PIERRE HORAY 1988 Soft Cover As New
200 PAGES-16,5 CM X 24 CM-RICHE ICONOGRAPHIE-COUVERTURE A RABATS-JOINTS 3 ARTICLES DE PRESSE: "UNE PLAQUE INDIQUE OU LOUISE BODIN A VECU LE SOUVENIR D'UNE MILITANTE EXEMPLAIRE (OUEST FRANCE 5 FEVRIER 1996), ELLE A FONDE LA PREMIERE SECTION DU PC A RENNES UNE PLAQUE EN HOMMAGE A LOUISE BODIN (OUEST FRANCE 3-4 FEVRIER 1996), COLETTE COSNIER, FEMINISTE RENNAISE, AURA SA RUE (OUEST FRANCE 22 MARS 2018)-2 LIGNES EN PAGES DE FAUX TITRE-(5D)
Fayard 2003, fort in/8 de 413 pages
"Si Marie Pape-Carpantier (1815 La Flèche-1878 Villiers-le-Bel) a donné son nom à quelques écoles et à une rue de Paris (dont l'orthographe est inexacte), elle fait partie de ces femmes injustement oubliées alors qu'elle a joué un rôle fondamental dans l'enseignement. Surveillante à ses débuts d'une " salle d'asile " - qui deviendra l'école maternelle -, elle publie d'abord des poèmes qui sont remarqués par Lamartine et lui valent l'amitié de Marceline Desbordes-Valmore et de Béranger. Dans son premier ouvrage pédagogique - elle en écrira une vingtaine, ainsi que des livres pour la jeunesse -, elle révèle " le secret des bons instituteurs ". Le succès est tel qu'elle est nommée directrice de l'École normale maternelle créée par la Révolution de 1848. Elle se bat pour que l'école des tout jeunes enfants soit plus qu'une garderie : amélioration matérielle de la classe, importance de la leçon de choses, de l'éveil, de la gymnastique. Ses livres remportent différents prix, dont celui de l'Académie française, influent sur la politique du ministre de l'Instruction publique Victor Duruy et retiennent l'attention de Victor Hugo. Marie Pape-Carpantier s'attache aussi à défendre la condition féminine : elle est la première femme qui prit la parole à la Sorbonne. Inspirée par la franc-maçonnerie et le fouriérisme, elle ne cessa de défendre une idée progressiste de l'enseignement. Considérée par ses adversaires comme une libre penseuse, elle fut finalement limogée en 1874. Ses concepts très modernes pour son époque font d'elle une pédagogue à redécouvrir."
[PROUST] Pierre Abraham, Pierre Clarac, Michel Mouligneau, Pierre Paraf, Bernardette Morand, Évelyne Moine, Yves Sandre, François-Xavier Nicolas, Hubert Juin, Charles-Henry Reymont, Lionel Mirisch, Marie-Louise Coudert, Serge Behar, Henri Bonnet, Thérèse Ballet Lynn, Philippe Kolb, Colette Cosnier, Nelly Stéphane, Serge Gaubert, Annie Barnes, Giorgetto Giorgi, Marilène Clément, Roger Bordier, Jean-Noël Vuarnet, Victoria Acheres, Patrick Gauthier, Georges Dupeyron, Albert Fournier, Georges Blanc. Autres textes de Gilette Ziegler, Raymonde Temkine, Maurice Bouvier-Ajam, Michel Cosem, Jean-Jacques Fol, Jacques Gaucheron, Charles Gilbert, Jean-Pierre Han, Christiane Mérigon, Louis Simon.
Reference : 13962
Europe, N°496-497, Les éditeurs français réunis, août septembre 1970. In-8°, broché.
[13962]
PIERRE HORAY 1999 Soft Cover As New
400 PAGES-16,5 CM X 24 PAGES-RICHE ICONOGRAPHIE-LEGERE PLIURE EN MARGE DROITE DU PREMIER PLAT SINON ETAT NEUF-(100F)
PIERRE HORAY 1988 Soft Cover New
200 PAGES-16,5 CM X 24 CM-RICHE ICONOGRAPHIE-PHOTOGRAPHIE EN COUVERTURE-(19D)
2003 Editions Fayard 2003 - In-8 broché - 415 pages
Bon état - Coins légèrement émoussés
"1975. Paris Éditions Pierre Jean Oswald « Théâtre Hors la France » 1975 - Broché 11 5 cm x 19 cm 112 pages - Pièce de théâtre de Colette Hélard-Cosnier couv. d'Yves Bougeard envoi de l'auteur - Couv. tachée au dos sinon bon état"
1984 Ouest France, Couverture souple 1984 Ouest France, 1984 , in8 broché, 151 pp . Illustrations .
[REVUE] Jean-Michel Quinodoz, Silvia Amati, Cléopâtre Athanassiou, Gérard Bayle, André Brousselle, Maria-Janina Grabowska, Danielle Quinodoz, Massimo Tomassini, Nadine Amar, Annie Anargyros, Colette Rabenou, Antonio Andreoli, Annette Fréjaville, Pier Mario Masciangelo, Claude Nachin, Maurice Netter, Nicos Nicolaïdis, Francisco Palacio Espasa, Juan Manzano, Mauricio Gitnacht, Geneviève Haag, Georges Hummel, Alicia Schteingart, Jean Guillaumin, André Barbier, Colette Chiland, Jacqueline Cosnier, Jean Cournut, Monique Cournut-Janin, André Green, Pearl Lombard, Catherine Parat, Roger Perron, Jean Bégoin, Anne Clancier, François Duparc, Olivier Flournoy, André Haynal, Augustin Jeanneau, Thierry de Saussure.
