Club français du livre 1958 in8. 1958. Reliure editeur. 12 volume(s).
Bon Etat de conservation intérieurs propres rousseurs sur tranche bonne tenue
Pierre didot l'ainé et fils 1819 in8. 1819. Relié.
Bon état de conservation dos et charnières frottés couverture défraîchie tranches marbrées intérieur assez propre malgré des rousseurs bonne tenue
Racine Musset Corneille Shakespeare Victor Hugo Molière Marivaux Beaumarchais
Reference : 100056550
(1989)
Crémille 1989 in4. 1989. reliure éditeur. 15 volume(s). Collection Oeuvres complètes 8 volumes: Racine Musset Corneille Shakespeare Victor Hugo Molière Marivaux Beaumarchais (tome 2 de Shakespeare manquant reste complet en 2 volumes par auteur) --- ouvrages enrichies de gravures in et hors texte en noir et blanc
Très Bon Etat de conservation intérieurs très frais reliures en très bon état dorure sur tranche de tête (un peu frottées par endroits)
Club français du livre 1965 in4. 1965. Reliure editeur. 12 volume(s). Corneille tomes I à V (Présenté Et Annoté Par Jacques Le Marchand) Molière tomes VI à X (Présenté Et Annoté Par Alfred Simon) Racine tomes XI à XII(Présenté Et Annoté Par Roland Barthes)
aspect cosmétique correct intérieur en bon voire très bon état rousseurs sur tranches dorures couvertures un peu effacées par endroits couvertures un peu marquées intérieurs propres non jauni
Garnier frères 1879 in12. 1879. Relié. Théâtre de Corneille --- nouvelle édition collationnée sur la dernière édition publiée du vivant de l'auteur - Le Cid Horace Cinna ou la Clémence d'Auguste Polyeucte martyr Pompée Le Menteur Rodogune princesse des Partes Sertorius
couverture défraichie coins émoussés intérieur globalement propre qq rousseurs fiche prix dans le plat intérieur
A.pigoreau 580+465 pages in8. Sans date. Relié. 580+465 pages. Chefs-d'oeuvre dramatiques de P.corneille tome I et II avec les variantes du texte les examens de pièces et les discours sur la poésie dramatique
Bon Etat date estimée XIXe
Bernardin béchet 1867 421 pages in8. 1867. Cartonné. 421 pages. portrait de Pierre Corneille en frontispice table des matières voir photo
Etat Passable couverture fortement défraîchie bords frottés intérieur un peu piquée de rousseurs pages un peu gondolées qq annotations au crayon à papier
Garnier frères 1880 531 pages in4. 1880. Relié. 531 pages. illustré de 12 gravures sur acier
Etat Correct bords un peu frotté dorure sur tranche rousseurs à l'intérieur circa 1880
Librairie élémentaire de E. Ducrocq 1854 in8. 1854. Cartonné.
Mauvais Etat dos très abîmé livre complet le prix tient compte de l'état
L. hachette et cie 1857 585 pages in12. 1857. Broché. 585 pages.
Etat Correct dos recollé pages non-coupées texte propre
E. Ducrocq 1854 in8. 1854. Relié.
Etat Correct garniture se décolle sur le dos couverture ternie et frottée intérieur globalement propre qq rousseurs dorure sur tranche
1748 "12 volumes in-12 de (2) ff., LXXXIV, 450 pp. - (2) ff., 536 pp. - (2) ff., 510 pp. - (2) ff., 468 pp. - (2) ff., 520 pp. - (2) ff., 469 pp. - 10, XXXV, 460 pp., (2) ff. ; (12) ff., 580 pp. - (6) ff., 605 pp. - (2) ff., 492 pp. - (2) ff., 615 pp. - (2) ff., 589, (3) pp., veau raciné, filet à froid en encadrement sur les plats, armes au centre, dos lisses ornés de caissons de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin citron, tranches marbrées bleues (reliures de l'époque)."
