Eulalie Comettant (1826-1898), cantatrice, professeur de chant, première femme à être nommée officier d'académie, épouse du compositeur Oscar Comettant.
Reference : 012542
Eulalie Comettant (1826-1898), cantatrice, professeur de chant, première femme à être nommée officier d'académie, épouse du compositeur Oscar Comettant. L.A.S., 3 février 1852, 1pœ in-8. Intéressante lettre indiquant à son correspondant le programme qu'elle prévoit de chanter : Polacca dei Puritani (Vincenzo Bellini), le duo du Caïd (Ambroise Thomas) avec le Hermann-Léon, Romance des Porcherons (Albert Grisar) et La numphe Echo (Oscar Comettant) accompagnée au hautbois par Triebert (probablement Frédéric). [249]
Paris, Librairie Fischbacher, 1890.Un volume in-12 de 364 pages. Reliure demi-chagrin noir à coins de l'époque, dos à nerfs orné, titre doré (traces d'usure, dos légèrement éclairci).Édition originale de cette histoire des Pleyel.Envoi autographe signé à Léon Mignot : « À mon ami Léon / Mignot qu'un seul / piano exaspère, j'offre / ces 100 000 pianos. / Sans rancune, n'est-ce / pas, cher ami ? / Oscar Comettant ».
Oscar Comettant (né à Bordeaux le 18 avril 1819 mort à Montivilliers 24 janvier 1898) est un compositeur, musicologue et voyageur français.Entré au Conservatoire de Paris de 1839 à 1843, il étudie la composition avec Carafa.À partir de 1844, il est un pianiste de salon et compositeur populaire.Après avoir vécu aux États-Unis de 1852 à 1855, Comettant s'est fait connaître à Paris en tant qu'écrivain. Ses articles de périodiques, informatifs, polémiques et attrayants à lire, ont été publiés dans Le musée des familles, La gazette musicale, La mélomanie, Le ménestrel, La France musicale, L'art musical, Le luth français, L'almanach musical et Le siècle , dont il était le critique musical pendant de nombreuses années. Il a écrit des livres sur divers sujets: pour le compte du gouvernement français, il a effectué plusieurs tournées à l'étranger (par exemple en Australie et en Scandinavie) pour étudier les musiques autochtones, et les résultats de ses recherches constituent une grande partie de ses publications.Il repart en voyage en 1864 et visite le Danemark puis en juillet 1888, est nommé juré français à l'Exposition universelle de Melbourne en Australie où, partit de Marseille le 1er août, il arrive le 6 septembre, il rencontre des squatters et des aborigènes à Lilydale puis il se rend à Sydney.Après avoir composé son Salut à Melbourne pour piano, il rentre en France le 28 décembre 1888.En 1871, lui et son épouse, qui était chanteuse, fondèrent ensemble l'Institut Musical, une école de musique pour femmes.Les compositions de Comettant incluent de la musique pour piano, des chansons, de la musique de chambre et des pièces de chorale, parmi lesquelles une Marche des travailleurs en 1848, dédié à lOrphéon de Paris, pour lequel il a remporté un prix.
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin vert à grain long, dos à 4 nerfs orné, Pagnerre, Paris, 1860, 2 ff., frontispice, 552 pp. [ On joint : ] "Appel au Public", prospectus d'Adolphe Sax, Imp. J. Kugelmann, Paris, s.d. [ circa 1874-1880 ? ], 4 pp.
