Londres, et se trouve à Paris Madame veuve Laurent Prault 1787 in-8 dérelié
iv pp., 224 pp.Kress B 1209 A. Manque à Goldsmith, Einaudi, Pitot, Toussaint et Adolphe, Pardo de Tavera, Robertson, Cordier Japonica, Nipponalia. Édition originale de cette "radiographie" du commerce colonial en Asie et dans l'Océan Indien à la fin du XVIIIe siècle.Concerne la côte orientale de l'Afrique, Madagascar, Bourbon, l'ïle de France, les Îles Rodrigues, Jean de Lisboa, Séchelles et Praslin, la côte de Malabar, l'Hindoustan, la côte de Coromandel, le Bengale et l'occupation anglaise, le commerce du Bengale, Bornéo, les Moluques, Java, Sumatra, les Philippines, les compagnies hollandaises et espagnoles, Japon, Chine, Siam, Cochinchine, Tonkin, Macao, Nouvelle Hollande, etc., etc…L'auteur se livre ensuite à des réflexions sur le statut des compagnies commerciales en Inde: projets pour l'exploitation du commerce, doit-il se faire par une compagnie ou doit-on le laisser libre ? durée de l'exploitation accordées aux compagnies, expéditions en cours, etc…L'auteur est actionnaire de la nouvelle Compagnie des Indes. C'est en effet une période cruciale dans l'histoire de la Compagnie des Indes, liquidée et cédée au roi de France en 1770, quatre ans après l'exécution de Lally. "Les événements politiques qui suivirent tant de revers firent de nouveau rétablir la Compagnie. Le ministre Calonne espéra quelque temps en faire une ressource pour combler les vides dus à sa prodigalité et à ses déprédations. Il parut à cet époque de nombreuses brochures qui s'élevaient avec force contre cette nouvelle mesure administrative et contre le monopole qu'elle établissait. En vain l'abbé Morellet voulut la défendre ; des événements d'une haute importance, précurseurs de la Révolution de 1789, firent ajourner la question de la Compagnie des Indes, qui fut enfin supprimée par un décret de l'Assemblée constituante (14 août 1790). Les bureaux de Paris et de Lorient furent réunis au trésor public, et l'on maintint seulement ceux de Pondichéry et de l'Ile de France jusqu'à la fin de la liquidation.L'abbé Morellet venait de faire paraître, en cette même année 1787, une "Réponse précise au Précis pour les actionnaires de la Compagnie des Indes" (Amst. et Paris, in-8, 39 pp.).
Paris P.-G. Simon 1767 in-4 en feuilles
7 pp.En 9 articles. Pour faciliter la liquidation des dettes de la Compagnie des Indes dans les deux colonies susdites, les billets de caisses et ordonnances de la Compagnie pourront être utilisés pour l'achat de marchandises vendues pour la même Compagnie, ou pourront être convertis "en lettres de change sur le caissier de la Compagnie à Paris"
[Paris P.G. Simon 1785] in-4 de 12 pp. avec simple titre de départ dérel
Voir Wroth et Annan 2004 pour l'édition de l'Imprimerie Royale en 16 pp.La Compagnie des Indes avait été dissoute en 1770. En 1785, année de déficit et de grave crise financière, on tenta de rétablir la défunte Compagnie. "Le ministre Calonne espéra quelque temps en faire une ressource pour combler les vides dûs à ses prodigalités et à ses déprédations. Il parut à cette époque de nombreuses brochures qui s'élevaient avec force contre cette nouvelle mesure administrative et contre le monopole qu'elle établissait. En vain l'abbé Morellet voulut la défendre ; des événements d'une haute importance, précurseurs de la révolution de 1789, firent ajourner la question de la Compagnie des Indes, qui fut enfin supprimée par un décret de l'Assemblée constituante (14 août 1790). Les bureaux de Paris et de Lorient furent réunis au trésor public, et l'on maintint seulement ceux de Pondichéry et de l'Ile de France jusqu'à la fin de la liquidation" [Larousse]
Edit du roi, qui autorise les Syndics & Directeurs de la Compagnie des Indes à vendre & aliéner quatre cens soixante-dix-sept mille livres de Rente viagère, & porte établissement d'une Loterie.
