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Ah ! Jeunesse !...
Flammarion, Paris s.d. (1894), 12x19cm, relié.
Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur japon, seuls grands papiers. Reliure en plein maroquin jaune moutarde, dos très légèrement éclairci à quatre nerfs soulignés de filets noirs, contreplats de maroquin vert, gardes de soie moirée jaune, gardes suivantes de papier marbré, couvertures et dos conservés, ex-libris encollé sur un contreplat, toutes tranches dorées, élégante reliure de l'époque signée Cretté. Petites décharges de colle sur la page en regard de l'ex-libris. Couverture illustrée d'un dessin deThéophile Alexandre Steinlen. Agréable exemplaire parfaitement établi en maroquin doublé de Georges Cretté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Potiron
Marpon & Flammarion, Paris s.d. (1890), 11,5x18cm, relié.
Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 10 Hollandes en grands papiers. Reliure d'époque en demi-chagrin sapin, dos à 5 nerfs, couvertures et dos conservés en tête d'ouvrage, premier plat de couverture illustré en couleurs par Steinlen. Notre exemplaire est enrichi d'une carte de visite autographe de l'auteur montée sur onglet sur la page de faux-titre. Infimes épidermures sur les coiffes, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
COURTELINE Georges & RICHEPIN Jean STEINLEN Théophile Alexandre
Reference : 83276
(1886)
Le Chat noir N°254 de la cinquième année du samedi 20 novembre 1886
Au cabaret Le Chat noir, Paris 1886, 31x45cm, en feuillets.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé. Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée deThéophile Alexandre Steinlen "Actualité brûlante". Contributions littéraires de Francisque Sarcey "Chronique du bon sens", Jean Richepin "Le chat noir", Abel Hamel "Qui a bu ne peut plus boire", Georges Courteline "Madame Dieu-nous-voit"... Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