Exceptionnel exemplaire de l'édition originale de la biographie très détaillée d'Adolphe Sax (1814-1894), l'inventeur du saxophone et du saxhorn, dédicacé par l'auteur et enrichi d'un billet autogaphe signé d'Adolphe Sax monté en tête : "Mon cher ami, la Cour en audience solennelle vient de prononcer ma réhabilitation". L'exemplaire est enrichi d'une superbe dédicace d'Oscar Comettant à l'écrivain Jules Lecomte : "Acceptez, cher Mr Jules Lecomte, cet exemplaire d'une histoire commencée au moment où le héros qui en est le sujet semblait ne plus tenir à ce monde que par un fil, le bistouri. Le bistouri a été écarté, le héros se porte à merveille, en vie [...... ] sa vie, ce qui, je l'espère, n'offusquera personne, pas même la faculté de médecine qui l'avait déclaré mort, et même un peu enterré, je crois. Paris, 19 décembre 1859". On joint un "Appel au Public" d'Adolphe Sax dans lequel il demande le soutien du public contre ses contrefacteurs, et évoque son deuxième dépôt de bilan en 1873 ainsi que les effets néfastes de la "dissimulation d'une réhabilitation légalement établie", ce qui fait écho aux termes de son billet autographe. Né à Bordeaux, le musicologue Oscar Comettant (1819-1898) fut aussi un voyageur fameux (notamment aux Etats-Unis, au Danemark ou en Australie), plus intéressé aux institutions, à la vie politique et à l'éducation qu'aux grands paysages. Comettant sait être didactique (il use souvent de dialogues fictifs très accessibles pour exposer les sujets les plus complexes) et précis dans cet ouvrage étonnant, publié alors que son contemporain Adolphe Sax n'avait que 56 ans ; mais Sax avait alors déjà inventé le saxophone, le saxhorn, le saxotrombas, développé le clairon et les ancêtres du trombone à coulisse et du saxtubas, et perfectionné le hautbois ; en 1876, il inventera le tuba wagnérien. Etat très satisfaisant (petits mq. de cuir aux mors en coiffes, petit accroc sans mq. à un feuillet du prospectus, petites mouill. marginales, bon exemplaire par ailleurs) pour cet exemplaire exceptionnel provenant de la bibliothèque de l'écrivain Jules Lecomte (1810-1864) et qui fut vendu en 1864 lors de la dispersion aux enchères de ses nombreux livres (on le retrouve sous le numéro 112 du "Catalogue" de cette vente).
Paris, Librairie Fischbacher, 1890.Un volume relié in-12 de 386 pages. Reliure demi-chagrin noir à coins de l'époque, dos à nerfs orné, titre doré (traces d'usure, dos lég. éclairci, brunissures).Édition originale. Envoi autographe signé à Léon Mignot daté de Paris, 15 septembre 1891.
Oscar Comettant (né à Bordeaux le 18 avril 1819 mort à Montivilliers 24 janvier 1898) est un compositeur, musicologue et voyageur français.Entré au Conservatoire de Paris de 1839 à 1843, il étudie la composition avec Carafa.À partir de 1844, il est un pianiste de salon et compositeur populaire.Après avoir vécu aux États-Unis de 1852 à 1855, Comettant s'est fait connaître à Paris en tant qu'écrivain. Ses articles de périodiques, informatifs, polémiques et attrayants à lire, ont été publiés dans Le musée des familles, La gazette musicale, La mélomanie, Le ménestrel, La France musicale, L'art musical, Le luth français, L'almanach musical et Le siècle , dont il était le critique musical pendant de nombreuses années. Il a écrit des livres sur divers sujets: pour le compte du gouvernement français, il a effectué plusieurs tournées à l'étranger (par exemple en Australie et en Scandinavie) pour étudier les musiques autochtones, et les résultats de ses recherches constituent une grande partie de ses publications.Il repart en voyage en 1864 et visite le Danemark puis en juillet 1888, est nommé juré français à l'Exposition universelle de Melbourne en Australie où, partit de Marseille le 1er août, il arrive le 6 septembre, il rencontre des squatters et des aborigènes à Lilydale puis il se rend à Sydney.Après avoir composé son Salut à Melbourne pour piano, il rentre en France le 28 décembre 1888.En 1871, lui et son épouse, qui était chanteuse, fondèrent ensemble l'Institut Musical, une école de musique pour femmes.Les compositions de Comettant incluent de la musique pour piano, des chansons, de la musique de chambre et des pièces de chorale, parmi lesquelles une Marche des travailleurs en 1848, dédié à lOrphéon de Paris, pour lequel il a remporté un prix.
Paris, L. Sauvaitre, 1891.Un volume relié in-12 de 151 pages. Reliure demi-chagrin noir à coins de l'époque, dos à nerfs orné, titre doré (traces d'usure, dos lég. éclairci).Édition originale. Long envoi autographe signé à Élisabeth, nièce de Léon Mignot, daté du 15 septembre 1891.