Reference : 18263
Revue française de psychanalyse, tome LIII, Presses universitaires de France, janvier-février 1989. Un volume in-8°, broché.
Comme neuf. [18263]
1984 Editions Ouest France, Collection "L'Histoire et nous" - 1984 - In-8, broché, couverture illustrée - 151 p. - Nombreuses reproductions photographiques in, hors-texte et pleine page en N&B
Bon état malgré bords et couverture frottés - Coins et extrémités du dos légèrement émoussés
Pierre Horay 1992 24x16x3cm. 1992. Broché. 354 pages. Bon Etat intérieur propre
P., Horay, 1999, gr. in-8, br., 400 pp., plans, photos, fac-similés in-t., biblio. (GJ12C)
Une ville, un procès. Ex. du S.P.
1985 Paris . Pierre Horay, 1985. . Fort volume in-8 , belle reliure de l'éditeur aubergine, orné d'un portrait de Marie Bashkirtseff dans un médaillon ovale entouré d'un filet doré, , titre doré 360 p. Extraits de correspondances et du Journal. Nombreux documents, photographies. E.O. sur papier d'édition, belle et intéressante édition, très imagée et très documentée
Format moyen, couverture souple.344 pages. Illustrations n/b. défaut de pelliculage , intérieur en bon état. Une expédition par Mondial Relay pourra vous être proposée 1985 Pierre Horay
Pierre Horay 1985 In-8 broché 24 cm sur 17. 354 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Paris, 1985, in-8, 344pp, broché, Superbe exemplaire! 344pp
Guérin. 2002. In-12. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 193 pages. Couverture contrepliée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Guérin. 2004. In-12. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 234 pages. Couverture contrepliée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Pierre Horay. 1988. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 198 pages - couverture contrepliée - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Cénomane Broché 1993 In-8 (13.5 x 21 cm), broché, couverture illustrée, 254 pages ; des taches d'usage à la couverture défraîchie, assez bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Editions Pierre Horay, 1988, gr. in-8°, 198 pp, chronologie, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état, envoi a.s. et carte de visite a.s. de l'auteur à Nina Companeez
En pleine guerre de 14-18, elle écrivait, ainsi que Séverine et Marcelle Capy, « les rares articles de courage et de bon sens » qui, selon Romain Rolland, consolaient de la presse française, belliciste et chauvine. On connaît bien Séverine, un peu moins Marcelle Capy, et pas du tout Louise Bodin. On cherche vainement son nom dans les histoires du féminisme ou du journalisme. Oubli ? Amnésie de l'Histoire ? ou censure ? Pourquoi ce silence autour de celle qui fut rédactrice de “La Voix des femmes” et qui publia plus de cinq cents articles dans le “Populaire”, “L'Humanité”, “La France”, “L'Ouvrière”, “Les Hommes du jour”, “La Pensée bretonne”, etc. ? Qui dérange-t-elle encore pour qu'il soit si difficile de reconstituer son histoire ? Dans les années 20, pour les militants ouvriers rennais, elle était « la bonne Louise ». Pour ceux qui ne comprenaient pas qu'on pût être à la fois belle, cultivée, issue d'un milieu bourgeois, épouse d'un professeur à l'école de Médecine de Rennes, et secrétaire dès 1921 – à un moment où les femmes ne votaient pas encore – de la Fédération communiste d'Ille-et-Vilaine, elle était « la bolchevique aux bijoux ». Louise Bodin : née à Paris en 1877, morte à Rennes en 1929. Une vie brève hantée par le remords d'être une privilégiée et par la foi en une Révolution qui ne devra s'arrêter qu'à la perfection du bonheur pour les plus défavorisés, une vie de combat contre toutes les injustices, pour toutes les grandes causes de son temps. Suffragiste, féministe, pacifiste, socialiste, communiste, sympathisante trotskyste : autant d'engagements successifs qui marquent l'itinéraire de Louise Bodin, figure exemplaire de la première génération d'intellectuels, fondateurs du Parti communiste français puis dissidents. Mais aussi autant de ruptures de plus en plus douloureuses pour une femme que minent la maladie et l'impuissance à venir à bout de toute la misère du monde. C'est la voix d'une authentique journaliste qu'il nous est enfin permis d'entendre après plus d'un demi-siècle d'oubli, une voix caustique ou amusée pour dire la vie à Rennes avant 1914, une voix bouleversante pour crier la détresse des femmes et des mères pendant la guerre, une voix indignée pour protester contre la loi de 1920, une voix impitoyable pour décrire un congrès : la voix d'une femme témoin de son temps, qui a sa place dans l'Histoire des femmes aux côtés de Séverine, de Nelly Roussel, de Marguerite Durand.
