Paris Calmann-Levy 1907 Première édition. Reliure demi cuir bordeaux, avec titres dorés et 6 nerfs. planches marbrées. Feuilles de garde marbrées. Les emballages d'origine sont liés à l'avant et à l'arrière. Le cuir a un peu de frottement, avec de très légères fissures sur la charnière avant. Petites rousseurs sur les pages de garde. Les couvertures originales sont de beaux exemples propres. Le reste du livre est propre et bien rangé. Frontis gravé de Benjamin Constant âgé de six ans. Cet exemplaire est sur papier Hollande. 130 pages. Benjamin Constant, était un militant politique franco-suisse et écrivain sur la théorie politique et la religion. 195 by 145mm (7Ÿ by 5Ÿ inches).
First edition. Bound in burgundy half leather, with gilt titles and 6 raised bands. marbled boards. Marbled end papers. The original wrappers are bound in to the front and rear. The leather has a little rubbing to it, with very slight cracking to the front hinge. A little foxing to the end papers. The original covers are beautiful clean examples. The rest of the book is clean and tidy. Engraved frontis of Benjamin Constant aged six years. This copy is on Hollande paper. 130 pages. Benjamin Constant, was a Swiss-French political activist and writer on political theory and religion. First posthumous edition of this autoboiography. Benjamin Constant talks about his studies at the University of Edinburgh, where he met the British philosopher and politician James Mackintosh, as well as the Scottish historian Malcolm Laing. He mentions his stays in Paris with the couple of writers Amélie and Jean Baptiste Antoine Suard, his brief meeting with the future wife of Emmanuel de Pastoret, and details the beginnings of his relationship with Isabelle de Charrière. Louise de Constant de Rebecque, sister of Benjamin Constant 195 by 145mm (7Ÿ by 5Ÿ inches).
Le Livre de Poche 1988 17 6x10 6x1 4cm. 1988. Poche. 219 pages. Très bon état
Mercure de France 2000 11x17x4cm. 2000. Broché. 680 pages. Bon état
[Paris], 20 décembre 1821. 1718 1 feuillet double in-8° plié (185 x 120 mm) manuscrit rédigé à l'encre brune, adresse au verso du second feuillet avec adresse et cachets de poste rouge et noir indiquant l'année (trace de plis, petit manque de papier par bris du cachet de cire sans atteinte). Chemise de papier d'époque.
Lettre autographe signée adressée par Benjamin Constant à son ami éditeur et journaliste Jean-Pierre Pagès, document provenant des archives de ce dernier ou figurait sa correspondance avec La Fayette. Benjamin Constant (1767-1830), encyclopédiste, romancier, homme politique, et intellectuel français d'origine vaudoise, est lauteur de nombreux essais sur des questions politiques ou religieuses. Il a également écrit des romans psychologiques sur le sentiment amoureux comme Le Cahier rouge (1807). Républicain engagé en politique depuis 1795, Il devient sous le Consulat chef de l'opposition libérale. Élu député en 1819, il le sera encore à sa mort en 1830. Siégeant dans le groupe des célèbres « Indépendants », il est l'un des orateurs les plus en vue de la Chambre des députés et défend le régime parlementaire. Son discours « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes », prononcé en 1819, oppose deux conceptions de la liberté, lune pratiquée par les « Anciens » (principalement, les citoyens de la Grèce antique), et l'autre par les « Modernes », dans nos sociétés. Il est l'un des phares de l'école libérale, luttant pour le respect des libertés individuelles dans le cadre de la Charte et contre les exigences ultraroyalistes. Ce combat est poursuivi dans la presse (le Mercure, la Minerve, la Renommée, le Courrier français), par la publication de nombreux ouvrages, et à la Chambre des députés ou il siège de 1819 à 1822 aux côté de La Fayette quil avait convaincu de se présenter aux élections. A lépoque, les deux hommes sont liés à Jean-Pierre Pagès (1784-1866), avocat, encyclopédiste et homme politique ariégeois et un des rédacteurs et fondateurs de la Constitution de la II? République Française. En 1815, sous la Restauration, Pagès est assigné à résidence à