"Belle réunion complète du théâtre des frères Corneille. Cette édition du Théâtre de Pierre Corneille, fut publiée par les soins du censeur royal François-Antoine Jolly, pour la première fois en 1738. ""Un Avertissement, placé en tête du premier volume donne des renseignements sur l'époque de la représentation et de l'impression de chaque pièce. Jolly a pu recueillir, à ce sujet, un certain nombre de faits curieux, qui s'étaient conservés jusqu'à lui par tradition"" (Picot, 634). Cette nouvelle édition est complétée d'un volume consacré aux Œuvres diverses de Pierre Corneille. Cet ouvrage avait été édité originellement de façon autonome par l'abbé François Granet, en 1738 (Picot, 174). Il réunit des traductions, des poèmes - dont plusieurs célébrant les victoires du roi -, des madrigaux, des sonnets, et divers écrits. Au Théâtre du grand Corneille, sont jointes les œuvres dramatiques de son frère cadet Thomas (1625-1709). On y retrouve notamment sa tragédie Timocrate, le plus grand triomphe de tout le XVIIe siècle : interprétée pendant près de six mois devant une salle comble, elle connut quatre-vingts représentations consécutives, c’est-à-dire mieux que son frère, Racine ou Molière ! ""Tragédies romanesques, tragédies cornéliennes, tragédies sentimentales à la Quinault, ou même à la Racine ; comédies espagnoles et comédies françaises ; opéras et pièces à machines, Thomas Corneille en fournit tous les genres au théâtre du Marais et au théâtre de l'Hôtel de Bourgogne"" (Dictionnaire des Lettres françaises, XVIIe siècle). A la mort de son frère, en 1684, Thomas Corneille fut élu à l'unanimité à son fauteuil à l'Académie. Il y fut reçu par Racine qui, à cette occasion, prononça le fameux éloge de son illustre rival, présenté ici à la fin du dernier tome. Chacun des deux œuvres complets des frères Corneille s'ouvre sur un portrait gravé en frontispice : Pierre d'après Le Brun et Thomas d'après Jouvenet. Bel exemplaire en reliure de l'époque, aux armes de René-Mans de Froulay, comte de Tessé. (Olivier, Hermal et Roton, Reliures armoriées françaises, 974). De la bibliothèque de Lumigny avec ex-libris. E. Picot, Bibliographie cornélienne, 638."
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59
Hachette 1929 in16. 1929. Cartonné.
sous rhodoïd couverture frottée charnières détendues fragilisées
Charpentier et cie 625 pages in12. Sans date. Relié. 625 pages.
Etat passable couverture abimée taches rousseurs le prix tient compte de l'état
Michel de l'Ormeraie 1976 in4. 1976. Reliure editeur. reproduction fidèle du premier tirage de l'édition Gravelot de 1774 limité à 999 exemplaires numéroté de 1 à 999 relié par Robert Ardant à Limoges. Ici exemplaire n°814 (numéroté dans le dernier tome) nervures sur le dos reliure cuir et dorure sur la couverture
Etat de Neuf dorure sur tranche en parfaite condition
Furne et cie 1854 in8. 1854. Broché.
Mauvais Etat livre en très mauvaise condition brochure défaite mais complet vendu en l'état
Garnier frères 1876 in12. 1876. Broché.
Etat Correct circa 1876 couverture fortement défraîchie ternie charnières fragiles intérieur taché de rousseur qq annotations au crayon à papier
Garnier frères 1951 in12. 1951. Broché. texte établi sur l'édition de 1682 intriduction et notices par Maurice Rat
EDITION 1951 --- Bon Etat de conservation nombreuses pages non coupées intérieur frais bonne tenue
Ernest flammarion 1930 in12. 1930. Broché.
dos recollé couverture défraîchie tachée de rousseurs ex libris sur le premier plat livre jauni
Firmin didot et cie 1878 in8. 1878. Relié. 2 volume(s). Tome 1: Horace; Cinna; Polyeucte; Pompée; Le Menteur Tome 2: Rodogune; Héraclius; Nicomède; Sertorius; Premier discours; Second discours; Troisième discours
Bon Etat de conservation couvertures ternies coins un peu émoussés intérieurs propres bonne état des reliures
Seuil 1963 in8. 1963. Cartonné.