Editions Pierre Horay, 1988, gr. in-8°, 198 pp, chronologie, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
En pleine guerre de 14-18, elle écrivait, ainsi que Séverine et Marcelle Capy, « les rares articles de courage et de bon sens » qui, selon Romain Rolland, consolaient de la presse française, belliciste et chauvine. On connaît bien Séverine, un peu moins Marcelle Capy, et pas du tout Louise Bodin. On cherche vainement son nom dans les histoires du féminisme ou du journalisme. Oubli ? Amnésie de l'Histoire ? ou censure ? Pourquoi ce silence autour de celle qui fut rédactrice de “La Voix des femmes” et qui publia plus de cinq cents articles dans le “Populaire”, “L'Humanité”, “La France”, “L'Ouvrière”, “Les Hommes du jour”, “La Pensée bretonne”, etc. ? Qui dérange-t-elle encore pour qu'il soit si difficile de reconstituer son histoire ? Dans les années 20, pour les militants ouvriers rennais, elle était « la bonne Louise ». Pour ceux qui ne comprenaient pas qu'on pût être à la fois belle, cultivée, issue d'un milieu bourgeois, épouse d'un professeur à l'école de Médecine de Rennes, et secrétaire dès 1921 – à un moment où les femmes ne votaient pas encore – de la Fédération communiste d'Ille-et-Vilaine, elle était « la bolchevique aux bijoux ». Louise Bodin : née à Paris en 1877, morte à Rennes en 1929. Une vie brève hantée par le remords d'être une privilégiée et par la foi en une Révolution qui ne devra s'arrêter qu'à la perfection du bonheur pour les plus défavorisés, une vie de combat contre toutes les injustices, pour toutes les grandes causes de son temps. Suffragiste, féministe, pacifiste, socialiste, communiste, sympathisante trotskyste : autant d'engagements successifs qui marquent l'itinéraire de Louise Bodin, figure exemplaire de la première génération d'intellectuels, fondateurs du Parti communiste français puis dissidents. Mais aussi autant de ruptures de plus en plus douloureuses pour une femme que minent la maladie et l'impuissance à venir à bout de toute la misère du monde. C'est la voix d'une authentique journaliste qu'il nous est enfin permis d'entendre après plus d'un demi-siècle d'oubli, une voix caustique ou amusée pour dire la vie à Rennes avant 1914, une voix bouleversante pour crier la détresse des femmes et des mères pendant la guerre, une voix indignée pour protester contre la loi de 1920, une voix impitoyable pour décrire un congrès : la voix d'une femme témoin de son temps, qui a sa place dans l'Histoire des femmes aux côtés de Séverine, de Nelly Roussel, de Marguerite Durand.
Rennes, Ouest-France, 1984, gr. in-8°, 153 pp, 54 gravures, photos et dessins dans le texte et à pleine page, broché, couv. illustrée, bon état
Été 1899 : le tout-Paris est à Rennes ! Jaurès boit un bock au café de la Paix, Barrès se promène au Thabor, l'hôtel Moderne sert 150 couverts par repas, Sarah Bernhardt annule ses représentations, Casimir Périer visite le Mont-Saint-Michel, les marchands de volailles des Lices majorent leurs prix de 12 %, on supprime la procession du 15 août, les journalistes parisiens vont à Mi-Forêt à bicyclette, les télégraphistes rennais envoient 5.780.000 mots dans le monde entier, et Gaston Leroux qui n'est pas encore l'auteur de Rouletabille fait des comptes rendus d'audience. Cet été, pour être dans le ton ce n'est pas à Bayreuth qu'il faut se montrer, mais à Rennes... Rennes-la-Placide, Rennes qui s'apprêtait comme tous les ans à somnoler dans sa paix provinciale engourdie par la chaleur de l'été, Rennes qui vivait au ralenti et qui est bouleversée, réveillée, révélée par l'Affaire, Rennes où il ne se passait rien et que la Cour de Cassation a choisie comme théâtre du second procès Dreyfus, Rennes qui va vivre du 5 juin au 10 septembre des jours d'angoisse, de fièvre, de bruit et de fureur... Du lycée, où est jugé celui que les uns appellent « le traître » et les autres « le martyr », au faubourg d'Antrain, où les dreyfusistes sont accueillis par le professeur Victor Basch, de la place Sainte-Anne, où se retrouvent les antisémites, au café de la Comédie, où s'échangent les potins en marge du procès, c'est toute une ville jusque-là sans histoire qui est saisie par l'Histoire, Rennes qui le temps d'un été devient « l'endroit du monde d'où il va sortir le plus de bruit »...
FAYARD. JANV 2001. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 318 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française