Angoulême Il commence alors un travail dhistorien (publié en 1817) sur les principes généraux du droit politique dans leur rapport avec lesprit de lEurope et avec la monarchie constitutionnelle du début de la Révolution. Pagès noue ainsi des relations épistolières avec des acteurs de la vie politique, dont Tissot, Benjamin Constant, La Fayette et Lamartine. Sur leur invitation, il sinstalle à Paris et continue décrire et de publier : Annales de la session 1817 et 1818 à Benjamin Constant, De la responsabilité ministérielle De 1818 à 1829. Journaliste, Il entretien une correspondance avec La Fayette au cours de son voyage aux Etats-Unis de 1824-1825. Levasseur, secrétaire du général, écrira "il était ami avec Lafayette en tant que journaliste, Lafayette est parti faire un voyage aux Etats-Unis pendant la Restauration, il lui a écrit pour que ces lettres soient publiées, et cela a donné lieu à des articles de presse à l'époque. La présente lettre de Benjamin Constant provient des archives de Pages qui incluaient ces fameuses lettres (vente publique de novembre 2022 à Toulouse). Dans cette lettre du 2O octobre 1821 expédiée par Benjamin Constant à ladresse parisienne de Jean-Pierre Pagès (24 rue Neuve St Roch), il lui réponds à son ami son état de santé : « Merci mon cher Pagès. Je me sens mieux, mais loin dêtre bien » « tranquillisez-vous pour ce qui regarde mon médecin ». Il évoque son activité parlementaire quil poursuit malgré son état : « Jai pourtant ce matin été à la séance préparatoire, dans lespoir dobtenir un billet. Le sort na pas récompensé mon courage ». Il sinquiète ainsi que son épouse de la santé de Mme Pagès : « Je suis fâché de ce que votre femme est toujours souffrante. La mienne lui dit mille choses et à vous aussi ». Il termine sa lettre « Bien des amitiés. B. Constant » suivi du pos script um « Quand aurais-je de vous des épreuves ? ». Cette question évoque un travail dédition dun article ou dun ouvrage en cours sur lequel travaillent alors les deux hommes. Beau et rare document, témoignage du travail et des liens damitié entre ces deux penseurs et acteurs du courant libéral français de la première moitié du 19éme siècle. 1 double leaf 8-vo folded (185 x 120 mm) handwritten in brown ink, address on the back of the second leaf with address and red and black postmarks indicating the year (trace of folds, small lack of paper by breaking the wax seal without damage). Vintage paper folder. Autograph letter signed by Benjamin Constant addressed to his friend editor and journalist Jean-Pierre Pagès, document coming from the archives of the latter where appeared his correspondence with La Fayette. Benjamin Constant (1767-1830), encyclopedist, novelist, politician, and French intellectual of Waldensian origin, is the author of numerous essays on political and religious issues. He also wrote psychological novels about love, such as Le Cahier rouge (1807). A Republican involved in politics since 1795, he became the leader of the liberal opposition under the Consulate. Elected deputy in 1819, he will be elected again at his death in 1830. Sitting in the group of the famous "Independents", he was one of the most prominent speakers in the Chamber of Deputies and defended the parliamentary system. His speech "De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes" (On the freedom of the Ancients compared to that of the Moderns), delivered in 1819, contrasts two conceptions of freedom, one practiced by the "Ancients" (mainly, the citizens of ancient Greece), and the other by the "Moderns", in our societies. He is one of the beacons of the liberal school, fighting for the respect of individual liberties within the framework of the Charter and against the ultraroyalist demands. This fight was pursued in the press (the Mercure, the Minerve, the Renommée, the Courrier français), by the publication of numerous works, and in the Chamber of Deputies where he sat from 1819 to 1822 alongside La Fayette, whom he had convinced to run for office. At that time, both men were linked to Jean-Pierre Pagès (1784-1866), a lawyer, encyclopedist and