Editions France Empire Dos carré collé 1979 "Six volumes in- 8 (15,5 x 24 cm), dos carré collé, ces six tomes édités entre 1979 et 1983 comprennent : tome 1 : ""L'entre-deux guerres""(382 pages), tome 2 : ""Le 10 mai 1940"" (323 pages), tome 3 : ""Sedan"" (318 pages), tome 4 : ""De la Norvège aux Flandres"" (317 pages), tome 5 : ""La bataille de France"" (322 pages), tome 6 : ""Fors l'honneur"" (459 pages). Envois de l'auteur sur les deux derniers volumes ; dos un peu plissés, tomes 1 et 6 légèrement cornés, coiffes quelque peu frottées, rousseurs et traces éparses aux tranches, mors supérieur du tome 2 fendillé en queue, bon état général par ailleurs. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Un ouvrage de 383 pages, format 135 x 210 mm, illustré, relié cartonnage sous jaquette couleurs, publié en 1964, Librairie Acédémique Perrin, bon état
Tome II des souvenirs du Colonel Rémy
Phone number : 04 74 33 45 19
Un ouvrage de 380 pages, format 135 x 210 mm, illustré, relié cartonnage sous jaquette couleurs, publié en 1964, Librairie Acédémique Perrin, bon état
Tome I des souvenirs du Colonel Rémy
Phone number : 04 74 33 45 19
Un ouvrage de 349 pages, format 210 x 140 mm, illustré, relié cartonnage sous jaquette couleurs, publié en 1964, Librairie Acédémique Perrin, bon état
Tome III des souvenirs du Colonel Rémy
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Un ouvrage de 565 pages, format 155 x 240 mm, broché, publié en 1998, Editions du France-Empire, bon état
Mémoires d'un agent secret de la France Libre. Tome I (18 juin 1940-19 juin 1942). Edition revue et augmentée, avec un témoignage autographe du Général de Gaulle et une postface du Colonel "Passy", fondateur et chef des services secrets de la France Libre
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P., Aux Trois Couleurs, 1945, gr. in-8°, 552 pp, un portrait photographique de l'auteur et 10 pl. de photos hors texte, fac-similé d'une lettre du général de Gaulle, une carte, index des noms et des pseudonymes, broché, couv. lég. abîmée avec pt mques, papier lég. jauni, état correct. Edition originale sur papier courant (achevé d'imprimer septembre 1945)
"Célèbres mémoires de Rémy qui donnent sur la clandestinité en France un témoignage de premier ordre." (Revue française de science politique) — "Empreint d’un ton romanesque particulièrement affirmé, ce premier volume des Mémoires d’un agent secret de la France libre dresse avant tout le portrait d’un homme en proie à mille tourments et n'hésitant pas à dévoiler ses faiblesses, ce qui confère à ce récit une tonalité toute particulière. Le 18 juin 1940, Gilbert Renault (alias « colonel Rémy ») rallie l’Angleterre et rencontre le Général de Gaulle, dont il gagne immédiatement la confiance. A sa demande, il accepte de mettre en place un réseau de renseignement français œuvrant pour le BCRA. Après avoir traversé la France de ville en ville, Gilbert Renault parvient au prix d’immenses efforts à gagner la confiance d’hommes et de femmes aux origines diverses, nouant de solides liens d’amitié. Il évoque également son quotidien de résistant avec ses problèmes matériels et ses difficultés d’ordre personnel. Père de famille nombreuse, « Rémy » souffre terriblement de l’absence de ses proches qu’il sait menacés, alors même que son plus jeune fils est emporté par la maladie. A mesure que se développe le réseau – apportant aux alliés de précieux renseignements militaires – surviennent les premières arrestations qui attisent les angoisses de ce chef aux grandes responsabilités. La foi constitue son principal soutien lui qui, catholique pratiquant, décide le 24 décembre 1941 de baptiser son réseau Confrérie Notre Dame (CND) afin de le placer sous la protection de la vierge Marie. Très conservateur, Gilbert Renault s’emploie pourtant de façon surprenante à tisser des liens avec les responsables du mouvement Libération Nord et ceux du Front National, d’obédience communiste. En juin 1942, conscient d’être en grand danger, lui et sa famille parviennent à se réfugier en Angleterre." (Manuel Valls-Vicente, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)