Reference : 015622
Edit du roi, qui autorise les Syndics & Directeurs de la Compagnie des Indes à vendre & aliéner quatre cens soixante-dix-sept mille livres de Rente viagère, & porte établissement d'une Loterie. Paris, P.G. Simon, 1765. In-4, 8p. Edit du roi concernant une des loteries organisées par la Compagnie française des Indes orientales. Très bel état. [89]
GODEHEU - DAVID - MICHEL - GILLY - MAGON - J. COTTIN - ROFFAY - Directeurs de La Compagnie des Indes ( editors ) - :
Reference : 37640
"19. S.l. no printer's name, 1763, in-4°, 25 x 19,5 cm, 230 pp ( part I ) ; 161 pp ( Pièces Justificatives ) + (1)(errata) ; bound in contemporary full calf, raised gilt spine with red morocco gilt title label, all edges painted red, marbled endpapers. Nice copy with only minimal wear at binding. See Goldsmiths'-Kress no. 09859A. Higgs , H. Bibl. of economics 2944, 2946. Joseph François Dupleix ( 1697 - 1763) was the French colonial administator who defied the British East India Company and who tried to acquire territorial and political control in India. He failed in this policy and upon his forced return to France he claimed 13 millions from the Compagnie des Indes, money which he had advanced from his own pocket to finance the French campaigns against the English in India. He died in 1763, the same year as this defence by the Compagnie des Indes was published. This defence is an answer by the company to a '' Memoire pour le Sieur Dupleix...'' Goldsmiths 9478A, published by Dupleix in 1759. In the second part of the memoire by the Company , called '' Pieces justificatives...''. pp. 71-161 are exclusively devoted to the accounts of the Company in India. The Company's defence seems to be much rarer than Dupleix memoire, possibly because his death in 1763 resolved the matter. ( Compagnie des Indes , Colonial Companies , France , India , Pondicherry ).."
Paris P. G. Simon, imprimeur du Parlement 1767 in-4 de 7 pp. dérelié, avec simple titre de départ, sous couv. pastiche moderne
Pour faciliter la liquidation des dettes de la Compagnie des Indes dans les colonies, les billets de caisses et ordonnances de la Compagnie pourront être utilisés pour l'achat de marchandises vendues pour la même Compagnie, ou pourront être convertis "en lettres de change sur le caissier de la Compagnie à Paris"
S.l., 1790 in-4, 27 pp., broché sous couverture factice de papier coquille du XIXe. Salissures aux 2 premiers ff.
Défense du privilège de la Compagnie des Indes orientales & de la Chine, menacé par les décisions de l'Assemblée nationale : "Il s'agit maintenant de démontrer non-seulement que ce privilège est utile, mais qu'il est absolument impossible de faire le commerce de l'Inde avec succès, sous tout autre régime". En effet, en décrétant le 3 avril 1790 que "le commerce de l'Inde, au-delà du cap de Bonne-Espérance, est libre pour tous les Français", elle privait ainsi la Compagnie de son monopole. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
MÉZIN Louis ( rédacteur en chef ) - Musée de la Compagnie des Indes - Port-Louis ( éditeur ) :
Reference : 54276
Port-Louis, Musée de la Compagnie des Indes, 2003, in-4°, 27 cm, 95 pp. couverture souple d'origine. (comme publié). Réunion des articles sur le V.O.C. ( Compagnie Hollandaise des Indes).
Genève, et se trouve à Paris chez les marchands de nouveautés 1788 in-8 dérelié
84 pp.Sur la création de la nouvelle (troisième) Compagnie des Indes orientales et de la Chine, qui avait vu le jour le 3 juin 1785 à l'initiative de Guillaume Sabatier et de Pierre Desprez. Soutenue par Calonne, elle était dotée d'un capital de 20 millions de livres, et jouissait du monopole du commerce à l'est du cap de Bonne-Espérance (à l'exception des Mascareignes, qui restaient ouvertes au commerce libre). Elle installa ses bureaux parisiens à l'hôtel Massiac,prend possession des bâtiments, magasins et ateliers de l'ancienne compagnie à Lorient et Marseille, arma 17 bateaux et prospéra très rapidement. Les bénéfices permirent en effet de distribuer un dividende de 18% en 1788 et de 16% en 1789. Mais son existence fut brève, puisqu'elle fut remise en question par la politique de l'Assemblée constituante dès 1790
Paris veuve Saugrain & Pierre Prault s.d. [1719] in-4 en feuille
4 pp.Supprime les rentes sur la ferme des greffes, transférée à la Compagnie des Indes, dans le cadre de la mise en place du Système
Paris Imprimerie royale 1727 in-4 en feuille
4 pp."Le Roy ayant esté informé des fraudes qui se commettoient à la faveur du transit accordé aux marchandises provenant des ventes de la Compagnie des Indes à Nantes (...) a ordonné que les marchandises provenant des ventes de la Compagnie des Indes, déclarées pour les provinces de Limosin, Auvergne, Guyenne, Languedoc & autres sortant par la province de Poitou, ne pourroient joüir du bénéfice du transit, qu'à la charge d'estre conduites directement dans l'une desdites villes de Clermont & Limoges, pour y estre visitées au bureau du controlle"
Paris Pierre-Guillaume Simon 1749 in-4 en feuilles
7 pp.Interprète et renouvelle les dispositions de l'édit de décembre 1717 : "Voulons (..), que l'établissement fait en l'Hôtel de la Compagnie des Indes à Paris, d'un dépôt libre & volontaire des actions, continue d'avoir lieu pour ceux des actionnaires qui y ont déposé ou voudront par la suite y déposer leurs actions"
Paris P. G. Simon, imprimeur du Parlement 1767 in-4 de 8 pp. dérelié, avec simple titre de départ
Description des conditions de cette loterie, nouvel emprunt public de la Compagnie des Indes imaginé pour liquider ses dettes et relancer son commerce (annéanti après la guerre qui opposa la France et l'Angleterre)
Paris Imprimerie royale 1786 in-4 de 6 pp. et 1 f.n.ch. dérelié, avec simple titre de départ
Description des conditions d'acquisition des nouvelles portions d'intérêt, qui serviront à l'augmentation du capital de la Compagnie des Indes… Malgré tout, la liquidation en sera prononcé le 14 août 1790
Paris Baudouin 1790 in-8, titre et 34 pp. en ff., non rogné
Goldsmiths 14179. Édition originale.Intéressant document publié à la veille de la liquidation définitive de la Compagnie des Indes
Paris P.G. Simon et N.H. Nyon 1786 in-4 broché, couverture factice
3 pp.Wroth 2036 (à l'adresse de l'Imprimerie Royale).Rare.