Oscar Comettant (né à Bordeaux le 18 avril 1819 mort à Montivilliers 24 janvier 1898) est un compositeur, musicologue et voyageur français.Entré au Conservatoire de Paris de 1839 à 1843, il étudie la composition avec Carafa.À partir de 1844, il est un pianiste de salon et compositeur populaire.Après avoir vécu aux États-Unis de 1852 à 1855, Comettant s'est fait connaître à Paris en tant qu'écrivain. Ses articles de périodiques, informatifs, polémiques et attrayants à lire, ont été publiés dans Le musée des familles, La gazette musicale, La mélomanie, Le ménestrel, La France musicale, L'art musical, Le luth français, L'almanach musical et Le siècle , dont il était le critique musical pendant de nombreuses années. Il a écrit des livres sur divers sujets: pour le compte du gouvernement français, il a effectué plusieurs tournées à l'étranger (par exemple en Australie et en Scandinavie) pour étudier les musiques autochtones, et les résultats de ses recherches constituent une grande partie de ses publications.Il repart en voyage en 1864 et visite le Danemark puis en juillet 1888, est nommé juré français à l'Exposition universelle de Melbourne en Australie où, partit de Marseille le 1er août, il arrive le 6 septembre, il rencontre des squatters et des aborigènes à Lilydale puis il se rend à Sydney.Après avoir composé son Salut à Melbourne pour piano, il rentre en France le 28 décembre 1888.En 1871, lui et son épouse, qui était chanteuse, fondèrent ensemble l'Institut Musical, une école de musique pour femmes.Les compositions de Comettant incluent de la musique pour piano, des chansons, de la musique de chambre et des pièces de chorale, parmi lesquelles une Marche des travailleurs en 1848, dédié à lOrphéon de Paris, pour lequel il a remporté un prix.
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., Paris, 22 janvier 1877, 2p in-8. A Maurice Faure (1850-1919) ou Eugène Baudouin (1842-1893), tous deux secrétaires de La Cigale. Intéressante lettre autour d'une publication de la Cigale pour laquelle ses « collègues cigaliens ont envoyé des pièces déjà publiées ». Il propose une « petite comédie » déjà publiée mais dans une version quasi-inédite après une édition qui ne fut quasiment pas vendue. Il souhaite que le comité de la Cigale donne son avis. Il signale que parmi les rares personnes à avoir eu un exemplaire de la première version, il y a Charles de Lorbac (ca.1829-1903) - un des premiers wagnériens et membre de la Cigale. La Cigale, société des Méridionaux de Paris, fut fondée en 1876 par Louis-Xavier de Ricard, Faure et Baudouin, et fut un mouvement proche du félibrige. Comettant en fut le premier président. Nous ne sommes pas certain que la publication annoncée ici eut lieu. En effet, suite à la catastrophe de Graissessac (coup de grisou en février, 45 morts), les secrétaires organisèrent une soirée dramatique et musicale au profit des mineurs. Cette soirée eut lieu le 16 avril 1877. Intéressante lettre. [364]
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., Arcachon, 15 septembre 1863, 2p in-8. A l'écrivain et journaliste Gabriel Hugelmann (1828-1889), fondateur du Journal de Bordeaux. Longue et belle lettre pour recommander à son correspondant sa femme qui est engagée au casino d'Arcachon et pour laquelle il demande un article. Afin de le motiver, il lui promet un article en retour, sur sa pièce Les vins de Bordeaux. Sa femme chantera notamment du Rossini, du Mozart ou encore du Félicien David. On joint une lettre d'Eulalie Cade (1826-1898), l'épouse de Comettant, qui intervient auprès d'un « monsieur Edouard » en faveur de son mari. [132]
1866 P. , Laplace 1866; gr. in-8 d. chagrin noir, Tranches dorées. Rouss. 469 pp. 22 gravures ht.texte dont 4 en coul.
exemplaire un peu dérelié, petits manques au dos
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte, Pagnerre, Paris, 1860, 2 ff., 552 pp.
Très rare exemplaire de l'édition originale de la biographie très détaillée d'Adolphe Sax (1814-1894), inventeur du saxophone et du saxhorn. Etat satisfaisant (anciens cachets du cercle philharmonique de Bordeaux, reliure frottée avec mq. en coiffes, petite pliure à qq. ff. en coins mais belle fraîcheur intérieure générale). Né à Bordeaux, le musicologue Oscar Comettant (1819-1898) fut aussi un voyageur fameux (notamment aux Etats-Unis, au Danemark ou en Australie), plus intéressé aux institutions, à la vie politique et à l'éducation qu'aux grands paysages. Comettant sait être didactique (il use souvent de dialogues fictifs très accessibles pour exposer les sujets les plus complexes) et précis dans cet ouvrage étonnant, publié alors que son contemporain Adolphe Sax n'avait que 56 ans ; mais Sax avait alors déjà inventé le saxophone, le saxhorn, le saxotrombas, développé le clairon et les ancêtres du trombone à coulisse et du saxtubas, et perfectionné le hautbois ; en 1876, il inventera le tuba wagnérien.