politician from Ariège and one of the drafters and founders of the Constitution of the II? French Republic. In 1815, under the Restoration, Pagès was placed under house arrest in Angoulême. He then began a work of historian (published in 1817) on the general principles of political law in their relationship with the spirit of Europe and with the constitutional monarchy of the beginning of the Revolution. Pagès thus established epistolary relations with actors of the political life, of which Tissot, Benjamin Constant, La Fayette and Lamartine. At their invitation, he moved to Paris and continued to write and publish: Annales de la session 1817 et 1818 à Benjamin Constant, De la responsabilité ministérielle... From 1818 to 1829. As a journalist, he kept up a correspondence with La Fayette during his trip to the United States in 1824-1825. Levasseur, secretary of the general, will write "he was a friend of Lafayette as a journalist, Lafayette left to make a trip to the United States during the Restoration, he wrote to him to have these letters published, and this gave rise to press articles at the time. The present letter of Benjamin Constant comes from the archives of Pages which included these famous letters (public sale of November 2022 in Toulouse). In this letter of October 20, 1821 sent by Benjamin Constant to the Parisian address of Jean-Pierre Pagès (24 rue Neuve St Roch), he answers his friend about his state of health: "Thank you my dear Pagès. I feel better, but far from being well" ... "Don't worry about my doctor". He evokes his parliamentary activity which he continues in spite of his state: "I however went this morning to the preparatory session, in the hope of obtaining a ticket. Fate did not reward my courage". He worries as well as his wife about the health of Mrs. Pagès: " I am annoyed that your wife is still suffering. Mine says a thousand things to her and to you too". He ends his letter "Best regards. B. Constant" followed by the poscript um "When will I have proofs from you? This question evokes the editing of an article or a work in progress on which the two men were working. This is a beautiful and rare document, a testimony of the work and the bonds of friendship between these two thinkers and actors of the French liberal current of the first half of the 19th century.
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Edition originale de la plus grande rareté de ce plaidoyer de Benjamin Constant défendant les droits du condamné à mort Wilfrid Regnault. Précieux exemplaire offert par l’auteur à Jacques-Claude Beugnot. Paris, chez Béchet, Juillet 1818. In-8 de (1) f. de titre, 27 pp., (1) p. Relié en velours vert, filet d’étain encadrant les plats, large motif feuillagé en étain au centre des plats, dos lisse, doublures et gardes de papier moiré blanc, tranches mouchetées. Reliure romantique de l’époque. 197 x 127 mm.
Édition originale de la plus grande rareté de ce plaidoyer par lequel Constant prend position dans l’affaire judiciaire et hautement médiatique « Wilfrid Regnault ». C. P. Courtney, A bibliography of editions of the writings of Benjamin Constant, I, 30. “Printers déclaration, 18 July, 1 000 copies, dépôt légal, 18-20 July, 1 000 copies.” (C. P. Courtney). Wilfrid Regnault, soupçonné d’avoir participé aux massacres de septembre sous la Révolution, est accusé de l’assassinat d’une servante du village d’Amfreville en Normandie. Le maire royaliste du bourg Bénigne Porte de Blosseville et le représentant du ministère public poussent les investigations à sa charge dans cette direction. Il est condamné à mort le 29 août 1817. Selon Benjamin Constant, la réputation du condamné a déterminé la sentence de la Cour d’Assises de l’Eure. En 1818, l’auteur publiera deux lettres adressées à M. Odillon-Barrot, avocat de Wilfrid Regnault, dans lesquelles il démonte méthodiquement et avec talent la machination judiciaire dont son client est victime. Le présent mémoire fait suite aux poursuites juridiques contre le marquis de Blosseville qui avait publié le 7 septembre 1817 dans le Journal des Débats un article