Coquelin Cadet (1848-1909) acteur et écrivain français Lettre autographe signée à l'acteur Raphaël Duflos (1858-1946) 1 double f., 1 p., en-tête imprimé avec son adresse : 6, rue Arsène Houssaye [Paris], 13 mars 1905 17,5x11 cm. Le grand spécialiste et théoricien du monologue théâtral, sociétaire de la Comédie Française, Coquelin Cadet, remercie son camarade de planches Raphaël Duflos pour les 700 frs qu'il lui a adressé et en profite pour faire le bilan de représentations ou répétitions de pièces de Molière auxquelles il n'a pu assister et au cours desquelles Charles Grandval (1882-1943), récemment entré à la Comédie Française, et Suzanne Avril (1868-1948) se sont particulièrement illustrés : "Les 2 derniers actes du Malade — et les intermèdes beaucoup d'effet. Pas le 1er acte du Malade ni les Précieuses qu'on a peu comprises. On t'a énormément regretté. Beaucoup parlé de toi avec Laroche. On a trouvé faible les hommes. Sauf Grandval. Suzanne Avril charmante." Beau document.
Coquelin Cadet (1848-1909) acteur et écrivain français Carte autographe signée à Charles Durand du Gil Blas 1 carte écrite au recto, monogramme de l'acteur imprimé 11,5x9cm Paris, 3 décembre 1886 Le grand spécialiste et théoricien du monologue théâtral remercie justement le journaliste Charles Durand pour l'article qu'il a publié dans le Gil Blas du 28 novembre 1886 et intitulé "Monologuin Cadet". Il souligne la justesse de l'article, hormis la référence au goût de Cadet pour les "grosses femmes" et "l'ennui que cause le monologue quand il est bon". Article peu flatteur que Cadet ne manque pas de prendre avec humour en se présentant comme le "portraituré peu embelli". Beau document.
COQUELIN Cadet - [Boulogne-sur-mer 1848 - Suresnes 1909] - Acteur et écrivain français
Reference : 35222
1 page in4 - petits accrocs en marge blanche - bon état - On joint une photo dédicacé au même (format cabinet) et une carte de visite autographe -
Il lui rend hommage pour ces excellents couteaux "à formes si originales, si inattendues et si pratiques!" - "Quand on se coupe avec, on est ravi, car c'est avec les charmants couteaux de Monsieur Bourgade"! -