Comettant veut attirer l'attention de son correspondant sur le fait de la ...réouverture de nos cours (sa femme et lui) dans notre nouveau domicile... et le prie d'insérer la note qu'il a jointe portant l'annonce de leur nouvelle adresse...
Achille Faure 1864 1 vol. broché in-12, broché, couv. saumon illustrée, (4)-392 pp. et quelques feuillets publicitaires. Dos fendillé et recollé, sans manque, bordures de couverture défraîchies. Sinon exemplaire solide, intérieur propre.
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., Paris, 15 octobre 1876, 1/2p in-12. Il envoie des notes au critique musical Johannès Weber (1818-1902) pour le journal Le Temps. Le reste de la feuille, recto-verso, est rempli de notes, probablement de ce Weber. [132]
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., 17 juillet [1863], 1p in-8. Il autorise son correspondant, monsieur Vincent, à utiliser les extraits de ses livres pour son journal. Il cite Musiciens et musiciennes et un nouveau-né Les civilisations inconnues (publié en 1863). Il cite notamment deux textes de ce dernier, L'amour au Japon et La physiologie du diamant. [132]
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., lundi 25 mars, 1p in-8. Il demande deux places au directeur du théâtre des variétés pour la représentation du soir. [132]
Oscar Comettant (1819-1898), compositeur, musicologue, voyageur. L.A.S., sd, 1p 1/2 in-8. Lettre de reproche à son correspondant qui lui avait donné sa « parole d'honneur » qui passerait lui remettre une « chose » promise dans la soirée (probablement la veille). « Peut-être avez-vous encore cette fois oublié mon adresse ». Il envoie donc son beau-père, porteur de cette lettre. Il semble que le beau-père n'ait eu aucune réponse, une note indiquant « sans rép. ». [132]
Paris, L. Baschet, [1876]. 19 x 24 cm. Portrait en photoglyptie sur papier fin contrecollé sur carton fort avec cadre et titre, issu de la publication hebdomadaire « formant album de luxe » intitulée « Galerie Contemporaine littéraire, artistique », 2e série, n°5, publiée par L. Baschet à Paris, 126 boulevard de Magenta, en 1876. Photo Goupil & Cie.Cliché de Mulnier. Dimensions de la photoglyptie : 19 x 24 cm. Dimensions du carton : 26 x 35 cm. Portrait accompagné dun double feuillet contenant la notice biographique du compositeur, signée d'Oscar Comettant, et un extrait en fac-similé d'une fugue instrumentale (inédite) par Gounod. On joint également la couverture papier originelle de la livraison (27,5 x 36,5 cm), imprimée et illustrée d'une composition à figures allégoriques de Grasset (Imprimerie Bernard).
Publiée de 1876 à 1884, la collection complète de la Galerie Contemporaine, littéraire, artistique, compte 242 biographies illustrées de 410 photographies, dont 241 portraits reproduits en photoglyptie par la maison Goupil et Cie. La photoglyptie, ou woodburytype, est un procédé opto-mécanique de reproduction et d'impression d'images photographiques inventé par le Britannique Walter Bentley Woodbury en 1864. Inaltérable, diffusable en grand nombre car bien moins coûteux que les tirages argentiques, ce procédé connut pendant trente ans un énorme succès dans la presse et lédition. En effet, il était pratiquement impossible de distinguer le tirage en photoglyptie de la photographie originale ! Goupil et Cie fit appel aux grands noms de la photographie de lépoque pour réaliser les portraits de célébrités contemporaines, notamment : Les Photographies sont de : Antoine Samuel Adam-Salomon ; Eugène Appert ; Charles Bertall ; Bertall et Cie ; Numa Blanc ; Adolphe Block ; Boussod, Valadon et Cie ; Alphonse Braun ; Étienne Carjat ; Franck ; Jacques Edmond Maurice Lecadre ; Augustin Aimé Joseph Le Jeune ; Fernand Lochart ; Charles Marville ; Achille Mélandri ; Mulnier ; Félix Nadar ; Étienne Neurdein ; Pierre Petit ; etc. Jusquen 1880, 236 livraisons hebdomadaires proposent en alternance 2 séries, la première consacrée aux peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, architectes, etc., la deuxième aux littérateurs, prosateurs, poètes, musiciens, etc. En 1881, un nouveau