Collectif – VIDAL (François), Alexandre Dumas, George Sand, etc.
Reference : 111505
(1844)
Milan, chez Charles Turati, 1844, in-8°, 576 pp, reliure demi-veau glacé prune, dos lisse, titres et roulettes dorées, tranches mouchetées (rel. de l'époque), dos uniformément passé, plats et coupes frottés, bon état. Rare
Lutte du capital et du travail dans l'agriculture. De la rente de la terre (François Vidal) ; De la justice distributive. Etudes sur le principe de la répartition, première partie (François Vidal) ; La Turquie sous Abdul-Medjid. Smyrne (Alexis de Valon) ; Etudes sur l'histoire politique de l'Irlande depuis 1776 jusqu'en 1809 (C.-F. Audley) ; L'Irlande et ses maîtres (O. N.) ; L'Irlande en 1844 (O. N.) ; Politique coloniale de l'Angleterre. Conquête du Scinde. Guerre contre l'état de Gwalior (E. Forcade) ; Titien Vecelli (Alexandre Dumas) ; Les trois soeurs (George Sand) ; Historiens contemporains : MM. Guizot, De Barante, Michelet, Aug. Thierry (Ad. J.) ; Vie de Rancé, par M. de Chateaubriand (Sainte-Beuve) ; Etudes sur les colonisations françaises : Canada, Acadie, Terre-Neuve, Baie d'Hudson, suite et fin (Emile Souvestre) ; etc. — François Vidal (1812-1872) devient avocat en 1831. Il se distingue par sa vision critique de l'économie libérale, et collabore à différents périodiques : La démocratie pacifique de Victor Considérant, La Revue indépendante (créée par Pierre Leroux, George Sand et Louis Viardot en 1841), et, en 1849, Le travail affranchi avec Alphonse Toussenel. Secrétaire de la Commission du Luxembourg en 1848, il en rédige le rapport avec Constantin Pecqueur. En contact d'abord avec les saint-simoniens, puis avec les milieux fouriéristes, sa pensée est celle d'un socialiste moderne, curieusement tombé dans l'oubli. — "... La « Bibliothèque choisie des meilleures productions de la littérature française contemporaine », que je te présente au public sera un recueil des meilleurs articles qui paraîtront dans les ouvrages périodiques français les plus estimés tels que les Revues des deux Mondes, de Paris, Britannique, la Bibliothèque Universelle, l'Institut, les Annales des Voyages, etc. Ces journaux, embrassant toute l'échelle des connaissances humaines, rendant compte de tous les travaux, même étrangers, de quelque importance, assurent les moyens de pouvoir faire un choix varié sur toutes sortes de matières et de satisfaire à toutes les exigences, autant sous le rapport de l'instruction que de l'amusement. Je reproduirai même quelques nouveautés littéraires dans leur entier toutes les fois qu'elles se distingueront par un mérite particulier ou par un intérêt d'actualité, et que leur volume permettra de les faire entrer dans le cadre que je me suis proposé..." (L'éditeur)