P., Grange Batelière, 1972, in-8°, 286 pp, 32 pl. de photos hors texte, reliure skivertex carmin éditeur, dos lisse orné de caissons dorés, titres et encadrement dorés au 1er plat, bon état
Né à Vannes (Morbihan) le 6 août 1904, Gilbert Renault, directeur d'un organisme de financement des films français en 1937, a vu sa vie transformée par la guerre où il est devenu Rémy, celui dont sir Dansey, l'un des chefs de l'Intelligence Service britannique, devait dire qu'il était « le plus extraordinaire agent secret » qu'il eût jamais rencontré. « Plein d'allant et de dynamisme, [... avec] une sensibilité aux nuances parfois mystiques, [... avec une parole] nette, précise, mesurée », tel apparut Rémy à son chef, le colonel Passy, fondateur des services secrets de la France libre, qui écrivit : il fut le « pilier essentiel de tout ce que je pus créer ». Rallié au général de Gaulle, le 28 juin 1940, Gilbert Renault effectua son premier retour en France, via le Portugal et l'Espagne, en novembre 1940. Chargé de surveiller les mouvements allemands sur la côte atlantique, il organisa des liaisons solides avec l'aide d'un de ses amis, consul de France à Madrid. « Un par un, pierre vivante par pierre vivante », il sut recruter des agents de grande qualité qui fournirent les plans des bases sous-marines allemandes, un échantillon de nouveau métal, des modèles de papiers d'identité, les éléments qui permirent le raid de Bruneval et la destruction de radars allemands dès février 1942. Sous les pseudonymes de Jean-Luc, de Raymond puis, à partir de septembre 1941, de Rémy, Gilbert Renault fit de son réseau — la Confrérie Notre-Dame (C.N.-D.) — une « firme à succursales multiples » dont la maison mère était la France libre, Carlton Gardens, Londres...
France-Empire, 1971, pt in-8°, 415 pp, 16 pl. de photos et documents hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état, envoi a.s.
L'ancien résistant Gilbert Renaud, dit Colonel Rémy, sera "répudié" par de Gaulle pour son article de 1950 : “La Justice et l'Opprobre”, où il affirme sa fidélité au Grand Charles et rend hommage à l'action du Maréchal Pétain. — "18 juin 1940 : un Français âgé de 36 ans, laissant derrière lui sa femme et ses quatre jeunes enfants, s'embarque à bord d'un chalutier dans le port de Lorient où l'ennemi est attendu d'un moment à l'autre. Le surlendemain, au Verdon, il entend parler de l'appel lancé de Londres le 18 par le général de Gaulle. Quarante-huit heures plus tard il est à Falmouth. Dès son arrivée à Londres, il s'engage aux Forces Françaises Libres qui n'ont pas encore reçu leur nom. Le 10 août, il part en mission secrète, rejoignant la France occupée en passant par le Portugal et l'Espagne. Le réseau de renseignement qu'il fondera sous le nom de Confrérie Notre-Dame portera de rudes coups à l'envahisseur. Celui qui est devenu “Rémy” échappera jusqu'au bout aux recherches de l'Abwehr et de la Gestapo grâce à l'admirable dévouement de ses camarades. C'est sous l'uniforme que Rémy reviendra à Paris le 25 août 1944. Continuant à servir sous les ordres du général de Gaulle, il sera appelé par celui-ci à compter au nombre des constituants du “Rassemblement du Peuple Français” dont il deviendra un des militants les plus actifs. Le 11 avril 1950, obéissant à ce qui lui paraît être un devoir de conscience, il publie dans l'hebdomadaire "Carrefour", sous le titre de “la Justice et l'Opprobre”, un article par lequel, sans rien renier de sa fidélité à l'homme qui est son chef depuis dix ans, il rend hommage à l'action du maréchal Pétain et de ceux qui suivirent de bonne foi le Vainqueur de Verdun. Le retentissement de cet article incite le général de Gaulle à publier un communiqué qui provoque le départ de Rémy de ce “R.P.F.” auquel il s'était donné tout entier. C'est la passionnante histoire de ces dix années, riches en péripéties de toute sorte, qu'il raconte dans “Dix ans avec de Gaulle”."