titre (Galerie contemporaine artistique : Peintres & sculpteurs, Nouvelle série) accompagne une nouvelle périodicité, bimensuelle. Certains portraits seront repris en collections, après 1884 : par exemple par Paul Lacroix (le bibliophile Jacob), qui sassocie au relieur Magnier pour proposer une édition bibliophilique en 8 volumes, la Galerie contemporaine des illustrations françaises. Baschet lui-même en rééditera, non seulement dans sa Revue illustrée en 1888, mais aussi au sein dune collection alphabétique de 7 volumes, rassemblant 222 peintres et sculpteurs, inscrite au catalogue de sa librairie en 1890 comme Album de la Galerie contemporaine : biographies et portraits. Très bel état du portrait, quelques rousseurs sur la notice biographique et la chemise de livraison (dont les bords sont fragilisés). Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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1880 Ensemble comprenant un portrait photographique original (photoglyptie) vers 1880 et un feuillet de biographie in4 (format 14.5 x10 pour le portrait lui-même) -
Très bon état -
Paris Achille Faure 1866 in-8 broché, cachets
32 pp.Polak 1860. Rare opuscule apologétique, dédié à Mgr Dupanloup, par le compositeur et musicien Oscar Jean-Pierre Comettant (1819-1898), lequel avait effectué une tournée de trois ans aux Etats-Unis (1852-1855), s'intéressant de près aux moeurs, aux mentalités et aux institutions américaines. Il réagit ainsi à l'attribution par nombre de prédicateurs protestants (dont le révérend Smith) à une colère divine spécifique du récent naufrage de l'Evening star qui fit plus de 300 victimes ; c'était en effet de la très mauvaise théologie prédestinianiste comme seules les sectes protestantes savent en produire
Paris, A. Laplace, ancienne Maison Morizot, 1866. Grand in-8° (27x19cm), demi-chagrin rouge cerise, dos à nerfs soulignés de filets à froid, fleurons décoratifs dorés, titre doré, toutes tranches dorées, reliure de l’époque. VII, (1), 469, (1)pp. illustré de 22 belles planches gravées sur acier protégées par des serpentes, dont 4 finement coloriées à la main. Très bel exemplaire, frais dans l’ensemble et dans une belle reliure de l’époque. COMETTANT entreprit un tour des Etats-Unis et rendit compte des évènements politiques de l’époque notamment la scission nord sud. 22 planches hors texte gravées par Willmann, Outhwaite, Ferdinand, Lalaisse et Golin.. The work was originally published in smaller format without plates. Comettant visited New-York, Niagara Falls, Montreal Quebec, Philadelphia and comments on hotels food, black minstrels, elegant society etc. Very nice copy, quarter contemp. gilt back, no foxing.
Achille Faure, Paris, 1866. 1866 Plaquette In 8 broché de 32 pages. Lettres d' Oscar Comettant au Révérend Charles B. Smith de l'Eglise Presbytérienne d'Amérique. Quelques rousseurs sinon bon exemplaire.
1861 br. (couv. illustré, tr. dorées) in-12, 64pp., illustré, P. Collignon 1861
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris Pagnerre 1858. In-18 broché 389pp 1f 32pp catalogue. Légères mouillures en bordure de certains feuillets.
Sabin 14939. Monagham 463. Numa Broc Amérique p86. Le Bordelais Oscar Comettant (1819-1898) était pianiste soliste. Alors qu'il était en tournée dans le Nouveau Monde, ses nombreux déplacements lui permirent de se faire une idée juste de la vie américaine dont il présente la politique, les religions, le système éducatif, les problèmes de l'esclavage.
Couverture rigide. Reliure demi-chagrin très abîmée (manques importants). 364 pages. Quelques rousseurs ne nuisant pas à la lecture.
Livre. Editions Pagnerre, 1857.
Paris, Dentu 1886 xiii + 94pp.+ 4 planches dépliantes (fac-similé des lettres de Haydn, Chopin, Hector Berlioz et Beethoven), 2e édition augmentée considérablement de lettres et de documents nouveaux, 20cm., br.orig. avec qqs.rousseurs, non coupé, texte très frais, bon état, M81261
Paris, Au Ménestrel/ Heugel & cie. 1874 35pp., + frontispice (portrait photographique original, contrecollé), 21cm., brochure originale, quelques rousseurs, bon état, M108012