<meta charset="utf-8"><div id="description-content" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">De la poésie paysagiste, créée par la Chine une bonne quinzaine de siècles avant la nôtre et qui déploya jusqu'à aujourd’hui ses merveilleuses frondaisons sur un unique tronc nourricier, n’ont été retenues ici que ses formes les plus denses, le quatrain et le huitain. Pour tourner autant que faire se peut les obstacles qui s’opposent à leur difficile transposition, le traducteur a choisi de « voler » des poèmes, comme disait Claude Roy, auxquels leur simplicité, leur dépouillement et leur transparence ouvrent un accès immédiat. Ces courtes pièces célèbrent dans leur infinie variété « la montagne et l’eau » du marcheur et du voyageur, du rêveur et du peintre, de l’ermite et du moine.</p></div> Paris, 2007 Réédition Michalon 2007 329 p., broché. 11 x 16
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