Perrin, 1970, in-8°, 338 pp, 24 photos sur 16 pl. hors texte, 10 cartes, un fac-similé, reliure skivertex havane de l'éditeur, titres en blanc au 1er plat et au dos, bon état (« La Ligne de démarcation »)
Agé de trente-six ans, Gilbert Renault s’embarque le 18 juin 1940 à bord d’un chalutier qui, échappant de justesse à l’emprise de la Wehrmacht, le transporte de Lorient au Verdon, d’où un cargo suédois le conduit en Angleterre. Volontaire pour une mission secrète en France occupée, il quitte la Grande-Bretagne dès le 10 août, avec mission de surveiller les mouvements de l’ennemi tout le long de la côte atlantique. Le réseau qu’il crée sous le nom de Confrérie Notre-Dame couvre, dix-huit mois plus tard, l’ensemble de la France occupée et la Belgique. Sans cesse pourchassé par l’Abwehr et la Gestapo, celui qui est devenu « Rémy » devra à l’héroïsme de ses camarades qui, sous la torture, dans les camps de déportation ou au poteau d’exécution, refuseront de le livrer, de n’être jamais pris. Et c’est sous l’uniforme qu’après le débarquement il reviendra participer à la libération de sa Bretagne natale. De lui, le général de Gaulle a écrit : « Notre Rémy fut des premiers, parce qu’il est des meilleurs. Et c’est pourquoi, après tout ce qu’il a fait – qui est si grand ! – il sait qu’il reste tant à faire. » Il restait entre autres choses, à écrire l’histoire de ceux qui souffrirent et moururent au service de la France.
Perrin, 1964, in-8°, 373 pp, 16 pl. de photos hors texte, 7 cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état, ex. du SP
"Une dizaine d'histoires vraies, cocasses ou tragiques vécues pendant l'occupation par les personnages et « passeurs » les plus divers et dont le trait commun est le simple courage. Voilà une anthologie de ces faits et de ces héros involontaires auxquels nous devons de ne pas désespérer de l'homme. L'auteur, fort connu par son action dans la « France libre », a eu la patience et le talent, armé d'un magnétophone, de retrouver et de faire parler tous ces témoins et acteurs de notre histoire des années sombres. Documents à verser à la chronique de la guerre 44-45, mais aussi utile, captivante et émouvante initiation de la jeunesse aux événements auxquels ont participé les pères. Un bon travail, une bonne œuvre." (La Revue administrative, 1966) — Agé de trente-six ans, Gilbert Renault s’embarque le 18 juin 1940 à bord d’un chalutier qui, échappant de justesse à l’emprise de la Wehrmacht, le transporte de Lorient au Verdon, d’où un cargo suédois le conduit en Angleterre. Volontaire pour une mission secrète en France occupée, il quitte la Grande-Bretagne dès le 10 août, avec mission de surveiller les mouvements de l’ennemi tout le long de la côte atlantique. Le réseau qu’il crée sous le nom de Confrérie Notre-Dame couvre, dix-huit mois plus tard, l’ensemble de la France occupée et la Belgique. Sans cesse pourchassé par l’Abwehr et la Gestapo, celui qui est devenu « Rémy » devra à l’héroïsme de ses camarades qui, sous la torture, dans les camps de déportation ou au poteau d’exécution, refuseront de le livrer, de n’être jamais pris. Et c’est sous l’uniforme qu’après le débarquement il reviendra participer à la libération de sa Bretagne natale. De lui, le général de Gaulle a écrit : « Notre Rémy fut des premiers, parce qu’il est des meilleurs. Et c’est pourquoi, après tout ce qu’il a fait – qui est si grand ! – il sait qu’il reste tant à faire. » Il restait entre autres choses, à écrire l’histoire de ceux qui souffrirent et moururent au service de la France.