Bon état intérieur propre tranche un peu ternie jaquette rhodoïd abîmée (déchirée en haut)
Précieux et bel exemplaire provenant des bibliothèques Eugène Paillet et Robert Hoe. A Paris, chez Antoine de Sommaville & Augustin Courbé, 1643. Avec privilège du Roy. In-4 de (8) ff. y compris le frontispice, 121 pp. et (1) f. de privilège. Le privilège est daté du 30 janvier 1643, et l’Achevé d’imprimer à Rouen pour la première fois, aux depens de l’Autheur, par Laurens Maurry, ce 20, jour d’octobre 1643. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs orné, double filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure signée de Thibaron-Joly. 229 x 171 mm.
L’une des grandes originales de la littérature française et l’une des plus rares éditions du Grand Corneille. Le Petit, p. 158; Tchemerzine, II, 546; Picot, Bibliographie cornélienne, 26. Polyeucte fut représenté sur la scène du théâtre du Marais dans les premiers mois de 1643. «Le succès de ‘Polyeucte’ fut éclatant et rappela celui du ‘Cid’. Les acteurs de l’Hôtel de Bourgogne, qui le représentèrent, y gagnèrent autant d’argent qu’à aucune tragédie profane». (Picot). L’on conçoit aisément que le catholique Corneille entraîné par sa poétique de l'admiration à faire accomplir par ses héros des actions toujours plus remarquables, n'ait pu donner comme successeur à Auguste que Polyeucte : seul le héros chrétien l'emporte en magnanimité sur le plus admirable des héros profanes; seul un saint peut avoir un comportement qui serait jugé invraisemblable chez tout autre homme; seul un homme animé de la grâce divine peut accomplir des actes qui redeviennent vraisemblables sans cesser d'être extraordinaires. Comme le geste de clémence d'Auguste, les actions de Polyeucte ressortissent exactement à ce vraisemblable extraordinaire que préconisaient sans trop y croire les théoriciens et que Corneille a toujours poursuivi. Aussi, tandis que les critiques littéraires ne pouvaient qu'approuver la nouvelle tragédie de Corneille, les dévots, qui condamnaient l'idée même de théâtre profane, furent-ils particulièrement choqués de le voir accueillir les choses de la religion. Pour eux, le compromis rêvé par Corneille entre l'esthétique du plaisir et la morale chrétienne – compromis qui permet d'imaginer qu'on puisse faire une œuvre d'art séduisante à partir d'un sujet chrétien – était inacceptable, surtout lorsque l'intrigue osait mêler amour humain et amour divin. Mais l'ensemble du public lui-même, qui fit un triomphe à la pièce, a mal compris (et jusqu'au XVIIIesiècle) le projet de Corneille: il s'est intéressé avant tout à l'intrigue amoureuse et au drame purement humain de Pauline, Sévère et Polyeucte, sans voir que l'histoire des amours de Pauline et de Sévère, aussi touchante et délicate que celles des bergers de la pastorale contemporaine, est inséparable de l'histoire de Polyeucte, dont l'héroïsme serait inconsistant s'il ne s'inscrivait au cœur de l'histoire d'amour. Corneille, dans son « Examen de Polyeucte », qu'il rédigea plus tard, définit assez justement le style de Polyeucte en le comparant à celui de ses autres tragédies : «Le style est souvent d'une beauté qui force l'admiration : les fameuses «Stances» sont un des plus beaux morceaux de tout le théâtre de Corneille.» La tragédie de Corneille a donné naissance à plusieurs œuvres musicales. La première en date est l’opéra en trois actes de Gaetano Donizetti (1797-1848), dont la représentation fut interdite à Naples par le gouvernement des Bourbons et qui vit le jour finalement à Paris, en février 1840, dans une adaptation française de Scribe. Parmi les autres œuvres inspirées par Polyeucte, la plus connue est l'opéra du compositeur français Charles Gounod (1818-1893), représenté à Paris en 1878. Fort bel exemplaire à grandes marges de l’une des plus rares éditions originales de Corneille, provenant des bibliothèques Eugène Paillet et Robert Hoe avec ex-libris, relié en maroquin rouge de Thibaron-Joly.
