Paris, Mallet-Bachelier, 1859, in-8, XXXIV-372pp, 14 pl, Broché, Première édition. 109 figures dont 20 hors texte, dont une carte double en couleur. 8 très jolies lithographies sur papier de Chine contrecollés. Coulvier-Gravier (1802-1868), était un astronome, nommé à l'Observatoire de Paris par François Arago. Il s'intéressait en particulier aux étoiles filantes. Dans cet ouvrage, Coulvier-Gravier présente rapidement la météorologie, la science des phénomènes atmosphériques. Il traite de nombreux phénomènes célestes : aurore et crépuscule, aurores boréales et australes, les brouillards, les ouragans, les étoiles filantes... Envoi de l'auteur sur la page de faux-titre. Tampon de l'Institut catholique de Paris. Couverture défraîchie, des rousseurs et mouillures dans le texte Couverture rigide
Bon XXXIV-372pp., 14 pl.
1859 Paris Mallet-Bachelier 1859 in 8, ,reliure plein chagrin brun, dos à nerfs, , tite doré, toutes tranches dorées, sur les plats fers avec aigle et Prix du concous général de la ville de Paris, XXXIV , 372 p. illustrations dans le texte et hors-texte, dont une carte en couleurs sur deux pages et 7 planches avec lithographies sur papier de Chine contrecollées Edition originale. exemplaire du scientifique Edmond Perier
Remi Armand Coulvier-Gravier (né à Reims le 26 février 1802, mort à Paris le 12 février 1868) était un astronome français. Parmi les phénomènes célestes, il observa tout particulièrement celui des étoiles filantes. François Arago le fit nommer, en 1850, astronome de l'observatoire météorologique qu'on venait de créer au palais du Luxembourg
Paris, Mallet-Bachelier, 1859, in-8 (22x14), XXXIV-372pp, Première édition. 109 figures dont 20 hors texte, une carte double en couleur et 8 lithographies , relié demi veau époque , dos lisse à caissons avec auteur,titre et date , dos frotté, manque au dos ,charnières frottées,cachet.
Coulvier-gravier se livre aux études astronomiques et météorologiques. Parmi les phénomènes célestes, il observe tout particulièrement celui des étoiles filantes. Du résultat de ses observations, il croit devoir établir une méthode naturelle de prédiction du temps à courte échéance. François Arago le fait nommer, en 1850, astronome de l’observatoire météorologique qu’on vient de créer au palais du Luxembourg. (wikipédia) P2-1B