Paris P.-G. Simon s.d. [1770] in-4 dérelié
4 pp.
Paris P.-G. Simon 1776 in-4 en feuille
4 pp.Affecte un seul agent de recouvrement dans les deux îles, en lieu et place des commissaires chargés des opérations de liquidation de la Compagnie des Indes
Aix Joseph Senez s.d. [1725] in-4 en feuilles
8 pp., annotations manuscrites d'enregistrement (du 17 mai 1726).Wroth & Annan, 1097-1099 (impressions de Paris et Lille). Rappelant la création en 1717 de la fameuse "Compagnie d'Occident" du Système de Law, les 29 articles de l'édit récapitulent les différents privilèges dont ladite Compagnie bénéficiait pour le commerce colonial (e.g. commerce exclusif de la traite des Noirs aux côtes d'Afrique ; commerce du castor ; commerce de la vente du café, etc.)
[(Paris) De l'Imprimerie de Louis Cellot 1768] in-4 de 110 pp. et 1 f. blanc br., sans couv., conservé dans une boîte moderne de papier bleu avec pièce de titre rouge, mouill. claires dans les marges ext. de qq. ff
Intéressant mémoire sur une sombre affaire ayant eu lieu à Pondichéry dans les années 1765-1767.Se trouvant dans l'obligation de se rendre à Chandernagor en 1765 pour y rétablir les comptoirs de la Compagnie des Indes, Jacques-François Law de Lauriston (1724-1785), commandant la place de Pondichéry, nomme à la tête du Conseil provisionnel de cette ville un sieur Boyelleau, employé de la Compagnie ; celui-ci se rend à Pondichéry dès le 31 décembre 1765.A partir de cette date, et pour une durée de deux ans, Boyelleau gouverne et administre comme un petit tyran, multipliant les intrigues et les exactions, notamment à l'encontre des militaires en poste à Pondichéry. A son retour, Law de Lauriston n'en croit pas ses yeux: "Vexation, tyrannie, concussion, fausses imputations contre plusieurs personnes qu'il [Boyelleau] a fait emprisonner innocemment, sévérité dure & blâmable pour les fautes les plus légères, Citoyens flétris & déshonorés sans preuves, & même sans faits (…): mille autres choses plus horribles pendant tout le cours de son administration (…) & pardessus tout cela sa désobéissance criminelle aux ordres du Roi & de la Compagnie, &c. (…) Le sieur Law & son Conseil, d'une voix unanime, arrêtèrent que le sieur Boyelleau & ses Conseilliers seroient renvoyés en Europe sur le vaisseau le Massiac (…) pour rendre compte de leur conduite".Bon exemplaire
S.l., 1723 42 x 29,
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
MÉZIN Louis ( rédacteur en chef ) - Musée de la Compagnie des Indes - Port-Louis ( éditeur ) :
Reference : 54277
Port-Louis, Musée de la Compagnie des Indes, 2001, in-4°, 27 cm, 119 pp. couverture souple d'origine. (comme publié). Publication bi-lingue (Français - Anglais ).
P., Imprimerie Royale, 1770. In 4° de 7 pp., bandeau gravé.
Cession de tous les biens et droits appartenants à la Compagnie».
Paris, Baudouin, 1790 in-8, 34 pp. et 34 (pièces justificatives)-[2] pp., bradel papier marbré (rel. moderne).
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Édit du Roi pour la décharge et libération de la Compagnie des Indes (1725)
Reference : 43857
(1725)
Claude-Gilles Lecamus Couverture souple Toulouse 1725
Très bon In-8. 11 pages. Dérelié d'un registre, petits trous de vers en marge. Important édit visant l'annulation des dettes des actionnaires de cette entreprise coloniale. Mention "donné à Versailles, par Louis, et Phelypeaux". Rare impression toulousaine.