Paris, Typographie Plon frères, s.d. (1852) in-4, 37 pp., broché sous couverture imprimée. Dos un peu défraîchi.
Edition in-4 qui semble bien avoir précédé la version in-16 que l'on rencontre généralement.Pour le reste, le texte et le propos sont les mêmes : l'avocat Coffinières (1786-1862) cherche à démontrer l'invalidité de l'acte de donation-partage du 7 août 1830 par lequel Louis-Philippe cédait la nue-propriété de ses biens patrimoniaux à ses enfants (en-dehors de l'ainé), s'en réservant l'usufruit, pour éviter qu'ils ne fussent confondus avec les biens apanagés devant faire retour à la Couronne. Parlant manifestement sur commande, il défend bien évidemment la légalité du décret du 10 janvier 1852 qui confisquait tous les biens des Orléans, sans faire de distinction. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Belin-Le Prieur, 1814. In-8 de (6)-VIII-534 pp., demi-veau olive, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure moderne).
Édition originale. Coffinières fait parler l’Empereur lui-même censé expliquer les ressorts de sa politique. Faux-titre et titre restaurés. Bel exemplaire. Davois I, 156.
Paris, Chaix et Cie, 1852 in-12, 36 pp., broché. Couverture légt usée. Rousseurs et qqs mouillures. Cachets.
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Londres [Spire], 1818 in-8, [6]-IX-142 pp., texte français et traduction allemande en regard, cartonnage de papier marbré, dos lisse muet, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Dos, coins et coupes très défraîchis, frottés, avec petits manques de papier.
Rare traduction allemande de Buonaparte peint par lui-même dans sa carrière militaire et politique, paru en 1814, et qui fait parler l'Empereur lui-même censé expliquer les ressorts de sa politique.Holzmann-Bohatta, III, 6484. Davois, I, 156. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Belin-Le Prieur, 1814 in-8, [4]-VIII-534-[1] pp., basane fauve, dos lisse orné, fleurons et motifs réticulés dorés, pièce de titre, roulette dorée sur les coupes (rel. de l'époque). Traces blanchâtres sur les plats, dos insolé, coiffe sup. arasée, qqs rousseurs éparses, pièce de titre entamée, usures aux coins, mors et coupes frottés, petites griffures au dos.
Première édition."Un homme, sorti des derniers rangs de la société, s'est placé sur le trône des rois ; et de la France a gémi dix ans, sous son joug de fer. Son nom doit parvenir à la postérité puisqu'un tel scandale est unique dans notre histoire". Tel est le début du discours préliminaire : le décor est planté. Le propos est de faire parler l'Empereur lui-même censé expliquer les ressorts de sa politique.L'auteur (1786-1862) fut avocat.Davois, I, 156. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT