agronome innovateur, Crette-Palluel se distingua par plusieurs plantations, lesdites prairies artificielles, et par la suppression des jachères. En 1785, il eut une médaille d’or de la part de la Société d’agriculture de Paris, en récompense de ses travaux, et en devint membre en 1787, ce qui fit redoubler son zèle, sa ferme devenant le théâtre des expériences de cette Société. Complet.
Alexandre-César CRETTE DE PALLUEL (1766-1848) - Maire du 3e arrondissement de Paris de 1815 à 1828.
Reference : 8348
1 L.S. (247 x 197) 1 page 1/3, à entête de la Ville de Paris / Mairie du 3e Arrondissement, datée du 19 juin 1819, de Paris, adressée à Monsieur le Maire de Vincennes. Légèrement froissée et insolée, déchirure au coin sans manque due au décachetage.
Pour modification de l'acte de naissance d'une enfant née à Vincennes en 1813, après reconnaissance et légitimation, suite au mariage de ses parents à Paris en 1816. Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
Paris : Madame Huzard, An X ( 1802 ) In-8,118 pages et une planche dépliante. Broché, couverture muette d'origine.
Edition posthume comportant des notes et additions de Chassiron.Né à Drancy-les-Noues d’une famille de cultivateurs, passant beaucoup de temps à Paris, mais revenant souvent dans sa famille, fortifiant ainsi son goût pour l’agriculture, son père, François Cretté, maître de poste à Saint-Denis, lui confie la direction de la culture de ses terres de Dugny et du Bourget, près de Paris, alors qu’il a 17 ans. Sa femme contribue aussi au perfectionnement de l’art agricole. Lui-même, dans ses domaines, il entreprend des travaux de dessèchement (en suivant les méthodes de Bradley) ; beaucoup viennent observer les résultats. Il se distingue également par plusieurs plantations, entre autres des prairies artificielles, et par la suppression des jachères. En 1785, il reçoit une médaille d’or de la part de la Société d’agriculture de Paris, en récompense de ses travaux, et en devient membre en 1787, ce qui fait redoubler son zèle, sa ferme devenant le théâtre des expériences de cette Société.