contenant des propos calomnieux, reprenant la rumeur de mauvaise réputation du condamné. Pour Benjamin Constant, il s’agissait de savoir si une personne condamnée à mort avait le droit de défendre son honneur. « La lutte pour la liberté de la presse est accompagnée d’une campagne non moins virulente contre les abus de la justice criminelle. Constant, suivant l’exemple de Voltaire dans l’affaire Calas, mais plus hardi que son illustre prédécesseur, s’engage dans une affaire juridique qui dépasse de loin les limites d’un simple cas particulier : le procès contre Wilfrid Regnault accusé d’un meurtre que probablement, il n’a pas commis. Les brochures et articles de Constant sont une accusation de la procédure criminelle qui ne recule pas devant l‘arbitraire, et qui n’hésite pas, comme l’observe E. Laboulay à “mêler la politique à la justice et la police à la magistrature”, cela dût-il coûter la vie à un citoyen innocent. Constant, excellent juriste, profitant de sa riche expérience en procès, monte en épingle les fautes ou les infractions de la procédure de l’instruction, les erreurs matérielles sur lesquelles repose le jugement, les abus du pouvoir, les lésions du droit de défense. L’engagement humanitaire est incontestable. Mais il est, chez Constant, toujours doublé d’un engagement politique précis ; la critique des procès est en même temps un programme d’opposition. Car des erreurs matérielles, mêmes si elles sont graves et tirent à conséquence, doivent causer l’inquiétude, mais non pas nécessairement une crise politique ; mais lorsque Constant s’applique à les démontrer, on croit l’autorité judiciaire en danger. […] La vie de Regnault sera finalement sauvée mais il sera condamné à vingt ans de prison sans preuves. Constant n’a donc obtenu qu’un succès partiel, mais sa réputation dans le public a considérablement grandi. » Kurt Kloocke, Benjamin Constant, une biographie intellectuelle, p. 235, p. 353. Précieux exemplaire offert par l’auteur à Jean-Claude Beugnot, portant cet ex dono autographe sur le feuillet de titre : « M. Beugnot de la part de l’auteur ». Jacques-Claude Beugnot (1761-1835) eut de nombreuses responsabilités gouvernementales de la Révolution française jusque sous la Restauration. Il fut tour à tour préfet, ministre, puis député. Selon Alfred François Nettment (Histoire de la littérature française sous la restauration), il fréquentait le salon de Mme de Staël où il aura côtoyé Benjamin Constant, le Comte de Ségur ou encore M. de Talleyrand. Il se distinguait par sa personnalité de « causeur piquant, sérieux, gai et instructif, [qui] prend tous les tons avec succès, suivant les hasards de la conversation. ». Selon le Journal intime de Benjamin Constant, celui-ci lui aurait-même promis la Légion d’Honneur et les Mémoires de Jacques-Claude Beugnot témoignent de quelques discussions politiques qu’ils ont pu avoir. Bel et précieux exemplaire dédicacé par l’auteur et conservé dans son élégante reliure de l’époque en velours vert. Localisation des exemplaires : seules 3 Institutions françaises semblent posséder cette rare originale.
Lausanne, Institut Benjamin Constant / Genève, éditions Slatkine, 2005. Au sommaire : Benjamin Constant, romantique froid ? - Le moyen âge à Coppet - Johann Gottfried Herder et Benjamin Constant - Ethics and polytheism in Constant's early writings : the influence of Hume, Smith and Gillies - Benjamin Constant et la naissance du mot "individualisme" - An answer to the question : what is liberalism ? Benjamin Constant and Germany - L'idée de l'individualité dans les écrits politiques de Benjamin Constant - Two liberals on religion : Tocqueville and Constant compared - Lettres inédites de membres de la famille Constant à madame de Staël - Une lettre de Benjamin Constant à Charles Malo - Chronique des "Oeuvres complètes". In-8 broché, 286 pp. Très bon état, comme neuf.
Paris, 1814 - 1822 4 titres en un vol. in-8, demi-basane blonde à coins, dos lisse orné de guirlandes d'oves à froid, de filets, guirlandes et fleurons dorés, tranches marbrées (reliure de l'époque). Mors supérieurs fendus, coins abîmés.