Perrin, 1964, in-8°, 373 pp, 16 pl. de photos hors texte, 12 cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Une dizaine d'histoires vraies, cocasses ou tragiques vécues pendant l'occupation par les personnages et « passeurs » les plus divers et dont le trait commun est le simple courage. Voilà une anthologie de ces faits et de ces héros involontaires auxquels nous devons de ne pas désespérer de l'homme. L'auteur, fort connu par son action dans la « France libre », a eu la patience et le talent, armé d'un magnétophone, de retrouver et de faire parler tous ces témoins et acteurs de notre histoire des années sombres. Documents à verser à la chronique de la guerre 44-45, mais aussi utile, captivante et émouvante initiation de la jeunesse aux événements auxquels ont participé les pères. Un bon travail, une bonne œuvre." (La Revue administrative, 1966) — Agé de trente-six ans, Gilbert Renault s’embarque le 18 juin 1940 à bord d’un chalutier qui, échappant de justesse à l’emprise de la Wehrmacht, le transporte de Lorient au Verdon, d’où un cargo suédois le conduit en Angleterre. Volontaire pour une mission secrète en France occupée, il quitte la Grande-Bretagne dès le 10 août, avec mission de surveiller les mouvements de l’ennemi tout le long de la côte atlantique. Le réseau qu’il crée sous le nom de Confrérie Notre-Dame couvre, dix-huit mois plus tard, l’ensemble de la France occupée et la Belgique. Sans cesse pourchassé par l’Abwehr et la Gestapo, celui qui est devenu « Rémy » devra à l’héroïsme de ses camarades qui, sous la torture, dans les camps de déportation ou au poteau d’exécution, refuseront de le livrer, de n’être jamais pris. Et c’est sous l’uniforme qu’après le débarquement il reviendra participer à la libération de sa Bretagne natale. De lui, le général de Gaulle a écrit : « Notre Rémy fut des premiers, parce qu’il est des meilleurs. Et c’est pourquoi, après tout ce qu’il a fait – qui est si grand ! – il sait qu’il reste tant à faire. » Il restait entre autres choses, à écrire l’histoire de ceux qui souffrirent et moururent au service de la France.
Perrin, 1964-1967, 10 vol. in-8°, 350 pp, environ chacun, 16 à 24 pl. de photos hors texte dans chaque volume (180 pl. au total), nombreuses cartes, qqs fac-similés, cart. éditeur, gardes illustrées, jaquettes illustrées, bon état, envoi a.s. du colonel Rémy sur les tomes 1 à 5
Les 10 premiers volumes (sur 22). — Œuvre monumentale du Colonel Rémy, ces livre relatent des récits de franchissement de la ligne de démarcation, par laquelle les Allemands coupèrent la France en deux, la zone occupée au nord et la zone libre au sud, de juin 1940 à novembre 1942, ainsi que différentes actions de la Résistance française au cours de la deuxième guerre. Hommages aux innombrables Français qui servirent la France au péril de leur vie, ces récits illustrent avec émotion l'héroïsme dont ils firent preuve au quotidien. Des noms connus (Pierre Brossolette, Edmond Jouhaud, dans le chapitre consacré au rendez-vous d'Ouessant) y côtoient l'humble passeur de Salins-les-Bains, dans le Jura. Chaque volume est indépendant des autres et complet en soi. — "De nombreuses histoires vraies, cocasses ou tragiques vécues pendant l'occupation par les personnages et « passeurs » les plus divers et dont le trait commun est le simple courage. Voilà une anthologie de ces faits et de ces héros involontaires auxquels nous devons de ne pas désespérer de l'homme. L'auteur, fort connu par son action dans la « France libre », a eu la patience et le talent, armé d'un magnétophone, de retrouver et de faire parler tous ces témoins et acteurs de notre histoire des années sombres. Documents à verser à la chronique de la guerre 44-45, mais aussi utile, captivante et émouvante initiation de la jeunesse aux événements auxquels ont participé les pères. Un bon travail, une bonne œuvre." (La Revue administrative, 1966)
