Write to the booksellers6 books for « condamnation »Edit
Adresse lue au nom des Jacobins de Paris, à la barre de la Convention Nationale.. Réponse du président de la convention. Discours prononcé par le citoyen Couthon, Représentant du peuple. Dans la séance du 27 floréal
Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (mai 1794) in-8, 8 pp., dérelié.
Discussions autour de l'Ètre Suprême amenant les intervenants à sanctionner avec force l'athéisme.Martin et Walter, 17636. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Ordonnance de M. le Lieutenant Général de Police. qui condamne les nommés Baudouin & Coustin, carriers à Puteaux, chacun en cinq cent livres d'amende, pour avoir exploité une carrière en cavage & sans permission, au territoire de Nanterre. Du 24 juillet 1782
A Paris, De l'Imprimerie Royale, 1782 in-4, 3 pp.
Signé de Lenoir. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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P., Club du Meilleur Livre, 1956, XLIV-234 pp., ill. d'après des bois gravés du XVème. (L.232)
Avant-propos, notes, notice chronologique de Raymond Oursel. Traduit, présenté et annoté par Raymond Oursel. Préface de R.P. Riquet, s.j.
Arrest du Conseil d'Estat du 2 Octobre 1742. Au sujet d'une rebellion contre les Employés de la Barrière des Porcherons, dans laquelle un Soldat aux Gardes avoit été tué.
Paris : P. Prault, 1743 In-4, 12 pages, broché.
La Barrière des Porcherons est une barrière d'octroi à Paris où eut lieu une rebellion dans laquelle le nommé Lombart fut arrêté et condamné par le châtelet de Paris pour la mort d'un soldat.
Jugement prévôtal et en dernier ressort qui déclare le nommé Jean-Hélène Bourquin, atteint & convaincu de vols, & le condamne à être pendu. Du 7 Juillet 1770.
Lyon : P. Valfray, 1770 In-4, 3 pages. Dérelié.
Bourquin "est condamné à être pendu & étranglé... jusqu'à ce que mort s'ensuive", pour avoir volé, chez la Veuve Louis, à St-George-de-Renain en Beaujolais, une culotte de ratine, un mouchoir de soie, un mouchoir de toile peinte, et un sac dans lequel se trouvaient cent cinq louis d'or. Ses complices assisteront à son exécution, puis seront conduits aux galères après avoir être marqués au fer rouge.
Jugement prévôtal et en dernier ressort qui déclare le nommé Pierre Courbon, atteint & convaincu de vols avec effraction, & le condamne à être pendu, etc. Du 6 Septembre 1770.
Lyon : P. Valfray, 1770 In-4, 3 pages. Dérelié.
Bandeau gravé en tête. Pierre Courbon âgé de 29 ans, né à Saint-Didier au Mont-d'or, convaincu de plusieurs vols avec effraction à Saint-Genis-les-Ollières, est condamné à être pendu et étranglé.