La plus rare des grandes éditions en partie originale du Théâtre de Pierre Corneille imprimée à Paris en 1660, «à ses yeux l’une des plus importantes »; elle manquait à la collection Dennery. Imprimé à Rouen, et se vend à Paris, chez Augustin Courbé Et chez Guillaume de Luyne, 1660. Avec privilège du roy. 3 volumes in-8. On joint à cette édition les deux volumes suivants imprimés dans le même format et avec les mêmes caractères: - Poëmes dramatiques de T. Corneille. I. [II.] partie. Imprimé à Rouen, et se vendent à Paris, chez Augustin Courbé Et Guillaume de Luyne, 1661. Avec privilège du Roy. 2 volumes in-8. Soit en tout 5 volumes petit in-8 de: I/ xc pp., (6) pp. dont 1 gravure à pleine page, 704 pp.; II/ cxvii pp., (10) pp., 720; III/ lxxxiiii pp., (5) pp., pp. 1 à 178, (2) ff. comportant un tirage à part des pp. 177-178, pp. 179 à 632; I/ (2) ff., 710 pp., (2) pp.; II/ (4) pp., 652, (4) pp., la dernière blanche. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, double filet or sur les coupes, large roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrure. Cuzin. 163 x 105 mm.
La plus rare des grandes éditions en partie originale des Œuvres de Pierre Corneille ornée de 39compositions gravées sur cuivre d’après François Chauveau. I. Partie: Le frontispice représente un cartouche surmonté de deux Amours tenant une couronne; on lit dans le centre du cartouche le titre et la date de 1660. Le volume renferme 8 pièces (de Mélite à l’Illusion) accompagnées chacune d’une figure. Les figures de Mélite, de Clitandre, de la Veuve, de la Suivante, de la Place royale, de l’Illusion sont signées F. C(hauveau), delin.; H. D(avid), sculp.; celles de la Gallerie du Palais et de Médée sont signées L. S(pirinx). II. Partie: Le frontispice représente un cartouche soutenu par deux Amours sonnant de la trompette; il porte la date de 1660. Le volume contient 8 pièces placées dans cet ordre: le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte, Pompée, Théodore, le Menteur et la suite du Menteur. Les figures du Cid, de Cinna, de Polyeucte, du Menteur, de la Suite du Menteur et de Théodore sont signées de Chauveau et de David; celle d’Horace est signée de Spirinx, celle de Pompée ne porte pas de signature. III. Partie: Le frontispice, qui représente un cartouche surmonté d’une corbeille de fleurs, est daté de 1660 et signé: I. Math[eus]f. Le volume renferme 7 pièces accompagnées de 7 figures: Rodogune, Héraclius, Andromède, D. Sanche, Nicomède, Pertharite et Œdipe. Les figures de Rodogune et de Don Sanche sont signées de L. Spirinx; celles d’Héraclius, d’Andromède et de Pertharite sont signées de Chauveau et David; celles de Nicomède et d’Œdipe sont signées de Matheus. Le privilège est daté de janvier 1653, sans indication du quantième; il est donné pour neuf ans à Corneille lui-même, qui déclare le céder à Augustin Courbé et Guillaume de Luyne, suivant l’accord fait entre eux. On lit à la fin: Achevé d’imprimer pour la première fois, [en] vertu du présent privilège, le dernier d’octobre 1660, à Rouen, par Laurens Maurry. En 1664, Corneille soumit ses pièces à une première révision; il introduisit aussi quelques changements dans les pièces qui formèrent la Seconde partie publiée en 1648. Les éditions qui suivirent reproduisirent fidèlement le texte arrêté alors par le poëte; les quelques variantes qu’on y relève sont le plus souvent le fait des typographes ou le résultat du hasard. En 1660, Corneille fit une nouvelle révision de son théâtre. Il agrandit le format qu’il avait précédemment adopté, rendit ses volumes plus symétriques, mit en tête de chacun d’eux un Discours spécialement écrit pour l’édition, et des Examens dans lesquels il passa en revue chacune de ses pièces. Corneille lui-même nous entretient dans une lettre à l’abbé de Pure, datée du 25 aout 1660, de la peine que lui donna la publication de ce nouveau recueil, en particulier la confection des