[Monte-Carlo], Raoul Solar, 1947, in-12, 126 pp, broché, avec en couverture une amusante et peu courante photo d'un jeune de Gaulle à la fine moustache fumant fièrement une cigarette le menton en avant, bon état
Le colonel Rémy, légendaire agent de renseignement de la France libre, et homme de droite convaincu, brosse ici un portrait original du général de Gaulle, aux tout débuts de l’aventure du RPF, en 1947... C'est un témoignage de sa relation avec le général de Gaulle, une sorte d'hommage remplie d'une respectueuse admiration. Le long poème de Jean Choux (1887-1946), « L'homme qui a dit : non ! », écrit pendant l'Occupation à la gloire de De Gaulle et reproduit pages 97 à 126, est une manière de réponse à l'ode (« Paroles au Maréchal ») que Paul Claudel adressait à Pétain en 1941. — "... J'aperçois le manuscrit du livre que l'ancien agent secret vient d'écrire, De Gaulle, cet inconnu, et qu'il a adressé à La Boisserie. Mon père voit mon regard et fait la moue : « Dans l'ensemble, ce n'est pas mal, mais il a une interprétation erronée qui me déplaît foncièrement et que je lui ait demandé de corriger. » Il semble assez contrarié. J'apprendrais plus tard, ce qui fera ensuite couler beaucoup d'encre, que Rémy lui faisait faussement déclarer que la France avait eu deux cordes à son arc pendant la guerre, celle de De Gaulle et celle de Pétain..." (Philippe de Gaulle et Michel Tauriac, De Gaulle, mon père, t. 1)
Monte-Carlo, Raoul Solar, 1947, gr. in-8°, 193 pp, nombreuses photos sur 39 planches hors texte, répertoire des noms et des pseudonymes, broché, bon état. Edition originale sur papier courant
Troisième livre de Souvenirs du colonel Rémy, après “Mémoires d'un agent secret de la France libre” et “Le livre du courage et de la peur”. Celui-ci concerne la période novembre 1943 - août 1944.
Bruxelles, J.-M. Collet, 1981, in-4°, 80 pp, tnon paginé, 108 photos et documents provenant des collections personnelles du colonel Rémy, cart. illustré de l'éditeur, bon état
P., Aux Trois Couleurs et Raoul Solar, 1946, 2 vol. gr. in-8°, 221 et 203 pp, préface de Joseph Kessel, 55 pl. de photos et documents hors texte, répertoire des noms et pseudonymes, broché, couv. illustrées d'une vignette, bon état. Edition originale sur papier courant
Deuxième livre de Souvenirs du colonel Rémy, après “Mémoires d'un agent secret de la France libre” parus la même année.
Plon, 1980, gr. in-8°, 244 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"Macht geht vor Recht , « la force prime le droit » : Le propos n’a pas été tenu par Bismarck, comme il lui fut dit, mais il exprime parfaitement la ligne de conduite de celui qu’on appela « le chancelier de fer », et Hitler le fit sien. Cette brutale affirmation, qui se fonde sur la force des armes, est fausse non seulement dans le principe qu’elle énonce mais aussi dans la réalité des faits. D’innombrables exemples l’ont prouvé alors que le IIIe Reich national-socialiste se trouvait au faîte de sa puissance, et le phénomène qu’on a dénommé « la Résistance » en donna la démonstration dans tous les territoires qu’il soumettait à son joug. Pour l’illustrer, Rémy a choisi, dans « Combattre jusqu’au bout », quelques faits exemplaires dont il garantit la parfaite authenticité et qui revêtent les plus divers aspects. Tenant en échec la force qui leur était opposée, des hommes et des femmes firent preuve, chacun et chacune à sa manière, d’une invincible irréductibilité à transiger avec le vainqueur du jour, donnant ainsi un magnifique exemple, qui reste toujours valable, de ce que peut faire la foi dans les valeurs essentielles sans lesquelles la vie ne vaut pas d’être vécue." (4e de couverture)
Monaco, Editions du Rocher, 1950, in-12, 83 pp, un document en fac-similé hors texte, broché, bon état
"Il existe une franc-maçonnerie résistante qui digère lentement les honneurs et les profits."
France-Empire, 1974, pt in-8°, 325 pp, une photo hors texte du capitaine Michel, 6 cartes, broché, jaquette illustrée, bon état, envoi a.s.