Recueil de plusieurs textes politiques importants de Benjamin Constant à la période qui suit l'effondrement de l'Empire et la difficile mise en place du premier régime parlementaire que la France ait connu, et que l'ami de Madame de Staël voulait tirer dans le sens le plus libéral possible : I. De L'Esprit de conquête et de l'usurpation, dans leurs rapports avec la civilisation européenne. Quatrième édition, revue et augmentée. Paris, H. Nicolle, Le Normant, 1814, viij pp., 234 pp. Première édition parisienne. Cet ouvrage politique capital fut publié à Hanovre le 30 janvier 1814, pendant l'exil de l'auteur, et cette édition originale est absolument rarissime ; la seconde édition fut donnée en Angleterre, en mars de la même année. Le texte de notre édition a été considérablement remanié ; il demeure le plus fort réquisitoire contre les ressorts intimes du régime impérial, opposé par Constant à tout ce qui définit en positif l'esprit du siècle (développement des relations de commerce, et de la liberté individuelle). Il serait plus pertinent sans doute s'il ne s'appuyait surtout sur une tenace rancune personnelle (Constant fut volontairement tenu à l'écart des affaires par Napoléon pendant plus de dix ans). Courtney 10c.II. Principes de politique, applicables à tous les gouvernemens représentatifs et particulièrement à la constitution actuelle de la France. Paris, Alexis Eymery, mai 1815, xij pp., pp. 13-322, un f. n. ch. de table. Édition originale de ce traité important où Constant prend obligeamment le titre de "Conseiller d'État" que Napoléon lui avait donné à l'issue de l'entretien accordé au philosophe le 14 avril 1815. L'ami de Madame de Staël, qui comparait encore l'Empereur à Attila et à Gengis-Khan le 19 mars 1815, se voyait confier le soin de rédiger une nouvelle constitution "libérale" pour le régime restauré. Ce sera l'"Acte additionnel aux constitutions de l'Empire", promulgué le 22 avril après plusieurs entrevues entre Napoléon et Constant. Le présent ouvrage en forme pour ainsi dire le commentaire autorisé. La paternité du texte fit si peu de doutes dans l'opinion que cette nouvelle constitution fut brocardée sous le nom de "benjamine" Courtney, 17a.III. Annales de la session de 1817 à 1818. Paris, F. Béchet [Imprimerie de Poulet], 1817, [2] ff. n. ch., 136 pp., puis pp. 269-327. Ce texte forme un recueil d'amateur qui ne retient des Annales de la session de 1817, écrites à trois mains (par Constant, Pagès et Saint-Aubin) que les parties rédigées par Constant (I et V) et Pagès (II). Courtney 27a (1) et (5).IV. Lettre à Monsieur le Procureur-général de la Cour royale de Poitiers. Paris, chez les marchands de nouveautés, imprimerie de Constant-Chantpie, 1822, 24 pp. Très rare opuscule. Suite à l'arrestation du général Berton pour conspiration en 1820, l'acte d'accusation du procureur de la cour royale de Poitiers, Jean-Henri Mangin, parla d'une conjuration s'étendant aux Deux-Sèvres et au Maine-et-Loire. Les principaux auxiliaires étaient les membres d'une Société de Chevaliers de la Liberté connus aussi sous le nom de Carbonari. Il y avait eu en effet, disait-il, une sorte de fusion entre ces deux groupes originairement distincts, et le premier était devenu comme un degré d'initiation au second. Le procureur rapporta en outre des propos selon lesquels Laffitte, Foy, La Fayette et Benjamin Constant donnèrent des instructions à ces sociétés secrètes pour un nouveau mouvement à opérer sur Saumur, le but étant de détrôner le roi et de s'emparer de la famille royale. Cité nommément comme instigateur le 5 septembre 1822, Benjamin Constant fit paraître sa Lettre à Monsieur le Procureur-Général de la Cour royale de Poitiers le 17 du même mois, dans laquelle il affirme que le but de l'accusation a été de compromettre le plus de membres possibles de l'opposition. La destruction de cette brochure contenant des outrages contre des magistrats, fut ordonnée par arrêt de la Cour royale de Paris en date du 6 février 1823. Drujon, 222. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
, Kannibaal, 2016 Hardcover, Quadrichromie.29,2 x 24,5 cm, 240 bladzijden, NL tekst. in prima staat! ISBN 9789492081582.