Discours: «Je suis, dit-il, à la fin d’un Travail fort pénible sur une matière fort délicate. J’ay traité en trois Préfaces les principales questions de l’art poétique sur mes trois volumes de Comédies. J’y ay fait quelques explications nouvelles d’Aristote, et avancé quelques propositions, et quelques maximes inconnues à nos Anciens. J’y réfute celles sur lesquelles l’Académie a fondé la condamnation du Cid, et ne suis pas d’accord avec Mr d’Aubignac de tout le bien mesme qu’il a dit de moy. Quand cela paroistra, je ne doute point qu’il ne donne matière aux Critiques, prenez un peu ma protection. Ma première Préface examine si l’utilisté ou le plaisir est le but de [la] Poésie Dramatique, de quelles utilités elle est capable et quelles en sont les parties, tant intégrales comme le Sujet et les mœurs, que de quantité comme le Prologue, l’Épisode et l’Exode. Dans la seconde je traite des conditions du Sujet de la belle tragédie, de quelle qualité doivent estre les incidents qui la composent et les personnages qu’on y introduit afin de sentir la pitié et la crainte, comment se fait la purgation des passions par cette pitié et la crainte, et des moyens de traiter les choses selon le vraysemblable ou le nécessaire. Je parle en la troisième des trois unitez, d’action, de jour et de lieu. Je croy qu’après cela, il n’y a plus guère de questions d’importance à remuer et que le reste n’est que la broderie qui (sic) peuvent ajouter la Rhétorique, la Morale et la Politique.» (Marty-Laveaux, t. xè, pp. 486 sq.; l’original est à la Bibliothèque nationale, msc. Franç., n° 12763, folio. 157 sq.) Magnifique exemplaire à grandes marges de cette édition en partie originale, l’une des plus rares et aux yeux de Corneille les plus importantes, comprenant en outre un tirage à part des pages 177 et 178 du volume III du Théâtre de Corneille. Provenance: Weber avec ex-libris.
[imprimée par Cramer], 1765, 12 volumes in-12 de 196x125 mm environ, Tome I. 390 pages, avec 1 frontispice et 2 gravures hors texte, - Tome II. 339 pages, avec 2 gravures hors texte, - Tome III. 403 pages, avec 3 planches, - Tome IV. 390 pages avec 3 gravures hors texte, - Tome V. 343 parges avec 2 gravures hors texte, - Tome VI. 353 pages, avec 3 gravures hors texte, - VII. 367 pages pages avec 3 gravures hors texte, - VIII. 327pages avec 3 gravures hors texte, - Tome IX. 366 pages, avec 3 gravures hors texte, - Tome X. 397 pages, avec 4 gravures hors texte, - Tome XI. 439 pages, avec 4 gravures hors texte, - Tome XII. 333 pages, avec 2 gravures hors texte, plein veau blond, dos à nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièces de titre en maroquin bordeaux et tomaisons brune, ornés de caissons à fleurons et petits dorés, coupes et chasses dorées, encadrement des plats d'un triple filet doré, gardes et tranches marbrées. Des rousseurs mouillures par endroits et pages brunies, petite restauration sur la dernière garde du tome VI, large épidermure sur le dernier plat du tome VIII, et grande mouillure avec petite galerie dans la marge du même tome, petits frottements quelques trous de ver sur le cuir, une date et une appartenance manuscrits sur la première garde blanche. Premier tirage de cette Edition genevoise, illustrée d'un frontispice avec le buste sculpté de Corneille, gravé par Watelet d'après Pierre, et de 34 figures hors texte gravées en taille-douce d'après Gravelot. Ce fut Voltaire qui fit imprimer cette édition par souscription, en plus de la commenter.
Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l'aîné », né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris (paroisse Saint-Roch), est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Larousse 1990 208 pages poche. 1990. broché. 208 pages. O rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire Tant de fois affermi le trône de son roi Trahi donc ma querelle et ne fait rien pour moi
couverture légèrement usagée