"Parachuté une première fois en France, le capitaine Michael Trotobas, de l'armée britannique, est fait prisonnier. Réussissant à s'évader, il regagne l'Angleterre via Gibraltar et se porte aussitôt volontaire pour une nouvelle mission, accomplie dans le cadre du sabotage de la machine de guerre ennemie. Il est pratiquement dénué de tous moyens quand il arrive à Lille, au cours de la dernière semaine du mois de novembre 1942, mais la chance lui sourit sous la forme de bonnes volontés qui se manifestent à lui de toute parts. En peu de temps, il a jeté les bases de son réseau, qui prendra le nom de Sylvestre-Farmer, car ce guerrier a l'âme bucolique et rêve de créer, après la guerre, une exploitation agricole... En attendant, il passe immédiatement à l'action, soutenu par le concours enthousiaste d'hommes et de femmes des départements du Nord et du Pas-de-Calais, les "Ch'timis" comme ils aiment à s'appeler. Coup sur coup, des dépôts de locomotives sautent, des trains de munitions et de carburant explosent, des usines que l'ennemi utilise à son service sont neutralisées. La tête du "Capitaine Michel" est mise à prix par la Geheime Feld Polizei, mais il demeure insaisissable jusqu'à ce que, le 27 novembre 1943, il soit abattu par une rafale de mitraillette. Loin de s'incliner, ses camarades français redoublent d'audace et font payer cher à l'adversaire la mort de leur chef."
Plon, 1979, gr. in-8°, 420 pp, broché, couv. illustrée, pt tache sur la tranche, bon état
Aux trois couleurs 1945 et 1946-Illustrés de photos et de dessins-Trois volumes in-8°reliés en chagrin rouge,couvertures conservées,avec deux envois à Emmanuel de Lévi-Mirepoix.
Reliure lgt frottée des mémoires,petit manque de cuir en bas du tome 2 du livre du courage.
Il prend des nouvelles de sa correspondante et raconte brièvement sa vie au Portugal, pays dans lequel il vient de sinstaller : ... Ma femme va mieux. Je lui ai fait suivre un traitement à base de vitamines B12, qui semble produire un excellent effet. Notre jeune ménage dAnvers est venu passer trois semaines ici, avec notre petit-fils, pour la plus grande joie de tous, mais aussi pour la plus grande fatigue de la maîtresse de maison...Le Colonel Rémy commente également laffaire ...du canal de Suez peut-être excellente si, pour une fois, lOccident fait preuve de fermeté. Mais je crains bien quon ne sarrête à une solution qui, voulant ménager la chèvre et le chou ne nous entraîne à de nouvelles complications, suivies de nouvelles humiliations...Célèbre pendant la Résistance sous le nom de Colonel Rémy, Gilbert Renault fut l'un des plus fameux agents secrets de la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale, connu sous différents pseudonymes dont Raymond, Jean-Luc, Morin, Watteau, Roulier, Beauce et Rémy. Compagnon de la Libération le 13 mars 1942.
Il recommande un roman de lécrivain et historien René Minguet : ...jai pensé que celui-ci pouvait vous intéresser pour les éditions Tallandier. Voulez-vous me dire ce que vous en pensez ? Je vous remercie de la façon dont vous avez présenté « Jéricho » dans « Historia ». Et ma fille Catherine me prie de vous dire combien elle vous est reconnaissante de recevoir régulièrement cette revue où vous accomplissez chaque année un nouveau tour de force...Célèbre pendant la Résistance sous le nom de Colonel Rémy, Gilbert Renault fut l'un des plus fameux agents secrets de la France occupée.
Nouvellement installé au Portugal, le Colonel Rémy envoie ses vœux …Edith et les enfants grands et petits se joignent […] pour vous prier de partager avec Ariel mes vœux les plus affectueux dans le souvenir de votre cher disparu, dont la présence demeure ineffacée dans notre cœur et nos pensées. Et nous faisons le vœu que 1956 nous donne la joie de vous revoir au Portugal !...Célèbre pendant la Résistance sous le nom de Colonel Rémy, il fut l'un des plus fameux agents secrets de la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale, connu sous différents pseudonymes dont Raymond, Jean-Luc, Morin, Watteau, Roulier, Beauce et Rémy. Compagnon de la Libération le 13 mars 1942.
…Nous avons prié pour vous, à qui nous devons tant, et pour tous ceux qui vous sont chers… Scénariste de métier, il sengage auprès du Général de Gaulle pendant la Seconde guerre mondiale. Il organise et développe un des plus grands réseaux de renseignement de la Résistance, qui devient la Confrérie Notre-Dame. Il est resté célèbre sous plusieurs pseudonymes, notamment « Colonel Rémy ».Georges Soulié de Morant (1878-1955) est un sinologue français, diplomate en Chine, et principal promoteur de lacupuncture en France à partir de 1929.