Prachtig kunstboek bij de grote najaarstentoonstelling over Cobra-kunstenaar Constant Er is steeds meer internationale aandacht voor Constant, vergelijkbaar met de groeiende populariteit van Mondriaan. We willen New Babylon wereldwijd zo veel mogelijk tonen, zodat het jonge stedenbouwers, architecten, economen en politiek leiders blijft inspireren.? Benno Tempel, directeur Gemeentemuseum Den Haag Een wereld zonder grenzen. Mensen die niet hoeven te werken, maar dankzij volledige automatisering vrij zijn om te spelen en te reizen. Constant Nieuwenhuys (1920-2005) verbeeldde zijn ideeen over een nieuw soort mens (de homo ludens), samenleving en architectuur in een van de meest visionaire en omvangrijke projecten uit de naoorlogse kunstgeschiedenis: New Babylon. Hij zou er bijna twintig jaar lang, tot in 1974, aan werken. Tot op de dag van vandaag is zijn wereldwijde stad van de toekomst een inspiratiebron voor veel beeldend kunstenaars, denkers en architecten, onder wie Rem Koolhaas. Dit boek brengt niet alleen de veelzijdigheid van het project zelf in beeld, maar toont ook de verschillende stappen die Constant vanaf zijn Cobra-periode naar dit centrale project uit zijn oeuvre geleid hebben. Prachtige maquettes, tekeningen, kaarten, schilderijen, aquarellen en collages worden afgewisseld met foto?s, schetsen en andere vondsten uit zijn archief. Ook experimenten als de Ludieke trap en het Deurenlabyrinth komen aan bod, waardoor een compleet beeld ontstaat van een uiterst dynamische kunstenaar. Met teksten van Constant zelf en bijdragen door Laura Stamps, Willemijn Stokvis, Mark Wigley, Pascal Gielen, Rem Koolhaas en Trudy van der Horst. Het boek bij de grote overzichtstentoonstelling van Constant in het Gemeentemuseum Den Haag, van 28 mei tot en met 25 september 2016.
Editions Gallimard 2013 collection blanche. in8. 2013. broché. 250 pages. Très bon état
Gallimard : blanche 1980 in8. 1980. broché. Bon Etat intérieur propre nom du precedent proprietaire sur la tanche
Garnier 1955 in12. 1955. reliure demi-basane editeur. 332 pages. Bon Etat intérieur propre
Stock 1971 in8. 1971. Broché. 149 pages. Etat Correct tranche inferieure tachée
Librairie aristide quillet 1930 in12. 1930. reliure demi-basane editeur. 356 pages. Etat Correct d'usage
Gallimard / Blanche 2016 14x23x1cm. 2016. Fournitures diverses. 144 pages. Très bon état
Garnier 1963 in12. 1963. reliure demi basane editeur. 332 pages. Bon Etat intérieur propre reliure avec trace
Gallimard 1998 14x23x1cm. 1998. Broché avec son bandeau. 234 pages. Très bon état (TB)
Ed du bastion 1983 in4 a l'italienne. 1983. Broché. 124 pages. Etat Correct couverture usagée avec etiquette de prix
Gallimard 1994 14x20x2cm. 1994. Broché. 192 pages. Très bon état une tache sur la couverture (voir photo)
Gallimard 1980 in8. 1980. Broché. 218 pages. Bon Etat intérieur propre couverture légèrement salie