Kessinger Publishing's, [2009] In-8, cart. éd. imprimé, 302 pp., français ancien.
Réimpression en fac-similé de l'édition de Paris, chez Duchesne, 1775. - Ce Maréchal mérite d'être mis au nombre des plus grands Capitaines : on voit peu de Héros qui aient servi leur Prince et leur Patrie avec plus de sagesse, de courage et de fidélité. Tous ses projets étaient concertés avec tant de soin et de prudence, que les Soldats, pleins d'estime et de confiance pour lui, l'appelaient communément "le Père la Pensée" - (Avertissement introductif) Comme neuf. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris : Veuve Duchesne, 1775 In-12, 302 pages. Basane racinée de l'époque, dos lisse orné.
Joli exemplaire. Troisième édition, la première sous ce titre. Cette biographie du grand homme de guerre parut initialement à l'adresse d'Amsterdam (i.e. Troyes) en 1772, réimprimée en 1774, sous le titre : Vie de M. de Catinat. Barbier IV, 966 ; Quérard II, 335.
A Paris, chez la Veuve Duchesne, Libraire, 1775. Deux ouvrages en un volume in-12, plein veau marbré, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, coupe filetée, tranches rouges (reliure de l'époque). 302 pp. ; [2] ff. - 114 pp.
Réimpression, avec un nouveau titre, de La Vie de M. de Catinat, parue à Amsterdam en 1772. (Bourgeois et André, S.H.F., III, n° 1571 ; Barbier, III, 251 et IV, 966). Suivi de : DU ROUZEAU (Abbé Thomas). Eloge de Nicolas de Catinat, maréchal de France, présenté à l’Académie française (...). Amsterdam. 1775. (Cioranescu, n° 27091).L'abbé Du Rouzeau, était un franc-maçon en relation avec Benjamin Franklin.Exemplaire court de marges. Nicolas de Catinat (1637-1712) se distingua au commencement de la guerre de la Ligue d’Augsbourg en 1690 et en Italie dans les premières années de la guerre de Succession d’Espagne. Il reçut le bâton de maréchal de France en 1693. Disgracié, il se retire dans son château de Saint-Gratien, près de Montmorency, et se montre un fervent pratiquant du quiétisme.De la bibliothèque d’Etienne Gaillard avec son ex-libris armorié (XVIIIe siècle).Bel exemplaire.